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Le club J

Chapitre 3

David : Yoga mère-fille

Inceste
Fils d’un travailleur expatrié dans un riche quartier fermé, David s’ennuie et épie une séance de yoga qui dérape vite entre la voisine Liliane et sa fille.
David jetait inlassablement une balle de tennis contre le mur de sa nouvelle maison, et malgré sa passion du sport, cette activité était loin de tromper son ennui. Depuis l’arrivée de sa famille au lotissement des Sept Porte il y a un mois, le jeune homme de 19 ans n’avait pas eu la moindre occasion de nouer des contacts avec ses voisins. Il était pourtant aimable et essayait sincèrement de se faire des amis, mais les habitants du quartier avaient cette politesse distante qui empêchait tout, même ceux de son âge. La saison de handball et l’année universitaire ne commenceraient pas avant encore un mois et il fallait donc supporter l’inactivité et la chaleur écrasante de ce pays lointain. Sa mère Jeanne semblait encore plus accablée par l’ennui et la perte de son emploi.
D’un geste mal ajusté, il lança sa balle d’un geste qui rebondit sur une arête du mur et fila droit dans la haie d’arbustes au bord du jardin. Il marmonna un juron et, s’accroupissant sous les branches, il se glissa péniblement entre les arbustes. Ne trouvant pas sa balle, il s’enfonça plus avant sous la haie, jusqu’à atteindre le muret séparant le jardin de celui des voisins. Il aperçut enfin ce qu’il cherchait, malheureusement loin du mur dans le jardin d’à côté. Le terrain appartenait au patron de son père et était plus vaste que tous les autres dans le lotissement. Sur la pelouse à l’arrière se dressait une terrasse en bois meublée d’un salon de jardin, à l’écart de la grande maison cossue, tout près de la clôture derrière laquelle David était accroupi. Sur la terrasse, il reconnut Liliane, la maîtresse de maison. C’était une femme aux cheveux noirs et à la peau bien bronzée, sa silhouette sportive était un peu alourdie par une poitrine imposante et des fesses rebondies. Elle était vêtue d’un ensemble de sport, une brassière et un corsaire de couleur sombre égayés de quelques touches colorées, les pieds nus sur un tapis de sol. David n’était pas très connaisseur mais il reconnut les postures caractéristiques d’une fin de séance de yoga.
Elle enchaînait les mouvements calmement et précisément, avec souplesse. Un peu gêné, David regarda alentour avant de profiter de la vue à une dizaine de mètres de lui. La femme au foyer quadragénaire était physiquement bien entretenue, son derrière un peu adipeux mais ce n’était pas pour déplaire à David et ses seins écrasés et réduits par la brassière restaient impressionnants. David avait quitté sa petite amie quelques mois avant le départ de sa famille et il commençait à se sentir cruellement en manque d’action. Il se laissa aller à rêver d’une croupe large et de grosses cuisses couleur café au lait en plein rodéo sur ses propres hanches. Liliane avait une expression très sûre d’elle et arrogante, un peu dominatrice même et David se serait volontiers soumis. Il n’avait pas ce fantasme pour les femmes mûres que ses amis paraissaient tous avoir, mais ce corps luisant de sueur était parmi les plus désirables qu’il eût jamais vu. Le décolleté opulent de la femme se soulevait régulièrement et amplement comme elle finissait sa séance par un exercice de respiration.
Alors qu’elle se relevait et buvait de l’eau à la bouteille qu’elle avait posée près d’elle, une autre femme s’approchait d’elle. Pieds nus elle aussi, des escarpins probablement coûteux à la main, la nouvelle venue portait une tenue de travail, un tailleur bleu marine avec jupe et chemisier. David reconnut la fille de Liliane, Laetitia, qui était plus âgée que lui, environ 25 ans. Plus mince, le corps plus ferme et la peau plus claire, la fille partageait avec la mère des cheveux noirs portés longs, la même taille moyenne et surtout les mêmes très gros seins qui auraient fait exploser les boutons de son chemisier s’il n’avait pas été taillé sur mesure.
Elle rejoignit sa mère et les deux femmes commencèrent une conversation dont David n’entendit rien. Le sujet de la discussion semblait léger et les deux femmes se souriaient chaleureusement. La mère sembla se lasser de parler. Elle fit un pas vers sa fille, lui glissa doucement un doigt sous le menton qu’elle souleva légèrement avant de baiser les lèvres de la jeune femme.
David écarquilla les yeux de stupeur. La mère et sa fille échangeaient bien plus qu’un aimable bécot. La langue de la première se glissa profondément dans la bouche de la seconde avant que les rôles s’inversent, puis les deux femmes s’enlacèrent en mélangeant amoureusement leurs langues. Le spectacle de deux belles femmes s’embrassant à pleine bouche est toujours un vrai ravissement pour un jeune homme hétérosexuel comme David, mais le fait qu’elles étaient de la même famille rendait la chose encore plus excitante. Son érection tendait son short prêt à craquer alors que les mains de Laetitia glissaient vers les reins de sa mère puis vers ses fesses rebondies qu’elles empoignèrent avec vigueur. La mère réagit en agrippant la nuque de sa fille et en la pénétrant de sa langue. La fille malaxait amoureusement les fesses souples, rondes et larges de sa mère au travers du corsaire. David, ne tenant plus son excitation, ouvrit la braguette de son short pour libérer son érection.
Repoussant gentiment sa fille, Liliane se retourna et, lançant un regard coquin par-dessus son épaule, glissa les deux pouces dans la ceinture de son corsaire puis, cambrant son dos de manière improbable, fit glisser l’élastique sur ses fesses magnifiques. Abasourdi, David ne put s’empêcher de s’étonner de la souplesse de la femme et de l’efficacité du yoga en la matière. Laetitia était elle aussi en arrêt devant le postérieur bien rond de sa mère, dont la peau était superbement colorée et vierge de toute marque de bronzage. La jeune femme reprit ses esprits quand le vêtement fut tombé sur le bois de la terrasse et elle tendit la main vers la croupe, la glissa entre les fesses, jusqu’à la vulve de sa mère qu’elle caressa de haut en bas lentement mais de manière appliquée. David tenait fermement sa verge en main mais se retenait de toutes ses forces de se masturber de peur de finir trop vite devant le spectacle le plus excitant qu’il eût jamais vu.
Liliane roula les yeux de manière assez exagérée et se pinça les lèvres en souriant. Ses mains soulevèrent lentement la brassière de sport. Les seins de la femme s’écoulèrent hors du vêtement. Ils étaient aussi gros, lourds et ronds que David l’espérait et de la même appétissante couleur que le reste de son corps. Le jeune homme n’était pas expert mais ils n’avaient pas l’air naturels, bien que tout à fait excitants à ses yeux. Lorsque la brassière tomba sur la terrasse, la main de Laetitia se posa sur le sein droit de sa mère. Liliane, dont la fille avait maintenant une main frottant sa chatte et l’autre pétrissant un de ses seins, posa les mains derrière sa tête, comme une prisonnière se soumettant, les yeux fermés. David entendit ses gémissements étouffés et alors il ne put plus retenir sa main qui se mit à aller et venir sur sa queue.
Laetitia avait changé de mouvement de main et deux de ses doigts pénétraient la chatte de sa mère à un rythme dont elle augmentait lentement la rapidité. Son autre main malaxait encore et au même rythme le sein de Liliane qui accompagnait chaque mouvement d’un petit gémissement. David suivait ce même rythme avec sa propre main, toujours inquiet de faire monter l’orgasme trop vite. Quand les gémissements de Liliane se firent un ton plus grave, il s’obligea à rester immobile. La femme mûre ruait presque contre les doigts de sa fille, son cul s’agitant de plus en plus vite. Au bout de quelques minutes de ce doigté intense, la fille ôta sa main de la chatte de sa mère pour la lui présenter et la mère suça avidement les doigts trempés. Sa fille faisait courir son autre main sur tout son corps, s’arrêtant sur ses seins, ses fesses, sa chatte...
Liliane se défit de l’étreinte de sa fille et s’assit sur le canapé puis elle ouvrit grand les jambes sans quitter la jeune femme des yeux. Celle-ci s’agenouilla entre les jambes de sa mère et avança son visage. Les deux femmes ne se quittant pas des yeux, Liliane posa la main sur la tête de Laetitia et la tira doucement vers sa chatte. La fille se laissa guider par sa mère jusqu’à ce que son visage se collât contre le pubis maternel qu’elle se mit à lécher avec application. David ne voyait que très mal la fille, encore tout habillée et cachée par la table basse sur la terrasse mais il voyait parfaitement la mère. Au moment où sa fille commença à utiliser sa bouche sur elle, la femme mûre sursauta légèrement puis poussa un long soupir. David, fasciné, contemplait la grosse poitrine en sueur de sa voisine qui se levait rapidement puis descendait lentement à chaque soupir de plaisir et calait le rythme de ses propres gestes de masturbation sur celui de la femme qui frottait compulsivement les cheveux de sa fille. La jeune femme se mit à utiliser ses doigts et les soupirs laissèrent place à des gémissements de plus en plus bruyants. David ne put s’empêcher d’accélérer ses gestes.
Les cris de Liliane étaient assez forts pour que David les entende sans difficulté. La fille hochait la tête inlassablement à chaque coup de langue alors que ses doigts faisaient des allers et retours profonds. Ces stimulations continuelles semblaient avoir atteint un rythme de croisière lorsque le jeune homme vit distinctement la main de Laetitia changer de position. Il pesta silencieusement contre son angle de vue obstrué qui l’empêchait de voir ce qu’il avait deviné mais dont il ne pouvait pas profiter. La mère retint sa respiration alors que sa fille caressait son petit trou puis elle ouvrit grand la bouche sans émettre un son quand la jeune femme pénétra lentement son cul. Elle bascula la tête en arrière et la posa sur le dossier du canapé, ses mains agrippèrent ses propres seins et les pétrirent en les faisant rouler. Ses cris rauques de chatte en chaleur avaient repris de plus belle.
Rapidement, ses hanches se mirent à s’agiter sur le visage de sa fille, ses mâchoires se serrèrent et son visage se crispa. Comprenant les signes, Laetitia pénétra plus profondément sa mère et accéléra ses mouvements de langue. La poitrine de Liliane se soulevait à un rythme de plus en plus vif, ses sourcils se levèrent comme ses yeux roulèrent vers le haut, ses jambes s’agitèrent de spasmes. Elle ne résista pas longtemps à l’orgasme qui l’envahit brusquement ; son corps s’arqua d’un coup, les spasmes de ses jambes redoublèrent de force et ses bras s’agitèrent de manière désordonnée alors qu’elle tentait de reprendre son souffle comme un poisson hors de l’eau. David se retint au dernier moment de se faire jouir et lâcha précipitamment sa bite avant de fermer les yeux et de reprendre son souffle.
Il les rouvrit après un très long moment, une fois sûr que son excitation était retombée. Laetitia finissait calmement de se déshabiller face à sa mère qui avait repris ses esprits et lui souriait largement. Les deux femmes étaient debout devant la table basse et David put à loisir comparer leurs apparences. Elles avaient objectivement deux corps de rêves mais la fille avait des seins plus petits que sa mère, plus roses et, lui semblait-il, plus naturels. La cellulite sur les fesses de Liliane était discrète et ne les enlaidissait pas, sa fille n’en avait pas du tout. La peau laiteuse de Laetitia contrastait très agréablement avec l’épiderme caramel de sa mère mais les deux teintes excitaient l’appétit. Liliane était alors complètement nue, les derniers vêtements sur le corps de sa fille étaient une paire de bas noirs très élégants.
Les femmes se collèrent l’une à l’autre et leurs langues s’unirent à nouveau, chacune dominant et pénétrant la bouche de l’autre tour à tour. Cette fois, la mère fit se retourner sa fille et posa les mains sur ses seins en léchant et mordillant son oreille. La fille ferma les yeux et parut entrer en une sorte de transe. Sa mère malaxa à son tour et fit rouler dans ses mains les superbes seins souples et blancs pendant quelques minutes puis sa main droite disparut dans le dos de sa fille qui leva alors la jambe droite et posa le pied sur la table. La main de Liliane réapparut alors entre les jambes de Laetitia, frottant des doigts la chatte de sa fille avant de la pénétrer jusqu’à la dernière phalange de son majeur et de son annulaire. Ce fut à la jeune femme de se mettre à gémir bruyamment.
Un peu gêné par les branches des arbustes autour de lui, David tenta de trouver une meilleure position mais, ce faisant, il écrasa malencontreusement une branche sèche qui craqua sous lui. Liliane braqua instantanément le regard sur lui et il se figea, la bite à la main et couvert de sueur maintenant glacée. La haie paraissait bien trop dense pour être pénétrée du regard et pourtant sa voisine dardait sur lui un regard perçant. Il n’osait même plus respirer. Finalement Laetitia mit fin à l’échange angoissant en attirant à elle le visage de sa mère pour l’embrasser et David soupira de soulagement.
Pendant tout le temps qu’elle avait regardé vers le jeune homme, Liliane n’avait pas cessé une seconde de doigter profondément sa fille, qui n’avait pas la moindre conscience d’être observée. La mère coupa court au baiser entre les femmes et fit monter sa fille à quatre pattes sur la table basse, le visage collé contre la table et le derrière dressé vers la haie où se cachait David. Après que la jeune femme se fût mise en position selon son désir, Liliane fouilla dans son sac de sport et en sortit un objet long et bleu pétrole. Se plaçant debout à côté de sa fille, elle posa une main sur son cul avant de frotter doucement le bout de l’objet mou sur la chatte de la jeune femme. David reconnut alors un double gode pour en avoir vu plus d’une fois dans des vidéos pornos. Liliane pénétra sa fille avec le jouet et entama vite d’amples va-et-vient. La jeune femme frémit de plaisir et ses gémissements reprirent puis s’intensifièrent quand sa mère joignit sa langue à l’action du plastique et commença à lui lécher langoureusement le petit trou.
David dut encore s’arrêter précipitamment de se tripoter et ferma les yeux un instant. Il les rouvrit quand il entendit les gémissements de Laetitia changer sensiblement de tonalité. Sa mère avait retiré le jouet bleu de sa chatte et s’était de nouveau placée à son côté. Elle était en train très calmement de pénétrer de son jouet bleu l’anus de sa fille dont les jambes gigotaient faiblement. Cette fois, David avait une vue imprenable sur l’action et ne se contenta pas d’imaginer la pénétration qui se déroulait sous ses yeux. Une fois sa fille convenablement enculée, Liliane la rejoignit à quatre pattes sur la table. Le dos tourné à la jeune femme, elle saisit l’autre extrémité du jouet et l’inséra sans attendre dans sa chatte. Elle se tenait sur ses genoux et ses bras dressés, dominant sa fille qui avait encore le buste contre la table et elle commença à donner de lents coups de reins pour faire glisser le jouet dans le cul de la jeune femme et dans sa propre fente.
David crut un instant qu’elle croisa son regard intentionnellement et lui sourit un bref instant, puis elle ferma les yeux et accéléra le mouvement de pompe de son derrière contre celui de sa fille. Son cul plantureux ruait contre celui de sa fille qui se mit bientôt à s’animer de concert avec celui de Liliane. Les quatre fesses généreuses s’entrechoquaient brutalement en s’agitant alors que la mère et la fille se pénétraient mutuellement à l’aide du gode. Chacune semblait tenter de reprendre le dessus et dominer l’autre mais finissait à chaque ruade par monter un peu plus près de la jouissance, à cause de sa propre véhémence. Les gémissements se firent plus crispés, et plus profonds.
Liliane jouit la première mais de manière discrète, levant la tête, se pinçant les lèvres, les jambes tremblantes, ses sourcils se relevèrent à nouveau alors que ses yeux roulaient et que des soupirs rauques s’échappaient de sa gorge. Son cul roula plus lentement et langoureusement sur le jouet. Une fois sa deuxième petite mort passée, elle ouvrit les yeux et les braqua à nouveau dans la direction de David. Le jeune homme était tout près de la suivre dans l’orgasme mais le regard de la femme le stoppa net. Il pensait toujours qu’elle ne pouvait pas le voir au travers du feuillage très dense mais elle avait vraiment tourné la tête vers lui sans aucune raison apparente et il crut même l’avoir vue lui faire un clin d’œil et un grand sourire.
Son regard toujours tourné vers le jeune voyeur, elle se mit à donner de furieux coups de reins contre le cul de sa fille qui sursauta, surprise de la soudaine fougue de sa mère, et se cramponna à la table basse. La jeune femme jouit en silence alors que les hanches de sa mère pilonnaient sans pitié son cul. Alors que sa fille exprimait sa jouissance par de petits couinements presque attendrissants, Liliane braquait toujours son regard vers David et se léchait les lèvres. Le jeune homme ne se retenait plus et se masturbait furieusement alors que sa voisine achevait brutalement sa fille de quelques secousses de son magnifique pétard.
Elle se releva lentement sans quitter le jeune homme des yeux, abandonnant le double gode bleu qui tomba derrière elle. Sa fille était allongée à plat ventre sur la table, hors d’haleine. Elle l’aida à se relever et se défaire du jouet avant de lui donner un baiser nettement plus tendre qu’au début de leurs ébats. La jeune femme titubait vers la maison, nue et le sex-toy dans la main quand sa mère se tourna à nouveau vers David et, joignant les lèvres et fermant les yeux, elle mima un baiser vers le jeune voyeur qui jouit immédiatement et déchargea sur les feuilles sous la haie. Liliane lui tourna le dos et suivit sa fille en roulant exagérément les fesses, faisant décharger David de plus belle. Lorsque le jeune homme se fut enfin vidé de sa semence, les femmes venaient de disparaître dans la maison.
Un peu engourdi par l’orgasme mais de peur d’être pris sur le fait, il se rhabilla précipitamment. Il était partagé, et même tiraillé, entre de nombreux sentiments ; la honte d’avoir épié ses voisines dans l’intimité, le scandale d’une mère et sa fille mais aussi l’excitation d’avoir vu une séance de baise plus torride que tous les pornos du monde et le délicieux trouble d’avoir été vu mais pas pris... Il était assez satisfait de voir que les expatriées étaient loin d’être aussi coincées qu’il le craignait et qu’il avait maintenant une activité bien agréable pour occuper ses journées.
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