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Le club

Chapitre 12

Hétéro
CHAPITRE 6
Les cris de Laura se répercutèrent dans le salon et les trois femmes présentes se crispèrent.
— Laura est en train de découvrir de nouveaux plaisirs, ricana Angel en attrapant le visage d’Amandine afin de mieux voir les larmes qui en coulaient.
Il l’écarta sans ménagement la faisant se relever. Elle cria de nouveau sous l’effet de la douleur qui émanait de son anus envahi. Il la força à s’assoir et sa douleur fut renforcée. Du regard, il ordonna à Christine d’approcher. Désormais docile, l’éducatrice s’approcha et il fourra sa tête dans la l’intimité de la mère de Laura. Toujours sous le coup de l’excitation produite par la fille et de la drogue, elle ne se fit pas prier pour rendre la monnaie de sa pièce à la mère. Pour Amandine ce fut le début d’une horreur nouvelle, entre douleur dans son anus et un plaisir contre nature dans sa chatte mais elle était tellement affaiblie qu’elle n’avait plus la force de résister. Angel put alors se concentrer sur la dernière de ses victimes.
Théodora était restée droite, totalement pétrifiée devant le spectacle obscène auquel on l’obligeait à assister. Peut-être s’était-elle convaincue qu’en se faisant la plus discrète possible, on finirait par l’oublier. Pas de chance, avec Angel cela ne risquait pas d’arriver.
Il s’approcha d’elle et posa ses mains sur le cache cœur qu’elle portait. Il glissa ses mains dans son dos pour défaire les deux pans.
— Vous savez que j’attends ce moment depuis très longtemps Madame Lupa, expliqua-t-il en dénouant les deux pans. Exactement depuis le jour où j’ai découvert que votre ex-mari avait escroqué mon entreprise.
Il écarta les pans de son cache cœur dévoilant son soutien gorge en satin blanc choisi par le juge.
— Vous saviez que votre bel appartement avait été en partie payé avec mon argent et je ne suis certainement pas un bon samaritain.
Il rabattit le cache cœur en arrière de telle façon que qu’elle se retrouva les bras tirés vers l’arrière et les mains emprisonnées. Il lui retira son soutien gorge et commença à malaxer ses seins en souriant.
— Maintenant, tout va revenir dans l’ordre puisque grâce à vous, je suis devenu un associé incontournable pour monsieur Durant, votre ex-mari, et il va découvrir à quel point je peux être redoutable dans cette position. Quant à vous, vous allez regretter d’avoir profité de cet argent si mal acquis.— Je ne savais pas, pleurnicha-t-elle peut-être dans l’espoir d’attendrir son tourmenteur.
Mais bien sûr, Angel n’avait cure de ce genre de considérations. Il la poussa en arrière et la fit basculer sur l’un des divans, jambes relevées. Il retroussa sa jupe et lui arracha sa petite culotte. Il marqua un temps d’arrêt pour profiter un instant encore des cris de Laura qui s’éternisaient puis se jeta sur elle. Il la pénétra sans ménagement en se vautrant sur elle. Elle affichait une docilité impressionnante ce qui montrait que le juge avait déjà bien entamé son dressage. Excité au maximum par le travail d’Amandine et les petits jeux lesbiens de Christine, il ne réussit cependant pas à profiter pleinement de cette femme superbe et jouit en elle en profitant avec délectation de l’expression de soumission qu’elle affichait.
Il se releva pour constater que les cris de Laura avaient cessé. Quelques instants plus tard, le juge descendit, nu, une expression de joie dessinée sur le visage.
— La petite se repose, déclara-t-il. Il faut dire que notre petite séance l’a... surprise.
Ils éclatèrent de rire de concert et reportèrent leur attention sur Christine et Amandine. Totalement désinhibée, l’éducatrice semblait les avoir oubliés. Elle continuait à lécher la chatte de l’ancienne maîtresse des lieux sans se soucier du fait d’exhiber totalement ses parties les plus intimes. D’un geste, Angel invita le juge à profiter de l’aubaine. Encore vert en dépit de son premier round avec la fille Blenon, ce dernier ne se fit pas prier et se plaça immédiatement dans le dos de Christine qui réalisa sa présence bien trop tard. Il se figea entre ses reins lui arrachant un cri de surprise. Elle s’agrippa alors à Amandine alors qu’il la limait en levrette. Angel s’approcha à son tour. Le juge le vit et tira violemment Christine par la queue de cheval. Elle s’écarta d’Amandine visiblement à contre cœur et Angel put alors se figer dans la chatte blonde de la femme. Angel ne se lassait pas d’humilier cette bourgeoise fabuleuse et, tout en profitant de son corps, il imaginait déjà les futures sévices qu’il allait lui faire subir. Amandine se retrouvait donc pénétrée par les deux orifices à la fois et elle se remit à crier de plus belle alors qu’Angel prenait son plaisir en elle.
CHAPITRE 7
La soirée se termina finalement. Les deux hommes étaient repus et abandonnèrent les quatre femmes totalement épuisées pour aller boire un dernier verre dans la cuisine. Le juge admirait les installations de la nouvelle résidence de son ami. Il appréciait notamment le système vidéo.
— Alors dîtes-moi, lança Angel. Où en êtes-vous de votre dernière partie du contrat ?— Cela suit son cours, répondit-il. Elle sera mon chef d’œuvre croyez-moi. Et nos amis ?— Ils vont bien. Uron a bien pris possession de l’hôtel de Sabato Orso et il compte en profiter.
Ruiner Sabato Orso, la plus grande fortune de la région avait été le coup de maître du club même si le juge avait trouvé que cela avait été prématuré.
— Quant à Diaz, il compte ouvrir un bar très particulier mais je n’en sais pas plus. — Je ne doute pas qu’ils nous donnerons de leurs nouvelles quand ils seront prêts. Ils ne voudront pas être en reste pour la grande soirée.
CHAPITRE 8
L’horrible soirée s’était enfin terminée. Allongée sur l’un des divans, Amandine reprenait ses esprits. Son anus continuait à lui faire souffrir un martyre mais elle acceptait cette douleur ; elle avait connu pire désormais. Le juge de Saint Servier, celui-là même qui instruisait l’enquête sur les malversations de son mari, et Théodora, son ancienne amie, avaient été les premiers à repartir. La jeune femme qui, à sa grande honte, lui avait donné du plaisir, avait dû attendre encore un certain temps qu’Angel l’autorise à se rhabiller. Il ne faisait aucun doute qu’elle était, elle aussi, une victime de leur suborneur en dépit du fait qu’elle s’était finalement abandonnée aux horreurs qu’il lui avait imposées. Elle était partie dans la nuit et Amandine pouvait jurer qu’elle était en pleurs. Elle se retrouva seule avec celui qui désormais décidait de son sort.
Une énième fois, il la força à se relever et une nouvelle vague de douleur diffusa en elle. Elle cria encore et il sourit. Il lui tendit de petites clés.
— Va libérer ta fille ! ordonna-t-il.
Sans un mot, elle se dirigea vers l’escalier. Chaque pas était un supplice et elle retrouva des reliques de sa dignité d’antan pour serrer les dents et cesser de crier. Elle arriva dans la chambre de sa fille et y entra appréhendant ce qu’elle allait y trouver.
Laura était couchée sur le lit recroquevillée sur elle-même, les bras emprisonnés dans les montants par des menottes. Elle pleurait. Dans cette position, on pouvait voir un filet de sperme s’écouler entre ses fesses.
Amandine s’approcha d’elle et posa sa main sur son épaule la faisant sursauter ; ses pleurs redoublèrent. Elle lui murmura des paroles réconfortantes à l’oreille avant de tendre la main vers les menottes pour les défaire. Une fois ses mains libérée, Laura se recroquevilla encore plus pour adopter une position fœtale. Amandine retrouva alors son instinct maternel et mit les bras autour de sa fille. A ce moment, la porte se referma et Amandine comprit alors qu’elles étaient condamnées à partager cette cellule qui ne possédait qu’un seul lit. Elle chassa cette horrible idée pour l’instant pour ne penser qu’à remonter le moral de la seule enfant qui restait encore prés d’elle.
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