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Le club

Chapitre 14

Hétéro
CHAPITRE 6
Sa mère faisait une tête d’enterrement. Apprendre que sa grand-mère avait été victime d’une agression était une affreuse nouvelle en elle -même mais cela tombait juste au moment de la période des examens ce qui l’empêchait d’emmener Sarah. — Nous ne serons absents que deux jours, affirma son père. Juste le temps de veiller que tout se passe bien pour ta grand-mère. Nous nous sommes arrangés avec ta tante pour que tu ailles dormir chez elle.— Oui, papa, dit-elle mais elle savait pertinemment qu’elle ne mettrait jamais les pieds chez sa tante qui n’irait pas avertir ses parents de son absence avant leur retour.Elle risquait une nouvelle punition mais au moins elle avait les coudées franches pendant deux jours ce qui était énorme. Elle ne pensa pas une seconde au mal que Jérôme avait fait pour arriver à ce résultat, seul comptait sa détermination. Une fois ses parents partis, elle fouilla dans les papiers de son père pour trouver la clé de son bureau. Elle n’eut aucun mal à la dénicher. Elle prit le portable de Madeleine et appela immédiatement Jérôme. — Je l’ai, dit-elle sans préambule. — Sarah ? fit la voix de Jérôme. C’est toi ?— Oui.— Tu as la clé ?— Oui. — Alors retrouvons nous…— Ce soir. Devant l’immeuble où travaille mon père. Dans la journée, il y a trop de monde. — Parfait. Elle voulait à tout prix conserver le contrôle de la situation. Elle ne savait pas qu’en ralentissant le pas, elle accordait du temps à Jérôme et son allié pour préparer leur piège.
CHAPITRE 7
Jérôme attendait, assis sur une pierre devant le grand bâtiment de bureaux. Comme lors de leur précédente rencontre, il avait pris la précaution de ne pas afficher sa nouvelle fortune pour ne pas éveiller la méfiance de Sarah, bien plus intelligente qu’elle-même ne semblait le penser. La jeune fille arriva alors que la nuit était tombée depuis deux heures déjà. — Il était temps, souffla le jeune homme. Il est déjà tard.— Je sais, répondit-elle. Mais de toute manière, pour l’instant nous ne pouvons rien faire. Le surveillant est encore réveillé. Il va falloir attendre minuit qu’il s’assoupisse.Jérôme s’étonna. Il était au courant des habitudes du veilleur de nuit qui s’endormait tous les soirs à partit de minuit mais uniquement parce que le juge l’en avait averti sinon il n’aurait même pas pensé à ce détail. Cette gamine de 17 ans y avait non seulement songé mais savait exactement quelles étaient les habitudes du lieu. Il fut impressionné bien plus qu’il ne l’aurait voulu. Ils restèrent ainsi presque deux heures à attendre le bon moment et il joua le rôle fixé par le juge. Ils commencèrent par parler de Madeleine et bien sûr il apparut inquiet et fervent d’amour puis il fit glisser habilement la discussion vers Sarah en l’incitant à parler d’elle et de ses problèmes. Cet étrange cocktail fonctionna et il réussit à obtenir des confessions qu’il n’aurait jamais espérées. Profitant des révélations arrachées par le juge à Madeleine, il put jouer sur la corde sensible et paraître constamment devancer ses pensées. Quand minuit sonna, il vit dans son regard qu’il avait réussi à la troubler bien plus qu’aucune personne ne l’avait jamais réussi. La première partie du plan était une réussite totale.
Entrer dans le bâtiment fut une véritable formalité et Jérôme se dit qu’un seul veilleur pour surveiller un tel endroit était une véritable aberration. Il imagina alors revenir faire une razzia dans ces bureaux puis se ravisa. Les petits larcins n’étaient plus pour lui, ses affaires étaient désormais d’un autre acabit. Ils arrivèrent au bureau de son père et Sarah sortit les clés qu’elle avait volées pour ouvrir la porte. Il s’agissait d’un bureau classique sans fioriture. Le père de Sarah et Madeleine était un fonctionnaire sans grande envergure. Jérôme imagina sa vie et eut envie de vomir, jamais il n’accepterait de se retrouver dans une existence aussi minable. Ils fouillèrent dans les étagères, dans les tiroirs. Durant ces fouilles, Jérôme trouva un objet qui le fascina, une arme. La possession d’arme était rigoureusement réglementée dans la région et seuls les policiers, les gros truands et quelques privilégiés en possédaient de manière légale ou non. Il se demanda comment le père de Sarah avait réussi à obtenir ce droit et voulut poser la question à Sarah mais il sut que ce n’était pas à propos. Pourtant, il ne put résister à la tentation et glissa l’arme dans sa poche. A peine son forfait accompli, Sarah fit ce qu’elle crut être une découverte capitale.— Regarde cela ! dit-elle à Jérôme en sortant une petite chemise grise. — Qu’est-ce que c’est ? Demanda Jérôme faussement curieux.— C’est facture d’un établissement psychiatrique. Il s’agit d’une chambre pour Madeleine. Ils l’ont faite internée. Jérôme lui prit les documents et fit mine de les lire. Il adopta son expression la plus horrifiée.— Tu as raison. Visiblement, elle est internée depuis qu’elle a été libérée. Regarde, il y a la décision de placement en HP signé du juge. Et ce n’est pas tout.Il lui tendit la dernière page, l’estocade programmée. Il s’agissait d’une lettre manuscrite signée du soi-disant directeur de cet établissement psychiatrique qui relatait un événement tragique.— Elle a tenté de se suicider et elle est désormais dans un état grave.Elle hurla et, de rage, fit tomber tout ce qui se trouvait sur le bureau placé au centre de la pièce. Jérôme se jeta sur elle pour la retenir.— Arrête-toi ! fit-il pour la calmer. Tu vas nous faire repérer.— Elle est presque morte par leur faute ! lui cracha-t-elle au visage. Ils l’ont faite enfermer au lieu de l’aider…— Je sais mais si on se retrouve en prison, on ne pourra rien pour elle.— Pour elle ?Elle le regarda incrédule. Il prit son expression de « chevalier blanc » qui avait si bien fonctionné avec sa sœur.— Tout n’est pas perdu, affirma-t-il.Il lut immédiatement dans son regard qu’il avait fait un pas vers son cœur mais il n’avait pas le temps de pousser plus loin son avantage. Il l’entraîna en dehors du bureau, refermant derrière lui. Ils quittèrent le bâtiment en très peu de temps. Ils se retrouvèrent à leur point de départ. Jérôme sentait Sarah fébrile après toutes ces révélations. Tous ces documents déposés là par un agent d’entretien payé par le juge avaient vraiment joué leur rôle à la perfection. Il était hors de question d’en rester là. — Tu as dit qu’il restait un espoir, lança-t-elle avec suspicion. — Je t’ai déjà dit que j’ai un ami juge. S’il est au courant du danger que court Madeleine, il acceptera de m’aider et je pourrais me servir de lui pour faire pression sur tes parents.Il la vit reprendre espoir et, presque à sa surprise, elle se jeta dans ses bras. Etonné par ce geste, Jérôme décida de profiter de l’aubaine. Il l’embrassa alors et il sentit qu’elle lui rendait son baiser avant de le repousser rapidement.— Non, s’offusqua-t-elle. Ce n’est pas bien.— Oui, reconnut-il tout à sa frustration. Je suis désolé. C’est l’émotion.Il la sentit hésitante et il craignit de perdre tout l’avantage de cette soirée et il ne le voulait surtout pas.— Je vais tout faire pour sortir Madeleine de sa prison, mentit-il avec ferveur, et je vais faire vite. Promets-moi de venir me voir demain soir chez moi, je te jure que j’aurais des nouvelles.Elle le considéra un instants, indécise.— D’accord, concéda-t-elle. J’y serais.Et sur cet engagement, elle disparut dans la nuit. Jérôme n’insista pas mais il avait pris une décision. Il avait comprit pourquoi le juge désirait tant cette jeunette. Elle était vive, intelligente et surtout inexpérimentée. Bien que court, leur baiser lui avait appris qu’elle n’avait pas embrassé beaucoup de garçon dans sa vie et il acquit la certitude qu’elle était encore vierge. Voilà ce que voulait ce vieux vicelard, une pucelle. Malheureusement pour lui, il n’aurait pas ce qu’il désirerait. Jérôme avait goûté au fruit défendu et il comptait bien aller jusqu’au bout. Demain soir, il ferait de Sarah Bonnet une femme qu’elle le veuille ou non. Il s’arrangerait avec le juge ensuite, ce vieillard saurait bien se contenter des restes comme il l’avait fait avec Madeleine.
CHAPITRE 8
Théodora Lupa vivait un véritable calvaire. Allongée sur le ventre sur une table en bois installée au centre du salon du juge pour l’occasion, elle était en train de se faire sodomiser brutalement par le chauffeur africain de ce dernier.Le juge avait exigé qu’elle se présentât chez lui en début de soirée et elle savait que cela signifiait une nouvelle séance infernale mais elle ne s’était jamais attendue à ce qu’elle allait subir. Dès qu’elle entra, elle trouva le juge assis dans son divan, vêtu de son habituelle robe de chambre. La malheureuse Madeleine qui devait subir ce monstre quotidiennement se trouvait à ses côtés, nue comme toujours. — Déshabillez-vous ! lui ordonna le jugeAyant depuis longtemps renoncé à toute velléité de résistance, Théodora obéit sans un mot et se retrouva donc elle aussi totalement nue devant ce vieillard. Ce dernier tourna la tête vers la petite table en bois et elle vit qu’il y avait fait installer des sangles. Elle frissonna mais se dirigea vers elle. — Allongez-vous sur le ventre !Le juge continuait à la vouvoyer tout en utilisant en permanence un ton impérieux pour la commander comme on le ferait à un petit chien. Il aimait jouer ainsi sur les paradoxes avec elle. Elle s’installa sur la table et vit que les sangles étaient destinées à ceindre son cou et ses mains à condition qu’elle mette ses bras le long du corps. Sans un mot Madeleine se dirigea vers elle à quatre pattes et l’emprisonna. Théodora se retrouva donc totalement dépourvue, prête à subir les assauts de vieux lubrique sans pouvoir résister. Mais pourtant, il ne bougea pas et au contraire ce fut Madeleine qui retourna vers lui et, écartant les pan de sa robe de chambre, commença de lui faire une fellation. Théodora commença à croire qu’elle était destinée à servir d’objet d’ornementation quand elle sentit une présence derrière elle, une immense ombre se posa sur elle. Elle força contre la sangle qui l’emprisonnait pour tenter de voir derrière elle et elle réussit à discerner le géant noir qui se tenait droit derrière elle, nu. Elle hurla quand elle comprit ce qui allait arriver.
CHAPITRE 9
Le juge profitait du spectacle de Kono ravageant les entrailles de Théodora. Doté d’un sexe plus que conséquent, le géant congolais avait commencé par travailler l’anneau de cette bourgeoise hautaine qui s’était immédiatement mise à hurler et à supplier ; en vain bien entendu. Quand le sexe noir commença à se frayer un chemin dans son intestin, ses cris devinrent stridents et l’érection du juge, encouragée par le travail d’une Madeleine qui devenait de plus en plus experte, se renforça. Le juge n’avait jamais sodomisée Théodora et il pensait que cette dernière était vierge de cette orifice ce qui devait rendre cette première expérience encore plus traumatisante pour elle. Le visage impassible, Kono s’enfonçait en elle lentement mais surement sans se soucier une seconde des cris de sa victime. Le juge voyait l’immense bout de chair disparaître progressivement entre les fesses de Théodora et s’il n’avait pas déjà assisté à un tel spectacle, il aurait douté qu’il pusse totalement la pénétrer. Malheureusement pour Théodora, Kono ne s’arrêterait qu’une fois la sodomie totalement consommée. Cette dernière hurlait de plus en plus fort, tirait sur les sangles qui l’emprisonnaient mais elles étaient fait d’un cuir particulièrement solide et elle ne pourrait s’en libérer. Le pire fut que Kono arriva finalement à enculer totalement la pauvre femme. Il se tourna vers le juge qui se contenta d’un hochement de tête. Kono entama alors son mouvement de va et vient et Théodora qui croyait avoir connu l’enfer lors de son enculage, explosa littéralement. Son anus saignant, les yeux emplis de larmes, elle subissait cette horreur en hurlant toujours plus fort et en maudissant le nom du juge qui en riait. Pris par son plaisir, il se baissa vers la petite chienne qui se trouvait entre ses cuisses.— J’espère que tu es bien chaude ma petite Madeleine, fit-il, parce que tu es la prochaine.Il sentit les dents de Madeleine se crisper sur son sexe témoignant de la terreur qui venait de s’emparer de la jeune fille et il éclata de rire.
CHAPITRE 10
Kono ne sodomisa pas Madeleine ce soir-là. Il laissa Théodora totalement ravagée, toujours attachée sur la table de bois. Sitôt l’immense sexe retiré de son anus en sang, la malheureuse avait sombré dans l’inconscience et le juge avait ordonné à Madeleine d’aller prendre une douche. Après la terreur qu’elle avait subie, l’idée de ne se faire sodomiser que par le sexe normalement constitué du vieillard fut presque un soulagement. Elle fit couler l’eau et attendit de plus en plus anxieuse, l’intrusion du juge ; une intrusion qui ne vint jamais. Pour la première fois depuis qu’elle était devenue le jouet du juge, Madeleine termina une douche sans se retrouver pliée en deux, une queue figée dans son anus. Elle prit cela comme un cadeau et sortit de la douche avec le sourire. Son sourire s’effaça quand elle entendit le juge l’appeler dans le salon et elle imagina alors se retrouver face au chauffeur noir. Elle hésita, voulut se recroqueviller au pied de son lit mais elle savait que ce serait une protection bien inutile. Tremblante, elle passa le pas de la porte de sa chambre et elle constata, soulagée, que Kono n’était pas revenue. Théodora était toujours sanglée et inconsciente. Le juge était tourné vers son écran de télévision et regardait une vidéo qui semblait le passionner.— Viens donc, mon enfant, lui dit-il. Cela va t’intéresser.Elle s’approcha et ne fut pas surprise de constater qu’il s’agissait d’un film porno. Un couple de jeunes gens faisait l’amour dans une petite chambre discrète, rien de bien particulier en réalité. Pourtant elle le trouva étrange, cette chambre lui paraissait familière et l’homme lui rappelait quelqu’un. Son cœur s’arrêta quand elle comprit qu’il s’agissait de Jérôme, son Jérôme, en train de s’envoyer en l’air dans son appartement. Le juge vit qu’elle avait comprit.— Ton petit ami ne s’ennuie pas lui non plus et ce n’est pas tout.Il appuya sur la télécommande et l’image changea. C’était la même chambre mais le couple était différent. Jérôme était toujours là avec une autre fille. Le juge appuya une nouvelle fois et ce fut une troisième fille. Madeleine cria.— Ton copain t’as vite remplacé et pas qu’une fois, reprit le juge. Et il compte bien continuer. Je peux même te dire le nom de sa prochaine conquête, tu la connais très bien : Sarah, ta petite sœur. C’en fut trop pour Madeleine, elle craqua. S’empara du téléphone qui se trouvait juste à côté d’elle et elle frappa violement le juge à la tête. Ce dernier qui ne s’y attendait visiblement pas, s’écroula. Madeleine récupéra alors les vêtements de Théodora, posés par terre et courut en direction de la porte. Elle voulait fuir loin de ce lieu infernal, loin de ce monstre. Elle traversa le corridor persuadée qu’avant d’atteindre la porte, elle serait agrippée par le géant noir qui la ramènerait vers la chambre où elle serait sévèrement punie mais elle voulait tenter sa chance. La porte n’était plus qu’à deux mètres…un mètre… elle posa la main sur la poignée et la pressa pour déboucher dans le couloir, libre. Elle courut vers l’ascenseur et l’appela. Il s’ouvrit quasiment immédiatement et elle y entra. Alors qu’il descendait, elle s’habilla sans se soucier que les vêtements n’étaient pas tout à fait à sa taille. Puis les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et elle put rejoindre la rue et disparaître dans la nuit.
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