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club

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
C’est chaud l’ambiance dans cette boite, cela me donne des idées.., me chuchota Isa à l’oreille. A peine arrivée et je trouvé déjà un homme qui me tripote et qui est prêt à coucher avec moi. Il est venu avec sa maitresse qui a la trentaine mais qui est apparemment déjà très occupée ailleurs… Il voulait qu’on s’isole aux toilettes ou dans sa voiture, mais je voulais t’en parler avant. A moins que tu souhaites me laisser seule avec lui, me demanda-t-elle avec une voix emprunte d’excitation.
Elle vida sa coupe d’un trait et me demanda de lui en resservir une.
Tu lui as mis le feu à ce mec, il devait être excité comme une puce. La nuit ne fait que commencer… On verra un peu plus tard. Mais tu joues superbement bien à la salope.
Oui, je sais me répondit-elle en me caressant le sexe au travers du pantalon.D’après ce que j’ai pu sentir contre mes fesses et en le caressant, je peux te dire que oui, il était comme un dingue… Et je dois t’avouer que j’étais à deux doigts de le suivre, ce vieux porc à mis le feu en moi et j’étais prête à me donner à lui. J’adore ce que je deviens… me susurra-t-elle à l’oreille.
Moi aussi cela me donne des envies de te voir si belle et si désirable, et j’adore ce que tu es, dis-je à Isa en l’embrassant dans le cou.
Nos lèvres se sont vite rejointes pour un baiser fougueux.
Je jetai un coup d’œil complice à Lionel.
Et c’est à ce moment que tout a commencé…
Lionel vint se placer à coté d’elle et commença à lui caresser la jambe, en débutant par le genou pour ensuite aller s’enfiler sous la jupe fendue.
Isa stoppa net son baiser et regarda Lionel d’un air surpris, mais se laissa faire.
— Qu’est ce que tu fais, c’est un avant gout de mon entretien d’embauche ? , lui demanda ma femme.
C’est tout à fait ça ma belle, mais ce ne sont que les prémices, le meilleur reste à venir, lui dit Lionel.
Elle continua à m’embrasser pendant que Lionel lui caressait les jambes et laissait sa main filer toujours plus profondément sous la jupe.
Elle stoppa son baiser pour se saisir de sa coupe de champagne pour en reboire une gorgée alors que je l’embrassais dans le cou.
Pendant ce temps l’ami de Lionel alla se placer derrière Isa et lui noua un bandeau opaque autour des yeux.
Qu’est ce que vous me faites, demanda-t-elle.
C’est ton cadeau d’anniversaire ma chérie. Laisse toi aller et n’aie aucune crainte je suis avec toi, lui dis-je pour la rassurer.
Cela m’excite, qu’est ce que tu me prépares ?
C’est une surprise, lui répondis-je.
Et elle m’embrassa de nouveau, un long baiser tendre et langoureux, pendant que Lionel remonta sa main de sous la jupe pour la plonger dans son décolleté.
La respiration d’Isa commençait à s’accélérer, l’excitation montait petit à petit.
Quelle poitrine, s’exclama Lionel, ronde et ferme et qui remplit la main. Venez avec moi, finit-il en me regardant.
Il ouvrit la marche : je tenais Isa par la main et la guidai à la voix, pour qu’elle puisse se repérer dans la foule et nous nous sommes dirigés vers l’étage.L’ami de Lionel fermait la marche.
Arrivés au premier nous sommes rentrés dans la première chambre : lumière tamisée, voilure en tissu sombre et un lit à barreau sur lequel étaient disposés des menottes pour la tête et des sangles pour les jambes.Je fus surpris par la largeur de ce lit, presque aussi large que long, et qui était sans doute destiné à accueillir plus de deux personnes.
Lionel me fît signe de lâcher la main d’Isa et d’aller m’asseoir dans le fauteuil situé devant le pied du lit.
Il prît ma femme par la main et vint se planter devant nous entre moi et le lit, si bien que je pouvais presque les toucher.
Il se plaça derrière Isa, saisit sa poitrine à pleines mains quelques instants et commença à déboutonner la veste du tailleur pour libérer ses seins, pendant que son ami placé devant Isa avait fait glisser sa jupe.
Ma femme avait les tétons qui pointaient de plaisir.
Regarde moi cette paire de fesses, tu as envie de croquer dedans tellement elles sont charnues. Elle est vraiment bien foutue, elle n’a pas un poil de graisse, dit Lionel à son ami.
Mais son ami était trop occupé à lécher les seins de ma femme et à lui mordiller les tétons.
Il enleva complètement la veste pour en profiter encore plus.
Isa était maintenant offerte à ses deux hommes, uniquement vêtue de son string.
— Tu es là mon chéri, demanda ma femme avec un ton mêlé d’excitation et d’appréhension. Je me rapprochais pour qu’elle croit que je sois l’un de ses hommes et lui chuchota à l’oreille : oui ma chérie, je suis avec toi…
Et j’en profitais pour laisser mes mains se balader sur son corps.Isa frissonnait à chacune de me caresses.
Lionel me fît signe d’un geste de retourner m’asseoir, je retournais prendre place dans le fauteuil.
De son coté Lionel relâcha son étreinte et commença à se déshabiller, il se retrouva rapidement nu, le sexe dressé en direction d’Isa.Son membre était vraiment imposant, comme j’avais pu le voir lors de notre escapade avec Laetitia : son gland était déjà luisant et il avait déjà bien mouillé.
Il se recolla derrière Isa en l’embrassa dans le cou et en plaçant son sexe entre les jambes de ma femme sans toutefois la pénétrer, et il entama un léger va et vient en frottant son gland sur les lèvres de ma femme en écartant le tissu du string.Elle commençait à gémir.
Son ami délaissa les seins de ma femme pour commencer à se déshabiller lui aussi, du coup Lionel pris le relais en saisissant la poitrine d’Isa et en la malaxant vigoureusement, tout en continuant son va et vient.
Mais c’est qu’elle mouille déjà, apparemment elle a l’air d’aimer ça, dit Lionel.
Bande de porcs, qu’est ce que vous allez faire de moi, demanda Isa dans un long soupir.
On va te baiser jusqu’à ce que tu n’en puisses plus ma petite, lui répondit Lionel tout en continuant de la peloter.
C’est la deuxième phase de mon entretien d’embauche, demanda Isa dans un soupir.
Tu as tout compris ma belle, lui répondit Lionel.
A combien êtes vous, demanda balbutia Isa.
Ne pose pas de questions, lui rétorqua Lionel
Laisse toi aller, c’est ton cadeau d’anniversaire, je suis là ne t’inquiètes pas, dis-je à Isa.

Isa bascula la tête en arrière pour la poser sur l’épaule de Lionel et ils se sont embrassés langoureusement.
L’ami de Lionel était beaucoup moins impressionnant et dans la musculature, et dans la taille de son membre, même s’il avait une dimension tout à fait respectable.
La vue de ses deux hommes qui allaient profiter des charmes de ma femme me provoqua une érection monumentale.
Je me suis dit que tant qu’à faire, même pour me masturber, autant me déshabiller moi aussi.Mais je crevais d’envie de me joindre à eux….
Lionel relâcha son étreinte pour faire glisser le string d’Isa le long de ses jambes.
Mets-toi à genoux, lui ordonna-t-il.
Elle s’exécuta sans rechigner.
Lionel vint s’agenouiller derrière elle alors que son ami se plaça devant, tout en guidant son sexe vers la bouche de ma femme.Elle commença à sucer langoureusement, tandis que Lionel fouillait son intimité avec sa langue.
Il semblait maitriser le sujet, car elle se mit rapidement à se tortiller et à gémir, des gémissements étouffés par la verge de son ami qui allait et venait dans sa bouche.
L’ami de Lionel restait silencieux, mais il fit un signe d’approbation à son camarade, avec le pouce levé vers le haut, ce qui semblait vouloir dire que ma femme suçait bien.
Il ne fallait pas en dire plus à Lionel, il voulu vérifier cela par lui-même.
Isa semblait curieuse de savoir si j’étais là, et elle profita de se moment de répits pour s’adresser à moi.
Tu es là mon chéri, me demanda-t-elle le souffle court.
Oui ma puce, je suis juste à coté de toi, lui répondis-je.
Ils échangèrent leurs places : Lionel vint engouffrer son membre imposant dans la bouche d’Isa tandis que son ami frottait son gland sur ses lèvres écartées par l’inspection minutieuse de Lionel.
— Elle se débrouille pas mal cette petite, ricana Lionel. Continue…
Je vins me placer à coté d’eux, en me masturbant et observait le spectacle de cette queue prête à pénétrer ma femme.Les lèvres écartées laissaient apparaître une chair rosée et suintante de salive et de cyprine.
Il continua son petit manège pendant un bon moment, il voulait surement la rendre folle d’excitation et il y arrivait très bien à entendre ses gémissements et vu la manière dont elle se tortillait.
Isa était folle d’excitation, une vraie chienne en chaleur et finit par s’exclamer :
Hummm, mais qu’est ce que tu attends, qui que tu sois, prends moi….
A peine cette phrase terminée que l’ami de Lionel perfora ma femme d’un coup de rein énergique.
Il entama un va et vient plutôt lent dans un premier temps, puis qui s’accéléra rapidement.
Isa commençait à gémir: en appui sur une main, elle masturbait la verge de Lionel qui entrait et sortait de sa bouche.Ses seins ballotaient au rythme des coups de reins de son assaillant, mais il vint se coller au dos d’Isa qui était toujours à genoux pour saisir sa superbe poitrine.
Ce tableau dura quelques minutes et aussi bien Isa que ses deux amants semblaient apprécier ce moment.Puis Lionel voulu lui aussi profiter de son intimité.
Viens on va sur le lit, lui ordonna-t-il
Son ami se retira et Isa arrêta de le sucer.
Lionel se coucha sur le dos et il demanda à Isa de venir s’agenouiller sur sa verge.Il la guida, car elle avait toujours les yeux bandés, elle enjamba Lionel et s’agenouilla comme il lui avait demandé et ce dernier vint placer son pieu entre ses jambes avant de la pénétrer.
Son ami avait encore envie de se faire sucer, et il vint se placer à leur côté, et Isa se rua comme une affamée sur cette bite qui lui était offerte dés qu’elle senti sa présence prés de sa bouche.
Assis dans mon fauteuil, je m’en donnais à cœur joie de voir ma femme se faire prendre de cette façon, jamais je n’avais été aussi prés d’elle et jamais elle n’avait accepté que j’assiste à ses ébats, sauf la première fois avec Patrice (même si ils ont remis cela la nuit même, sans savoir que je les ai épiais).Avec le peintre et son ami, elle m’avait interdit de venir, mais j’avais pu tout voir en me cachant à l’extérieur.J’avais une envie monstrueuse de me joindre à eux, mais Lionel m’en aurait empêché, j’admirais donc le spectacle qui m’étais offert tout en me masturbant.
Je ne l’avais jamais vue déchainée comme cela, elle sautillait comme une diablesse sur la verge de Lionel, et j’avais vu directe sur ses lèvres écartée et sur ce pieu monstrueux qui entrait et sortait de son intimité.
Lionel vint saisir sa poitrine à pleine main avant de venir lui mordiller les tétons qui se dressaient de plaisir.
A chaque fois cette vue provoquait le même sentiment… Un mélange d’excitation extrême et de jalousie, c’est indéfinissable, mais j’adorais ce ressenti.
Isa prenait vraiment son pied à tel point qu’elle en oubliait parfois de sucer l’ami de Lionel, tant elle gémissait fort.
Eh ma petite, cela ne va pas se passer comme cela, lui dit-il… Je reste sur ma faim, et je vais te donner l’occasion de crier pour quelque chose…
Il vint se placer derrière elle et lui fit courber le dos pour venir quelques instants plus tard titiller son œillet d’amour avec son gland humide.
Entre deux gémissements et deux cris, elle l’implora :
Huuummmm …. Allez y, prenez moi….. Ooohhhhhh
Si tôt dit, si tôt fait, il s’introduisit.Elle se faisait maintenant défoncer sous mes yeux, je pouvais presque la toucher…Je me dis souvent que je ne dois pas être normal : avoir une femme si jolie et en faire profiter les autres… Mais qu’est ce que j’aime ça, et apparemment elle aussi…
A suivre...
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