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Le club des nymphes

Chapitre 15

Hétéro
CHAPITRE 15 (ÉLODIE) : NÉGOCIATIONS

Sérieusement ? Mais que vient-il de se passer au juste ? Thomas vient de me repousser. Qu’est-ce que cela veut dire ? Suis-je moins attirante d’un coup, au point que même mon pervers incestueux de frère ne veuille plus de moi ? Ça ne peut être possible, je dois être en train de rêver. Personne ne m’a jamais repoussée. Ce n’est pas aujourd’hui que cela va commencer, surtout pas lui. Non, je refuse. Je n’ai pas dit mon dernier mot.Je frappe :
— Ouvre moi la porte, petit frère. Il faut qu’on parle.
Pas de réponse, ce fumier m’ignore. Il s’est enfermé dans sa chambre et refuse de me parler. Si seulement j’arrive à lui faire ouvrir la porte, je suis sûre de pouvoir reprendre le contrôle de la situation. Thomas ne peut pas m’échapper maintenant. J’ai encore besoin de lui pour convaincre la petite conne d’abandonner la course à la présidence. De plus, je n’aime pas ne pas finir ce que j’ai commencé, et je dois avouer que j’étais tout excitée en attendant le retour de mon frère à l’idée d’avoir de nouveau sa bite dans ma bouche.
— Allez, petit frère… insisté-je. Ouvre-moi, s’il te plaît. Je sais que tu en as autant envie que moi.
Putain, toujours pas de réponse. Cela commence sérieusement à m’agacer. Je suis sûre que d’une façon ou d’une autre ces salopes de Sarah et Louise ont réussi à le monter contre moi. Je dois avouer que ces garces sont douées. Qui aurait pu croire qu’elles le soigneraient de sa perversité ? Merde, mais je vais vraiment finir par perdre mon frère. Elles sont bel et bien en train de me le voler. Non, je refuse !
— Putain, sale petit merdeux, lui hurlé-je en tapant comme une forcenée sur la porte. T’as pas le droit de me faire ça ! T’as pas le droit de me jeter comme de la merde. Ouvre-moi la porte ou tu me le paieras très cher !
C’est injuste ! Il ne peut pas guérir de sa perversité au moment même où la mienne est en train de progresser. Pourquoi ? Je ne comprends pas sa réaction. Je sais qu’il bande sur moi depuis des années. Comment se fait-il que la situation ait changé ? Ces garces sont douées, mais je suis meilleure qu’elles, non ? Alors, pourquoi me fuit-il maintenant ? Est-ce moi qui ai fait quelque chose de travers ? Je ne peux pas laisser cela se faire. Je dois leur reprendre mon frère.
— Excuse-moi, Thomas, je ne voulais pas dire cela. Tu sais, j’ai réfléchi. Je suis prête maintenant, prête à me donner à toi. Ouvre-moi, s’il te plaît.
Oui, je suis prête ! Prête à tout pour le reprendre et le posséder. Je ne laisserai plus aucune fille l’approcher. Je le veux rien qu’à moi. Je veux qu’il me désire comme avant. Je suis prête à tout.
— Allez, petit frère, ouvre-moi… l’imploré-je. Je ferai tout ce que tu désires. Je peux même t’offrir mon cul si tu le veux. Tu sais que jamais personne n’est passé par là ? Tu serais le premier. Dis, tu ne veux pas défoncer mon joli petit cul ? Je suis sûre qu’il t’a toujours bien fait bander. Oh, si tu savais à quel point j’ai envie de te sentir en moi… Viens m’enculer, s’il te plaît.
Rien n’y fait, il n’ouvre toujours pas. Je perds vraiment espoir. Si même la promesse de me donner complètement à lui ne marche pas, c’est que la situation est bien plus grave que je ne le croyais au début. Je viens de perdre mon frère et par la même occasion la meilleure chance que j’avais de faire abandonner la petite conne. Il ne veut plus de moi ! Une larme coule le long de ma joue. C’est comme si on m’avait arraché une partie de moi. Même si j’ai très longtemps ressenti du dégoût envers les désirs incestueux de mon frère, j’ai fini par m’y habituer et à aimer le fait de l’exciter. J’ai pris plaisir à jouer avec lui pour le rendre dingue, à le torturer. Et contre toute attente, j’ai finalement même pris du plaisir à le sucer. Maintenant, tout cela s’écroule comme un château de cartes ; toutes mes certitudes volent en éclats, tout ce que je croyais acquis se révèle bien plus fragile que ce que j’imaginais. Mon ego en prend un sacré coup.

J’abandonne ! J’en ai marre. Je rejoins à mon tour ma chambre et me jette sur mon lit. Je prends mon portable et téléphone à mon parrain. J’ai besoin de baiser pour oublier cette merde. Franck décroche. Je lui demande si je peux passer le voir. Il me sort une excuse bidon ; visiblement, il est déjà en compagnie féminine. Je raccroche donc énervée. J’essaie avec deux autres gars, mais la même situation se produit. En colère, je finis par jeter mon portable le long du mur. Qu’est-ce qu’ils ont tous à m’envoyer balader ce soir ? En position fœtale sur mon lit, j’éclate en sanglots.
J’ai passé une mauvaise nuit ; tous les derniers événements se sont bousculés dans ma tête. J’ai essayé de trouver un sens à tout cela, de comprendre ce qui avait bien plus clocher, ce que j’avais fait de travers. Aujourd’hui, j’ai rendez-vous avec le directeur, Patrick Povin. Si je veux devenir présidente, il s’agit de me montrer la plus convaincante possible. Je dois abandonner l’espoir de me débarrasser de Louise avant les élections, vu que je ne peux plus me servir de mon frère. Mais avec ce qu’il s’est passé hier soir, je suis très nerveuse à l’idée de rencontrer monsieur Povin. Vais-je parvenir à le satisfaire ?
C’est l’esprit agité que je frappe à la porte de son bureau. Une voix autoritaire me dit d’entrer, ce que je ne tarde pas à faire. Il est assis derrière son bureau, les traits de son visage paraissent sévères.
— Mademoiselle Dejoel, bienvenue. Veuillez-vous asseoir.
Son regard me trouble ; je détourne donc mes yeux tandis que je m’assieds. Je trouve l’atmosphère de la pièce pesante.
— Avant de commencer, j’aimerais vous parler de la journée sans culotte, déclare-t-il.— Euh... oui, fais-je, surprise.— Vous avez poussé le professeur Gluau à participer pleinement à cette journée, et ceci en plein cours devant plusieurs élèves. Est-ce exact ?— Oui, confirmé-je, hésitante.— Je ne tolérerai plus ce genre d’initiative à l’avenir, lance-t-il d’un ton sec. J’ai autorisé le club des nymphes à poursuivre ses activités secrètes quand j’ai découvert son existence, mais je lui avais demandé de se montrer discret. Plusieurs dizaines d’élèves ont été témoins de ce qu’il s’est passé pendant le cours de comptabilité. J’ai pu éviter le scandale mais, par votre faute, j’ai dû me résigner à me séparer du professeur Gluau. La survie de votre club dépend de sa discrétion et, pour être honnête, mon propre poste en dépend aussi. Si jamais ce qu’il se passe dans cette école était découvert et que je corroborais tout cela, on courrait à la catastrophe. Si vous êtes élue présidente, il vous faudra vous montrer plus discrète. Est-ce bien clair ?— Oui, Monsieur.
Aïe ! Ça commence mal. Je me prends une soufflante dès le début. Il va vraiment me falloir assurer si je veux obtenir son vote.
— Bien. Venez ici maintenant, dit-il sur un ton plus doux.
Je fais donc le tour du bureau. Le directeur me fait asseoir sur ses genoux. Il pose sa main sur ma cuisse tandis qu’il me donne des baisers dans le cou. Ses lèvres se posent sur les miennes et une chaude langue s’insinue dans ma bouche. Sa main plonge sous ma jupe et atteint mon sexe préalablement dénudé. Ces contacts me font fondre. Je commence à me détendre et à mouiller comme une folle. Je vais enfin baiser ! Avec la déconvenue d’hier, j’en avais bien besoin.
Nos langues s’emmêlent, ses doigts agacent mon intimité, mes mains parcourent son torse et défont cravate et chemise. Son autre main empoigne fermement mon sein qui finit par échapper à sa prison de tissu. Sa bouche plonge sur le téton dressé et sa langue l’entoure. Je gémis de bonheur. Il joue ainsi avec mon corps de longues minutes. Sa bouche m’embrasse efficacement, ses doigts s’enfoncent dans mon sexe et frottent mon clitoris. Je pousse des râles de satisfaction. J’adore !
Puis je décide de prendre les devants. Je quitte ses cuisses pour m’agenouiller devant lui. Ma main teste la rigidité de la bosse formée à son entrejambe. Je ne suis pas déçue du résultat. Impatiente, je défais la ceinture et ouvre son pantalon pour libérer son sexe arrogamment dressé. Il est plutôt grand et fin. Son odeur m’envahit les narines et me laisse rêveuse. N’y faisant ni une ni deux, ma bouche gobe avec délice ce nouveau cadeau qui m’est offert. Comme j’aime avoir un sexe en bouche ! J’aime contrôler le plaisir de l’homme ! J’ai l’impression qu’ils sont à ma merci. J’aime pomper jusqu’à sentir leur semence envahir ma bouche. Comme hier soir je n’ai pas eu le droit à cela, j’ai vraiment hâte d’avaler son sirop de corps d’homme.
Ma langue glisse sur cette longue tige et vient admirablement titiller le gland et agacer son frein. La respiration de notre cher directeur s’accélère de plus en plus. Je continue de déguster ma sucrerie avec délectation. Ma main caresse ses bourses et son bas-ventre. J’ai vraiment envie de le rendre dingue. De toute façon il le faut, si je veux qu’il vote pour moi. Je suis là pour cela. Monsieur Povin ondule du bassin et commence à me baiser doucement la bouche. Sa main se pose sur mon crâne, caresse mes cheveux puis me retient la tête tandis qu’il enfonce son sexe le plus profondément en moi. Je me laisse faire et essaie d’avaler le plus possible cette longue sucette. Mais elle est trop grande et l’exercice s’avère ardu, sans provoquer de nausée. Je reprends la situation en main, littéralement. Je le branle doucement pour m’accorder une pause tandis que je le fixe d’un regard aguicheur. Povin m’implore de le reprendre en bouche. Je joue encore un peu avec son sexe avant de lui faire la grâce de mes lèvres. Ma langue titille de nouveau son gland. Povin s’agite de plus en plus. Je sens la sève monter, alors j’accélère. Penser que je vais bientôt avoir droit à ma récompense me rend heureuse. Cette fois, ça y est : quelques soubresauts, et me voilà la gorge remplie de son doux nectar.
— Eh bien, vous les nymphes êtes vraiment douées pour ce genre d’exercice.— Merci, Monsieur ! lui souris-je.— Bien ; passons au round numéro deux.
Il me fait me relever et me plaque le ventre sur son bureau. Il remonte ma jupe pour découvrir mon arrière-train.
— Hum, jolies fesses, fait-il en me les claquant. Écarte un peu plus les cuisses.
J’obtempère. Un doigt se promène le long de mes lèvres intimes.
— Tu m’as l’air bien humide. Tu as sans doute aimé me vider les couilles.— Oui, avoué-je.— On dit « Oui Monsieur », me corrige-t-il en me claquant une fesse.— Oui, Monsieur.
Il m’enfonce un doigt dans mon intimité. Je laisse échapper un soupir de satisfaction. J’ai hâte de sentir sa bite me ramoner. Un deuxième doigt rejoint le premier. Il me branle sans ménagement. Soudain, sa tête approche de ma croupe et sa langue vient lécher doucement les contours de mon cul. Je me tends suite à la surprise.
— Du calme, me fait-il. Il faut que tu sois détendue pour la sodomie.
Quoi ? Il a bien parlé de sodomie ? Non, je ne veux pas.
— Non, pas ça… l’imploré-je alors que sa langue s’insinue dans mon derrière.— Quoi ? fait-il, surpris. J’aurais imaginé qu’une fille comme toi n’aurait aucune gêne avec ce genre de pratique, d’autant plus que ta collègue a semblé bien apprécier. Mais si tu ne veux pas, ce n’est pas grave. Je ne vais pas te forcer. Après tout, ce n’est qu’une élection.
Tss ! Il ne me laisse pas le choix, tout du moins si je veux obtenir son vote. Il faut obligatoirement que j’en passe par là. J’ai toujours été inquiétée par cette pratique ; pourtant, j’étais prête à offrir mon cul à Thomas, hier. Aujourd’hui est un jour différent, et il me faut franchir le pas.
— Je ne l’ai jamais fait, alors allez-y doucement... Monsieur, concédé-je.— Bien, c’est mieux ainsi. Je dois dire que j’apprécie beaucoup défoncer un cul de jeune fille. Tu ne le regretteras pas, ma chère.
Et sa langue reprend son boulot. Elle s’insinue de nouveau dans mon cul et s’égare de temps en temps sur ma chatte. Ses doigts me pilonnent, quant à eux, chatte et cul. J’essaie de me détendre au maximum. Je dois dire que son traitement est plutôt efficace. J’essaie aussi de me préparer mentalement à cette future épreuve. Sans y faire attention, mon esprit se perd en s’imaginant que c’est Thomas lui-même qui s’apprête à m’enfiler. Mais je chasse rapidement cette pensée, prise par une nausée de dégoût. Povin s’est relevé et a retiré la totalité de ses vêtements. Je sens son gland se poser sur ma rondelle.
— Demande-moi de t’enculer ! m’ordonne-t-il.— S’il vous plaît, Monsieur, enculez-moi… joué-je le jeu.— Mieux que, ça petite salope !— Oh, pitié, Monsieur… Enfoncez votre longue bite dans mon petit cul et faites-vous plaisir. Défoncez-moi la raie. Je veux sentir votre virilité prendre possession de mon cul comme il vous revient de droit.
Visiblement il semble conquis de mes paroles. Son gland entre de quelques centimètres dans mon cul. Je me contracte, alors il attend un peu que je m’habitue à cette présence. Chose faite, il commence un lent va-et-vient à travers mon cul, gagnant à chaque coup de plus en plus de terrain. Pour le moment, l’exercice me paraît plus douloureux qu’autre chose. Je hoquette à chaque coup de boutoir. J’essaie de me concentrer sur ses doigts qui me fouillent encore la chatte ; mais plus le temps passe, plus je m’habitue à cette présence étrangère. La douleur se transforme peu à peu en plaisir.
Voyant que je commence vraiment à me détendre et à apprécier, Povin accélère la cadence. Il râle de bonheur et me félicite pour mon cul divin. Il m’enfile de tout son long maintenant. Je sens son pubis venir claquer mon fessier à chaque coup de bite. Je me sens pleine. Je me fais ramoner le derrière pour la première fois de ma vie et j’aime ça. Tant pis pour toi, Thomas ; tu aurais pu être le premier à avoir l’honneur de me prendre par ce côté, hier soir, mais ta chance est passée. Si j’avais su, j’aurais franchi le pas plus tôt que ça.
— Alors, pourquoi devrais-je voter pour toi ? demande Povin entre deux râles.
Vraiment ? Je lui offre déjà mon cul. Je pensais que cela serait suffisamment convaincant pour obtenir son vote. A-t-il conscience de l’effort qu’il m’a fallu faire pour me résigner à me donner comme cela ? Visiblement, il va falloir que j’aie plus à lui offrir pour remporter son vote.
— Je vous sucerai tous les matins avant les cours, lui promets-je.— Et c’est tout ?
Comment ça, c’est tout ? Une présidente a déjà l’obligation de se le taper une fois par semaine. Si je le suce en plus tous les matins, j’aurais pensé qu’il serait satisfait.
— Vous pourrez me prendre quand vous voudrez, ajouté-je.— La proposition est tentante, mais je dois avouer que ta concurrente m’a fait une promesse plus intéressante. Il va me falloir plus que ça pour voter pour toi.
Quoi, qu’est-ce que je peux offrir de plus ? Et qu’a bien pu proposer cette petite conne de Louise ? Ce n’est pas possible, elle ne peut encore gagner cette bataille. Non, je refuse. Tandis que je réfléchis à quoi ajouter à ma proposition, lui continue de me défoncer le cul avec plaisir.
— Je serai complètement à vous, et je vous enverrai toutes les filles que vous désirez, tenté-je. Je les convaincrai de se donner à vous. Vous pourrez toutes vous les tapez. Je ferai tout ce que vous voudrez. Vous n’aurez qu’à ordonner et je vous obéirai.— Ah, intéressant, lâche-t-il avec un grand sourire. Et si jamais j’organise une petite soirée à mon domicile avec quelques-uns de mes amis et qu’il me faut des filles ?— Oui, oui, oui ! Je vous les fournirai, lui promets-je. Je vous l’ai dit : je ferai tout ce que vous m’ordonnerez. Vous pourrez réaliser tous vos fantasmes grâce à moi.
J’espère avoir remporté la partie grâce à cette offre. Il semble plutôt intéressé. Il ne répond rien mais accélère encore la cadence ! J’ai le cul en feu mais c’est trop bon. J’accompagne ses à-coups par d’habiles mouvements de bassin. Je m’empale moi-même sur ce pieu. Je ne parviens plus à retenir des cris de jouissance. Je l’implore de me défoncer encore plus fort. Sa virilité répond à mes plaintes au-delà de mes espérances. Il me malmène et me maltraite le derrière. Je suis sa chose et le serai pendant un bout de temps si je suis élue présidente. Il le sait et en profite. Il s’en donne à cœur-joie. D’un coup, je sens son corps se raidir et plusieurs salves de sperme chaud m’envahissent le cul. Il a joui avec une belle fureur. Épuisé, il s’effondre sur son fauteuil tandis que je redresse doucement mon corps endolori.
— Nous avons maintenant un marché ; alors vous avez intérêt à remporter les élections, me déclare-t-il. En tout cas, vous pouvez déjà compter sur mon vote.
Parfait ! Je retrouve espoir de l’emporter sur Louise. Je suis toute proche de devenir présidente, maintenant. Je pourrai enfin écraser mon frère et sa petite conne. Plus qu’une étape maintenant avant les élections.
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