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Le club des nymphes - tome II

Chapitre 24

Avec plusieurs hommes
Chapitre 24 (Nathan) : Entrée en scène

Quelques années plus tôt.
— Joyeux anniversaire, mon amour ! dis-je à ma douce Maryline en lui tendant une petite boîte recouverte de papier cadeau.
Elle me sourit, s’empare de l’objet et arrache l’emballage d’un geste vif. Son sourire s’élargit en sortant le collier de la boîte.
— Oh, Nathan, il est vraiment magnifique ! C’est exactement celui que je t’ai montré quand nous sommes passés devant la boutique la dernière fois.— Oui. Il avait l’air de beaucoup te plaire alors j’ai pensé que ça te ferait plaisir.— Et tu as bien fait, mon amour.
Elle se penche sur moi et m’embrasse du bout des lèvres. Comme à chacun de ses baisers, mon cœur s’emballe. Oh, ma belle Maryline, je suis fou d’elle, je suis prêt à tout pour elle. Le collier était assez cher mais ça en valait la peine, juste pour la rendre heureuse. Et puis bon, ma famille est loin de la misère, alors je pouvais me le permettre. C’est la première fois que je ressens ces sentiments pour une fille. Elle est tellement pure, sage, gentille, douce… Elle est aussi très indépendante ; parfois trop à mon goût.
Et puis, quelle beauté ! Je crois n’avoir jamais vu de fille si belle. Un visage d’ange qu’on a envie de croquer, un petit nez fin, des yeux bleus presque blancs qui donnent une véritable profondeur à son regard et où on se fait facilement piéger. De longues mèches brunes forment une coupe désordonnée qui lui donnent l’allure de Médusa, mais en beaucoup plus mignonne. Et puis n’oublions pas son corps : sûrement ce qu’il y a de plus désirable chez elle. Chaque fois que j’y songe, je finis toujours par m’autoriser un petit plaisir solitaire.
Cachés sous la chemise blanche de son uniforme se trouvent deux énormes seins qui tendent lascivement son vêtement. Dieu, comme je me suis imaginé des tas de fois arracher ces boutons pour découvrir ces merveilles ! Et dans des collants blancs, deux longues jambes dépassent de sa jupe marron. Elles m’ont toujours fait beaucoup d’effet. Même dans mes rêves les plus fous, je ne pouvais imaginer que ma première copine serait si magnifique.
Je l’embrasse sur la nuque ; elle rit. Je pose quelques doigts sur sa cuisse et essaie de les glisser sous sa jupe. Maryline arrête ma main.
— Non, tu sais bien, c’est mal…— Tu y crois vraiment ?— Bien sûr. Jésus Christ est notre sauveur ; il s’est sacrifié sur la croix pour expier les fautes de l’humanité, récite-t-elle. Pas toi ?— Je ne sais pas, avoué-je. Ma mère a tout fait pour me donner une éducation catholique, mais je crois que je n’ai jamais vraiment adhéré au concept.
— Le sexe est un péché. Il est permis seulement après le mariage, et uniquement dans le but de procréer.
Oui, je connais la leçon, mais je ne peux m’empêcher de penser que c’est un énorme gâchis. J’ai atrocement envie d’elle. Je ne vois pas le mal qu’il pourrait y avoir à se faire mutuellement plaisir. J’aimerais parfois qu’elle se montre un peu moins à cheval sur ces règles, mais bon, il fallait que je m’attende à tomber sur des filles comme elle, étant inscrit dans un lycée privé catholique.
— On peut se voir ce soir ? Pour fêter ton anniversaire tous les deux.— Non, je ne peux pas ce soir, j’ai mes devoirs à faire. Une autre fois peut-être…— Allez, insisté-je. Demain soir c’est les vacances et tu pars dans ta famille. On ne se verra pas pendant deux semaines : il n’y a donc plus que ce soir. Tu feras tes devoirs pendant les vacances.— Je te rappelle que ma famille n’est pas aussi blindée que la tienne et qu’il faut donc que je bosse pendant les vacances. Je n’aurai pas le temps pour mes devoirs ; je dois donc les faire d’avance.
Sa pureté et son sérieux sont deux qualités que j’apprécie énormément chez elle, mais parfois j’aimerais trouver le bouton off pour les mettre en pause, pour qu’elle se lâche. Je n’insiste pas plus, sachant que ça ne sert à rien avec elle : quand elle a pris une décision, personne ne peut la faire changer d’avis.
Le soir, seul dans ma chambre, je tourne en rond. Je n’arrête pas de penser à elle. J’aimerais tellement être à ses côtés pour fêter son anniversaire en amoureux… Je peste ! Ah, c’est horrible ! Je l’ai tellement dans la peau, je n’arrive à me concentrer sur rien d’autre. Je lui envoie un SMS pour lui dire que je pense à elle, que je l’aime, et je lui souhaite bon courage pour ses devoirs. Toujours pas de réponse après plusieurs minutes. Elle doit encore avoir posé son portable dans un coin. Ah, j’ai horreur qu’elle fasse ça !
Encore demain et je vais passer deux semaines loin d’elle. Quelle déprime ! Et dire que je pourrais être avec elle en ce moment, mais elle s’entête à vouloir faire ses devoirs. « Quel gâchis de temps ! Et si… » réalisé-je soudain. Oui, ça me paraît une bonne idée. Si je l’aidais pour ses devoirs, je pourrais profiter de sa présence et me montrer serviable en même temps. Je préviens mon père que je sors et appelle un taxi. La nuit a déjà posé son voile dehors. Il fait frais aussi, alors je me les caille en attendant le taxi. Le voilà enfin. Je monte et lui donne l’adresse du lycée. Nous partons.
Ses parents habitant trop loin, elle loge à l’internat dans une chambre du premier étage qu’elle partage avec son amie Élise. Je m’introduis doucement dans l’enceinte de l’école en faisant attention de ne pas me faire repérer. J’avance vers l’internat des filles. Il y a encore de la lumière à la fenêtre de sa chambre. Ouf, elle n’est pas encore couchée ; ça m’aurait emmerdé d’être venu pour rien. Être en bas de sa fenêtre m’évoque la fameuse scène du balcon de Roméo et Juliette. J’espère qu’elle trouvera la situation aussi romantique que moi…Une gouttière passe juste à côté de son balcon ; je m’en sers pour escalader.
La lumière de la pièce me permet de voir à travers les rideaux tout ce qui se passe à l’intérieur sans être vu, et là, mon monde s’écroule ! Les larmes me viennent aux yeux. La rage et le désespoir me gagnent. Elle n’est pas en train de faire ses devoirs : elle et sa colocataire sont toutes deux à quatre pattes sur le lit en train de se faire prendre chacune par un type baraqué. Elles remuent beaucoup sous les violents coups de queues qui les défoncent. Aucune ne semblent s’en plaindre, pourtant, bien au contraire.
Le collier que j’ai offert à ma bien-aimée se balance entre ses énormes obus que je découvre enfin. Pourquoi ? Je ne comprends pas. Qu’est-ce que j’ai fait de mal ? J’ai fait tout ce qu’elle me demandait : je me suis montré gentil, attentionné, serviable, respectueux, et la voilà qui commet l’irréparable avec un type sorti de nulle part ! Pas de sexe avant le mariage ? Elle s’est bien foutue de ma gueule !
J’ai toute cette rage qui ne demande qu’à exploser. J’ai envie de tout détruire. Mes mains tremblent. Mes poings se serrent. Je devrais faire quelque chose ; la prendre sur le fait, lui montrer ses contradictions, la traiter de pute, mais à quoi bon ? Au lieu de cela, je reviens sur mes pas et rentre chez moi à pied afin de laisser le temps à mes yeux de sécher.
Le lendemain matin, quand ma mère me réveille pour mon dernier jour d’école avant les vacances, je mime une maladie. Elle me touche le front pour voir ma température, mais c’est la mine dépitée et accablée que je tire qui la convainc de ma bonne foi. En même temps, je n’ai pas dormi de la nuit ; je n’ai fait que pleurer. Je ne reçois aucun message de Maryline de la journée, signe qu’elle ne s’inquiète pas de mon absence. Elle ne tient vraiment pas à moi.
Je reste tout le week-end enfermé dans ma chambre à chialer et à broyer du noir. Ma mère, qui comprend que ma situation n’a rien à voir avec un quelconque microbe, tente de me faire parler. Je la rembarre méchamment, et elle disparaît sans insister comme à son habitude dès que quelqu’un hausse le ton avec elle. Je chiale, me sentant encore plus seul.
Ce n’est que lundi que ma situation évolue au moment où quelqu’un frappe à ma porte.
— Va-t-en ! crié-je sans savoir à qui je m’adresse.— C’est Nina, me lance une voix féminine, j’ai juste besoin de prendre ton linge sale.
Nina, c’est une jeune que mon père a engagée pour assurer les tâches ménagères à la maison. Elle vient plusieurs soirs par semaine, ce qui lui permet de se faire un peu d’argent afin de financer ses études. Je me lève et vais lui ouvrir.
— Désolé, m’excusé-je.— Quelle tronche ! se moque-t-elle. Il t’arrive quoi, mon pauvre vieux ?
Je ne réponds pas et vais m’asseoir sur mon lit en attendant qu’elle parte. Elle rassemble mes affaires éparpillées un peu partout en un tas, mais plutôt que de l’embarquer tout de suite elle m’observe et vient s’asseoir à côté de moi.
— Ah, les premiers amours… jamais facile !— Quoi ? fais-je, surpris. Comment sais-tu ?— Je suis passée par là moi aussi. Tu peux m’en parler si tu veux, ça te fera beaucoup de bien.— Non, c’est pas la peine. Laisse-moi seul maintenant.— Ou alors, hésite-t-elle, je connais un autre moyen qui te remontra le moral à coup sûr.
Je ne comprends pas tout de suite où elle veut en venir. Ce n’est que quand elle pose sa main sur mon entrejambe que je commence à réaliser. Malgré ma surprise et ma déprime, mon sexe réagit à ses caresses et se tend sous mon pantalon. Elle ouvre finalement ma braguette et en extirpe mon pénis.
— Quelle jolie bite… sourit-elle. Ce serait dommage que personne ne s’en occupe.
Nina doit avoir environ cinq ans de plus que moi. Bien qu’elle soit jolie et bien faite – certes pas autant que Maryline – je n’ai jamais fantasmé sur elle. Elle est sympa et marrante, alors je l’ai toujours considérée comme une amie. Mais aujourd’hui, avec ses doigts qui s’agitent sur ma verge tendue, je dois reconsidérer la chose, d’autant plus qu’elle s’agenouille maintenant devant moi. « Oh, mon Dieu, je n’arrive pas à imaginer ce qui est en train de m’arriver… Elle va me sucer ? » Elle s’approche de plus ne plus. Mon cœur s’emballe et mon sang bout. Elle pose à peine un bout de langue sur mon gland que mon sexe libère de violents jets de foutre qui s’écrasent sur son visage et ses épais cheveux bouclés.
— Désolé, rougis-je de honte.— Pas grave, fait-elle. C’est des choses qui arrivent. C’était ta première fois ?— Oui, reconnais-je. Tu dois m’en vouloir…— Mais non ! C’est tout à fait normal. Tu as juste besoin d’un peu d’entraînement et de prendre confiance en toi. Si tu veux, je peux t’arranger ça. Tu veux ?
Elle me sourit, récolte des gouttes de sperme du bout des doigts et se les met dans la bouche. Je n’en crois pas mes yeux : avaler mon sperme n’a pas l’air de la gêner. Et voilà qu’elle me propose de recommencer. J’accepte avec joie.
Cette première expérience, bien qu’honteuse à mon goût, me laisse avec de meilleures espérances pour l’avenir que je n’en avais au réveil. Ma peine est loin d’être chassée, mais maintenant j’ai un autre sujet qui me trotte dans la tête et j’attends sa prochaine visite avec impatience.
Deux soirs plus tard, mon cœur fait un bon quand j’entends frapper à ma porte.
— C’est Nina… me fait sa petite voix.
Je me précipite pour lui ouvrir et la fais entrer. Elle me sourit et s’avance tandis que je referme derrière elle.
— Alors, toujours partant ? me demande-t-elle, espiègle.— Oui.— Tant mieux.
Elle s’agenouille, défait ma braguette et sort mon sexe qui commence déjà à durcir. Elle le gobe tout de suite et se sert de sa langue pour terminer de l’ériger. La voilà maintenant qui me pompe avec fougue, et moi je suis emporté par des sensations que je ne pensais pas possibles. Mon Dieu, c’est si merveilleux… Mais le plaisir grimpe rapidement et me voilà à jouir en moins d’une minute. Elle avale tout mon foutre.
— Voilà, sourit-elle, c’était déjà mieux que la dernière fois. Tu progresses. Allez, à la prochaine.
Mince, ça m’embête de la voir partir déjà, mais c’est vrai qu’elle a du boulot. Je me jette sur le lit et souris bêtement, heureux de m’être fait enfin sucer.
Nos séances se poursuivent sur plusieurs soirs et je me surprends à tenir de plus en plus longtemps. Nina aussi me surprend ; elle ne se contente pas que de pomper : elle lèche, suçote, caresse, lape et joue avec ma bite. Elle se montre vraiment créative pour provoquer mon plaisir…
Sans m’en apercevoir, je me retrouve à ne plus penser à Maryline. Mon affection est reportée sur Nina. Elle au moins tient à moi. Elle au moins prend soin de moi et m’apporte du plaisir sans rien me demander en retour. C’est bien plus que les quelques baisers qu’a bien voulu m’autoriser la traîtresse.
— Maintenant que tu contrôles assez bien ton orgasme, nous allons essayer autre chose, Nathan, déclare Nina en s’asseyant sur mon lit et remontant sa jupe.
Elle fait glisser sa culotte le long de ses jambes, écarte ses cuisses et s’emmanche deux doigts dans le vagin en me lançant un regard provocant.
— Baise-moi, dit-elle. À moins que tu préfères en rester aux pipes.
Avide de nouvelles expériences et fier qu’une fille comme elle souhaite faire l’amour avec moi, je ne refuse pas son invitation. Je me déshabille et m’approche d’elle. Elle prend mon sexe en main et le guide jusqu’à sa grotte aux merveilles. J’avance mon bassin et pénètre en elle. Oh ! La chaleur qui m’enserre, c’est encore meilleur que sa bouche !
— C’est bien, m’encourage-t-elle. Voilà, prend ton temps. Ne t’affole pas. Garde le contrôle, garde confiance en toi et tout ira bien. Tu te débrouilles très bien. Hum… continue.
Avec le petit gémissement qu’elle a poussé, il faut imaginer que c’est vrai. Je n’arrive pas à croire que je suis en train de donner du plaisir à une fille ; je rêvais de ce moment depuis longtemps, et le voilà enfin arrivé. Je fais l’amour. C’est merveilleux.
En totale confiance, je me laisse aller, la pénètre à fond, observe quels mouvements provoquent le plus de réactions. Je glisse mes mains sous sa chemise et lui palpe ses petits seins à travers son soutien-gorge. Je sens ses tétons pointer sous le tissu de son sous-vêtement. Je l’embrasse dans le cou et goûte du bout de la langue sa peau légèrement salée. Mon plaisir grimpe, et voilà que je jouis en braillant sourdement. Je m’écroule sur le lit. C’était sensationnel, mais trop court à mon goût. J’ai hâte de recommencer. Je me tourne vers elle pour le prendre dans mes bras et l’embrasser, mais la voilà déjà qui se relève et réenfile sa culotte. Elle me dit qu’elle doit aller bosser, me remercie et me pose un petit baiser sur la joue.
Ma vie vient de changer ; je me sens un tout nouvel homme. Finis, les jours où je courais après Maryline pour ne rien obtenir. Maintenant, j’ai une toute nouvelle copine qui n’hésite pas à me donner du plaisir. Elle a de l’expérience et est prête à m’apprendre tout ce qu’elle sait. Finis, les jours où je n’étais qu’une marionnette dans les mains d’une garce manipulatrice. Finis, les jours où l’on me prenait pour un crétin : j’ai une copine qui me respecte vraiment, qui tient à moi et me désire. Finis, les jours malheureux : Maryline chassée de mon cœur, place à Nina !
J’attends sa prochaine visite avec impatience. La journée est longue avant que n’arrive mon ange. Je l’entends quelques minutes après que ma mère est sortie pour faire des courses. Du haut de l’escalier, j’entends sa voix qui salue mon père. Je me précipite dans ma chambre et attends avec hâte qu’elle monte me rejoindre. Après un quart d’heure, toujours rien. Habituellement, elle vient quasiment tout de suite. Agacé, je décide de découvrir ce qui la retient si longtemps. Je descends les escaliers. Elle n’est pas dans le salon, ni dans la salle à manger ou la cuisine. La bibliothèque est vide aussi. Il ne reste plus que le bureau de mon père. J’ouvre la porte et entre dans la pièce.
Nouvelle douche froide ! Elle est allongée, ventre sur le sofa, jupe retroussée, seins à l’air. Mon père, positionné au-dessus d’elle, est en train de lui emmancher sa bite dans le cul. Je pousse un cri de stupeur. Leurs yeux se tournent vers moi. Surpris, mon père se redresse, l’air assez énervé et commence à se rhabiller.
— Putain, Nathan… Je t’ai déjà dit de frapper avant d’entrer dans mon bureau.— Non, non, non… commencé-je à pleurer, désespéré. Pourquoi ?— Pourquoi quoi ? Oh, ça ? comprend-t-il en désignant Nina du doigt. Ce n’est rien.— Tu me l’as prise, m’énervé-je. Tu me l’as prise !— Arrête te faire ton gamin, Nathan. Je ne t’ai rien pris du tout.— Si ! hurlé-je de rage. Je l’aimais, et tu me l’as prise. Je te déteste !
Nina, qui s’est assise sur le sofa, explose de rire. Je le regarde, décontenancé.
— Ha-ha-ha ! Tu es amoureux de moi ? demande-t-elle, hilare. Oh, comme c’est chou… Ha-ha-ha !— Bon sang, Nathan, il est temps de grandir maintenant et d’arrêter de faire l’enfant. Je ne t’ai rien pris du tout. Bien au contraire, c’est moi qui te l’ai envoyée pour te dévergonder. Je voulais que tu deviennes enfin un homme, que tu arrêtes de te bercer d’illusions.— Quoi ? Mais alors ça veut dire que ce n’est pas la première fois que vous couchez ensemble ? demandé-je, complètement déboussolé.— Bien entendu que non. Pourquoi crois-tu que je l’ai engagée ?— Et maman ! crié-je. Tu as pensé à elle ?— Je vais t’expliquer ma philosophie, mon fils : je veux, je prends. Aucune femme n’a à me dire ce que je dois faire, encore moins ta mère. Tant qu’elle profite de mon fric, elle ferme sa gueule. C’est ça, se comporter en homme.
Mes rêves, mes espoirs, mon bonheur de ces derniers jours, tout ça se brise comme un miroir après un coup de marteau. J’ai été con, crétin, idiot, débile de penser qu’une fille pouvait réellement tenir à moi. Non, encore une fois, ce n’est qu’une salope qui se fait troncher par mon père. Elle se foutait bien de moi ; elle ne vaut pas mieux que Maryline, cette garce. Ô rage ! Ô désespoir ! Ô pourriture infâme ! Ne suis-je qu’un jouet entre les doigts crochus des femmes ? Non, je refuse. Trop, c’est trop ! Je refuse de les laisser gagner.
— Tu vois, fiston, continue mon père, la vie, c’est aussi simple que ça : tu veux, tu prends. Dis-moi maintenant, que veux-tu ?— Je… je veux son cul, sifflé-je après plusieurs minutes de réflexion.— Alors prends-le, fiston ! sourit-il.
Déterminé, je m’avance vers elle tandis qu’elle se remet en position, prête à me recevoir. Je me déshabille et me positionne à califourchon au-dessus d’elle. Son anus est encore dilaté après le passage de mon père. Malgré ma colère, je suis dur comme de la roche. Mon gland installé à l’entrée du trou, je m’enfonce d’un coup sec. Nina lâche un cri surpris. « Je veux, je prends ! » : c’est vrai que c’est plutôt simple. Je prends donc possession de son fondement que je lime sans ménagement.
— Oui, c’est ça, fiston ! m’encourage mon père. En voilà un homme ! En voilà un Craine ! Montre-lui qui est le patron. Montre-lui qui commande. Défonce-lui le cul !
Oui je suis un Craine. Nous sommes fiers, nous sommes forts, nous sommes riches. Personne ne nous dit ce qu’on doit faire. Je ne laisserai plus aucune femme avoir de l’emprise sur moi. J’en fais la promesse.
Sous mes coups de queue qui lui malmènent la rondelle, la garce se met à geindre bruyamment. Mon père, ne restant pas inactif devant ce spectacle, s’avance, s’assoit au bord du sofa, libère son sexe bandé et l’enfonce dans la gorge de Nina. Elle ne proteste pas et se met à pomper voracement la bite paternelle.
— Regarde comme elles aiment ça, ces petites salopes : deux bites pour la demoiselle, et la voilà heureuse. Elles ne sont jamais rassasiées. Elles font les timorées, mais une fois qu’elles comprennent qui est le chef, il ne reste plus que des débauchées prêtes à tout pour se faire saillir par leur mâle.
Il lui appuie sur le crâne pour la forcer à prendre sa bite entièrement tandis qu’il donne de violents coups de bassin. Des glapissements étouffés émanent de la gorge de Nina. De mon côté, je pilonne toujours son fondement sans aucune considération pour elle. Je me fous du plaisir ou de la douleur que je lui procure. Je me préoccupe seulement de ma jouissance qui arrive à grand pas, et c’est en poussant un énorme cri de rage que j’explose à l’intérieur de son cul.

***

— Bah alors, mon chéri, qu’est-ce qu’il y a ? Tu fais la tête ?
Les vacances qui ont changé ma vie sont terminées. Je suis assis sur un banc dans la cour en train de fumer ma clope. Maryline, que j’ai évitée toute la matinée, commence à s’interroger sur mon attitude. Je la regarde du coin de l’œil et ne lui réponds pas. Elle semble surprise par mon attitude et finit par s’asseoir à côté de moi.
— As-tu passé de bonnes vacances ? demande-t-elle.— Ouais, ça peut aller… fais-je, évasif.
Je ne donne pas de détails car je sais bien qu’elle s’en fout complètement. Elle demande par politesse et dans le but que je l’interroge à mon tour sur les siennes. Je ferme ma gueule. Elle attend.
— Moi aussi ça pouvait aller, même si le boulot était éreintant, finit-elle par céder. Ah, et puis on m’a tiré mon smartphone. Du coup, j’en ai plus et c’est la merde.— Bah, utilise l’argent que tu as gagné en bossant.— Je ne peux pas : il a fallu que je rembourse des sous que j’avais empruntés à mon frère.
Ben voyons… Cette salope espère donc que je vais lui payer son truc ; elle me prend vraiment pour un pigeon ! Je la vois m’observer de ses yeux avares tandis que je garde le silence.
— Ça t’ennuierait de m’avancer les sous pour que je m’en rachète un ? tente-t-elle. Tu serais un amour.— Et toi, ça t’ennuierait de me sucer la queue ? Tu serais un amour.— Pardon ? Qu’est-ce que tu racontes ? Tu sais bien que c’est pécher, et…— Mais arrête avec tes conneries ! Je sais très bien que t’es une salope, que vous vous faites troncher dans votre chambre, Élise et toi.— Mais… mais… mais non, je ne…— Ne nie pas : je vous ai vues le soir de ton anniversaire.
Elle ouvre les yeux en grand et son visage s’empourpre. Elle ne sait pas quoi dire pour sa défense. Elle ne conteste plus, reconnaissant ainsi la vérité. Je pose ma main sur sa cuisse et commence à la caresser. Elle baisse les yeux, et pour une fois ne repousse pas ma main.
— Mais ne t’inquiète pas, ce n’est pas grave. On est en couple, non ? Je tiens juste à en profiter moi aussi. J’ai très envie de te faire goûter mon sperme et de te défoncer la chatte. Je te veux et je vais te prendre.
Je glisse ma main sous sa jupe. Toujours pas de résistance. Elle relève la tête.
— On fait ça aux toilettes ? demande-t-elle une lueur perverse dans les yeux.
« Une fois qu’elles comprennent qui est le chef, il ne reste plus que des débauchées prêtes à tout pour se faire saillir par leur mâle. » me disait papa ; on dirait qu’il avait raison.
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