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Le club elfique

Chapitre 1

Hétéro
Aethel se préparait à une bonne journée, ou plutôt une bonne nuit. Elle était une jeune elfe, et venait s’amuser dans ce club libertin dans les faubourgs d’une grande ville. Elle faisait 1m60 pour 40 kilos (car, comme toutes les femelles elfes, elle était très svelte), avait de longs cheveux blond platine, des yeux d’un vert éclatant qui rappelait les feuillages des arbres, et évidemment une paire de longues oreilles effilées propre au sien.

Elle s’habilla dans sa tenue de soirée, composée d’une robe de soie noire moulante fendue, avec évidemment un décolleté assez large, qui lui donnait un air aguicheur malgré la taille très modeste de sa poitrine. Elle prit ensuite place dans une alcôve (une petite salle occupée principalement par une longue banquette circulaire), où n’allait pas tarder à arriver son premier "rendez-vous". Au bout de seulement quelques minutes d’attente, un homme entra. Il était plutôt bien habillé, aux cheveux bruns et à la courte barbe noire. Aethel le trouvait plutôt à son goût, elle accepta donc de le laisser s’asseoir à côté d’elle.

L’homme engagea la conversation avec elle, mais très vite, il mit la main sur sa cuisse. Elle le trouvait entreprenant, mais ça ne la gênait pas : elle remonta même un peu sa robe pour lui donner un accès plus facile à son intimité. L’homme, voyant que sa toute nouvelle partenaire d’une nuit était ouverte à un peu de divertissement, remonta sa main le long de la cuisse de la jeune elfe et commença à lui caresser l’entrejambe. Aethel ferma alors les yeux, se laissant aller et gémissant doucement. Très vite, sa fente fut complètement trempée, et son compagnon d’un soir sortit ses doigts des dessous de la robe noire pour constater que ses doigts étaient couverts de mouille généreuse. Il sourit alors, et demanda :
— De ce que je vois, tu es prête pour aller plus loin.
Aethel ne répondit que par un lent hochement de tête accompagné d’un gémissement suave et suppliant. Il était évident qu’elle était prête à aller plus loin, même plutôt qu’elle mourait d’envie d’aller plus loin. L’homme qui était avant penché vers elle se rassit de son côté et défit sa ceinture. Il en sortit un membre en érection d’au moins 18 centimètres, pour 3 de large.
— Viens chevaucher Papa, ma jolie.
Aethel sourit, appréciant la tournure que prenait cette rencontre. Elle dégrafa sa robe, et vu que pour ses soirées au club, quelque soit l’interlocuteur (voire les interlocuteurs), elle ne portait pas de sous-vêtements, elle se retrouva complètement nue. Elle se plaça donc face à l’inconnu, un genou de chaque côté de ses jambes. Elle se déplaça pour que sa fente se retrouve juste au-dessus du pénis de son partenaire. Elle était déjà dégoulinante. Elle amorça sa descente doucement, étant donné que comme toutes les elfes, elle avait le vagin très étroit et que la largeur du membre de son partenaire était tout de même conséquente. Cependant, elle était si excitée que la pénétration se passa à merveille. Elle soupira d’aise en sentant le sexe de son partenaire entrer doucement en elle, palpitant et chaud.

Une fois le doux empalement terminé (ses lèvres vaginales touchaient les testicules de l’inconnu, elle avait réussi à l’accueillir entièrement), elle remonta le long du membre, avant de se laisser ré-empaler. Elle commença donc à chevaucher l’homme, avec de plus en plus d’ardeur. Il appréciait l’enthousiasme de sa partenaire, comme l’attestaient ses grognements de plaisir animaux. À chaque fois que le pénis ré-entrait en elle, Aethel ressentait une vague de plaisir parcourir son corps. Cependant, son plaisir fut de courte durée, car, comprimé par le délicieux vagin étroit de l’elfe, l’homme jouit rapidement, inondant généreusement son utérus de semence humaine. Étant donné leur différence ethnique, elle ne risquait pas de tomber enceinte, et elle savoura avec délectation la sensation offerte par la semence chaude coulant le long de ses parois vaginales.
Elle descendit des genoux de l’homme, qui s’excusa de ne pas avoir pu la satisfaire. Elle le rassura, car elle savait très bien qu’elle trouverait nombre d’autres amants qui arriveraient à combler son appétit avant le matin. Alors que le jeune homme venait de s’éclipser, heureux, une elfe nommée Alanta passa la tête par la porte d’entrée de l’alcôve. C’était une des standardistes du club privé, chargée d’aiguiller les différents clients du club, et elle connaissait bien Aethel.
— Il y a un groupe de 5 nains qui seraient intéressés par un bukkake avec une elfe. Vu que c’est ton truc, ça te brancherait que les amène ici ?
Aethel acquiesça énergiquement, ravie de l’opportunité offerte par sa comparse. Quelques instants plus tard, les 5 nains entrèrent dans l’alcôve, trouvant la jeune elfe déjà à genoux. Comprenant le message, ils s’assirent tous sur la banquette de la petite salle et défirent leur ceinture pour sortir leurs membres en érection. Les sexes des nains étaient plus courts que ceux des hommes (environ 13 centimètres en moyenne), mais plus larges (environ 5 à 6 centimètres). Aethel, affamée, se jeta sur le sexe du premier nain et commença à le sucer goulûment. Les commentaires de ses compagnons fusèrent, mais la jeune elfe ne leur accordait pas d’importance, se concentrant sur ses mouvements de langue, afin de faire jouir son partenaire le plus vite possible.

Les autres nains commencèrent à se masturber en regardant l’elfe nue s’occuper si passionnément d’un pénis nain. Sous les mouvements experts d’Aethel, ledit membre ne tarda pas à éjecter des filaments jaunâtres et gluants sur la langue de l’elfe. Cette dernière accepta dans sa bouche l’intégralité de la charge. La semence naine avait un très fort goût salé, très caractéristique, mais la jeune elfe adorait cet arôme, elle en était presque dépendante. Au moment où elle allait avaler avec délectation le liquide puant, un des nains lui tendit une chope de bière vide.
Elle comprit son idée, et recracha le sperme dans la chope. Elle allait faire de même pour tous les autres, afin de déguster une choppe (entière, elle espérait) de semence naine d’un coup. Pendant qu’elle envisageait la délicieuse expérience, elle reçut un jet sur le front. Le deuxième nain n’avait pas réussi à se retenir et avait joui sur elle avant qu’elle puisse s’occuper de lui. Elle laissa le liquide dégouliner sur son visage, l’odeur saumâtre et la sensation de saleté associée l’excitant au plus haut point. Elle se lécha les lèvres, avant de s’avancer vers le prochain : ce soir, même si elle n’allait pas jouir de sitôt, elle serait un parfait vide couilles pour nains.
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