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le club du mile high

Chapitre 1

Erotique
L’Airbus 320 filait à près de 800 kilomètres/h sous la voûte étoilée du ciel du Moyen-Orient, Sophie et Jean Marc avaient embarqué quelques heures plus tôt pour un week-end d’affaires et de plaisir à Dubai. Tous les deux dans la quarantaine, ils affichaient une forme athlétique et prenaient soin de leur physique. Lui plutôt grand et blond, il possédait un charme ravageur que de nombreuses conquêtes féminines avaient découvert à leur dépend. Quant à elle, son physique faisait retourner sur son passage tous les hommes qu’elle rencontrait ; sa chevelure de feu alliée à une stature sculpturale ne pouvait pas laisser la gent masculine indifférente. Dès l’embarquement, Sophie avait remarqué son voisin de gauche, un beau brun à l’allure athlétique qui ne semblait pas indifférent à son charme de rousse. Discrètement elle avait poussé son mari de côté pour être assise au milieu du rang. Jean Marc avait immédiatement compris que le voyage allait être pimenté par les fantaisies de son épouse.
Celle-ci n’avait pas tardé à jouer de son charme et avait négligemment déboutonné son col de chemisier, laissant entr’apercevoir à son voisin la naissance de deux généreux globes laiteux.
La réaction fut immédiate, un faux pli commençait à déformer le pantalon du beau brun et celui-ci avait beaucoup de difficultés à détacher son regard du décolleté plongeant que lui offrait sa voisine. Le cérémonial des serviettes chaudes étant terminé, le repas fut servi et fut l’occasion pour Sophie d’accentuer le malaise de sa victime en léchant sensuellement la cuillère servie avec la glace au sorbet. Jean Marc s’amusait beaucoup du manège de son épouse et commençait à percevoir un picotement au bout de la verge. Lui et Sophie pratiquaient depuis quelque temps le candaulisme parmi tant d’autres plaisirs et y prenaient vraiment goût. Il adorait voir sa femme exciter un étranger pour se faire prendre par la suite dans des situations parfois très scabreuses. Ils en tiraient à chaque fois un plaisir intense et ne s’en retrouvaient que plus amoureux.
L’homme avait de larges mains laissant présager d’un sexe généreux et Sophie ne s’y était pas trompé, elle avait elle aussi remarqué les doigts longs et musclés de son futur partenaire de jeux érotiques.
Ce fut à la fin du repas qu’elle lança son attaque, laissant échapper sa tasse vide, elle le bouscula alors qu’il finissait de boire son café. Quelques gouttes se répandirent sur le pantalon et se confondant en excuses, elle fit mine de réparer sa maladresse en utilisant sa serviette. A travers le tissu, elle put apprécier le contact des cuisses musclées et prolongeant son nettoyage, elle toucha incidemment la colonne de chair qui n’en finissait pas de grossir. Ce contact fortuit provoqua cette chaleur bien connue au creux de son ventre, quoiqu’il arrive, ce sexe serait à elle avant la fin du vol. Elle prit son regard de salope et sans autre forme de prétexte griffa la bosse du tissu, de ses longs ongles carminés. L’homme vacilla un instant, mais se reprit très vite, il pencha la tête sur le côté et lui posa un baiser brûlant sur les lèvres.
Elle avait gagné, elle tenait son partenaire à sa merci et tout en lui malaxant l’entrejambe, elle se pencha vers son mari pour lui faire admirer le résultat de ses avances sur son futur amant.
Jean Marc sentait sa verge suinter profusément depuis que les doigts de son épouse officiaient sous la table, il adorait quand Sophie, oubliant toute retenue, prenait l’initiative et amenait ses amants au bord du plaisir pendant de longues minutes. Elle se délectait de torturer les hommes qui tombaient sous son charme, en les excitant jusqu’au bord de l’orgasme pour ensuite laisser retomber le désir et reprendre son supplice quelques minutes plus tard. Elle était devenue une experte à ce jeu grâce à son mari qui lui avait enseigné les secrets du désir masculin. Ils avaient pratiqué souvent entre eux, épiant l’un et l’autre la montée de leur plaisir réciproque puis un jour avait décidé d’associer à leurs joutes amoureuses un partenaire occasionnel qui leur permettrait de pimenter encore plus leur relation.
Ce fut Jean Marc qui avança l’idée un jour de voir Sophie empalée sur un autre homme, cette vision l’obsédait au point de lui décrire son fantasme lors de leurs ébats sexuels et cela devint une obsession.
Sophie fut initialement choquée qu’il puisse prendre du plaisir à la voir avec un autre homme, elle se sentit humiliée, il la prenait pour une prostituée et s’en ouvrit à lui. Il la rassura sur ses sentiments à son égard et n’ayant plus de crainte, finalement troublée par le désir de son homme, elle décida alors de jouer le jeu et commença à lui décrire comment elle épancherait ses amants alors qu’il resterait à les observer. Elle en rajouta même en lui décrivant son plaisir lorsqu’il mélangerait sa semence à celle de ses partenaires. Le fantasme prit fin le jour où ils décidèrent de sauter le pas et de mettre à exécution leur délire, ce fut une révélation pour les deux, le plaisir intense qu’ils en tirèrent effaça toute honte qu’ils auraient pu en éprouver. Après avoir ramassé les plateaux, le personnel de cabine prépara les passagers pour le vol de nuit.
Jean Marc laissa sa veilleuse allumée afin de profiter de la vue que lui offrait sa femme, celle-ci ayant relevé sa jupe sur ses hanches avait enfin libéré le sexe de son partenaire et promenait son gland entre les lèvres de sa vulve.
L’homme retenait sa respiration haletante et ses doigts s’activaient sur les pointes turgescentes des seins de sa partenaire. Jean Marc en profita pour guider la main libre de son épouse vers son bas-ventre ; elle empoigna la colonne de chair vibrante sous la couverture et commença un lent mouvement de va-et-vient tout en imprimant une rotation du poignet. Ayant les deux hommes à sa merci, Sophie ne fut pas longue à ressentir ce désir impératif de remplir son ventre du sexe d’un homme. Adroitement, elle releva une jambe et mettant le sexe de son beau brun à l’aplomb de son vagin, s’y empala de toute la longueur. Le gémissement combiné de Sophie avec celui de son amant vrilla le bas-ventre de Jean Marc, il savait maintenant que sa femme était possédée par son amant et qu’elle allait l’amener avec quelques coups de reins experts à remplir son intimité de semence. Sophie allait et venait en gardant le sexe de son mari, lui aussi sous tension.
Les deux sexes commencèrent à gicler pratiquement en même temps, les deux hommes s’épanchèrent en longs jets tièdes et Sophie fut foudroyée par un orgasme fulgurant.
Ils mirent quelques minutes à retrouver leur esprits, Sophie se libérant du sexe de son amant, resserra les cuisses sur un mouchoir afin de préserver le sperme dans son ventre pour le mélanger a celui de Jean Marc lorsqu’ils arriveraient à leur hôtel à la fin du vol, quant au beau brun, il se servit de la couverture pour essuyer son sexe dégoulinant du foutre que le ventre de Sophie n’avait pu garder en soi. Puis chacun tenta de dormir jusqu’à l’arrivée. Les formalités furent rapidement franchies et le beau brun disparut alors qu’ils prenaient la navette ferroviaire de l’aéroport. Sophie avait ressenti à plusieurs reprises la semence de son amant dégouliner le long de ses cuisses pendant la traversée de l’aéroport, le mouchoir qui lui servait de tampon n’avait pas suffit à contenir la profusion de sperme que son amant avait déversé dans son vagin.
Elle en fit la remarque à Jean Marc, celui se décalant vers l’arrière de son épouse put effectivement remarquer quelques traînées de liquide transparentes qui maculaient l’intérieure des cuisses musclées de sa femme.
Il en fut tout émoustillé, son bas-ventre commença de nouveau à le tourmenter, il imaginait déjà la scène de ce que sa femme lui avait prédit à l’oreille dans l’avion ; elle s’était gardé les épanchements de son beau brun pour qu’il la pénètre, encore remplie de sa semence. Elle ne semblait nullement gênée, elle franchit les différents contrôles de police et de douane, très sûre d’elle en souriant aux différents officiers alors que l’intérieur de ses cuisses laissait échapper de plus en plus l’évidence de ses frasques. Enfin assis dans le taxi, elle prit la main de Jean Marc pour la glisser entre ses jambes et lui essuyer de ses doigts le sperme dégoulinant, puis la portant à la bouche, elle suça avec application chacun de ses doigts, il en fut encore plus excité. L’enregistrement à l’hôtel fut expédié tant son désir le tenaillait et à peine entré dans la chambre, il baissa son pantalon pour révéler une érection triomphale.
Sophie rejetant son mini-slip en hâte, s’appuya des deux mains sur la baie vitrée dont les rideaux étaient entrouverts, et écartant les jambes en arquant la croupe, s’apprêtait à recevoir les assauts de son mari.
Il ne perdit pas de temps en préliminaires, le dard tendu, il s’approcha de la croupe et d’un coup de reins, empala Sophie sur sa verge jusqu’à la garde. Encore plus excité par le contact humide et gluant de son vagin, il lui labourait le ventre de grands coups de reins. Les seins écrasés sur la vitre, elle appréciait cette vigueur qu’elle avait su provoquer chez son homme. A chaque coup de reins, sa tête cognait contre le montant de la fenêtre, mais elle n’en avait que faire, son ventre prenait le contrôle sur tout le reste, elle allait jouir très fort comme seul son mari savait la faire jouir après l’avoir excitée et provoquée pendant de longues heures avec cet étranger encore présent entre eux par sa sève. Dans un brouillard, elle aperçut quelques mâles au bord de la piscine qui la regardaient, elle n’en fut que plus excitée. Le plaisir les fauchait très rapidement, Jean Marc s’agrippant à la croupe de femme s’épancha en elle alors qu’un orgasme fulgurant les terrassa sur place.
Ils ne reprirent conscience que lorsque la nuit fut tombée.
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