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Le Club Sans Tabou

Chapitre 1

Un jeu bien caché

Divers
Chapitre 1 : Un jeu bien caché
Cette partie permet de découvrir Henri et Lydia. Le Chapitre 2 plongera le couple dans ses fantasmes les plus extrêmes.
Habituée à des relations passionnées depuis mes premiers pas dans la sexualité, je me suis rapidement retrouvée frustrée en partageant ma vie avec Henri, depuis trois ans mon fiancé. En effet, sa libido est nettement moins exacerbée que la mienne, moi qui ne cesse de le désirer, lui et tout autre homme que je peux trouver à mon goût. Pourtant bien bâti, grand et athlétique, nettement avantagé par mère Nature qui a su lui offrir une virilité plus qu’intéressante, il semble manquer de confiance en lui, aussitôt que le sexe est concerné.
Je doute même qu’il ait des fantasmes autres que le missionnaire ou le coït sous la douche, tandis que je m’imagine des jeux coquins à longueur de temps, imaginant des clubs dont le but serait de réaliser tous mes fantasmes.
Grande blonde élancée, je sais parfaitement que bien des hommes seraient prêts à assouvir cette imagination débordante, loin de se laisser intimider par mon mètre soixante-dix-huit, ma taille de guêpe et ma cambrure avenante. Je ne sais toutefois pas comment aborder ce sujet avec Henri, et refuse par-dessus tout de lui être infidèle. Je devais trouver un moyen de réveiller l’homme qui sommeille en lui.
Un jour, alors qu’il rentre de son travail, élégamment habillé d’un pantalon noir et de sa fameuse chemise blanche qui laisse deviner le dragon tatoué sur son pectoral, je me glisse dans le salon sans un bruit, bien décidée à attirer son attention.
Allongée sur le canapé, je laisse apercevoir un tanga en dentelle rouge derrière mes longues jambes croisées avec sensualité. Mon ventre laisse paraître un piercing de la même couleur, assorti à mon soutien-gorge en tissu transparent qui décore le centre de ma poitrine d’un fin diamant.
Ayant une entière confiance en mes courbes avantageuses, mes fesses rebondies et mes petits seins ronds et fermes, je sais pertinemment que le spectacle sera beau à découvrir. Les ondulations des flammes des bougies laissent planer une ambiance sensuelle qui suffit à m’émoustiller.
J’entends Henri déposer son sac et sa veste, puis il apparaît enfin dans l’entrée du salon. Son expression vaut alors mille mots. Ses yeux bleus-gris s’écarquillent et je les sens dévorer mes formes avec avidité.
— Nous avons quelque chose à fêter ? me demande-t-il avec ironie.
Malgré son apparence décontractée, je sens que je le mets tout de même mal à l’aise. Pour toute réponse, je me contente de décroiser mes jambes, lui offrant une vue imprenable sur mon intimité, mise en valeur par la dentelle transparente de mon ensemble rubis. Henri s’approche de moi et fait courir un doigt le long de mes cuisses. Je le sens qui hésite dans ses gestes. Sa main n’est pas encore assurée et il réfrène avec difficulté quelques tremblements. Il est de mon devoir de le mettre en confiance. Je me penche alors vers lui, pour murmurer quelques encouragements à son oreille.
— Alors ? Comment veux-tu déguster ta surprise ?
Il frémit et un deuxième doigt vient rejoindre le premier afin d’explorer plus sereinement mon corps. Son toucher délicat me fait frémir et je vois que mes frissons l’encouragent dans sa découverte. D’abord glissant le long de ma cuisse, ses doigts remontent vers mon piercing en contournant cruellement la fleur de leur désir. Je sens son contact remonter le long de mon ventre, sillonner entre mes deux petites pommes, caresser ma gorge puis ma joue. Finalement, Henri plonge ses yeux dans les miens et je peux lire tout son désir. Sa main redescend vers mes lèvres pleines, les entrouvre, les caresse... et sans prévenir, c’est sa bouche qui se joint à la mienne. Tandis qu’il me maintient la nuque dans un baiser passionnel, Henri joue la carte de l’audace avec sa deuxième main. Celle-ci est nettement plus entreprenante que la première je dois dire, et en peu de temps, je bouillonne déjà de l’intérieur.

Henri s’en rend vite compte tandis que ses caresses glissent vers mon intimité avec une infinie légèreté.
— Je te fais tant d’effet que ça ? siffle-t-il d’un air taquin entre mes lèvres, en jouant avec mon humidité.
Loin de me laisser distraire par son souffle chaud venu chatouiller ma langue, je me contente de poser une main volontaire contre son paquet gonflé avant de lui rendre son regard d’un air entendu. Il rigole face à cette rétorque plus qu’explicite et appuie significativement sa braguette contre mes doigts, augmentant alors la pression. Je n’en peux plus. Sa main joue innocemment à la surface de mes lèvres gonflées, avant de s’insinuer sans prévenir vers le trésor qu’elles protègent. Mon excitation n’est plus un secret pour personne et je sens Henri sourire à travers ses baisers langoureux en me voyant frémir. Son doigt s’attarde un moment autour de mon clitoris, joue entre mes lèvres et s’amuse à glisser jusqu’à l’ouverture de ma grotte, la titiller sans jamais la profaner et repartir en arrière. En proie à un désir brûlant, mon bassin se met à onduler lentement, cherchant des caresses de plus en plus intenses.
Dans le même temps, j’ai déjà déboutonné son pantalon et glissé ma main à l’intérieur. Je caresse délicatement sa verge, déjà trop à l’étroit dans sa prison de tissus. Le boxer est tendu au point de rupture et je décide de voir jusqu’où peut aller ce chibre ainsi entravé.
Je ne le saurais jamais. Certainement, déjà à l’agonie, Henri se redresse, retire fiévreusement son pantalon et tire mes jambes d’un goût sec afin de m’allonger de tout mon long sur le canapé. Il se glisse alors prêt de mon bas-ventre en feu. Avant de se lancer dans de nouvelles initiatives, il pose sur moi un regard brûlant de désir qui me cloue sur place et avant même qu’il commence à faire courir sa langue entre mes cuisses, de petits gémissements se font entendre. Sa langue glisse, taquine, remonte vers ma féminité et s’arrête à la dernière limite. Sa caresse humide et chaude recommence le même manège sur mon autre cuisse, remontant jusqu’à la boursouflure de mes lèvres et s’y attardant avec patience. Trop de patience. Le salop a décidé de me rendre folle et c’est réussi.
J’avance alors discrètement mon bassin afin de venir m’écraser contre sa bouche pulpeuse. Répondant à l’appel, Henri se décide finalement à assouvir mes besoins et laisse glisser sa langue dans mon sillon. Elle se promène avec allégresse autour de mon clitoris, léchant avidement mon sexe. Il me prend à pleine bouche, suce et mordille mon intimité, se régalant des gémissements qu’il fait naître en moi et m’écarte les cuisses au maximum. Je m’accroche à ses cheveux, l’empêchant de quitter l’intérieur de mes jambes. Ainsi motivé, je sens sa langue devenir plus entreprenante encore. D’une main il m’écarte les lèvres, de l’autre il se branle comme un diable. Je devine sa verge tendue, plus dure que jamais, et savoir qu’elle sera bientôt en moi me fait pratiquement atteindre l’orgasme. Tandis que je m’imagine son chibre pénétrer ma vulve, je ne peux réprimer un sursaut en sentant sa langue s’insinuer brutalement en moi.
Henri me baise littéralement avec sa bouche, faisant des va-et-vient constants avec sa langue et me branlant le clito de sa main libre avant de rejoindre l’entrée de ma grotte. Il alterne alors entre la pénétration de ses doigts et de sa langue. Il me doigte d’abord de l’index, jouant avec mes nerfs comme bon lui semble. Puis le majeur finit par le rejoindre. Sa langue continue inlassablement sa course folle, rentrant dans mon intimité quand la voie est libre, dansant avec mon clitoris que je suis remplie. Les trois doigts en deviennent finalement quatre. Je suis écartelée, je gémis, je me tortille sous cette douce torture.
Au bord de l’extase, je parviens dans un effort surhumain à le repousser afin de m’occuper de lui à son tour, renonçant au grand final pour le moment. Je le jette en arrière, me saisis sauvagement de son membre dressé fièrement et sans cacher mon plaisir, le prends à pleine bouche. Sentir ce braquemart continuer de se raidir au-delà de l’impensable entre mes lèvres me repousse dans mes limites. J’accentue mes caresses, augmente mes va-et-vient et vais jusqu’à écraser mon nez contre ses poils. Je sens sa queue rejoindre le fond de ma gorge, lutte contre l’étouffement et recommence encore et encore, encouragée par les halètements de mon homme. Il souffle comme une bête, me saisit la tête, me force à gober son membre encore et encore de plus en plus violemment et rapidement avant de hurler presque incompréhensiblement.
— Je n’en peux plus, je te veux Lydia !
A ses mots, il me repousse, arrache sans vergogne mon soutien-gorge, libérant mes belles pêches de leur écrin. Il s’en saisit, les malaxe, les lèche avec violence et avidité... il vient me mordiller le téton avec passion avant de me retourner dans un mouvement brutal. Me retrouvant à quatre pattes par la force des choses, j’en profite pour lui agiter ma croupe rebondie sous le nez, la chatte luisante de désir. Il ne résiste pas à me mettre une petite fessée avant de s’accrocher des deux mains à ma croupe. Je sens alors finalement son membre chercher l’entrée de ma grotte. Finalement devant l’antre, son gland ne rencontre aucune difficulté à faire son chemin tant je suis mouillée. Gonflé comme jamais, je le sens s’insinuer lentement en moi. Toujours joueur, Henri attend de m’entendre geindre pour cesser sa pénétration, ne laissant que le bout de son gland à l’intérieur de mon sexe.
Je pousse mes fesses en arrière pour partir à sa rencontre, mais il se recule, plus rapide que moi, faisant ressortir le peu de « lui » qui me pénétrait. Au bord de la folie, je l’entends ricaner cruellement. Une main caresse mes fesses pendant que l’autre m’empêche de reculer vers sa queue. Sa main glisse vers mon petit trou, le caresse, trace ses contours... Sa verge est à nouveau présente en moi. Cette fois, il n’y va pas par quatre chemins. D’un coup sec, il m’embroche, laissant surgir un hurlement bestial qui trouve son écho dans ma bouche. Je gémis tant et plus, le suppliant de me fourrer, de me pilonner tant qu’il en a l’envie et plus encore.
Mais loin de vouloir encore me satisfaire, il se retire à nouveau. Ses mains reprennent leur assaut sur mes fesses. Je reprends une fessée, puis deux, tandis que je sens un doigt aventurier retourner à la conquête de mon cul. Puis, sans m’y attendre, je sens une caresse humide et brûlante se faufiler entre mon sillon fessier. La langue d’Henri vient rejoindre son doigt et ils se livrent tous deux à une valse endiablée. Un doigt s’enfonce dans mon con. Un autre m’écarte doucement le petit trou. Une langue vient s’y insinuer malicieusement à son tour. Puis je me retrouve embrochée par un pic de vingt centimètres, écartelant mes entrailles, jouant à l’intérieur de moi. Il se recule doucement, renfonce son gourdin jusqu’à la garde. Il recommence, faisant claquer ses bourses contre mon clito. Jamais je ne me suis sentie aussi complète. Je me sens ravagée de l’intérieur et ça me plaît. Je crie tout ce que j’ai.
Je ne sais plus qui je suis, je ne suis qu’un animal en proie à ses désirs primaires.
— Baise-moi Henry ! Comme jamais tu ne l’as fait ! Prends-moi comme tu veux, fais ce que tu veux de moi !
Mes hurlements sont étouffés en même temps qu’il me plante la tête dans les coussins. Il m’écarte les fesses en les serrant de toutes ses forces, me fourre encore et encore, me hurle que je suis son « jouet ». Une main quitte mes fesses pour rejoindre mon clitoris. Il me touche, me branle le clito, activant en moi tous mes points érogènes. Du moins, je le pensais. Alors que je pensais ne pas pouvoir monter plus haut dans l’extase, il me crache sur le petit trou avant d’y planter un doigt audacieux. Une phalange tout au plus, mais cela suffit. Jamais cette entrée n’avait été visitée jusqu’alors, et jamais je n’aurais pensé que ce soit si bon. Il m’écarte le trou, joue dedans en faisant frétiller son doigt sous mes feulements. Tout d’un coup, une vague prend naissance en moi, me secouant et me tétanisant en même temps. Elle remonte de mes jambes jusqu’à mon sexe puis mon ventre, ne cessant de me faire trembler et hurler.
Je me cambre autour de la bite d’Henri, la serrant comme jamais, secoue mon cul autour de son doigt toujours planté et me frotte contre sa main posée sur mon clito. Henry rugit à cette vision, et me rejoint dans l’extase. Son chibre grossit encore entre mes parois, et il m’inonde de son fluide.
Tandis qu’il me lâche finalement, je m’écroule comme une poupée dans le canapé, reprenant mon souffle tant bien que mal. Je sens Henry s’asseoir à son tour, la bite toujours dressée, dégoulinante. Je rampe alors jusqu’à lui et entreprends un nettoyage méticuleux de son pilier. Je laisse courir ma langue jusqu’à son gland, récupérant les dernières gouttes de sperme qui s’y trouvaient. Gémissant de plaisir, il se laisse aller à ce nettoyage sans bouger, laissant ma bouche effacer toute trace de mouille et de semence, s’enroulant autour de son membre avec douceur.
— Moi qui pensais que tu ne te lâcherais jamais, lui lancé-je d’une voix provocante, une fois mon nettoyage terminé.
Henri pose des yeux plein de mystère sur moi.
— Ha oui ? Eh bien si c’est ce que tu attends, tu n’as encore rien vu.
A ces mots, Henry se lève, dévoilant devant moi son fessier de spartiate, et disparaît dans les couloirs. Quand il revient finalement, il tient dans les mains une boîte quelconque et l’agite fièrement devant moi, un air plus malicieux que jamais greffé au visage.
— Tu vas avoir bien des surprises ! dit-il d’une voix presque menaçante.
Il me jette alors un prospectus sur lequel je lis en grosses lettres : « Club Sans Tabous, vos fantasmes comme vous ne les avez jamais rêvés ».Je n’ai pas le temps de relever le nez que Henri m’attrape les mains, les menotte et me passe un bandeau sur les yeux. Il me traîne jusqu’à la voiture et démarre sans rien dire, tandis que je sens une légère appréhension naître en moi.
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