Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 43 J'aime
  • 0 Commentaire

Le Club Sans Tabou

Chapitre 2

Chapitre 2 : Test de Passage

Avec plusieurs hommes
Les yeux bandés, les mains liées, je sens l’excitation monter en présence de ma femme ainsi livrée. Mais je dois me concentrer sur la route. Un sourire étire mes lèvres tandis que je me remémore sa dernière expression. Elle voulait que je me libère. Lorsque je lui ai dévoilé le prospectus du Club Sans Tabou, j’ai lu la frayeur s’emparer d’elle devant mon regard malicieux. Elle n’avait aucune idée à quelle bête elle allait rendre sa liberté, en agissant comme elle l’a fait.
Plus nous roulons, plus je sens son angoisse grimper et elle n’a aucune idée à quel point cela m’excite. Toujours habillée de son ensemble de dentelle rouge, ses seins sont remontés de manière provocante et je ne peux m’empêcher de lorgner sur ces deux belles pommes. Heureusement, nous arriverons bientôt.
Une fois garé, je sors délicatement Lydia de la voiture et la pousse en avant, la guidant jusqu’à la porte du club. Rien ne signale les activités livrées ici. Une simple devanture grise offre les initiales du lieu : CST.
Je sonne à l’interphone et je sens Lydia se tendre contre moi face à l’attente oppressante. Une voix grave se fait finalement entendre.
— Le mot de passe ? — Un fantasme n’est qu’un rêve, le Club Sans Tabou est réel.
Dans un cliquetis, la porte s’ouvre sur une pièce sombre. Lydia commence à trembler comme une feuille. Peut-elle sentir les odeurs de sexe qui émane du lieu malgré l’encens diffusé ?
— Alors comme ça, tu t’es décidé à la ramener ?
C’est le chef du club qui vient de parler. Il s’avance vers moi, le regard triomphant.
— Eh bien ! Tu m’avais dit que c’était une perle, je dois dire que tu as pesé tes mots, elle est splendide !
Lydia n’ose toujours pas bouger. Je m’écarte d’elle afin de laisser le Boss l’observer, je l’entends gémir et je ne retiens alors plus une nouvelle érection. Elle est si belle comme ça. Le Boss commence alors à tourner autour de ma femme comme un vautour, faisant claquer ses chaussures sur le sol. Il l’observe sous tous les angles et s’attarde finalement sur sa croupe rebondie.
— Elle plaira à notre clientèle exotique, c’est certain ! s’exclame alors le Boss. — Vous avez... — On ne parle pas sans mon accord ici ! tonitrue le Boss.
Lydia a sursauté face à l’excès de colère et se recroqueville, alors que le Boss lui glisse un bâillon entre les dents.Soulagé qu’elle soit acceptée dans le club, j’attends la suite des ordres.
— Bien, emmène là dans la chambre test, veux-tu. Nous allons voir ce qu’on peut faire. — Je dois préciser que Lydia n’est pas spécialisée dans l’anal, mais dans le coït Boss.
Bien que je me fiche qu’elle se fasse dépuceler du petit trou, je suis bien obligé d’admettre que je préférerais avoir cet honneur.
— Tant mieux ! Nous manquons de candidate, fanfaronne le Boss.
Le petit homme grassouillet disparaît ensuite, traînant derrière lui une Lydia morte de peur. Je les suis de près, impatient de découvrir ce qui va arriver à ma femme. Quand elle me demandait de la traiter comme son jouet, je parie qu’elle ne s’attendait pas à ça !
— Bien, Lydia, je suis le Boss. C’est moi qui contrôle ces lieux, qui accepte des membres dans le club et je suis le seul à devoir être écouté, est-ce clair?
Lydia hoche la tête timidement. Heureusement qu’elle a toujours le bandeau sur les yeux, car elle risquerait de prendre la fuite. La pièce est remplie d’objet en tout genre et il faut connaître le club pour savoir que tous ne sont pas forcément utilisés bien sûr.
— Tu vas te mettre nue pour commencer.
Lydia obtempère et laisse tomber son ensemble de dentelles, révélant ses deux pêches bien pleines, sous l’œil appréciateur du Boss.
— Parfait, laisse-toi guider maintenant.
Le Boss attire ma femme vers un lit à baldaquin de plusieurs mettre de large, et la fait se mettre à plat ventre. Il tape dans les mains et plusieurs nouvelles candidates font leur entrée. Il y en a pour tous les goûts. Des formes, des fines, des grandes, des petites, des rousses, des blondes... Toutes s’applaventrent aux côtés de Lydia, les yeux bandés.Un instant plus tard, autant d’hommes entrent à leur tour. Pour avoir déjà passé du temps au club, je reconnais les membres du jury. Leur travail est d’accepter les membres, de les tester et de conserver de l’harmonie dans le club.
— Messieurs, c’est à vous ! lance alors le Boss.
Je vois Lydia frémir en comprenant que des hommes sont entrés. Est-ce de crainte ou d’excitation ? Dans les deux cas, la mienne est plus que visible. Un des hommes s’avance et pose son dévolu sur une petite femme rousse bien en chair. Directement, un assistant vient la saisir et la guide vers une autre salle. La deuxième femme à être sélectionnée est Lydia qui dans un gémissement est transportée à son tour. Quatre femmes auront été sélectionnées et emmenées. Les autres rentrent chez elles. Je m’apprête à suivre le groupe quand le Boss m’appelle.
— Henri, tu ne peux pas suivre ta femme ici. Mais viens avec moi, je dois aller superviser les nouveaux membres masculins. Tu assisteras à leur élection pendant qu’on élira peut-être ta femme ici.
Je laisse alors à regret Lydia et suis le Boss dans une nouvelle salle. Des hommes sont attachés à un lit face à un comité de femmes qui, chacune leur tour, élisent les nouveaux membres. Bien que cela m’excite, je ne peux m’empêcher de penser à ce que Lydia est en train de vivre.
LYDIA
Je suis totalement terrifiée. Mais, une légère excitation ne peut s’empêcher de me gagner. Ainsi livrée, je ne suis maître de rien et n’ai d’autres choix que de suivre mes geôliers.
— Mesdemoiselles, installez-vous sur une chaise.
Quelqu’un m’aide à grimper sur une plateforme et me fait m’asseoir, avant de me passer une ceinture de sécurité. Je ne comprends pas du tout ce qui se passe.
— Est-ce que vous êtes toutes bien accrochées ?
J’entends les autres femmes confirmer et acquiesce à mon tour, une fois mon bâillon retiré. A ce moment-là, la plateforme sur laquelle nous sommes remue, et nous voilà basculer en arrière, à l’horizontale. Ma tête repose alors sur l’appui-tête et on me donne un bouton pour régler la pression afin d’orienter à ma guise l’inclinaison de ma nuque. De toute évidence, rien n’est laissé au hasard. Je continue d’appréhender la suite, ne comprenant pas ce qui va arriver.A ce moment-là, je sens que l’assise de la chaise est retirée et mes jambes sont accrochées en hauteur. Je suis ligotée, nue, les jambes en l’air, les yeux bandés. Rien n’aurait pu plus m’effrayer... et m’exciter.
— Bien, à vous mesdames, annonce un jury.
Je ne comprends d’abord pas ce qu’il veut dire par là. Qu’attend-il de nous ? Puis, lorsqu’une main vient me faire la toilette à coup de lingettes, je comprends qu’il s’adressait à quelqu’un d’autre. Une fois toutes nos croupes propres et fraîches, j’entends dire que l’on peut commencer. Le nœud d’angoisse dans mon ventre se resserre. Que va-t-il m’arriver ? Je n’ai pas le temps de me poser la question trop longtemps qu’une main vient se plaquer sur mes fesses. Une main qui palpe, caresse, teste la douceur de ma peau. Le membre du jury m’écarte les lèvres et je l’entends soupirer de satisfaction.
— J’en ai une qui apprécie particulièrement ce test les gars !
De toute évidence, mon excitation est bien visible. D’un doigt, il glisse le long de ma fente, me touche le clito, le pince doucement puis le remue. Il effectue des ronds avec ses doigts, guettant le moindre signe d’excitation en moi.
— Et en plus de ça, elle réagit mieux que personne ! Vous allez vous amuser, je vous le dis !
Ils vont s’amuser de moi ? Je suis donc devenue un jouet... jamais je n’aurais pensé que Henri me prendrait au sérieux ! Plongée dans mes pensées, je sursaute en sentant une langue se poser sur mon clitoris. Elle ondule entre mes lèvres un moment, puis glisse le long de ma vulve pour venir baiser mon vagin. Je la sens gesticuler à l’intérieur de moi puis, la bouche se referme complètement sur ma moule et aspire. Mon clito est mordillé, malmené et je ne retiens plus mes gloussements. Un inconnu me mange la chatte, je ne sais même pas à quoi il ressemble et c’est grisant. Allongée, ligotée, aveugle, je me laisse faire sans retenir mon plaisir.
— En plus, elle a bon goût ! Vous n’allez pas me laisser tout seul !
Je ne comprends pas tout de suite le sens de sa phrase quand, tout d’un coup, je sens d’autres mains se poser sur moi. Je suis livrée à une dizaine de paires de mains qui me palpent chacune leur tour, les fesses, les cuisses, le con... Les langues me goûtent les unes après les autres, des doigts les rejoignent, m’écartent la vulve, se promènent sur mon cul... Ce ne sont pas des gémissements que je laisse échapper, mais de véritables hurlements. Ligotée, je ne peux pas bouger, ni me dérober aux caresses trop insistantes. J’entends des pantalons tomber. D’autres femmes gémissent dans la pièce et des odeurs de cyprines remontent.
Un membre dur comme l’acier vient se coller contre mes fesses. Il s’amuse à passer entre mon sillon, titille mon trou et d’un coup, rentre profondément en moi ! J’essaye de gesticuler, mais c’est impossible. Mes cuisses sont attachées, mon corps pratiquement ligoté, mes mains liées, je ne peux rien faire d’autre que savourer le moment. La bite qui s’est insinuée est dure comme le marbre, mais pas très impressionnante. De toute évidence, son porteur en est conscient, car il se retire, non sans commentaire.
— Les gars, on peut y aller à plusieurs là-dedans, je vous le dis ! — Ça, c’est parce que c’est toi, petit !
Tout d’un coup, devant mon entrée se fait sentir un gland plus gros que je n’en ai jamais senti. Tandis qu’il pousse vers ma grotte, les mains des autres continuent de découvrir mon corps. Je prends des fessées, mon clitoris n’est jamais laissé au repos et petit à a petit, je sens différents doigts partir à la conquête de mon cul. Aucune brutalité en soit, ils respectent tous la consigne. On ne doit pas me dépuceler les fesses. Mais les phalanges des uns et des autres se relaient inlassablement, découvrant chacune leur tour mon petit orifice. Tous ces hommes se plaisent à me faire gigoter sous leurs assauts. Le gland parvient finalement à ses fins et avec mon excitation entre sans peine en moi. C’est un véritable gourdin qui se faufile en moi. Mes parois sont au bord de la rupture.
— Tu vois, elle est parfaite pour ce modèle-là ! Faudra le noter sur sa fiche !
Comme pour approuver ses dires, le propriétaire de ces 25 centimètres pour une circonférence d’un avant-bras remue énergiquement en moi, me faisant hurler de plaisir et de douleur. Il me pilonne sans vergogne pendant que ses acolytes continuent de se livrer à toutes les expériences qui leur passent par la tête. Ils n’ont pu résister à insérer deux doigts en même temps dans mon trou, me faisant frémir de bonheur. Deux ou trois autres s’occupent toujours avidement de mon con, stimulant mon clitoris sans se fatiguer, profitant des échanges de queues pour venir me le mordiller, le sucer et le lécher comme une glace. Je sens finalement l’extase monter, plus menaçante et intense que jamais.
— On n’a pas essayé sa bouche les gars !
Alors que je m’apprête à partir dans un orgasme délirant, l’un deux grimpe sur une table, se met au-dessus de moi, et profite d’un nouveau hurlement pour me fourrer sa bite violemment dans la gorge. Stimulée de toutes parts, plusieurs doigts entre les fesses, des mains sur la vulve, un braquemart entre les cuisses et la bouche remplie, je me contorsionne finalement entre mes liens, menaçant de les faire lâcher. Je sens alors le fluide de mon étalon se vider en moi, celui du dessus m’inonder la bouche et les autres m’asperger le corps de leur semence. Épuisé, chacun de mes membres se relâche finalement pendant qu’une petite main vient me nettoyer.
— Je vous avais dit qu’il y avait de quoi s’amuser avec elle ! Bon, suivante !
J’entends les hommes s’éloigner lentement, vidée de mon énergie. Jamais je n’aurais imaginé pouvoir ressentir autant de choses !Malgré mon épuisement, je ne peux toutefois pas m’empêcher de penser à Henri. Je me rappelle seulement avoir entendu le Boss l’inviter à participer aux élections des hommes.
Diffuse en direct !
Regarder son live