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Le Club J : Tante Ingrid

Chapitre 1

Quiproquo

Inceste
Résumé : Jeanne est maintenant membre du Club J, et son fils David est son amant. L’arrivée inattendue de sa sœur Ingrid les empêche de poursuivre leur relation, ce qui crée des tensions entre David et elle. Mais les ennuis s’annoncent avec la légendaire perspicacité d’Ingrid.
Ingrid sortit du taxi et en extirpa son lourd sac de trek, sans pouvoir compter sur l’aide de son désagréable chauffeur qui grommela quelques vagues politesses avant de démarrer précipitamment et de quitter les lieux. Elle contempla le paysage autour d’elle en soupirant.
Ce lotissement des Sept Portes était un de ces quartiers clos pour riches typiques. Des maisons prétentieuses alignées à la perfection, des rues d’une propreté clinique, une absence totale de recoins sombres, des pauvres invisibles ou rejetés à l’extérieur... Sa sœur Jeanne avait beau être plutôt conformiste et petite bourgeoise à ses yeux, Ingrid ne comprenait pas comment elle avait pu se retrouver cloîtrée dans ce fantasme hygiéniste sans âme. Les seuls détails qui pouvaient dépayser un peu étaient le ciel immaculé et la chaleur, bien éloignés du ciel maussade de leur ville de naissance. Munie de quelques notes prises à la hâte, elle se mit à la recherche de la nouvelle maison de sa sœur.
Sous un soleil de plomb, elle arpenta les allées silencieuses et monotones, parfois égayées par des voisines se saluant avec des sourires faux-cul par-dessus leurs haies parfaites. Ingrid se flattait d’être une randonneuse accomplie, capable de traverser une jungle sans se perdre, mais l’uniformité de ce décor la désorientait. Quand enfin elle lut le nom de Jeanne sur une boîte aux lettres, son aversion pour le lieu était devenue presque épidermique. Elle pressa le bouton de la sonnette et n’attendit que quelques instants avant que la porte ne s’ouvrît.
Avant même d’apercevoir sa grande sœur, elle entendit un petit gloussement coquin.
— Déjà de retour, petit cochon ? Tu veux que je te... Jeanne s’interrompit.— Salut, répondit Ingrid en riant aux éclats.
Les deux sœurs avaient des silhouettes très semblables, la cadette étant un peu plus athlétique à cause des kilomètres de marche. Leurs cheveux étaient blond foncé, lisses et bien entretenus pour Jeanne, bouclés et simplement tenus par un bandeau pour Ingrid. Celle-ci rompit le silence, gênée :
— Tu attendais quelqu’un d’autre, non ?
Les intentions de son aînée semblaient évidentes à Ingrid. Jeanne portait une de ses habituelles robes de chambre orientalisantes à larges motifs floraux qu’elle aimait tant, mais celle-ci ne descendait pas plus bas que le haut de la cuisse. Sous le satin de la robe de chambre, une onéreuse lingerie attira l’attention d’Ingrid. La poitrine de Jeanne avait beau être plus petite de presque deux tailles de bonnets, son soutien-gorge pigeonnant mettait presque les sœurs à égalité. Le string et les bas ornés de dentelle assortis étaient des plus inhabituels, et les sandales compensées à talons de corde étaient hors de propos pour une écrivaine femme au foyer, de même que la petite chaîne en or autour de la cheville droite. Ingrid, elle, était fidèle à sa réputation de routarde et portait ses sempiternels short en toile, maillot sans manche et chaussures de marche, nettement moins sexy.
Passé le moment de gêne, la maîtresse de maison invita sa sœur à entrer, poser son lourd sac et siroter une tasse de thé.
— Tu t’acclimates, dans ton vivarium corporate ? Ironisa Ingrid.— C’était dur au début, mais j’ai trouvé mon équilibre, répondit Jeanne.— Tu attendais ton mari quand je suis arrivée à l’improviste ?
Jeanne acquiesça, mais après un imperceptible moment d’hésitation qui n’échappa pas à Ingrid. Celle-ci avait toujours été particulièrement sensible aux subtiles manifestations de malaise qui permettaient de confondre les époux infidèles, à tel point qu’on l’eût crue dotée de pouvoirs de divination.
— Tu trompes ton mari !
Le silence de Jeanne fut éloquent.
— Petite nympho, va ! Jubila Ingrid. Depuis longtemps ?... Tu t’es remise à coucher avec des meufs ?... C’est un bon coup ?— Oui, c’est ça, répondit précipitamment Jeanne en espérant que cette petite parcelle de vérité cédée à sa sœur mettrait fin à l’inquisition.
Ingrid but son thé sans cacher son sourire jusqu’aux oreilles. Son beauf n’avait jamais été digne de sa sœur à ses yeux, elle détestait son hypocrisie, son carriérisme et sa médiocrité. Elle le haïssait d’autant plus qu’il avait entraîné Jeanne dans ce qui ressemblait à l’incarnation immobilière de son esprit minable, au mépris total du bien-être de sa femme et son fils.
Elle ressentit le besoin de justifier sa satisfaction devant sa sœur.
— Il t’a trompée lui aussi, il y a longtemps, et il a même fait un gosse dans ton dos avant la naissance de David.
Jeanne haussa les épaules, c’était de l’histoire ancienne.
— Ça te fait du bien, tu es magnifique, insista la cadette. Tu jouis ?
En guise de réponse, l’aînée leva les yeux au ciel en souriant.
— Je suis jalouse ! Ça fait tellement de temps que j’ai pas eu de coup potable. Ton mari n’en sait rien bien sûr...— Bien sûr que non !— Et dire que c’est moi qu’on appelle la marie-couche-toi-là de la famille ! Tu caches bien ton jeu, la grande sœur modèle !

Le son de la porte d’entrée s’ouvrant retentit alors dans la maison et Jeanne se figea. Une voix dit :
— Voilà Maman, Papa est à l’aéroport ! Je suis super chaud, si tu savais ce que je vais...— Mon chéri ! Viens voir qui nous rend visite ! Répondit précipitamment Jeanne.
David apparut dans l’encadrement de la porte de la cuisine, une expression de surprise embarrassée sur le visage.
— Tante Ingrid, dit-il. Quelle surprise !— Ta tante voulait passer quelques jours avec nous pour ton anniversaire.— Merci, Tante Ingrid.
Le jeune homme embrassa sa tante, qui en fut ravie. Elle adorait son neveu tout autant qu’elle détestait son beau-frère. David rejoignit les deux femmes.
Perplexe, Ingrid sentit son intuition infaillible la titiller à nouveau. Elle capta encore cette tension reconnaissable entre sa sœur et le fils de celle-ci et elle remarqua aussi que David ne semblait pas le moins du monde surpris ni même gêné par la tenue d’allumeuse de sa mère. Puis elle fut frappée de noter que Jeanne n’aurait jamais pu caler un rendez-vous adultérin entre le départ de son fils et de son mari et le retour de son fils seul. Ces incohérences la frustraient et éveillaient sa méfiance.
Un peu avant le dîner, Jeanne daigna finalement porter une tenue moins scandaleuse et la famille fit son ordinaire d’un repas simple et frugal, pendant lequel Ingrid leur raconta sa vie de bâton de chaise, d’un projet humanitaire à l’autre, d’un lit à l’autre, tout autour du monde. Jeanne et David, eux, furent peu diserts sur leur vie aux Sept Porte. Le dîner fini, elle se doucha dans la salle de bain digne d’un château avant d’enfiler un maillot et un short de toile propres et, ses pieds nus ne faisant que peu de bruit alors qu’elle retournait vers la cuisine pour un dernier verre d’eau, elle surprit malgré elle sa sœur et son neveu en pleine conversation de conspirateurs.
— Allez Maman, s’il te plaît. Papa était là pendant trois semaines. J’en peux plus, là !— Mais moi aussi j’ai envie, mon chou. Toi et moi on pourra bien attendre encore quelques jours avant de le faire, non ?— C’est ce soir que je veux le faire, ça fait trois semaines que je me prépare pour ça. On pourrait le faire discrètement.— Tu sais bien que toi et moi, on est pas discrets. Ingrid nous entendrait.— Mais Tante Ingrid ne le dirait jamais à Papa, elle le déteste.— Ta tante est peut-être plus ... libérée que le reste de la famille, mais même elle serait choquée de voir ce que toi et moi on fait.— Juste un petit coup vite fait.— Ah non, pas question ! Je veux bien me torturer encore une semaine à attendre plutôt que ce soit mal fait. Tu sais comme je déteste quand tu bâcles le travail.— Bon, d’accord, tu as raison. Je vais me coucher.— Ne sois pas fâché chéri, c’est pas ma faute.— Bonne nuit Maman.
Le cerveau d’Ingrid bouillonna quelques instants, digérant une conversation qu’elle avait surprise plus d’une fois, mais jamais entre une mère et son fils, se refusant à admettre la seule explication possible. Elle regagna discrètement la chambre d’amis dont elle venait de fermer la porte quand soudain, ses inhibitions morales s’effacèrent devant l’évidence qui lui hurla intérieurement : « Je te le dis depuis le début ! »
Jeanne couche avec son fils David ! C’est lui le super coup qui a changé sa vie !
À sa grande surprise, Ingrid ne fut pas vraiment choquée de cette conclusion, elle était inconsciemment au courant depuis que ses yeux s’étaient posés sur la lingerie affriolante de sa sœur. David était un vrai petit veinard de pouvoir mettre son joli petit lot de mère dans son lit. Elle avait une belle silhouette mince et son cul était un vrai chef-d’œuvre de la nature. Maintenant l’interdit tombé sans fracas dans son esprit, Ingrid se dit qu’elle était jalouse de son neveu. Sa dernière période lesbienne en date était bien finie, mais elle aurait volontiers couché avec une femme aussi sexy que sa sœur.
Non, elle aurait volontiers couché avec sa sœur. Ingrid assumait toujours ses désirs, même les plus honteux, et pendant quelques minutes ce soir-là, elle rêva de fourrer sa tête entre les cuisses de son aînée pour sucer son délicieux clito jusqu’à la faire crier. Mais très vite, ses pensées se portèrent sur son adorable neveu. Il était tellement beau, avec cette peau superbe, tellement bien bâti, il ressemblait beaucoup aux mignons petits étudiants sur lesquels elle mettait le grappin dès leur arrivée dans l’humanitaire. Elle se voyait volontiers à califourchon sur le jeune homme. Tout neveu qu’il fût, s’il était assez bon pour sa mère, il serait assez bon pour sa tante. Il devait être aussi vigoureux, infatigable et, si l’on en croyait sa mère, beaucoup plus talentueux que les jeunes hommes de son âge. Il faudrait être complètement insensée pour snober un coup aussi fantastique.
Elle émergea de sa torpeur en un sursaut suivi d’un petit couinement. Elle tira ses doigts poisseux de sa culotte et reprit son souffle en suçant sa délicieuse cyprine. Sa rêverie l’avait trempée de sueur et elle s’était machinalement doigtée en pensant à son neveu. L’orgasme s’évanouit vite et elle se leva.
— Me voilà bonne pour reprendre une douche, murmura-t-elle pour elle-même.
Elle abandonna ses vêtements au sol et sortit toute nue sur le palier du premier étage, complètement indifférente au risque d’être vue ainsi par un membre de sa famille. Elle tendit l’oreille vers la chambre de Jeanne, juste à côté. Un bruit de respiration lente et profonde lui révéla que sa sœur aînée dormait du sommeil du juste. Ingrid se retint d’envahir l’intimité assoupie de sa sœur et se tourna de l’autre côté, vers la salle de bain.
Devant la chambre de David, elle n’entendit que le silence, ni souffle paisible de sommeil ni halètement de trouble érotique nocturne. Elle marqua l’arrêt devant la porte et prêta à nouveau l’oreille. Une petite toux confirma que son neveu attendait sans succès de s’endormir. Elle poussa doucement la porte et se glissa sans bruit dans la chambre. La pièce était plongée dans l’obscurité complète et elle tâtonna quelques instants jusqu’à toucher le pied du lit. Puis, remontant les draps, elle se mit en recherche du corps du jeune homme. Un peu avant qu’elle ne l’atteignît, David perçut sa présence silencieuse.
— Maman ? Chuchota-t-il.
Ingrid toucha sa cheville. Il dormait nu sur ses draps, à cause de la canicule. La main de sa tante remonta le long de sa jambe, jusqu’à son membre, qu’elle trouva aussi dressé qu’elle l’espérait. Elle l’attrapa.
— Alors Maman... Tu vois que tu peux pas te passer de ton jouet, dit-il crânement.— Chut, lui intima sa tante, qui commença à branler délicatement le jeune homme.
Elle se sentait très excitée d’être prise au lit pour une autre femme, d’autant plus d’être prise pour son excitante sœur. Mais le détail le plus émoustillant de cette méprise était d’être appelée Maman par l’homme dont elle tenait la bite. Elle nota pour l’avenir qu’elle demanderait à ses futurs amants de la nommer ainsi.
Les halètements de David confirmèrent que la pression de sa main était satisfaisante, et leur rythme l’invita à accélérer ses caresses. Une main tâtonna sur sa cuisse droite jusqu’à atteindre sa fesse. Elle en suivit l’exemple et explora de sa main libre le torse allongé sur le lit. La main sur sa fesse se mit à pétrir gentiment. La queue dans sa main gauche avait encore durci et était d’une taille très respectable, tout à fait à son goût. Sa main droite se promenait sur un beau torse délicatement musclé et sans poil, comme elle les aimait.
— Suce-moi Maman, demanda David.
Il parlait un peu trop fort pour Ingrid, qui craignait qu’il n’attirât l’attention de sa véritable mère. Elle décida de le faire taire, mais avec style. Tenant toujours la bite de son neveu, elle passa la jambe par-dessus la tête de celui-ci et s’allongea sur le lit, en collant sa chatte bien mouillée sur le visage du jeune homme ravi. Elle roula les hanches d’avant en arrière et lui barbouilla généreusement le menton de cyprine. Elle continuait pendant ce temps de branler le gros vit bien dur. David la força à arrêter ses mouvements en attrapant ses belles fesses bien rebondies à pleine main. Elle prit le gland dans sa bouche et le téta gentiment pendant que son neveu donnait quelques coups de langue sur ses grandes lèvres qui la firent sursauter.
— J’aime trop le goût de ta chatte, Maman.
Ingrid gloussa de contentement, sans savoir vraiment ce qui l’excitait tellement dans cette phrase. Était-ce le fait d’être encore appelée « Maman » en plein acte ou d’être prise pour une autre ? Peut-être était-ce compliment qui la mettait en joie. Toujours était-il qu’elle venait d’apprendre que sa sœur avait une chatte délicieuse et que cela lui donnait encore plus envie de la goûter. Pour l’heure, et en matière de goûter les membres de sa famille, elle reporta son attention sur la saucisse bien raide de son neveu et elle goba une bonne longueur de chair. David approuva par un profond soupir. Elle serra ses lèvres sur le pieu et le sortit lentement de sa bouche, jusqu’au gland. Puis elle recommença son manège en se remettant à branler d’une main.
— Oh oui, tu suces trop bien, Maman !

Elle recolla sa chatte sur la bouche du jeune homme, pour le faire taire. Il saisit le message et donna quelques petits coups de langue sur le clito de sa tante qui en eut de petits frissons de plaisir. Il compléta cette stimulation orale en glissant deux doigts dans la chatte toute mouillée d’Ingrid, qu’il fit coulisser en rythme dans le fourreau bien brûlant de sa tante. Celle-ci, la bouche prise par la grosse queue bien dure, émit un long gémissement approbateur.
Elle mettait beaucoup de cœur dans cette pipe, elle ne voulait pas que l’opinion de son neveu sur sa sœur ne pâtisse d’une mauvaise performance de sa part. Elle pompait la queue en la gobant jusqu’à la garde avant de remonter en serrant bien les lèvres. Sa main droite serrait bien fermement le membre en accompagnant le mouvement de sa bouche, sa main gauche caressait délicatement les couilles pour encore plus d’excitation. Elle connaissait ses qualités et savait que si elle accélérait, ne serait-ce qu’un peu, le jeune homme ne tarderait pas à se soulager dans le fond de son gosier, mais elle avait d’autres projets pour sa purée bien chaude.
David, pendant ce temps, faisait tranquillement monter le plaisir en lapant le petit bout gonflé du clitoris de sa tante. Il retira ses doigts de la chatte, ils étaient bien enduits de mouille épaisse, presque huileuse. Puis, intimidé par sa propre audace, il caressa du bout du doigt, entre les fesses, le petit trou du cul d’Ingrid.
En son for intérieur, celle-ci sourit. Son neveu était, comme tous les hommes qu’elle connut, gourmand de chatte, mais son vrai péché mignon, son plaisir absolu, c’était le cul. Jeanne ne le laissait visiblement pas la sodomiser, et le pauvre petit en était manifestement frustré. Mais Ingrid, au contraire de sa sœur, s’était déjà laissée enculer. Elle ne ralentit nullement les mouvements de sa fellation et intensifia même sa succion sur la bite de son neveu. Dans le même temps, elle relâcha les muscles de son cul, en espérant que David capterait le sens de cette subtile incitation.
L’intéressé saisit le message et glissa, un peu timidement, une phalange dans l’anus de sa tante, qui gémit doucement pour signifier son approbation. Rassuré, il enfonça profondément son majeur dans le cul d’Ingrid. Puis, pour faire bonne mesure, il ajouta deux doigts de son autre main dans la chatte de sa partenaire. Ce faisant, il continuait de titiller le clito avec la langue. Il commença à doigter à un rythme soutenu la chatte et le cul de celle qu’il avait prise pour sa mère.
Ingrid succomba vite à cet assaut coordonné. De peur que ses vocalises orgasmiques n’aient pas tout à fait le même timbre que celles de sa sœur, elle fourra la queue de son neveu bien au fond de sa bouche. Elle tremblait trop pour poursuivre le superbe mouvement de piston de ses lèvres sur l’organe. Elle poussa de petits couinements étouffés au tempo des doigts de son prétendu fils :
— Alors, tu aimes ça dans le cul, finalement, Maman.
Le corps de sa tante se tendit entièrement en guise de réponse et il reprit ses coups de langue sur le petit bouton sensible. Il ne vit pas la peau du cou et du visage d’Ingrid virer à l’écarlate, ni ses mains empoigner compulsivement les draps, presque à les en déchirer, mais il sentit les nombreuses vagues de spasmes qui secouèrent le corps féminin étalé sur lui.
Ingrid extirpa de sa bouche le chibre impressionnant de son neveu et reprit difficilement son souffle. Sa mâchoire lui faisait mal, ses bras et ses jambes s’étaient engourdis dans la crispation préorgasmique et les frissons s’atténuaient doucement. C’était un bien beau premier orgasme. David avait eu la délicatesse de cesser ses stimulations au moment où elle jouissait et ses mains faisaient rouler les belles fesses de marcheuse, un très plaisant massage d’après jouissance.
— T’as fait de la muscu dernièrement, Maman ?
Elle ne releva pas ce compliment sous-entendu et, tenant la bite de son neveu bien en main, elle passa une jambe par-dessus le corps du jeune homme, se redressa et pivota sur le lit, enjamba à nouveau pour se retrouver accroupie au-dessus de David, face à lui.
Le jeune homme retint son souffle par anticipation. Sa tante frotta le gland à vif contre sa vulve bien dégoulinante. Elle en eut des frissons. De sa main libre, elle écarta délicatement les petites lèvres pour engager l’ogive dans sa chatte. David tendit les mains vers la poitrine pour saisir les seins de sa fausse mère. Mais Ingrid craignait que sa gorge ne fût trop plantureuse pour ce rôle et elle intercepta les mains baladeuses pour les poser d’autorité sur ses hanches. Le jeune homme se laissa faire et agrippa docilement les belles courbes. Ingrid se dit en souriant intérieurement que faire croire à son neveu qu’elle était sa mère pour qu’il la baise était complètement improbable.
David la tira doucement vers le bas pour l’empaler sur son membre. Elle le sentit la pénétrer lentement et savoura ce moment, l’un de ses préférés dans toute partie de jambes en l’air. Elle posa les mains sur la poitrine de son neveu. Il était très sportif et le torse était très bien sculpté, pour son plus grand plaisir. Elle se mordit les lèvres et continua de s’enfiler très lentement sur la belle bite de son neveu en soupirant d’aise. Quand elle sentit enfin son pubis se poser sur celui du beau jeune homme, elle accompagna le mouvement d’un petit gloussement satisfait. Elle souleva le bassin jusqu’à ce que la moitié du membre dur soit sortie, puis elle abattit ses hanches brutalement sur son neveu qui exhala en gémissant. L’ensemble émit un bruit mouillé des plus charmants. Elle sourit.
Avec tous ses amants, Ingrid imposait toujours son propre rythme et ne cherchait que son propre plaisir. La plupart d’entre eux prenaient leur pied aussi, mais sa jouissance était son seul objectif. Celle de son amant passager était au mieux un aimable pourboire. Son neveu ne ferait pas exception à cette règle d’or et elle tirerait tout ce qu’elle veut du jeune homme avant de l’abandonner là tout suant et épuisé.
Elle fit d’abord coulisser la bite dans sa chatte avec de petits mouvements de faible amplitude, puis elle approfondit progressivement la pénétration en ralentissant la cadence. Elle donna alors de grands coups de hanches contre le pubis de David, bien campée sur ses pieds et ses mains posées sur le torse du jeune homme. Elle accéléra le rythme de ses à-coups jusqu’à ce qu’il soit à peine tenable, puis elle ralentit brusquement pour recommencer son manège. Cette séquence savamment exécutée à plusieurs reprises la mit vite en sueur. En baiseuse chevronnée, elle respirait comme une athlète. Au fur et à mesure que son plaisir augmentait, les passages lents et profonds de sa séquence se raccourcirent pour laisser la place aux ruades violentes et rapides qui faisaient le bruit, comme disait un ancien amant, « d’un vacancier pressé qui court en claquettes ».
Souvent, les hommes qu’elle montait de cette manière tentaient de prendre le contrôle en l’agrippant par les hanches pour la forcer à suivre leur rythme, mais son excellente condition physique de vraie championne du cul rendait leurs efforts futiles. Son neveu, au contraire, la laissa mener la danse et encaissa les violentes secousses stoïquement. Ses mains purent alors se promener sur le derrière de sa supposée mère. Il massa ses fesses avec application en faisant rouler les belles masses musclées. Enhardi, il écarta les généreuses miches et tendit un doigt vers le trou du cul. Un peu choqué de sa propre effronterie, il glissa une phalange de majeur dans le petit anneau moins serré qu’au cours de ses précédentes tentatives. Il n’imaginait pas alors être chevauché par une gourgandine beaucoup plus tolérante à la sodomie que sa mère. Il ne se risqua pas à pousser plus avant dans l’anus de sa partenaire.
Luisante de sueur, Ingrid allait et venait sur la queue de son neveu aussi vite, profondément et violemment qu’elle le pouvait. Instinctivement, elle durcit les muscles de son bassin et sentit sa chatte étrangler le membre encore dur comme de la pierre. Elle retint son souffle et se plaqua une main sur la bouche, craignant encore de ne pas avoir les mêmes vocalises orgasmiques que sa chère grande sœur. Ses cuisses se mirent à trembler et elle sentit la délicieuse sensation de frisson et l’enivrant vertige de l’imminente jouissance. Elle gémit au travers de ses doigts. L’orgasme brisa le rythme de sa belle mécanique et elle agita les jambes de manière syncopée. L’ondulation anarchique se communiqua à son dos et à ses bras et elle se retrouva secouée de convulsions. Elle sentit même les larmes lui monter aux yeux alors qu’une sensation de fourmillement presque insupportable envahissait son corps.
Elle bascula la tête en arrière et se donna tout entière à la jouissance incestueuse, gémissant encore à travers sa main.
Pendant son orgasme, son neveu attendait sagement allongé sur le lit, ses mains caressant gentiment les fesses et le dos de sa fausse mère. Son attitude patiente était presque servile. Le dos rond, les deux mains à nouveau sur le torse de David, Ingrid luttait pour reprendre son souffle. Elle était encore épinglée à la bite de son neveu, qui s’obstinait à demeurer dure comme l’acier. Elle se sentit encore un peu d’énergie et, une fois n’est pas coutume, l’envie de donner de son corps pour le seul plaisir de son nouveau partenaire, au demeurant fort talentueux. Elle se campa à nouveau sur ses pieds et souleva son bassin pour libérer l’organe qui resta dressé et dégoulinant de sécrétion gluante.
Ingrid empoigna bien fermement l’obélisque de son neveu. Il était tellement trempé de cyprine bien grasse qu’elle jugea que sa lubrification ferait l’affaire. Elle le braqua vers sa rosette déjà un peu détendue par les incursions digitales de David et elle s’accroupit lentement jusqu’à toucher le gland du jeune homme. Celui-ci se raidit, dans l’expectative. Elle caressa lentement le mât bien poisseux avant d’en fourrer d’un coup la tête dans son petit trou. Elle sentit son neveu sursauter et hoqueter de surprise. Elle marqua une pause pour détendre les muscles de son cul, puis l’abaissa lentement jusqu’à rencontrer une légère résistance. Elle remonta alors jusqu’à ce qu’il n’y eût plus que le gland dans son cul et redescendit un peu plus bas et recommença encore jusqu’à être enculée jusqu’à la garde. Son partenaire haleta et gémit tout le temps que dura cette petite valse-hésitation anale. Elle marqua un dernier temps d’arrêt.
Elle roula d’abord des hanches d’avant en arrière et elle sentit la bite de son neveu se caler confortablement au fond de son cul. Le chanceux jeune homme haleta et attrapa les fesses de sa tante. Celle-ci souleva lentement son derrière jusqu’à en sortir à moitié le membre érigé, puis elle empala son cul dessus en évitant de le tordre douloureusement. David gémit et haleta tout du long de ces petites manœuvres. Elle recommença en déclenchant de nouveaux gémissements crispés. Ingrid se dit qu’il ne lui faudrait pas longtemps pour faire jaillir le foutre chaud au fond de son cul et elle sourit dans le noir, satisfaite d’elle-même. Cette fois, elle se laissa mener par son partenaire.
Peu d’hommes avaient eu le privilège de se servir de son corps pour leur jouissance et une poignée seulement avait reçu l’honneur suprême de conquérir son cul. Nul ne lui paraissait plus digne de posséder sa petite étoile que son neveu adoré et son éperon bien raide qui paraissait ne jamais fatiguer. Elle se donnait tout entière à lui avec délectation, elle n’était même plus jalouse d’être prise pour sa sœur. Elle souleva encore ses hanches et se maintint accroupie au-dessus de son neveu pour qu’il pût l’enculer aussi fort et vite qu’il le voulait afin de décharger dans son cul, ce qui ne tarderait pas. Le jeune homme haletant se mit à la sodomiser à un rythme effréné, elle se pinça les lèvres en attendant l’explosion de semence.
Mais elle avait sous-estimé les ressources de son amant. Il se mit à l’enculer avec sauvagerie. Elle sentit ses fesses tressauter sous les coups de boutoir obscènes. Elle fut d’abord surprise qu’il pût tenir plus de quelques secondes cette cadence de marteau-piqueur sodomite, puis elle remarqua que son propre plaisir augmentait à nouveau. Incrédule, elle sentit venir une de ces chimères dont elle rêvait sans vraiment l’avouer. « Il va me faire jouir du cul », pensa-t-elle réjouie. Elle se figea dans sa posture et laissa son neveu infatigable l’enculer comme un dément, soufflant comme une bête. Elle sentit ses couilles frapper contre ses fesses à chaque ruade, elle sentit le piston bien lubrifié pénétrer son cul, et elle sentit son plaisir monter lentement mais sûrement. Cramponné à ses hanches, David commença à montrer des signes de fatigue et elle craignit l’espace d’un instant de ne pas arriver au sommet. Mais le moment arriva.
L’orgasme la prit cette fois en traître, sans se faire annoncer. Elle piqua une intense suée et trembla de tout son corps enfiévré. Ces sensations étaient tellement nouvelles, elle se sentait presque dépucelée par ce premier orgasme anal de sa vie. Elle, la dévergondée de la famille, venait de recevoir une leçon du fils de sa grande sœur la mère au foyer coincée.
Toute à son extase, elle ne remarqua pas que son amant-professeur avait perdu sa régularité de machine à baiser pour prendre un rythme syncopé. Il plongea son chibre tout au fond du cul de sa tante et expulsa une première généreuse giclée de jus épais. Puis s’ensuivit une longue série de grognements et d’éjaculations entrecoupés de spasmes. Le cul d’Ingrid fut vite tellement plein de sperme qu’une coulée en sortit et couvrit la bite et les couilles de David dont les bras soudain mous, s’affalèrent près de lui.
Les amants reprirent leur souffle en silence. Habituée à vider les lieux sitôt les festivités finies, Ingrid se leva, faisant couler un peu de semence sur ses cuisses, et tituba hors de la chambre. Elle referma la porte derrière elle. Comme le plaisir de l’orgasme s’évanouissait, elle sentit que son neveu lui avait mis le bassin en vrac et que ses jambes la tenaient à peine, mais elle poussa un soupir ravi. Elle n’en revenait pas de l’énergie et de l’endurance avec lesquelles David l’avait enculée, et pourtant il semblait tellement craintif quand il s’était approché de son cul. Ingrid avait tout de suite deviné que Jeanne ne le laissait pas mettre ne serait-ce qu’une phalange de petit doigt dans son cul. Quel gâchis pour sa grande sœur qui ne connaîtrait jamais l’orgasme anal !
Ingrid décida que David enculerait sa mère et lui ferait prendre son pied, elle en faisait une affaire personnelle. Pour le plaisir de sa sœur et son neveu bien sûr, mais aussi parce qu’elle s’était fait passer pour Jeanne avant d’offrir son cul, et qu’il ne fallait pas maintenir cette méprise.
Elle tourna la tête vers la chambre de sa sœur. Tout était calme et silencieux. Elle se dit qu’avant de penser au plaisir de sa famille, elle goûterait sa grande sœur pour sa propre gourmandise. Elle remit la douche initialement prévue au lendemain et retourna dans sa chambre se coucher.
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