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le coach de l'équipe de natation

Chapitre 3

piégé par mes filles

Avec plusieurs femmes
LES AVENTURES DE PATRICKPiégé par mes 2 équipes de natation synchronisée.1ère partie.
 Vous commencez à bien me connaître mais les années ont passé, j’ai maintenant 28 ans. Je vais vous raconter la suite de mes aventures.
J’ai poursuivi mes études et suis maintenant ostéopathe. J’ai, vous le savez si vous avez lu mes précédentes histoires, comme passion la natation et suis devenu au fils des années entraîneur dans mon club.Je m’occupe actuellement de 2 équipes de natation synchronisée, une équipe de 8 débutantes âgées de 18 ans pour les 2 plus jeunes jusqu’à 20 ans pour la plus âgée et d’une autre équipe plus aguerrie avec une moyenne d’âge de 22/23 ans.
Comme je débute et que ma clientèle est peu nombreuse pour le moment, je me consacre beaucoup aux entraînements de mes filles. Pour atteindre la perfection dans ce sport les heures ne se comptent pas et ces jeunes filles n’ont guère de temps à consacrer à autre chose que leur passion. Ce sont toutes de belles filles bien proportionnées de taille à peu près égale pour donner une homogénéité à l’équipe. Ne voulant pas mélanger ma vie sexuelle avec mon travail d’entraîneur, j’évite autant que faire ce peut d’avoir des relations charnelles avec mes filles bien que je voie que certaines me cherchent sortant des douches à poil devant moi quand elles savent pertinemment que je suis encore dans le vestiaire.
Aurore et Nadia les 2 Jumelles de l’équipe junior viennent de fêter leurs 18 ans et m’ont demandé de venir leur donner un coup de main pour porter des choses lourdes pour préparer une petite fête chez elles. Après ces efforts elles m’ont offert un rafraîchissement et nous avons parlé mais soudain je ne sais pas ce qui m’est arrivé, j’étais si fatigué que je me suis endormi. Quand je me suis réveillé 2 heures plus tard je ne savais plus ou j’étais, couché en slip et torse nu sur un immense lit rond, tout seul dans une très grande pièce.
Soudain j’ai vu rentrer les unes après les autres des filles avec un loup qui cachait leur visage.L’une d’elles a pris la parole.Excuse nous Patrick d’agir de la sorte mais on en à marre de ces entraînements sans fin, toute notre jeunesse y passe et ne nous laisse guère le temps de flirter avec des garçons de nos âges.En plus une légende rode autour de toi et nous sommes toutes un peu amoureuses de toi. La bosse que l’on voit dans ton maillot à la piscine nous a toujours intriguées vu sa taille, est-ce que tu bandes quand tu nous regardes nager?
Je vois un calendrier qui circule parmi elles.— C’est donc vrai! S’exclame Cécile en feuilletant chaque mois avec une fille différente encastrée sur ma bite. Je reconnais nos vestiaires et le calendrier date de 4 ans!
Je me mets à jurer.— Putain! Je croyais pourtant qu’il n’en existait plus d’exemplaires.Deux de mes « geôlières » s’approchent de moi, prennent fermement mon slip de chaque coté et le tire vers le bas dégageant mon pénis. Je me laisse faire. Un Ooohhh! S’échappe soudain de la bouche de ces demoiselles.— Bon Dieu! s’écrit l’une d’elle, il ne bande même pas et sa queue est déjà plus grosse que celle de mon frère en pleine érection, je l’ai déjà vu se branler dans la salle de bain et y a pas photo.
 La porte-parole reprend.— Après mûre réflexion et comme plusieurs d’entre nous sommes encore pucelles nous avons décidé de t’attirer dans notre piège et de se servir de toi comme objet sexuel, et pour que tu tiennes le coup on t’a fait prendre du "Levitra", il parait que c’est quatre fois plus fort que le "viagra". -Allez les filles, toutes à poil!J’ai devant moi 14 des seize filles que j’entraîne toutes aussi belles les unes que les autres en tenue d’Eve, je sens dans mon bas-ventre le feu qui couve et le sang gonfler ma queue qui atteint très vite sa pleine érection et même plus que d’habitude que c’en est douloureux.
-Vous n’auriez pas du faire ça les filles, ce n’est pas bien et je veux bien tout oublier !Mais je prêche dans le désert car dès qu’elles ont vu ma pine prendre de telles proportions, elles sont devenues comme folles et commentent à qui mieux-mieux.— Putain la bite, c’est un sacré morceau!— C’était donc vrai, il est monté comme un âne!— Mais ce n’est pas possible de se faire prendre par un pieu pareil!— Je veux en avoir le cœur net, on va la mesurer!— Il va nous déchirer, on va souffrir!
L’une des filles revient avec un mètre de couturière et s’approche pour mesurer ma teub couchée sur mon ventre. -Qui veut la tenir pendant que je prends ses proportions?Les 2 filles qui m’ont retiré le slip se dévouent, l’une prend ma hampe à pleine main et l’autre mes couilles et informent les autres.
— Ohhh, c’est chaud, c’est doux au toucher et on dirait un os tellement s’est rigide, ma main n’arrive même pas à faire le tour de la base de sa queue!— Et ses boules sont énormes, c’est soyeux et sa roule dans ma main!Le mètre s’approche de ma queue pour prendre sa longueur et je ne sais pas si c’est l’effet de la drogue mais mon érection phénoménale change mes mensurations habituelles.— C’n’est pas possible, elle fait 23 cm de longueur!!!! Voyons voir pour la grosseur. Putain je n’en crois pas mes yeux, elle fait 19 cm de circonférence, c’est monstrueux!!!!Cécile prise d’une inspiration mesure le poignet de sa complice et jette alors :— Les filles, mesurez votre poignet qu’on compare, sa bite est aussi grosse que celui d’Alice, quel engin!!Elles se mettent sur 2 files de chaque coté du lit et les unes après les autres elles empoignent ma bite, la soupèse, la branle plus ou moins longtemps.Certaines sont timides et osent à peine serrer ma queue mais d’autres l’astiquent comme une folle pendant quelques minutes. Quelques commentaires fusent.
— Il tient le coup le salaud!— Ca fait plus de 20 minutes qu’on le branle et il ne jouit toujours pas, c’est pas possible!!
La 9ème de ses demoiselles penchée sur moi attrape mon chibre et me branle frénétiquement, je sens la jouissance arriver mais je ne dis rien, restant impassible.Soudain je me lâche, un flot monstrueux jaillit de mon méat d’une puissance folle, la fille est surprise et reçoit en plein visage un jet très copieux de foutre, instinctivement elle recule sa tête ne lâchant pas ma pine qui continue à envoyer la sauce.Les jets s’élèvent en l’air et retombent dans ses cheveux, sur ses bras, ses seins, son dos, elle en a partout. Le silence s’est fait un moment puis les filles se mettent à rire et à applaudir.-Vous avez vu ça? Encore un peu et il tachait le plafond, et le nombre d’éjac.., j’en ai compté 9 sans prendre en compte les petites dernières et regardez… Son gros nœud n’a pas perdu un centimètre de longueur ni d’épaisseur, il est toujours aussi bandé!!Et ça recommence, toutes veulent avoir leur part.
-Bon maintenant les filles, on tombe les masques et il faut goûter à son boutefeu! Décide l’une d’elles, c’est Cécile.Elle s’approche de moi, a un moment d’hésitation puis se lance ouvrant grande la bouche et introduit mon gland turgescent entre ses lèvres pendant qu’une de ses copines continue à me branler. Elle prend tout ce qu’elle peut de ma verge dans sa bouche et commence à la sucer. J’ai un gémissement rauque d’étonnement. Je ne m’attendais pas à ce que qu’elle soit si rapide, elle se transforme en une prédatrice sexuelle redoutable, prête à tout pour étancher sa soif de sexe. Avalant goulûment ma verge, déterminée à me faire une fellation inoubliable. Mais elle doit laisser son tour car Amandine lui retire avec force ma pine pour l’enfourner à son tour, petit à petit elle me prend en bouche jusqu’à ce que son nez touche mes poils puis elle remonte un peu le long de ma teub faisant travailler sa langue tout autour de mon nœud, une grosse gourmande.Après 5 minutes intenses elle passe le relais à Aude.
 Sa langue glisse de longues minutes le long de ma grosse veine remontant sur mon gland et descendant sur mes boules qu’elle lèche avant de les gober.Elle remonte lentement léchant chaque millimètre de ma bite pour arriver à mon gland.— Ouvre grand ta bouche et enfile son gland dedans. Lui crie une fille.Elle ouvre sa bouche au maximum et introduit mon gland entre ses mâchoires distendues.— Titille-le avec ta langue, enroule la bien et pompe à fond, aspire-lui la queue fort, oui très fort, ne le mord pas surtout, détends-toi et avale-le, il va bien finir par jouir, bordel, depuis le temps qu’on le suce!!!Elle suit ses conseils comme un automate, absorbe mon engin et attaque une fellation endiablée. Elle passe le témoin, enfin…Ma bite à la suivante, c’est Alice. Ces doigts fins s’enroulent autour de ma hampe, sa main la soupèse et commence à la caresser.
Récit d’Alice.Je n’ose pas prendre entre mes lèvres cette monstrueuse chose mais Patrick s’impatiente et d’un coup de reins porte son gland à l’approche de mes lèvres luisantes qu’il effleure. — Qu’elle est grosse, j’ai peur!Son gros gland vient à la rencontre de ma bouche béante, visiblement tentée de happer sa bite tendue.D’un ample mouvement du bassin en avant, il pousse d’un coup l’énorme teub contre mes lèvres humides. Le cœur battant, je laisse son gland congestionné entrer dans ma bouche gourmande!
Soudain plus rien n’existe et je m’efforce d’enfoncer le plus loin possible sa belle queue dans ma gorge. Plus rien ne compte que ce plaisir que je prends à m’enfoncer profondément sa bite gonflée. Ma bouche, maintenant distendue, avale le plus loin possible son énorme pieu dans un bruit de succion de plus en plus sonore.  - Qu’elle est douce ! Son sexe vibre. Il gémit. Brusquement sa sève monte et il s’enfonce au fond de ma gorge. Il jaillit en flots si généreux que je m’étouffe avec et je dois sortir sa queue pour reprendre ma respiration. Le sperme continue de jaillir de façon continue, comme une source. Il s’écoule en traînées le long de la hampe verticale. Alors, avec application, je recueille le fruit de mes efforts en regardant avec fierté les copines dans les yeux, je lèche et avale sa crème d’amour.
A suivre…
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