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le coach de l'équipe de natation

Chapitre 8

Les deux retardataires veulent se rattraper.

Avec plusieurs femmes
LES AVENTURES DE PATRICK
Les 2 dernières de l’équipe de natation synchronisée veulent connaître la même expérience que leurs coéquipières.Petit rappel.Résumé des épisodes précédents.Patrick est entraineur dans son club, il s’occupe actuellement de 2 équipes de natation synchronisée formées de belles filles bien proportionnées pour faire un bel ensemble âgées de 18 à 23 ans.
Les filles se sont liguées ensemble pour savoir si la légende qui court sur leur coach est vrai.Elles le séquestrent et découvrent que la réalité est au-delà de leurs espérances mais elles lui ont fait prendre un stimulant sexuel si puissant qu’il n’arrive plus à débander.Mais vu qu’il a quatorze filles à contenter, il lui faudra aller au-delà de ses limites.Patrick a manqué succomber sous la dose médicamenteuse qui l’a maintenu des heures durant en érection. Les filles se sont succédé sur son nœud abusant même de lui, quand repu de fatigue, il est dans un état second, presque inconscient mais toujours en pleine érection.La suite.Toutes les filles ont connu ma queue sauf deux.
Bien sûr ces pipelettes n’ont pas pu se retenir de tout raconter avec forces commentaires et détails croustillants aux deux dernières filles qui n’avaient pas accepté de participer. Jalouses et envieuses de leurs copines et voulant elles aussi se rendre compte par elles même si leurs copines n’ont pas enjolivé la vérité sur mes mensurations et de mes capacités d’endurance, elles m’ont tanné jusqu’à ce que je cède.Martine et Sabine sont les deux plus âgées et ont chacune un petit copain. Elles m’ont bien précisées que ce ne sera que sexuel, tous les commentaires de leurs amies ont à force eu raison de leur dernières barrières psychologiques et elles veulent connaître une autre expérience sexuelle avant de s’engager plus loin avec leurs petits amis.On se donne donc rendez-vous chez l’une d’elles pour le dimanche suivant prétextant une compétition.Ce sont les deux plus belles de toutes mes filles, une blonde et une rousse aussi magnifiques l’une que l’autre avec des mensurations de rêve. Cette discipline sportive voulant ça.J’arrive chez Martine. Sabine est déjà là. Comme nous savons tous pourquoi nous sommes réunis il n’y a pas de quiproquo mais les filles ne savent pas comment commencer, un quart d’heure s’écoule sans que rien ne se passe.
— Ecoutez les filles, comme c’est votre curiosité qui vous a décidées, je vous propose de ne pas tergiverser ! Comme je ne veux pas vous forcer, je vous propose que vous me déshabilliez!
Elles approuvent et commencent l’effeuillage. Elles m’enlèvent tous mes habits et je me retrouve en caleçon. Je leur dis de continuer, elles s’agenouillent de chaque côté de moi, mettent une main sous l’élastique de mon sous-vêtement et le font glisser très lentement vers le bas dégageant mon pénis toujours au repos. J’entends un "OOOhhh!" suivi de commentaires.
— Putain c’est vrai! commente Sabine, il a un sacré engin!— Quel tuyau ! Ça promet quand il va bander! Surenchérit Martine.
Je les informe:
— Bon, c’est à moi de vous dévêtir maintenant!
Tee-shirt et jupes s’envolent très vite, les laissant en sous tif et string minuscules.Je retire d’abord le soutien-gorge de Sabine prenant dans chaque main un globe arrogant qui se passerait de tout soutien et les embrassent l’un après l’autre, mordillant leurs pointes qui durcissent aussitôt, puis fais de même à Martine qui a une poitrine tout aussi magnifique.Ce petit préambule me fait de l’effet et ma verge commence à gonfler et à se redresser. Les deux filles à tour de rôle observent sa croissance quand je m’occupe de l’autre.Je passe aux strings et vu le peu de tissu, il ne faut pas longtemps pour les retirer. Elles sont enfin nues devant moi, deux déesses faites pour l’amour.
Leurs chattes se détachant bien dans leurs poils pubiens couleur paille pour Sabine et d’un beau roux pour Martine.Ma verge continue à se déployer et enfler devenant de plus en plus longue, de plus en plus droite et se redressant toujours, atteignant l’horizontal.Je leur demande.
— Maintenant vous allez vous caresser mutuellement et que ça soit sensuel!
Elles se tournent l’une en face de l’autre, hésitantes, et commencent, l’une prenant dans ses mains la poitrine de l’autre dans des caresses langoureuses.
— Roulez-vous un patin, frottez vos sexes l’un contre l’autre jusqu’à ce que vous m’ameniez à mon érection maximum!
Elles s’exécutent et ont l’air d’y prendre plaisir tout en regardant de temps en temps l’effet produit sur ma teub. Je me retrouve en un rien de temps dans les meilleures dispositions, la queue pointant au ciel.Elles ont pris goût à leurs caresses et continuent sans plus s’occuper de moi.
— Bien, maintenant venez vers moi et finissez de me faire bander avec vos mains!
Elles s’approchent et se mettent à genoux devant moi. Sabine referme sa main droite sur la base de mon nœud. Martine met sa main gauche un peu plus haute et elles commencent à me branler en cœur.
— Putain le morceau ! Et il continue de grandir, c’est pas possible d’avoir une queue si longue ! Elle dépasse encore allègrement de nos deux mains! S’extasie Martine.— Et t’as vu sa grosseur! Mon pouce n’arrive pas à toucher mes autres doigts tellement elle est épaisse! Réplique Sabine. Les autres n’avaient pas exagéré en disant qu’il est monté comme un âne!— Sans parler de sa raideur ! Reprend Martine. Elle a la dureté d’un bout de bois et t’as vu sa paire de couilles ? Elles sont plus grosses que des balles de golf!
Et ajoutant le geste à la parole, elle malaxe mes bourses avec son autre main.Sabine en profite pour ouvrir la bouche et absorber mon gland violacé.Pendant un moment elles sucent à tour de rôle ma pine se l’arrachant presque de la bouche.
— Si on continuait sur le sofa les filles?
Je m’assieds sur le divan ce qui fait redresser ma queue à la verticale.
— Martine, monte sur le canapé et mets tes pieds de chaque côté de moi que je te suce la chatte et pendant ce temps Sabine va me faire une fellation. Je veux que tu avales ma queue le plus loin possible.
Le point de vue de Sabine: Il est là, assit devant moi, avec son braquemart géant qui pointe dans ma direction.Je suis incapable de détacher mon regard de son chibre, totalement obnubilée par une seule chose, m’emparer de son truc, le peser, le tâter, le branler… Je me vois déjà en train de faire sortir cet énorme gland de son prépuce, de prendre sa queue de cheval entre mes doigts… J’avance mes mains vers la chose et je peux de nouveau la toucher, la malaxer, la branler. C’est une sensation incroyable.
Certes, j’ai déjà sucé une bite, mais là… Une matraque aussi énorme, aussi raide!Devant un tel engin je ne bouge plus si bien qu’il pose une main sur ma tête et appuie doucement mais fermement et cette barre de chair s’engouffre dans ma bouche.
- Huuuummmmm c’est bon ma belle ! Tu vois que t’arrives à la prendre en bouche, continue comme ça, tu suces comme une reine.
Mes mâchoires sont distendues, je ferme les yeux et me concentre sur le monstre qui envahit ma bouche. Ce n’est pas la première bite qui franchit mes lèvres gourmandes mais c’est assurément la plus grosse et la plus longue. Je voudrais faire tourner ma langue autour de la tige palpitante mais c’est impossible !Il n’y a pas assez de place, ma bouche est complètement remplie, heureusement que je peux respirer par le nez, autrement c’était l’asphyxie assurée. Je commence à le sucer, à l’enfoncer dans ma bouche, j’essaie d’en faire entrer le plus possible, une vraie malade !
Mais comment faire ? Il y en a trop, de l’autre main je palpe son lourd paquet de couilles. Quelle masse de bite et de couilles j’ai là ! Mon copain ne fait pas le poids avec ses 14 cm et sa bite très fine, je ne croyais pas que de telles différences pouvaient exister. Ca y est, sa queue touche ma glotte et rentre presque dans ma gorge mais je ne peux aller plus loin pour le prendre en entier. Sa verge est trop longue, je lui taille une pipe royale, la bouche déformée par ce vit exceptionnel.Le point de vue de Martine:Patrick écarte avec ses deux mains ma vulve qui vient s’appuyer sur ses lèvres. Il enfouit son visage profondément dans ma chatte crémeuse, faisant glisser sa langue sur mon intimité rose, exhortant mon clitoris à sortir de sa cachette pour me faire crier de plaisir. Le bas de son visage est rapidement trempé par mon jus de chatte et son parfum capiteux remplit ses narines, excitant ses sens et son envie. Mon jus au goût sucré / salé, est pour lui un nectar des dieux. Il embrasse la chair tendre qu’il sent sous sa bouche, puis s’enhardissant, il lèche l’intérieur du vagin, enfouissant sa langue dans les replis des grandes lèvres, m’arrachant un bref gémissement.
Ça dure longtemps, je perds toute notion de temps. Il continue à prendre tout mon jus, il me bouffe le clito le salaud !Je n’en peux plus et je lui jouis dans la bouche. Il lape toutes les sécrétions qui sortent de mon vagin et m’encourage.
— Tu es bonne, continue à couler dans ma bouche!
Je lui réponds.
— Oui ! Continue ! Lèche-moi bien, mords un peu, mais pas trop fort.
Il ne se fait pas prier, apparemment excité lui aussi par les chairs qui s’offrent à lui. Surtout que mon vagin laisse suinter sans discontinuer la cyprine odorante et que je gémis de plus en plus quand le plus délicatement possible, il me mordille doucement les grandes lèvres et le capuchon du clitoris. J’ai des soubresauts de plus en plus saccadés aux caresses linguales qui deviennent de plus en plus adroites, m’occasionnant des orgasmes presque ininterrompus.J’inonde sa bouche avec de grandes quantités de cyprine, il me bouffe la chatte jusqu’à ce que je lui demande grâce en sanglotant.Il a ses mains sur mes fesses et glisse son index entre elles. Je sens son doigt titiller mon anus.
Toute attentionnée à la montée du plaisir à l’intérieur de mes entrailles, je ressens un choc émotionnel extrême. Patrick vient d’enfoncer l’un de ses doigts dans l’orifice secret permettant l’accès à mes intestins. Je suis décontenancée devant cet attouchement auquel je ne m’attendais pas. Jamais je n’aurais imaginé que ce soit si facile de ce côté. Ma réaction à cette intrusion est immédiate. M’immobilisant soudainement je m’exclame : – Patrick !... Qu’est-ce que tu fais ?(A suivre)
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