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le coach de l'équipe de natation

Chapitre 9

le coach continue ses démonstrations

Avec plusieurs femmes
LES AVENTURES DE PATRICK
Les 2 dernières de l’équipe de natation synchronisée veulent connaître la même expérience que leurs coéquipières.

.Toutes les filles ont connu ma queue sauf deux.Bien sûr ces pipelettes n’ont pas pu se retenir de tout raconter avec forces commentaires et détails croustillants aux deux dernières filles qui n’avaient pas accepté de participer. Jalouses et envieuses de leurs copines et voulant elles aussi se rendre compte par elles-mêmes si leurs copines n’ont pas enjolivé la vérité sur mes mensurations et de mes capacités d’endurance, elles m’ont tanné jusqu’à ce que je cède.
Suite.– Patrick !... Qu’est-ce que tu fais ?Mais comme cette introduction anale me procure un plaisir insolite, mais oh combien sublime, je rejette mes questions pour m’abandonner au bien-être que me procure cette sodomisation digitale. Ce n’est pas désagréable en fait. Il change ensuite de doigt et met son majeur, plus profondément, et ensuite rajoute son index. Il me branle la chatte d’une main, et me sodomise de l’autre, et moi je souffle de plaisir.Patrick nous demande :— Bon maintenant vous inversez vos places toutes les cinq minutes et j’enfile ma queue dans la chatte de la première qui me fait jouir!Nous avons cru qu’il ne nous faudrait pas longtemps pour le faire éjaculer mais nous ne savions pas à qui nous avions affaire. Ce n’est qu’après une bonne demi-heure pendant que je le suce qu’il connait sa première jouissance, je sens sa queue gonfler.Il éjacule au fond de ma gorge. J’ai des hauts le cœur mais j’ai l’habitude de le faire avec mon Jules et fièrement j’avale tout son sperme. Mais il n’arrête pas de se vider, je ne peux pas tout avaler et du foutre me coule sur le menton.Je tremble de partout mais je n’ai avalé que le début de la jouissance de Patrick. Les jets continuent de fuser dans ma bouche, elle est a de nouveau pleine de sperme avant que je ne puisse retirer son sexe de ma bouche. Quand j’y arrive je reçois un nouveau jet de sperme sur le visage, j’en ai partout. Ca me coule dans le cou jusqu’entre les seins. J’ai bien cru m’étouffer. J’en avale encore un peu avant de pouvoir recracher le reste.Après son éjaculation, sa bite est toujours aussi grosse et gonflée, toujours aussi raide. Jamais un tel engin ne s’est encore présenté aux portes de ma chatte ! Patrick a écarté Sabine et me fait me relever. Il me positionne, mes deux pieds coincés dans le divan et mes mains sur ses épaules, face à lui et m’explique la suite.

— Maintenant tu descends doucement pour que ta chatte enfourne ma bite le plus loin possible, je te laisse décider jusqu’où tu peux aller.Je n’ai d’yeux que pour cette queue fièrement dressée qui va dans une fraction de seconde me perforer la moule débordante de mouille. J’attends quelques secondes… Je n’en peux plus. Je lui lance un regard de défi, et j’enfonce son sexe en moi. Cette sensation je ne l’ai jamais oublié. Je sens les parois de ma chatte s’étendre à l’avancement de cette bite, elle me comprime les parois comme si elle épousait chaque millimètre carré de mon intimité, avant de venir buter au fond de mon intimité. Mon plaisir monte, monte, comme jamais jusqu’à présent. Mon vagin dégouline, je suis si mouillée que ça coule entre mes cuisses.A chaque poussée de mon corps, les mouvements de son sexe font des bruits incongrus en comprimant l’air piégé au fond de mon vagin mais je m’en fous je suis trop bien !Il est increvable, j’ai le temps de jouir plusieurs fois continuant toujours mon va-et-vient.Je l’implore :-Occupe-toi un peu de mes seins, ils sont très sensibles et réclament leur dû. Du fait de sa position, Patrick n’a qu’à ouvrir la bouche pour aspirer un mamelon s’empressant de l’introduire entre ses lèvres.Il entreprend de téter le sein qui lui emplit la bouche, aspirant le téton raidi tout en pressant le mamelon de ses lèvres. Il entoure mon torse de son bras, écrasant ainsi le sein à la chair satinée contre son visage. Cependant malgré la douce euphorie qu’il éprouve à téter cette mamelle gonflée, il sent le manchon brûlant de mon sexe lui enserrer la verge. Le plaisir momentanément apaisé regrimpe.Son chibre ressort en partie dans un mouvement ample et soutenu, et revient de la même manière. Cette sensation qui n’en finit plus de monter se relâche brutalement, je suis en train de jouir à nouveau.Toujours en m’embrassant il est venu se coller contre moi. Il passe un bras derrière ma nuque, l’autre sous mes fesses, interrompant son va et vient. Il se redresse soudain d’un grand coup de reins se mettant debout et je me retrouve suspendue, retenue par ses bras puissants, m’empalant jusqu’aux couilles sur cet engin fabuleux. J’entoure son corps de mes jambes le serrant davantage contre moi, et l’incitant à aller encore plus loin en moi. Nous copulons ainsi une dizaine de minutes.
Il continue à me faire l’amour debout. La position est acrobatique et il me cale contre la porte pour continuer à me faire aller et venir sur son pénis bandé. J’hurle, étonnée des ressources de Patrick. Il me besogne fougueusement et finit par s’appuyer d’une main contre le mur. Il n’en finit pas de me pilonner, ses coups sont rudes, ça dure, je fatigue, mes jambes faiblissent, il est trop long à décharger. Je sens enfin sa bite grossir, se raidir. Je contracte mon vagin. Brusquement, ses mouvements deviennent plus amples et plus puissants. Sa matraque me malmène la chatte. Il se crispe. Je le sens venir en moi. Son sexe m’envahit de ses spasmes annonciateurs de la jouissance proche. Mon ventre s’ouvre, s’offre encore plus à son plaisir. J’ai envie qu’il soit bien dans mon ventre. Bloqué au fond de mon sexe, il envoie une purée phénoménale en plusieurs jets longs et puissants.Il vient de se vider les couilles en longs flots de sperme en moi, râlant sous mes yeux. Il me perfore, me fend en deux… Son sexe va sortir de l’autre côté de moi… Quelques derniers coups de reins et je sens les derniers spasmes de sa jouissance. Il reste au plus profond de moi. Je me fais l’impression d’être un vulgaire poulet, embroché de part en part. Il me repose au sol et je me désaccouple de cet axe d’acier. Il est là, debout devant moi, avec son braquemart à peine en berne qui pointe dans ma direction.
— Putain ! S’exclame Sabine. Mais tu ne débandes donc jamais? Et elle se penche en avant, approche son visage de la queue. Il la laisse faire. Elle passe plusieurs fois le monumental gland visqueux sur ses lèvres et sous son nez. Il frissonne sur ses jambes.
Le point de vue de Sabine:Je me régale vraiment de cette odeur. Il sent le sperme et la cyprine, c’est très, très, fort. Il me demande de le nettoyer proprement ce que je fais avec grand plaisir.Son sperme épais, bien blanc a laissé de longues trainées sur sa hampe à peine ramollie. Je lèche minutieusement chaque goutte de son foutre et je lui montre que j’avale tout en ouvrant ma bouche en grand.Il se positionne face à moi. J’ai réussi à m’emparer de son sexe. Il regonfle à nouveau.Je ne connais que le sexe de mon copain. Je le pensais bien monté. Mais là, j’ai en face de moi un mandrin fabuleux.Je regarde ce nœud comme si c’était une apparition, un rêve ! Il m’ordonne :
— Serre le doucement et fait des va et vient avec ta main. Ta main doit caresser le gland par le prépuce, jamais directement avec la main. Je commence à le branler doucement. Son sexe devient de plus en plus dur et grossit encore dans ma main. Pendant quelques instants je continue mon manège, mais instinctivement, j’approche mon visage de ce sexe qui me fascine. Son gland est à quelques centimètres de ma bouche. Je tends ma langue et titille le méat. Je pose mes lèvres sur son gland. Quelle douceur ! Je le suce entre mes lèvres. Ma langue ne reste pas inactive et s’enroule autour du gland soyeux. J’ouvre ma bouche en grand. J’absorbe lentement le chapeau en prenant garde de ne pas le blesser avec mes dents.
Au fur et à mesure, ma bouche prend acte de la dimension du gourdin que je suce. Enfin je réussis à avaler le gland tout entier dans ma bouche. Patrick ne peut s’empêcher de bouger et pousse lentement son sexe en avant.Il me tient par l’arrière de la tête. Le gland bute contre le fond de ma gorge. J’ai un haut le cœur. J’arrête ma fellation pour laisser échapper un petit cri de surprise. Il s’excuse. Je le repends courageusement en bouche.Patrick me prend la main et la pose sur la base de sa hampe me faisant comprendre de lui masser les testicules de l’autre main. J’ai la bouche pleine. Mais je ne cesse pas ma succion. Je le fais sortir de ma bouche en prenant soin de bien l’enduire de salive.
Le bruit qui s’ensuit l’excite encore plus. Il bande plus fort encore. Je me distends les lèvres pour avaler cette chose qui me procure une satisfaction intérieure inconnue à ce jour. Il pousse un gémissement de plaisir, rejetant la tête en arrière. Ses mains s’appuient sur mes épaules. C’est le plus énorme, le plus gros, le plus long sexe que j’ai jamais vu et encore moins touché. Tout en suçant le gland, je fais aller et venir ma main sur le reste de la hampe.Contre mon poignet viennent buter deux petits citrons. Ses couilles velues sont dures. Ma main les fait rouler l’une contre l’autre. Jamais je n’aurais cru que cette action puisse autant plaire à un homme. Son gland grossit encore. C’est une baudruche ce truc-là ! Il ne va pas pouvoir se retenir. Il va m’éjaculer dans la bouche.
— Couche-toi sur le divan, m’ordonne-t-il.Il prend mes jambes et les redressent en appui sur ses épaules. Dans cette position je lui offre une voie royale sur ma chatte luisante de cyprine. Je soulève mon bassin pour mieux faciliter l’envahissement. Il approche son gourdin et pousse. Je me sens comblée, remplie et pourtant d’après ce que je touche, seulement un tiers de son membre est entré… Mes mains quittent son sexe pour ses fesses. Je les saisis à pleine main. ¬
-Tu as mal ? ¬ - Non, continue, tu me fais du bien. ¬Mes mains sont sur son cul pour l’attirer en moi. Il entre encore et toujours, sans difficulté, sans que mes chairs ne se rebellent. Comment ma chatte pourrait-elle ne pas l’accepter vu que ma mouille déborde de mon sexe et me coule entre les fesses. Son gland boute mes chairs les plus intimes explorant des zones vierges.J’ouvre les yeux. Il me regarde, surveillant mes réactions à son entrée triomphante dans mon ventre Il me chuchote à l’oreille : ¬ - Ton sexe est très doux et très serré, c’est très bon !— Viens !Il est entré de plus de la moitié. Son bassin pèse encore sur mes cuisses. Il avance encore. Une dernière contraction de ses reins et cette fois il est entré totalement.Son gland vient buter conte le col de mon utérus. J’ai la sensation d’être pleine, remplie. Chaque poussée vient taper un endroit que jamais personne n’a atteint. Chaque avancée me provoque une sensation inconnue, électrisante.
— Ne t’arrête pas ! C’est bon, c’est trop bon ! Mes jambes se détendent violemment. Ma jouissance, mon plaisir explosent dans ma tête, dans mon ventre. Après ses deux jouissances, il a la queue encore plus fainéante et il me besogne presque une demi-heure avant d’atteindre son troisième orgasme de la journée. Percevant l’accélération soudaine des va-et-vient à l’intérieur de ma chatte, ainsi que le souffle de plus en plus saccadé de Patrick, je comprends qu’il ne va pas tarder à atteindre l’orgasme final. Convulsé par l’approche imminente de la jouissance et sentant l’orgasme le saisir soudainement, il se cambre frénétiquement, comme si un courant électrique l’avait traversé. Appuyé des deux mains sur mes épaules, il m’embroche d’un ultime coup de reins, avant de s’immobiliser.Comme un geyser puissant et incontrôlable, son sperme jaillit en saccades répétitives, aspergeant copieusement mon vagin dans lequel sa queue est fichée.Percevant dans mes entrailles ses puissantes giclées de semence, je ressens un orgasme d’une rare violence. La jouissance me fait me cabrer sur le divan et un long cri inhumain s’échappe de ma gorge. Il se retire et nous regardant toutes les deux nous informent :
— C’était bien les filles ! Maintenant si vous êtes toujours d’accord je peux vous faire connaître un plaisir que n’ont pas connu vos copines. Se faire sodomiser par mon engin. A vous de voir!Après un moment de réflexion, nous acceptons sa proposition mais avec beaucoup d’appréhension vu la taille de son organe.
On vous raconte ça bientôt.
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