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Coach pas que sportif.

Chapitre 2

Gay
Cinq jours plus tard marque le début de son activité. A la fin d’une séance de musculation, Kevin, pour la première fois, vient avec nous dans le vestiaire pour prendre une douche. Nous trainons un peu, laissant les autres se rhabiller et quitter le vestiaire. Nous sommes nus devant nos vêtements quand la porte se referme sur le dernier membre. Kevin me regarde. Je sens de la tension en lui. Il se racle la gorge et prononce d’une voix rauque des mots qu’il a dû cent fois répéter dans sa tête. – Ça y est. Ça démarre. Je voudrais vraiment te demander d’être le premier. Je n’ai pris encore aucun rendez-vous. Veux-tu bien venir demain ou après-demain pour une séance individuelle très privée, en petite, voire très petite, tenue pour que je m’occupe de ton corps comme tu me le demandes et, surtout, comme tu le souhaites vraiment ?Je le regarde. Il a les yeux rougis d’émotion. Il a pesé chaque mot. Chacun d’eux peut être interprété soit comme une invitation sportive, soit comme une avance. Double sens. Pour une double vie. Est-ce le moment ?Cette fois mon instinct me pousse à immédiatement accepter.– D’accord joli coach cruel ! Demain ? Dix-huit heures ? Jouable ? Je serai particulièrement honoré d’être ton premier… Quand à ma tenue, on verra bien demain !– Super ! Bien malgré moi mon regard se pose sur sa verge qui a légèrement grossi. Je l’imagine entre mes lèvres, entre mes fesses, et cette idée me fait rêver. Il est si beau, si parfait !L’inconvénient de s’emballer ainsi c’est que je reste un peu trop longtemps à regarder ce que la décence, même dans un vestiaire de mecs, nous interdit de regarder. Voir, oui. Regarder, non. Aussi il se râcle la gorge en me regardant, amusé.Je lève brusquement les yeux, comme un gamin pris en faute. Je lis de l’ironie dans son regard. D’une mimique du visage il me désigne mon bas-ventre. Etonné je baisse les yeux ; pour aussitôt sourire car mon sexe est encore plus gonflé que le sien.Et si ? Et si on n’attendait pas demain ?Non. La classe sera de se connaitre intimement dans cette salle refaite à neuf. Si nous osons aller jusque-là…Je hoche la tête, attrape mon slip, et cache à sa vue l’objet de son désir qu’il suit des yeux jusqu’à ce que l’élastique claque et que le tissu recouvre mon pénis.Amusé, il en fait lentement de même. Et c’est dans le silence que nous nous rhabillons. A croire que tout est dit.Au moment de quitter le vestiaire, juste devant la porte, nous arrêtons spontanément. Nous tournons la tête l’un vers l’autre. Un léger sourire timide. Il penche sa joue vers moi. Je l’embrasse amicalement, heureux d’entendre un gros « smac ! » baveux sur ma joue.Sa main se pose à moitié sur mon flanc, à moitié sur ma fesse. Il me pousse dehors.Quand chacun entre dans sa voiture, subitement décomplexé, il me lance :– Bonne nuit Romain ! Garde des forces et de la vitalité pour demain !J’éclate de rire, comprenant d’instinct le nouveau double sens.– Compte sur moi ! Mais après ce que tu m’as mis ce soir, il va falloir être délicat demain ! Mon corps est déjà endolori !– On n’est pas obligé de travailler la puissance ! On peut se contenter d’une séance douce, avec élongations, tranquillement !– On verra demain dans quel état d’esprit je suis !– Et dans quel état d’esprit je suis aussi ! conclut-il dans un grand éclat de rire juvénile.Après une nuit difficile et une journée de travail au cours de laquelle j’ai singulièrement manqué de concentration, je décide de repasser discrètement chez moi pour une toilette intime. On ne sait jamais. Même si je recommence à ne plus trop y croire.J’arrive un peu en retard à la salle. Quand nos regards se croisent, je lis un immense soulagement dans les yeux de mon coach. Je souris en faisant une mimique d’excuse tout en me rapprochant de lui. Spontanément je le prends par l’épaule, lui fais faire un tour complet sur nous-mêmes en regardant la salle : il a encore embelli le lieu de tas de détails pratiques et de décoration. Je découvre qu’il a, en plus de ses innombrables qualités, du goût.
Aussi je l’embrasse bruyamment sur la joue en le félicitant. Il sourit et me renvoie deux bises en retour tout en laissant nos corps enlacés.– C’est magnifique ! dis-je.– Je ne suis pas mécontent du résultat…– Tu peux ! Waouh ! Dans une salle pareille, on se sent prêt à travailler chacun de nos muscles ! Et sans pudeur !– Parlant de pudeur… Kevin se dirige vers la porte d’entrée pour la fermer à clef. Nous sommes maintenant complètement isolés dans la salle qui n’est que pour nous deux. Nous deux…Il est vêtu d’un short et d’un débardeur. Comme toujours sa beauté m’émeut. J’avance vers son bureau et son canapé lit. Tout est rangé, propre, utile. Malgré moi je regarde s’il n’y a pas un flacon de lubrifiant et une boite de préservatifs. Je souris en constatant que non. Je me fais peut-être des idées.Sous son impulsion, « nous sommes là pour suer, pas pour faire du tourisme », je vais dans le vestiaire. Je remarque immédiatement que depuis son bureau il a une vue parfaite, de biais, sur le gars en train de se soulager devant l’urinoir.– Coquin ça ! Tu ne serais pas un peu voyeur ?– Parce que tu crois que quand j’ai un client présent, je suis tranquillement le cul posé sur ma chaise ? N’importe quoi !– Effectivement… Cela étant ça s’appelle pisser en public !– Tu ne m’avais pas dit que tu t’en moquais ?– Oh que si ! Tu sais bien que je n’ai aucune pudeur !Je me déshabille entièrement. Sous son regard intéressé et silencieux. Nu, je sors du vestiaire pour regarder la pièce. Souriant, je lui demande :– Alors, quel est le programme ce soir ? On travaille le bassin et les abdos intensément ? Le haut du corps ? Le bas du corps ? Le milieu du corps ? On muscle le fessier peut-être…– Ambitieux ! Non. Avec, je reprends tes mots, ce que tu as pris hier soir, on va être soft !– De partout ?– Pas forcément… Pour une première séance, peut-être qu’on peut la faire en slip ? On verra à l’usage s’il nous semble inutile…– Comme tu veux, coach, je remets ton anatomie à ta sagacité !Je retourne dans le vestiaire et sors un sous-vêtement que j’enfile face à lui. Me voir en slip le rend tout guilleret. J’aurais préféré que ce soit en me voyant nu…Aussitôt il enlève son short et son débardeur pour m’offrir la vision d’un joli boxer bleu. Il regarde mon slip jaune d’un air amusé.– Monsieur porte des tangas ? Je ne savais pas. Je t’ai toujours vu avec des slips tout ce qu’il y a de plus classique !– Oui mais ce soir il n’y a que toi et moi. Et la règle, ici, est, j’imagine, que tout ce qui se passe dans cette salle reste dans cette salle. Totale confidentialité ?– Discrétion absolue ! Je me les coupe s’il doit y avoir une fuite.– Malheureux ! Ne fais pas cela ! Elles sont trop belles ! Et utiles ! Quant aux fuites, séminales, cela arrive aux plus raisonnables… Sauf si on se les ai coupées avant !– D’accord ! Promis ! réplique-t-il dans un rire ? Je ne toucherai pas à ma virilité !– Oh mais si ! Touche ! Touche-toi ! C’est quand même sympa de se toucher, non ?– Tu es vraiment un obsédé ! On ne parle pas de branlette, voyons ! Et puis ce qui est sympa de toucher ce n’est pas forcément les siennes…– Je suis en phase ! m’exclame-je en me retournant.Un cri de surprise sort de la gorge de coquin. J’écarte légèrement les jambes et entame des mouvements de rotation de mon bassin pour l’échauffer. Je tourne la tête pour regarder son visage étonné devant mes fesses nues.– Eh oui ! Je suis plus jockstrap que tanga ! N’en déduis rien de salace… Quoique… C’est juste que le jockstrap est un sous-vêtement de sportif !– Ah oui ? Elle est où la coquille ?– Tu veux la mettre en place ?– Je n’ai pas prévu de choc physique aujourd’hui. On travaille dans la douceur !– Cela me va ! Tu vas donc pouvoir vérifier si mes ischios jambiers et mes ischio fessiers travaillent bien ! On s’y met !– Avec joie ! dit-il, les yeux brillants.
Nous commençons par nous échauffer, comme à l’habitude. Pourtant le voir en boxer et lui présenter mes petites fesses nous met tous deux dans un état de joie simple. Nos yeux sont en permanence rivés sur le corps de l’homme secrètement désiré. Vu comment il observe mon entrejambe, côté pile ou côté face, je n’ai plus de doute qu’il en a envie. Les miroirs reflétant nos courbes sur les quatre murs sont un enchantement.Comme de naturel le paquet que chacun de nous cache encore sous le tissu du sous-vêtement est plus imposant que d’habitude…La séance est assez classique. La différence est qu’elle est beaucoup plus tactile. Kevin n’hésite pas une seconde à toucher mon corps. Ses doigts effleurent ma peau, ses mains s’emparent d’un bras ou d’une jambe pour corriger un mouvement.Lors d’une série de squats, il se place aux trois-quarts derrière moi en me demandant de descendre plus bas tout en gardant le tronc droit. Ce faisant, il place sa main sous mes fesses. Le premier contact déclenche une étincelle qui traverse mon corps. Il sent mon frémissement. Il me sourit, ravi de l’effet qu’il provoque en moi.Je n’ai qu’une idée en tête : toucher sa main avec mes fesses nues. Cela lui va parfaitement. Il joue avec mon fessier, l’évitant parfois (je vois ses manœuvres dans les miroirs), le touchant volontairement, puis le claquant à plusieurs reprises comme pour me gronder.J’adore cela !Nous faisons l’un en face de l’autre, contre un miroir, une série de planches. Nos joues se touchent presque, nos têtes frôlent l’épaule amie. Plusieurs fois il se relève soit pour venir appuyer sur mes fesses , soit pour venir faire pression sur mes flancs en les relevant de façon à ce que je reste bien droit dans l’axe épaules-fesses-pieds.– Je ne comprends pas, s’interroge-t-il. D’habitude tu es bien droit…– C’est peut-être parce qu’avec mon cul nu tu vois mieux si je suis dans l’axe…– Ou que tu apprécies que je corrige ta position…– Peut-être les deux ?Une énorme claque sur mon fessier me fait m’écrouler au sol. Nous éclatons de rire. Il m’aide à me relever en me tendant la main. Et quasiment dans ses bras, je sens une main douce passer sur mes petites fesses. Je lui souris. C’est bon… Il insiste un peu avant de pivoter, laissant sa main trainer et toucher la poche un peu plus gonflé de mon slip.Nos regards confirment que nous sommes en phase. Cette fois plus de doute : le désir mutuel a embrasé nos sens !
Les exercices se poursuivent, de plus en plus tactiles. S’il continue à toucher ma peau, à caresser mes fesses, à effleurer le devant de mon jockstrap, je prends également grand plaisir à caresser ses épaules, son torse puissant, son ventre plat et glabre, ses cuisses, ses fesses…Nos érections largement déployées sont évidentes. Nos verges se tendent, moulées par le tissu, entre deux exercices, avant de ramollir sous l’effort. La rapidité avec laquelle nous reprenons de la vigueur nous amuse.Nos souffles raccourcissent. Pas en raison de l’effort physique. Plutôt parce que notre désir l’un de l’autre nous enflamme.Une nouvelle série de pompes. Cette fois Kevin a constamment sa main posée sur mes fesses pour m’obliger à conserver mon tronc droit. C’est un régal absolu. Pour lui comme pour moi.Après une nouvelle claque sur mes fesses parce que je ne suis pas dans l’axe, je m’effondre et déclare que j’en ai fini pour aujourd’hui.Je me relève. Je le regarde. Nous nous sourions.Je m’approche, pose ma main sur sa fesse revêtue, comme pour lui dire qu’elle ne le devrait pas. Je caresse un peu sa croupe ce qui provoque le retour de sa main sur mon petit cul. Spontanément j’approche mes lèvres des siennes. J’y dépose un petit baiser tendre.Je veux m’écarter mais il me retient fermement. Et à son tour embrasse mes lèvres tout en pétrissant ma fesse. Nos yeux brillent. Je pose mes mains sur son torse. Je caresse son tatouage en sentant sa langue s’immiscer entre mes lèvres.Et je le repousse pour aller m’assoir sur son canapé.Intrigué, déçu probablement, il me rejoint en se campant debout devant moi. Son érection déforme magnifiquement le tissu moulant de son boxer. Il m’interroge du regard. Qu’a-t-il fait pour que je refuse d’aller plus loin ?Je regarde autour de moi. Je remarque enfin ce que mes yeux ont vu mais pas mon cerveau : de très belles photos de statues grecques de nu masculin. Je les observe. Il me regarde, sourire en coin. Je demande enfin :– Superbes ! Ce ne sont que des statues d’Appolon ou d’Hercule, non ? De face ou de dos…– Oui. – Tu préfères donc les hommes puissants et musclés aux petits jeunes tout frêles tout juste sortis de l’adolescence !– J’ai toujours été attiré par des hommes plus âgés, plus musclés que moi… Les statues de pâtres grecs au même corps que moi ne m’ont jamais intéressées, même si la vision de corps masculins nus m’a toujours excité…– C’est cohérent avec ton métier de coach sportif… Tu veux développer de la masse musculaire chez des hommes…– De beaux hommes ! Comme toi.– N’exagérons rien !– Pourquoi refuses-tu l’idée que tu puisses séduire des hommes plus jeunes qui ont envie de toi ? Comme moi, par exemple…– Parce que je n’ai rien d’original, pardi ! Mais si j’en crois ce que je devine sous ce boxer, effectivement, je t’excite !– Je ne peux pas le cacher…– Tu as très envie de le montrer…– Comme toi tes superbes fesses ! Elles me font fantasmer, tu sais ?– Fantasme purement esthétique ?– Non. Totalement sexuel ! Esthétique aussi, mais cela viendra après…– Bonne nouvelle ! Elles aiment bien être prises, se faire secouer…– C’est vrai ?– Puisque je te le dis ! Et ces dessins de lutteurs gréco-romains nus, c’est aussi purement esthétique ?– Non. Réplique-t-il en souriant. C’est juste que j’aime beaucoup la lutte gréco-romaine !– Nu ?– De préférence ! Mais c’est rare…– J’adorerais te voir habillé d’un body en lycra moulant parfaitement tes pectoraux, tes abdos et cette jolie virilité que je devine là-dessous ! dis-je en effleurant du bout des doigts le tissu moulant son sexe bandé.– Je te découvre voyeur et vicieux ?– Cela dépend avec qui, dans quelles circonstances…– Et là ? Les circonstances ? réplique-t-il en passant deux doigt sous l’élastique de la poche de mon sous-vêtement au point d’entrer délicieusement en contact avec ma verge.– Particulièrement favorables… Pour un dépucelage…– Un dépucelage ?– Pas anal, rassure-toi ! Je suis plutôt souple et gourmand par là…– A la bonne heure !– Plutôt un dépucelage en lutte gréco-romaine… Nus… J’ai toujours rêvé de découvrir ce que cela fait de s’accrocher au corps d’un bel athlète, d’enrouler mes jambes et mes bras autour… De glisser…– Cela peut se faire ! dit-il en enfonçant un peu plus ses doigts dans mon slip pour caresser plus encore mon sexe. Avant de tirer dessus.Nous nous regardons. Un air grave. Subitement je n’ai plus trop envie de cela. J’ai juste besoin de me pencher en arrière, de lui ouvrir mes fesses, de lui arracher son boxer, de le laisser me prendre d’un coup !J’entame le mouvement. Mais il se méprend sur mes intentions et m’arrache sans ménagement le sous-vêtement.Je suis à nouveau nu devant lui. Pour la première fois en érection !Son souffle se raccourci, ses yeux étincelles, sa langue passe sur ses lèvres. Je vois parfaitement qu’il a très envie de fondre sur mon sexe pour le prendre en bouche. Mais probablement sait-il que si on attaque comme cela, ça va aller bien trop vite.Alors il se contente d’effleurer ma tige avec ses doigts en murmurant « encore plus belle que dans mes rêves… ».Ecartant les cuisses en grand, je le laisse faire connaissance avec mon sexe, mes bourses, mon périnée, jusqu’à mon anus qu’il vient saluer du bout d’un doigt.S’il le veut, une simple pression, je suis tout à lui !Mais il hésite, me regarde, comme une supplique. Je lui souris, me redresse et, à mon tour, je passe mes doigts sous l’élastique de son boxer que je fais lentement descendre le long de ses jambes musclées.Son sexe bandé jaillit d’un coup. J’ai l’impression qu’il éclabousse mes avant-bras du surcroit de sperme qui macule son gland. C’est une merveille ! Assez long, bien épais, un régal en soi !J’approche mon visage de sa virilité gluante. Aussitôt il fait un pas en arrière. Il susurre : « pas maintenant… ». Je lui réponds que si, il faut que je le lui nettoie car sinon il va tâcher le tatami.Il jette un regard en arrière, hoche la tête, refait un pas en avant pour enfourner directement son gland baveux dans ma bouche qui s’ouvre par réflexe.Se contenter de nettoyer sans sucer est un supplice ! Et un délice ! Rapide, car il se retire vite.Il regarde mon sexe, voit qu’il est dans le même état, s’abaisse, le nettoie brièvement du bout des lèvres en provoquant un gémissement sourd qui sort de ma gorge.Il s’attarde encore moins que moi, attrapant mon poignet pour me redresser alors que je suis dans un état second.Nos corps s’enlacent. Nos lèvres se retrouvent. Un long et savoureux baiser s’ensuit tandis que nos mains s’emparent des fessiers.Il y met un terme en me disant que j’ai raison, la propreté corporelle fait pleinement partie de la pratique sportive.Amusé, il m’entraine sur le tatami. Il m’attrape par les épaules et commence à me donner des consignes.En réalité je n’entends rien à ce qu’il dit, mon regard figé sur son sexe bandé. La chaleur de sa peau, l’odeur mâle de sueur et de sperme, la douceur de son épiderme.Je valdingue vite par une prise surprise qui m’envoie au sol. Il se jette sur mon corps, m’immobilise. Son sexe repose sur mon ventre. Le mien entre en contact avec ses fesses. Il sourit, se décale sans trop desserrer sa prise, fait se connecter mon gland avec son anus.– C’est dangereux ce que tu fais : imagines que je donne un grand coup de bassin ? Enfilé d’un coup !– Et si c’était ce que je recherche ?– Tu aimes cela, te faire sodomiser ?– Autant que de prendre des merveilleuses petites fesses comme les tiennes !– Elles n’attendent que cela !– J’avais compris…– Reste à fixer le programme !– Et si pour une fois on laissait faire les choses ?– C’est le coach hyper organisé qui dit cela ?D’un coup de bassin je le renverse et lui fais une clé pour l’immobiliser. Nos sexes entrent en contact. Ses mains s’accrochent à mes fesses, les écarte, les tire.– Vicieux ! Tu vas m’arracher l’anus !– C’est le jeu, mec ! Mais rassure-toi, je vais le combler, pas l’arracher !– C’est moi qui vais t’enculer le premier, jeune vantard !– J’aimerais bien voir cela !Il se dégage avec une facilité déconcertante pour regrimper sur moi, m’immobiliser et, cette fois, placer son sexe à l’orée de mon anus.– Alors, une simple poussée, tu en dis quoi ?– Que j’en rêve depuis des mois !– C’est vrai ? Moi aussi !– De me prendre ou de m’offrir tes petites fesses et ton bon sexe baveux ?– Les deux, bien sûr ! Et toi ?– J’avoue que j’ai mille fois rêvé que tu me sodomises sauvagement… Un peu moins que je jouais avec ton corps parfait…– Tu serais donc plus passif qu’actif ?– Probablement. Mais si tu te jettes à mes pieds et que tu me supplies de te prendre, entre deux coups de langue sur mes couilles et ma hampe, j’avoue que je me ferais violence pour te bouffer le cul avant de te prendre longuement !– Parce que tu aimes bouffer les culs des garçons ?– J’adore ! Je suis le prince des anulingus ! Tu veux tester ?– Ma foi…Il desserre brusquement sa prise. Je le renverse, j’essaie de lui grimper dessus et je me retrouve une nouvelle fois dessous. Je m’accroche à chacune de ses courbes qui sont trempées de sueur. Nos mains glissent sans cesse. Le combat se fait erratique.Nous nous relevons. Nous nous faisons face. Nous retentons un combat. Nos doigts n’arrivent pas à s’accrocher. Nous retombons au sol. Il m’immobilise à nouveau, fier comme un paon.Mais il se dégage vite pour pivoter et plonger son visage entre mes cuisses. Spontanément je relève légèrement le bassin. Sa langue plonge sur mon anus alors que son sexe dur vient frotter contre ma joue.Je réussis à le mettre en bouche après avoir argumenté qu’il fallait refaire un peu de nettoyage. Mes paroles sont saccadées tant sa langue déclenche des intenses sensations. Puis son bassin se tend vers l’avant. Son sexe s’échappe d’entre mes lèvres. J’en profite pour gober ses testicules, ce qui le fait grogner de bonheur et abandonner un instant mon petit trou. Il replonge vite dans mon anus et m’offre le sien en même temps.Je n’hésite pas une seconde !Sa saveur est exquise ! Une puissante fragrance de sudation : cela fait une petite heure que nos corps s’exercent…La douceur de sa corolle est un régal. C’est la première fois que je lèche une rondelle trempée de sueur. C’est aussi délicieux que de lécher le reste d’un corps en nage. C’est juste totalement indécent !Nous restons une dizaine de minutes dans un corps à corps étroit à nous bouffer mutuellement le cul. Nos langues pénètrent rapidement nos conduits. Il est clairement aussi habitué que moi à se faire prendre !Nous finissons par nous écarter l’un de l’autre, hors d’haleine. Nous nous entraidons pour nous relever. Nos lèvres se rejoignent. Nos langues se combattent farouchement. Nos corps s’accolent. Nos mains claquent, pétrissent, caressent nos fesses. Avant d’y renfoncer un doigt pour s’assurer que l’autre est prêt.
Il s’écarte brusquement pour m’entrainer vers la canapé qu’il ouvre d’un geste sec. Il a la même envie que moi : lécher et sucer. Il s’agenouille devant moi et commence une véritable fellation.Comme tout ce qu’il fait, mon coach est un as ! Il me suce divinement bien, s’arrêtant pourtant trop tôt. La saveur métallique en bouche lui dit que je suis proche de l’orgasme. Je m’assois donc en le faisant se relever. Assis, c’est moi qui reprends son sexe en bouche, tout en alternant avec de longs coups de langue sur ses couilles, son ventre, ses tétons.Nous ne cessons de nous regarder, de nous sourire. Nous n’échangeons plus de parole. Nous sommes en phase. Nous vivons enfin ce que nous espérions depuis si longtemps.Ma main passe entre ses cuisses. Mes doigts retrouvent son anus. Il écarte grand le ciseau de ses jambes pour se refaire doigter alors que je le suce. Peu à peu il s’abandonne au plaisir. Il grogne de plus en plus fort. Il aime ce que je lui fais !Il aime tellement que brusquement il s’écarte, s’empare de mon corps pour me relever et se jette sur le lit, de dos, en relevant les jambes.Ma bouche replonge dans son anus.Et là ce n’est plus le coach sûr de lui que j’ai contre moi mais un petit animal totalement abandonné au plaisir !Il fait quasiment le grand écart, preuve de sa souplesse, ouvrant magnifiquement sa corolle. J’y enfonce ma langue, lèche le pourtour, donne de grands coups de langue sur ses bourses qui remontent, vient récolter le suc abondant qui coule du bout de sa queue.Il murmure plusieurs fois « prends-moi… ». Je souris. Il a craqué.D’une main fébrile il sort de derrière le canapé des préservatifs et du lubrifiant. Sans cesser de lui bouffer le cul, j’en déroule un sur mon sexe puis l’enduis de gel.Il entend parfaitement ce que je suis en train de faire. Il m’encourage à me dépêcher. Il est en manque total !C’est lui qui se recule sur le lit pour me laisser la place de me positionner confortablement. Je lui claque joyeusement la fesse pour peaufiner sa posture. Il obéit en tout, soumis, impatient.Enfin mon gland emballé touche son anus semi-ouvert. Dans un coup de rein et tout en grognant, il le fait entrer d’un coup en lui !Je le caresse, je le flatte, je titille ses tétons, je lèche ses lèvres. Il est absolument somptueux ! Il m’est reconnaissant de ne pas pousser, laissant son conduit s’habituer à la présence de mon sexe.Bientôt, par de subtils mouvements du bassin le rapprochant de mon ventre, il s’empale de plus en plus en grognant bestialement son intense plaisir anal. Le plaisir évident qui fait frémir tout son être, ses yeux brillant de reconnaissance, la beauté de ses petites couilles rondes et de son sexe bandé, la perfection de son corps : c’est un régal !Bientôt son conduit s’harmonise avec mon sexe. Le léger rictus douloureux a disparu. Seul le plaisir rayonne de son visage.Les va et vient, d’abord délicats, commencent. Je lui propose de prendre une autre position. Il veut garder celle-là, il veut me voir en train de le prendre. Je souris. Je trouve cela mignon. Alors nous intensifions notre enculade.Car c’est bien une sodomie partagée que nous vivons, chacun participant pleinement, moi en le pistonnant, lui en allant sans cesse à la rencontre de mon sexe.Il s’abandonne complètement au plaisir. Jamais il n’a été si beau ! Kevin, mon coach préféré, que je suis en train de faire couiner en l’enculant !Sans avoir besoin de nous le dire, nous décidons d’aller au bout de ce coït anal sans chercher à nous retenir. Cela fait si longtemps que lui comme moi espérions ce moment ! Nous savons que nous en vivrons plein d’autres.Il finit par me demander d’accélérer mes coups de boutoir. Je comprends qu’il est au bord de l’explosion.Un feu d’artifice qu’il veut m’offrir. Il jouit effectivement somptueusement, éjaculant en de multiples répliques une incroyable quantité de sperme tout en articulant un sourd « pour toi ! ».Pourquoi suis-je particulièrement flatté de cette offrande ?Les giclées, les soubresauts intenses de son corps, ses grognements : c’est la plus belle éjaculation à laquelle il m’a été donné d’assister. C’est la plus belle éjaculation que j’ai provoquée…Je reste figé en lui pour lui laisser le temps de sortir de sa petite mort. Quand il rouvre les yeux, quels yeux ! il me demande de me vider sur lui. J’ai vu sa jouissance ; il veut admirer la mienne.Je me retire, j’arrache la capote, je me campe bien entre ses cuisses et je commence à me masturber. La totale intimité que cela créé entre nous est le scellement de notre union. Nos yeux sont plongés les uns dans les autres, incapables de s’en détacher. Il m’encourage silencieusement tout en exprimant son admiration.C’est finalement un simple contact de ses doigts sur mon flancs qui provoque ma jouissance. J’éjacule à gros traits sur son ventre et son torse, mélangeant mon sperme au sien. Je crie, je chante, je grogne mon orgasme. Et je jouis, encore et encore, tandis que ses mains chaudes me retiennent par les flancs.C’est lui qui m’entraine sur son corps, accompagnant mon affaissement. Nos spermes se mélangent entre nos peaux, nos lèvres se joignent, nos langues en feu commencent à se dévorer.
Combien de temps ces tendresses post-orgasmiques ont-elles duré ? J’en sors quand je sens ses doigts se réenfoncer dans mon anus. Je souris.– Tu veux me prendre ? demande-je.– Laisse-moi encore un peu de temps ! Ce n’est pas tous les jours que je me fais sodomiser aussi divinement !– Dois-je comprendre que le maître est satisfait de l’élève ?– En cette matière, il n’est pas écrit que ce soit moi le maître et toi l’élève… J’ai hâte que tu me reprennes pour vérifier tes talents ! – Et pas de venir me fourrager le fessier ?– Oh si ! Tout autant ! Mais il faudra que tu me dises si tu aimes une sodomie sauvage ou quelque chose de plus doux.– Tu te doutes que j’aime les deux ! Je crois qu’on n’aura pas besoin de se le dire. Nous avons bien trouvé notre rythme naturellement, non ?– Et cela n’arrive pas si souvent ! dit-il en m’embrassant à nouveau.
Nous bavardons lascivement pendant vingt minutes, nous racontant sans aucune pudeur ce qu’on aime avec les hommes, des expériences, toute l’espérance que nous nous portions mutuellement.A force de tendresses échangées, alors que nous sommes depuis un moment à nouveau en érection, je le sens qui passe dans mon dos. Je me cambre, écarte les cuisses, tourne la tête vers lui en susurrant :– Tout ce que tu veux…– Te la mettre bien profond, tu veux vraiment ? demande-t-il en approchant ses lèvres des miennes.– Oh que oui ! Montre-moi que tu es un athlète, un vrai !Son sexe vient cogner contre mes fesses. Nous sommes prêts.Il revient me lécher l’anus, le doigter, le lubrifier. Je reste en total soumis, dos cambré, me laissant faire. Ce qui lui plait au plus haut point. Il ne cesse de me caresser, de me fesser, de me peloter avec des « oh oui ! » à répétition.Je suce son merveilleux sexe bien dur toujours nappé de son bon sperme. C’est moi qui enfile le préservatif sur sa hampe puis le lubrifie avant, sous ses yeux amusés, de m’enfoncer deux doigts plein de gel anal dans le cul. J’ai compris qu’il est comme moi : la pudeur n’est pas sa vertu première…Il me demande de me remettre en levrette. Il glisse à nouveau au-dessus de moi. Je sens son sexe se poser sur ma rosette. Et au moment où je veux reculer le bassin c’est lui qui donne un coup de rein me pénétrant partiellement.J’en ai le souffle coupé. Une douleur délicieuse traverse mon corps, vite chassé par une chaleur irradiante. Il se penche. Il m’embrasse. Il me pénètre progressivement alors que nos langues dansent une sarabande mâle.Sa sodomie est athlétique, puissante, énergique. Je gémis en permanence tout en le suppliant de continuer. Il me tient, il me caresse, il me claque les fesses, il me pistonne à toutes les cadences, cherchant à varier notre plaisir. C’est tellement bon ! La cloison tremble quand il déchaine ses coups sèchement dans mon cul, claquant son ventre sur mon fessier. J’aime tellement cette musique !Parce que nous ne changeons pas de position, l’enculade dure un très bon et long moment. Quand je suis au bord de l’orgasme et que j’en informe mon enculeur, il me demande de me retenir encore un instant. Il décale son oreiller sous mon ventre, attrape ma queue et se met à la branler en dirigeant mon éjaculation dessus.J’imbibe son repose tête de sperme en me moquant, à coup de grognements, de cette pratique adolescente quand nous nous masturbions, un slip plein de sperme posé sur le nez pour enjoliver sensitivement notre branlette.Il assume, affirmant qu’il le fait encore.Je suis heureux de m’extirper de son dard, d’arracher la capote pour le regarder de face, bouche ouverte. Il se finit à la main, m’offrant une magnifique éjaculation faciale.Comme de droit il me lèche le visage pour me nettoyer tout en m’embrassant. Ce partage séminal est un pur bonheur.
Nous restons un bon moment, enlacés, à nous caresser et nous embrasser tendrement, sans parler. Nous nous sentons tout simplement bien, chaleur contre chaleur, à nous dévorer des yeux tout en nous pelotant.Il faut pourtant bien mettre un terme à ces douceurs. C’est douloureusement que nous nous levons pour aller prendre ensemble une douche. Nous éclatons de rire en constatant que l’autre a quand même un peu mal au cul après ce qu’il a pris. Nous nous enlaçons à nouveau et passons joyeusement sous la douche, chacun lavant le corps de l’autre.Une fois sec je n’ai qu’une envie : passer la nuit lové contre lui. Mais nous savons que ce n’est pas possible. Chacun joue avec le pénis mou de l’autre. Nous nous promettons de nous revoir. Nous nous remercions pour ce moment de toute beauté. Et nous finissons par nous rhabiller.Kevin me donne une clef de la salle, me disant que je peux venir quand je veux. Je suis honoré de sa confiance, lui promettant de ne pas abuser et de ne pas m’imposer si je le surprends en plein « exercice » avec un gars…Nous convenons de nous retrouver quatre jours plus tard, même heure. Les promesses silencieuses que nous nous lançons nous font rebander. Nous rions, encore, heureux de nous être trouvés.
à suivre
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