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Un coach sportif très pervers

Chapitre 1

Première rencontre

Hétéro
Ce récit est une pure fiction. Pour une histoire sortant de l’ordinaire et perverse, je me suis associée pour l’écriture avec Bison Noir rencontré par message privé ici même. Au fil des échanges nous est venue l’idée d’écrire ensemble. L’histoire est donc écrite conjointement. A tour de rôle nous avons écrit nos paragraphes et les dialogues chacun notre tour, moi dans mon rôle et lui dans le sien.

Je me présente, Émilie, 35 ans, aide-soignante passionnée. Mon métier ne me laisse que très peu de temps libre. Mais assez pour faire tout de même quelques rencontres. Je mesure un mètre soixante, pour environ cinquante-huit kilos. Brune, les cheveux jusqu’aux épaules, j’ai pour habitude de porter la queue-de-cheval haute. Je suis une bonne vivante et les quelques kilos en trop accumulés au niveau de mes hanches et de mon postérieur n’en font que témoigner. J’ai pris de nouvelles résolutions pour cette année, faire un peu de sport ! Ne me connaissant que trop, je suis incapable de pratiquer seule régulièrement si je ne suis pas poussée à le faire. Je décide donc d’entamer des recherches afin de trouver un coach sportif. Me voilà donc à me balader sur différents sites lorsque je tombe sur cette annonce plutôt intrigante...
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Je m’appelle Gregory, j’ai 51 ans et je suis responsable d’une petite agence d’intérim spécialisée dans le BTP dans la banlieue lyonnaise. Les gens disent de moi que je suis "bien conservé" pour mon âge. Je ne peux que leur donner raison. Je mesure un mètre quatre-vingt-cinq pour quatre-vingts kilos. Mes cheveux commencent à peine à devenir grisonnants, ce qui fait ressortir un peu plus mes yeux bleus. Je suis passionné de sport, notamment de football, que j’ai pratiqué à un haut niveau régional durant plus de vingt ans. Depuis la fin de ma carrière, j’entraîne l’équipe première des U18 du club de ma ville. J’ai l’habitude de dire que j’ai deux drogues dans la vie : le sport et le sexe. Ce sont ces deux drogues d’ailleurs qui m’ont coûté le divorce avec ma femme. Je n’étais que trop rarement à la maison et j’avais beaucoup de mal avec la notion de fidélité. Un jour, cela en a été trop pour elle. Elle est partie avec nos deux enfants sous les bras.
Mes enfants représentent ce que j’ai de plus cher dans la vie. A présent, je ne les vois plus que lors des vacances scolaires, car elle est partie vivre loin de Lyon, à Brest. Mais, comme elle le dit, il est vrai que "je l’ai bien cherché". Pour surmonter la perte de mes enfants, je me suis encore plus investi dans le sport en montant ma boîte de coaching sportif. Je m’en occupe principalement le soir en semaine et le week-end. Je débute à peine et le bouche-à-oreille a plutôt du mal à fonctionner. Du coup, j’ai décidé de passer par une plateforme de petites annonces en ligne. Pour me lancer, je décide de mettre un prix à l’heure peu élevé pour du coaching, ce qui devrait attirer du monde. Grand bien m’en a pris, car quelques heures plus tard je reçois un message d’Émilie.
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Bonsoir Gregory, je suis à la recherche d’un coach sportif et mental afin de me motiver, de m’aider à m’entraîner et si possible perdre un peu de poids. J’ai trente-cinq ans et je suis pas mal prise par mon travail. Mais les longues gardes de douze heures consécutives sur plusieurs jours me permettent régulièrement d’obtenir trois jours de repos à la suite. Je tente bien sur ces jours de petits footings, quelques exercices de gainage ainsi que des squats pour raffermir un peu les chairs et perdre certaines rondeurs. Mais mon problème est que je n’arrive pas à me poser un rythme régulier. J’aimerais connaître les différentes formules que vous pouvez proposer pour une débutante comme moi. Comment est-ce que cela fonctionne ? En salle ou en extérieur ? Les tarifs bien évidemment en sachant que je ne suis pas très riche et que ma bourse a tendance à rapidement se vider à cause d’achats compulsifs de fringues. Cordialement. Emy
quel plaisir de lire ce message. Je tiens peut-être une nouvelle cliente qui semble particulièrement motivée. Après avoir lu son message, mon premier réflexe est de regarder son profil et plus particulièrement sa photo. Je ne peux m’en empêcher. Émilie est particulièrement mignonne. Elle a un regard qui pue le sexe. Cela m’excite de coacher des filles sexy. Mon esprit divague, je m’imagine toujours des choses... Mais bref, je dois me reconcentrer et lui répondre.
Bonjour Émilie, ravi de voir que mon annonce a attiré ton attention. Je n’ai pas de formule particulière à te proposer. Selon ce que tu recherches, je m’adapte à tes besoins. Comme nous sommes encore en septembre et qu’il fait beau, je te propose dans un premier temps de faire ça en extérieur. Je connais un joli parc avec une forêt où il est très agréable de courir, à l’écart de la pollution de la ville. Je te ferai effectuer ensuite quelques exercices de renforcement musculaire. Je te suivrai tout au long des séances pour t’encourager et te motiver. Les séances durent une heure et la première est gratuite. Cela te permettra de voir si cela te plaît et s’il y a un bon feeling entre nous. Dans ce genre de relation, cela est très important. Si tu souhaites poursuive, ce sera vingt euros la séance. En semaine, je suis disponible à partir de dix-huit heures sauf les mardis et jeudis. Le week-end, je suis disponible tout le temps sauf le samedi après-midi.
Je te laisse revenir vers moi pour m’indiquer tes disponibilités. A bientôt. Greg
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Wahouuuuu... Ce coach est de loin le moins cher que j’ai trouvé jusqu’ici. Il a l’air sympa et accessible. En plus de ça la première séance est gratuite, cela permet de voir ce qu’il propose au cours d’une séance et si le feeling passe bien. Bien que plus âgé que moi, je pense que cela peut coller et au moins, je ne tombe pas sur de petits jeunes complètement bodybuildés qui pensent chacun être la huitième merveille du monde. Je les vois régulièrement au parc, à faire les cadors sur les barres de traction, à comparer leurs muscles les uns les autres. Moi je cherche un coach capable de m’accompagner dans mes footings. Je le décide donc de lui proposer une date pour la première séance.
Bonjour Gregory, merci pour ta réponse rapide. Je passe également au « tu », car cela sera plus simple entre nous. Je suis partante pour bénéficier de la première séance gratuite afin de voir ce que tu proposes et le feeling. En revanche j’aimerais si possible y aller un samedi matin. N’étant pas une grande sportive, moins il y aura de monde au parc et moins je serai gênée. Je suis disponible ce samedi, on peut se dire dix heures ? Je te laisse mon numéro de téléphone afin de m’envoyer l’adresse du parc et le confirmer l’heure du rendez-vous. Je t’appellerai une fois arrivée sur place pour te rejoindre et que nous nous rencontrions. Bonne journée et à samedi je l’espère. Emy
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La gamine a l’air motivé. Elle me répond rapidement. C’est compliqué à expliquer, mais je suis très excité par la situation... Sans attendre, je réponds directement à Emilie :
— Tu as bien raison de me tutoyer. Je l’ai même fait sans ta permission, mais comme je pourrai presque être ton père. Je te propose d’y aller samedi prochain. Plus vite tu seras fixée et plus vite on pourra (ou non) avancer dans notre programme. En revanche, ce que tu as dit n’est pas tout à fait exact : le samedi matin c’est le moment où il y a au contraire le plus de monde. Les gens n’ont pas spécialement le temps/l’envie d’y aller la semaine après le boulot donc ils en profitent pour y aller le samedi matin avant les courses et les activités des enfants l’après-midi. Mais ne t’inquiète pas, la plupart restent dans le parc. Ce ne sont que les sportifs aguerris qui vont dans la forêt. Et puis je connais quelques coins un peu plus discrets où l’on pourra faire le renforcement musculaire sans que tout le monde te voie. Le nom du parc est la frange verte. Je ne pense pas qu’il y ait une adresse précise, mais tu trouveras facilement sur Internet. Il longe la grande forêt du bois barbu. C’est en périphérie de Vaulx-en-Velin. Selon où tu habites dans Lyon, j’espère que ça ne te fera pas trop loin. Si c’est trop loin, je trouverai un autre coin, mais comme j’habite juste à côté, c’est vraiment là où j’ai tous mes repères. Si c’est tout bon pour toi, je te dis donc à samedi, dix heures, au parc de la frange verte. Voici également mon numéro en cas de besoin (j’y réponds beaucoup plus facilement que via ce site : 06. XX. XX. XX. XX Greg.
Voilà, le message est envoyé. Pourquoi est-ce que seulement quelques secondes après je sens mon sexe bouger seul dans mon caleçon, et commencer à se durcir ? Je m’imagine avec cette fille dans la forêt... La regarder courir, voir son legging mouler ses fesses. Toujours assis sur le bureau, devant mon ordinateur, je baisse mon pantalon et prends mon sexe en main pour me masturber. Je fais en zoom sur le visage d’Emilie et je l’imagine à genoux dans la forêt en train de me sucer. Son regard de grosse cochonne qui brille lorsqu’elle passe sa langue sur mon gland. Je l’imagine ensuite recouverte de mon foutre. Mon ex-femme avait raison : je suis un tordu !
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Enfin samedi matin...J’ai passé les deux derniers jours à imaginer plein de choses, le déroulement de la séance, la découverte du coach, de cette forêt que j’imagine sans fin. Une légère appréhension saupoudrée d’une légère crainte, comment cela va se passer ? Ne vais-je pas tomber sur un dégénéré ? Enfin bref, il est huit heures trente et je décide de déjeuner correctement pour avoir des forces et prouver ma motivation à ce coach. Un petit café noir, des biscottes avec un peu de beurre, et un grand verre de jus pressé qui je l’espère, va me donner de l’énergie. Une fois le petit-déjeuner avalé, je me prépare pour aller rejoindre mon nouveau coach sportif et il faut l’avouer, j’en suis tout excitée. Mes affaires de sport sont quasiment neuves tant elles ont peu servi. J’enfile ma brassière grise qui plaque immédiatement mon 90C. J’essaie au maximum de les comprimer, car j’ai l’impression que les regards se figent sur mes seins lorsque je cours.
Je mets également mon legging assorti, il est gris et rose, parfaitement plaqué contre mes jambes. Pour un confort maximum, je ne mets jamais rien sous mon legging afin d’éviter toute marque suggestive à travers. Je mets une gourde ainsi qu’une serviette dans mon sac, une ou deux barres de céréales. Me voilà en voiture, il ne me faut qu’une quinzaine de minutes pour arriver à destination. Dix heures précises, j’aime être ponctuelle. Le parking est déjà bien rempli et je distingue pas mal d’attroupements de personnes qui discutent entre elles. Je prends mon téléphone pour appeler Gregory.
— Salut Gregory, je suis sur le parking. J’ai une Fiat 500 rouge tu ne peux pas me rater...— Ah oui je te vois, ne bouge pas j’arrive.
Je me presse pour arriver jusqu’à la voiture d’Émilie. En arrivant face à elle, je lui fais la bise en prenant bien soin de lui caresser l’épaule et de descendre ma main le long de son bras, jusqu’à son coude. Physiquement, je ne suis pas déçu. Bien que non maquillée, je trouve son visage très joli, en vrai. Elle est terriblement excitante dans son legging. Elle a aussi une bonne paire de seins, chose que je ne pouvais pas soupçonner sur sa photo de profil. Allez mon Greg, ressaisis-toi ! Pense à autre chose ! Ne bande pas. Ne bande pas...
— Bien Émilie. Je vois que tu es en tenue parfaite pour faire de grandes performances. Comme c’est la première séance, je te propose de courir entre vingt et trente minutes, à ton rythme. Si nous devons aller très doucement, ce n’est pas grave. L’objectif de cette première séance est de travailler ton souffle. Nous ferons ensuite du renforcement musculaire puis des étirements. Tu te laisses guider, je te montre le chemin. Tu es prête ? Allez, c’est parti !
La course débute. Je prends bien soin de rester légèrement en retrait pour admirer ses fesses. Émilie a un sacré cul !
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Après seulement une dizaine de minutes je m’essouffle tel un buffle qui tente de fuir un lion. Je ne vais jamais tenir la distance c’est impossible. J’essaie de prendre sur moi pour donner satisfaction à mon coach, mais je sens que la séance va être très longue. Mon front, mes bras, mes cuisses, j’ai l’impression de transpirer de partout. Je tiens encore cinq bonnes minutes, mais j’ai un point de côté. J’essaie tant bien que mal de le faire comprendre à Grégory.
— Greg... Je... je... pe... Peux.............. plus. J’a........ J’......... J’ai ..... du ma... Mal... À..... res........ pirer.......— Allez Emi, tiens encore une centaine de mètres. Nous irons nous mettre là-bas, sur le côté, pour te reposer et effectuer ensuite les exercices.
Il va y avoir du travail avec cette fille. Mais elle semble motivée et cela m’arrange, elle ne peut que progresser et donc prendre des cours supplémentaires. Surtout, il ne faut pas que je la décourage dès la première séance. Et puis, elle fait preuve d’abnégation puisqu’elle a tenu les cent derniers mètres.
— Bravo Emi, je suis très content de toi. Je ne te cache pas qu’il y a du travail, mais je suis fier de toi. Le plus important dans le sport, c’est la motivation et le mental et tu m’as prouvé que tu en avais. Repose-toi cinq minutes.
Elle est au bout du rouleau. Debout, elle met ses mains sur ses genoux pour retrouver son souffle. Comme un gros pervers, je me régale de mater son cul. Je rêverai d’arriver derrière, de l’agripper par les jambes et de la baiser violemment...
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Quelle endurance il a lui, il est à peine essoufflé alors que j’ai l’impression que je vais mourir. J’aime bien les mâles endurants ! Je tente de reprendre mon souffle et le cherche discrètement du regard. Il est à quelques mètres derrière moi et j’ai bien l’impression qu’il me mate le cul. Il est vrai qu’il a du charisme ce Greg, avec ces cheveux légèrement grisonnants, cela lui donne un air de Georges Clooney qui me plaît beaucoup. Après avoir repris mon souffle et bu quelques gorgées d’eau, je m’étire les jambes afin de lui prouver que je ne suis pas une totale débutante. Et pourquoi pas vérifier l’hypothèse que je lui plais tout de suite ?!
— Greg ? C’est comme ça qu’on fait pour s’étirer les jambes ?
J’écarte légèrement les jambes puis, jambes tendues, je descends jusqu’à toucher la pointe de mes pieds avec mes mains. C’est facile après des années de gymnastique, la souplesse reste. Je glisse ma tête entre mes jambes et j’ai bien confirmation que son regard a fixé mon postérieur. Quel pervers !!! Mais il est charmant. Je vais me cambrer un peu qu’il profite de la vue...
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Je rêve ou elle est en train de m’allumer ?? Pourquoi est-ce qu’elle fait ça ? Putain, elle va me faire craquer ! Je suis incapable de résister à ce genre de provocation. J’ai envie de la baiser cette salope, dégoulinante de transpiration...
— Oui c’est plutôt pas mal, mais ton bassin doit se tenir encore un peu plus droit, être plus perpendiculaire avec le sol.
Je me positionne derrière elle et je lui attrape les hanches fermement de mes 2 mains. Je me colle à elle de sorte que mon sexe vienne se frotter à ses fesses. J’ai début d’érection.
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Mais c’est qu’il a l’air d’avoir de sacrés outils sous son short ce Greg ! Je me dandine légèrement pour en être certaine puis je me redresse.
— Eh ben coach, ça va aller ? Tu vas réussir à finir la séance ? Tu pratiques plusieurs sports, je suppose, pour être devenu coach. Mais tu as l’air d’avoir un sacré penchant pour le sport en chambre n’est-ce pas ?—--------------------
La petite provocatrice ! C’est désormais certain, je ne partirai pas de cette forêt sans m’être vidé les couilles. Je glisse ma main à l’arrière de sa tête pour lui attraper ses cheveux trempés.
— Viens juste derrière ce buisson, je vais te montrer que la séance n’est pas terminée.
Je l’entraîne derrière le buisson se trouvant à quelques mètres de nous. Je lui tire les cheveux en arrière la contraignant à se mettre à genoux.
— Baisse mon pantalon !— Bien sûr coach...
Je baisse son pantalon puis son boxer et libère son sexe déjà pas mal raidi par les frottements d’il y a quelques instants. Il est sacré bien membré comme j’avais pu l’imaginer quand il s’est blotti contre mes fesses. D’une belle largeur également qui devrait remplir ma bouche. Il guette aux alentours que personne ne soit dans les parages quand son regard revient et croise le mien.
— C’est quel exercice ça coach ?— Je vais te faire travailler ton cou. C’est important d’être bien musclé à ce niveau-là pour éviter les torticolis. Ouvre ta bouche et montre-moi comment tu suces. J’espère que tu es meilleure dans cet exercice qu’à la course...— Alors je t’arrête tout de suite. Tu peux douter de mes capacités concernant le footing et d’autres exercices. Mais pas sur celui-ci, c’est mon exercice préféré...
Je me mordille la lèvre inférieure. Mon regard est plongé dans le sien et ça l’excite le pervers. Je sors légèrement la langue puis lui lèche le gland. Je descends le long de sa verge bien raide jusqu’à la base. Je lui gobe les couilles une à une en malaxant de queue de la main gauche. Ma main droite est glissée entre ses cuisses, je les caresse, remonte aux couilles puis redescends dans sa raie, ce qui ne le laisse pas indifférent. Son impatience se fait sentir, j’ouvre la bouche et gobe le gland gorgé de sang. Sa queue est bien raide et je raffole de la sensation de ses veines sur ma langue. Beaucoup trop de douceur à mon goût, j’aime le chaos et le bestial. Après une grande inspiration, j’engloutis son gourdin jusqu’à la base et le laisse planté bien profondément dans la gorge. Je peux sentir l’afflux de sang dans son gland qui est calé contre ma glotte. Les yeux toujours rivés dans les siens, je peux lire l’excitation et la satisfaction dans ses yeux.
Je relâche enfin l’effort puis attaque un va-et-vient conséquent pour prouver à mon coach toute la bonne volonté...
— Et bah dis donc... Tu es une belle salope Émilie ! Vas-y, continue à me regarder avec tes yeux de chienne quand tu me suces. Ils brillent tellement que tu aimes ça, ronger un os. Dès que tu m’as écrit, j’ai vu en toi une jolie petite pute. Je me suis branlé en imaginant exactement ce que tu es en train de me faire. Continue...
Je la laisse poursuivre sa pipe. Elle le fait de manière plutôt énergique et ne semble pas du tout se soucier du fait que l’on soit en extérieur. Je suis sûr que son entrejambe est trempé. Même si j’ai fantasmé sur cette pute, je ne me serai quand même pas imaginé qu’au bout de vingt minutes elle serait déjà à genoux, ma queue dans sa gorge. Je sens que je peux aller plus loin avec elle. Me permettre plus de choses...
Je dois voir jusqu’où je peux la pousser. Je lui attrape l’arrière du crâne et pousse régulièrement sa tête jusqu’au fond de sa gorge. Elle encaisse sans aucune difficulté et pourtant, sans avoir une bite monstrueuse, celle-ci est, je trouve, de plutôt bonne facture. Toujours en lui agrippant les cheveux, je décide de littéralement lui baiser la bouche. Sa tête ne bouge plus. Sa bouche n’est plus qu’un trou dans lequel j’éclate ma bite dedans. Mes couilles viennent se cogner sur son menton. Elle bave, elle tousse, elle s’étouffe. Elle commence à faire du bruit. Enfin, elle semble avoir plus de mal à encaisser. Il n’y a rien de tel pour m’exciter...
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Le pervers y va maintenant très fort et me baise la gorge comme il se défoulerait dans une poupée gonflable sans sentiments. Mais j’aime ce genre de macho viril, toujours sur le fil et parfois même carrément sans scrupules. Je déglutis à plusieurs reprises. J’ai parfois même un petit haut-le-cœur, mais je sais les gérer. Je sens ma salive couler sur mon menton au fur et à mesure des coups de boutoir. Je me retire, crache abondamment sur sa queue qui n’en finit plus de me gaver. J’entends du monde plus très loin des buissons. Il est l’heure de terminer le travail. Ma main à la base de son dard, je le suce férocement en effectuant des mouvements rotatifs de la main, ce qui le rend complètement fou. En plus de toute l’énergie que j’y mets, son bassin impose un va-et-vient encore plus profond. Son gland se durcit, je sens les spasmes montés en lui, je retire sa queue de ma gorge et le branle frénétiquement au-dessus de mon visage.
Je reçois deux, puis trois, puis un quatrième jet de jus chaud en pleine gueule. Mon visage est aspergé de part en part. Je lèche et aspire le gland pour récupérer la dernière goutte. Son expression de visage me fait dire que mon coach est satisfait de cet exercice.
Mais je pense pouvoir dire que sur notre prochaine séance, monsieur ne se contentera pas d’une simple pipe...
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