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Le cobaye du docteur Kilsher

Chapitre 3

Confessions intimes

SM / Fétichisme
Journal de bord, fantasme n°3
"Le soir est tombé. La ville est calme, les rues sont tapissées de silence. Le bruit de mes pas raisonne tout entier sur les pavés. J’appuie sur l’interphone et pousse l’imposante porte qui mène au chemin gravillonné. Je pénètre dans le couloir du cabinet. Tout est calme. Chaque bruit fait de longs échos. Je suis persuadé d’avoir rendez-vous, pourtant, tout semble désert. En salle d’attente, aucun patient. La pièce est plongée dans l’obscurité. Je décide d’avancer vers la salle d’examen. De là, une faible lueur s’immisce sous la porte. Il semble y avoir de l’activité derrière. J’entends la rumeur d’un soupir, la mélopée d’un gémissement. Je jette un œil discrètement dans l’entrebâillement. Je ne suis pas seul. Une silhouette est allongée sur le divan d’examen. Mon cœur commence à s’emballer, mes jambes à s’engourdir. L’excitation monte. Je veux en voir davantage. La silhouette se précise, je la reconnais tout de suite, c’est celle du docteur Kilsher. Ses jambes sont installées confortablement dans les étriers gynécologiques. Elle ne porte que sa blouse blanche, ouverte sur son soutien-gorge qui baille sur sa poitrine. La lampe d’examen éclaire sa toison pubienne, blonde comme un soleil. Aux pieds, elle a encore ses talons hauts, qui basculent négligemment de haut en bas. Ses cheveux sont détachés et s’étendent en arabesque autour de sa tête. Elle halète, transpire. Son front perle de plaisir. Son ventre blanc s’anime, son souffle est profond. Les yeux fermés, les lèvres pincées, elle passe un vibro sur son sexe avec des mouvements amples, puis s’arrête pour profiter de l’intensité de la stimulation. Alors, elle crie un peu plus fort, mais elle ne jouit pas. À la place, elle remarque ma présence. Sa tête se tourne vers moi, elle me reconnaît. « Monsieur Alexandre, c’est vous ? Nous avions rendez-vous ? Ah, oui ? J’ai… J’ai dû oublier, pardonnez moi. Mais ne restez pas là, venez par ici, j’ai besoin de votre aide. »
Je m’avance vers elle. Mes jambes flageolent. Mon bas-ventre s’envenime. Je me positionne entre ses cuisses de marbre blanc, qui brillent de transpiration. Son sexe est humide, son aine suinte de cyprine. Suite aux assauts de son vibro-masseur, ses grandes lèvres sont gonflées et rouge. D’une voix essoufflée, elle me confie : « Je n’arrive pas à jouir. Votre verge de jeune homme devrait pouvoir m’aider ! ». J’obéis sans contester. Je déboutonne mon pantalon et baisse mon caleçon.
Je bande fort face à cette vulve en chaleur, toute prête à m’avaler. « Allez, qu’est ce que vous attendez, prenez-moi ! » Réclame-t-elle avec se voix forte d’Europe de l’Est. Je m’exécute et entre facilement en elle. Elle mouille comme une folle. Sans effort, je glisse rapidement jusqu’à la garde. La chaleur humide de son vagin encercle ma queue ; c’est exquis. Je démarre les va-et-vient. Elle reprend ses vagissements, en s’accrochant au bord du divan d’examen. Je lui lime le con plus vigoureusement. Je suis en train de baiser une magnifique femme mûre, chaude comme la braise. 
Elle me réclame. « Oh Mr Alexandre… Oh oui ! Continuez ! » Notre plaisir est commun, nos bassins s’accordent. Je donne des coups de hanche plus vifs, plus fermes, plus rapides. Sous mes coups de boutoir, sa voix se met à siffler dans les aiguës et – finalement - s’en va dans les limbes de l’orgasme. Elle semble jouir en plusieurs fois tandis que je la remplis de ma semence et que sa chatte m’enserre dans des spasmes de plaisir..."

Mon deuxième rendez-vous avec le docteur Kilsher était dans 2 heures. J’étais tendu, mais je brûlais de la revoir. Cette femme avait posé son vaudou sur moi. Sans compter que, bien entendu, j’avais besoin de ses consultations pour tenter de régler mon problème !Après avoir acheté du lubrifiant comme elle me l’avait suggéré, j’avais timidement commencé à jouer avec mon cul. Je faisais les exercices de contractions qu’elle m’avait prescrit puis je le faisais glisser en va-et-vient. Je le retirais, le mettais de nouveau. Mon cul se dilatait doucement. J’explorais les plaisirs liés à la prostate en pensant à elle et parfois, je jouissais. Mais là au moins, je savais pourquoi !
En effet, malgré le plug et le cockring, j’avais eu de nouvelles crises, dont une au travail qui avait manqué de me griller pour de bon. J’en avais eu dans ma douche, dans mon lit, pendant mon petit-déjeuner. J’étais épuisé. Pourtant, cela ne m’empêchait pas de me branler, quand l’envie était là. Et elle était encore là. J’avais commencé à écrire un carnet de bord, pour montrer au docteur. J’y mettais les données de mes crises, mais aussi mes fantasmes masturbatoires. 
Ainsi, de la même manière que dans mon écrit de l’après-midi, je poussai la porte et pénétrai dans le cabinet. Je ne m’attendais pas à dire cela, mais j’étais impatient. Si j’ai le syndrome de la blouse blanche, c’est que dans le fond, elle m’a toujours excité, et le Docteur Kilsher la portait très bien ! Je tins la porte d’entrée au patient précédent. Je remarquai sous son col de chemise un bout de collier noir, le même ornement que le patient de la dernière fois. Je ne dis rien, le regardai passer avec un sourire puis le laissa derrière moi, interrogé. Qu’avaient ils tous avec ce collier ? Je secouai la tête et entrai. Dans la salle d’attente, je fus seul. Je m’assis. Je jetai un coup d’œil aux revues sur la table basse et n’en cru pas mes yeux. C’étaient des magazines de cul ! Seul, j’en profitai pour y jeter un œil. Au contact de ces images pornographiques, je sentais ma pression sanguine s’agiter, ma rétine se dilater. Des chattes, des culs, des bites, des seins. Il y en avait pour tous les goûts. Je reluquais en détails une belle brune bien humide en train de se doigter, quand l’infirmière, avec sa blouse bleu nuit, rentra sans prévenir : « Mr Alexandre ? ». Surpris, je jetai le magazine là où je venais de le récupérer.
 « Ne soyez pas gêné. Dit elle d’une voix calme.— Heu...je…— Pas de réaction particulière ?- Les magazines étaient pour moi ?— En effet. Le docteur Kilsher voulait voir si cela pouvait provoquer une de vos crises.
— Hé bien non, visiblement. — Très bien.
J’étais interloqué. Elle récupéra la pile de magazine et nous allâmes ensemble dans son petit bureau d’examen. Cette fois-ci, il n’y avait pas besoin de questionnaire sur ma vie intime. J’hésitai donc à me déshabiller de mon propre chef. Elle ôta rapidement mes doutes. « Allez, en caleçon ! » Elle m’examina sommairement avant de me demander d’enlever mon slip.
 « Je ne pense pas qu’une nouvelle épilation soit nécessaire. Par contre le lavement et la sonde sont indispensables pour les examens avec le docteur. Retournez-vous et penchez-vous en vous appuyant sur le divan. »
Je portais encore le plug que m’avait inséré le docteur quelques jours auparavant. Elle le retira avec délicatesse. Elle glissa un doigt dans mon cul dilaté, en fit le tour, puis conclu :
 « Le docteur m’a demandé un lavement plus approfondi cette fois. Mettez-vous en chien de fusil sur le divan, je vais poser une canule. »
Je m’installai sur le flanc, avec une cuisse relevée sur l’abdomen, puis attendis. J’entendis l’infirmière faire couler le robinet un petit moment, pour remplir la poche à lavement. Cela semblait faire beaucoup d’eau... Est-ce que tout allait aller dans mon intestin ? J’eus une légère angoisse à cette pensée. Elle se rapprocha de moi et me prévint qu’elle allait injecter de l’eau tiède, à l’aide d’un petit tuyau. Celui-ci s’enfonça profondément dans mon rectum. Je pouvais le sentir se faufiler, suivre les courbes naturelles de mon intestin. Puis elle ouvrit le robinet. L’eau tiède commença à envahir mon ventre, d’un filet timide mais continu. 
Au début, ce n’était rien. Quelques crampes, rien de méchant. Comme la dernière fois, je me dis que ça allait passer et devenir presque confortable. Mais pas cette fois-ci. L’infirmière me remplit littéralement le ventre. Bien que le débit n’accéléra jamais, à un certain point, chaque centilitre paraissaient de trop. Je ne pensais pas pouvoir tenir plus, que ça allait être terminé bientôt, mais dès que cette idée me traversait, la voix de Karole se faisait entendre : « Tenez bon ! ». Mais pour combien de temps encore ? Mon ventre était si tendu. Par chance, aucune crise ne pointa le bout de son nez. Je n’ose pas imaginer les conséquences du contraire.
Finalement, elle stoppa son affaire, la poche d’eau était vide. Je n’en pouvais plus. Cela ne l’empêcha pas de masser mon abdomen comme la fois précédente, ce qui fut tout à fait insupportable. Après cette ultime manipulation, elle m’indiqua les toilettes. Le temps dont j’eus besoin pour évacuer toute l’eau m’apparut être une éternité. Soulagé, je retrouvai Karole dans le petit bureau. « C’est bon ? Très bien. Attendez-moi là, je reviens vous chercher».
Après un court instant laissé seul dans le cabinet, Karole me fit entrer. Malmené par le lavement, j’étais ballonné. Cependant, j’avais tout de même hâte de découvrir quelle tenue le docteur Kilsher allait porter aujourd’hui. Pendant mes branlettes à la maison, je lui avais prêté les tenues les plus extravagantes. Corset de cuir, porte-jarretelles, jupe fendue, string… Souvent, ces accessoires finissaient par s’évaporer pour la laisser complètement nue. Souvent, je jouissais.
Le docteur n’était pas à son bureau. « Elena va vous recevoir directement en salle d’examen, veuillez entrer », me dit Karole en faisant coulisser la porte de la pièce en question.
Le docteur Kilsher était bien dans la salle. Bien entendu, après tous les détours pervers de mon imagination, je fus un peu déçu par son habillage ; mais tout de même surpris. Sous une longue et élégante blouse blanche aux manches retroussées, elle portait un body noir, un pantalon de cuir moulant et des escarpins à talons. Ses longs cheveux étaient attachés en chignon avec une tresse tout autour. Ses lèvres étaient rehaussées par un intense rouge vermillon, qui contrastait presque violemment avec le bleu menthe de ces yeux. Le débardeur lui faisait un décolleté plongeant, qui laissait entrevoir la fente de ces seins. J’avançai en caleçon vers elle, fébrile.
 « Bonjour Mr Alexandre, ravis de vous revoir. Comment allez-vous ? Mon équipement vous a-t-il soulagé ? - Malheureusement non. Enfin, un peu… Les éjaculations étaient moins intenses, mais toujours présentes. C’était même parfois douloureux avec l’anneau. - Je vois. Enlevez votre boxer et venez me voir, que je vous examine.
Le docteur me fit asseoir sur la chaise gynécologique. Elle enleva le cockring et inspecta mon sexe. Puis, sans somation, elle me fit un toucher rectal après avoir enlevé le plug. Elle m’indiqua qu’elle me dilatait à trois doigts facilement, ce qui, semble-t-il, était satisfaisant pour elle. Ainsi, elle massa ma prostate tout en me masturbant. Je ne pus retenir une soudaine éjaculation. "C’est normal, ne vous inquiétez pas. J’ai purgé vos canaux pour l’examen à venir. Aujourd’hui nous allons faire un nouveau test d’effort, mais sous contrainte. Ce n’est pas vous qui allez vous stimuler. Et dans le même temps, nous allons explorer vos fantasmes pour étudier leur influence sur votre organisme. »
Karole me débarrassa du sperme répandu sur mon pelvis. Après avoir imaginé l’utilité des sangles du divan d’examen lors du premier rendez-vous, je connus rapidement leur utilité réelle. Karole m’attacha les jambes avec, au niveau des cuisses et des chevilles. Puis elle remis tout l’attirail d’électrode du rendez-vous précédent, sur mon corps et ma tête, ainsi que la sonde dans mon anus. S’ajouta cette fois-ci à mon sexe une pompe sous vide. Reliée à un moteur qu’elle actionna, elle commença à s’animer. Des succions intenses attiraient mon sexe vers le haut et lui faisait faire des mouvements de va-et-vient. Comme si je me branlais, mais sans les mains. Karole me mit un casque opaque sur les yeux et des écouteurs aux oreilles. « Cela va vous aider à vous concentrer et à bien entendre le docteur. » Elle fit un test. La voix du docteur Kilsher et son accent de l’Est parvinrent directement dans mon conduit auditif. Son ton se faisait doux et bienveillant, prompt à accueillir mes confidences.
« Bien monsieur Alexandre. Je ne suis pas loin. En vérité, je suis juste à côté de vous. Je vais pouvoir entendre vos réponses ainsi. Commençons, voulez-vous ? »
 Je balbutiai un oui. Mon sexe, maintenant en érection, continuait à être travaillé doucement par la pompe.
 « Monsieur Alexandre, parlez-moi de votre premier émoi sexuel. Prenez votre temps. - Hé bien… Je crois que c’est à ce moment-là que commence mon syndrome blouse blanche. - Ah oui ? Je vous écoute. - C’était une visite médicale pour l’école. La docteure était une femme d’une quarantaine d’années, avec des cheveux courts. Elle m’a fait venir en slip derrière son bureau. Elle semblait gênée que je sois encore en sous-vêtements. Alors elle m’a baissé le slip sans rien dire et m’a tâté les testicules. C’était une sensation particulière. De l’autre côté du bureau, ma nounou me regardait avec un sourire gêné. J’étais très embarrassé. Mais cet épisode m’a suivi. Rapidement, derrière, je crois que j’ai découvert la masturbation. - Intéressant. Dites-moi en plus… - J’ai découvert qu’en me frottant sur le drap, je me procurais du plaisir. Je pensais à ce moment avec la docteur. Puis de fil en aiguille, mon imagination s’est étoffée et les scénarios se sont fait plus sophistiqués. - Racontez-moi... - J’étais souvent soumis à des expériences par de belles infirmières. Parfois, j’étais torturé par plusieurs femmes dont j’étais la tête de turc. Elle m’attachait à une table pour me chatouiller, me stimuler. Elles riaient en le faisant, ne prêtaient pas attention à ma gêne ou mon excitation. Parfois, elles prenaient soin de moi. Mais je n’étais jamais le dominant.  - Intéressant..."
En déblatérant mes fantasmes, je me rendais compte que c’était une mise en abîme. Je les vivais tout en les racontant. C’était surréaliste. La pompe continuait son office, de manière plus rapide. J’avais le sentiment que Karole avait augmenté la vitesse. C’était intense, mais j’arrivais tout de même à poursuivre l’exploration de ma psyché, guidé par le docteur Kilsher.
 « Après cela, à l’adolescence, j’ai découvert la pornographie. - Qu’est-ce que cela a procuré chez vous ? - De l’excitation et de la terreur. Mais c’est l’excitation qui primait. C’était comme un magasin de bonbon. Il y avait tout ce que j’avais imaginé. Je me souviens d’une vidéo notamment sur laquelle je me suis masturbé plusieurs fois en une seule journée. J’étais obsédé. - Parlez-moi de cette vidéo. - C’étaient deux femmes. L’une était infirmière, l’autre une patiente. Elle se plaignait d’avoir mal au c… à l’anus pardon. - Ne faites pas attention au vocabulaire. Utilisez celui qui vous vient spontanément. - D’accord. Donc la femme venait pour son anus. Il lui faisait mal. Alors l’infirmière lui expliquait que le docteur n’était pas là et qu’elle allait s’occuper d’elle. Elle la faisait installer à quatre pattes pour la pénétrer avec ses doigts. Petit à petit, elle arrivait à lui fister l’anus et le vagin. Elle lui demandait si tout allait bien, si elle sentait quelque chose. Malgré la situation, la patiente disait que ça allait. - Qu’est ce qui vous excitait le plus dans cette vidéo ? - Je crois que c’est le mélange de bienveillance, mêlée à l’intensité de l’acte. Cette manière nonchalante qu’avait l’infirmière de demander si tout allait bien alors qu’elle avait ses deux mains dans les orifices de la patiente. Le geste était impressionnant.  - Je vois… d’autres souvenirs ? - D’autres vidéos oui. De l’électro stimulation, surtout dans des contextes médicaux, ce qui m’excitait beaucoup. Des femmes soumises. Du cuir. Petit à petit, je découvrais le BDSM… La frontière entre douleur et plaisir présente dans les vidéos m’excitait et me terrorisait à la fois. - Cela vous anime toujours aujourd’hui ? - Oui, moins, mais oui...— Dites-moi, Mr.Alexandre, vous êtes-vous masturbé ces derniers jours ? - Oui - À quoi avez-vous pensé ? - Je… À ces scénarios dont je vous ai parlé… - Ah oui ? Et maintenant ? Qu’est-ce qui vous vient à l’esprit ? - Heu… Aux magazines pornographiques de la table basse.
 Bien entendu, c’était un mensonge. Comment lui dire que, là maintenant, je pensais à elle ? Elle y eu un silence.
 - Mr.Alexandre, vous êtes branché à un détecteur de mensonge. Et il indique que vous ne pensez pas aux magazines pornographiques que je vous ai soumis. Soyez en confiance et dites moi à quoi pensez vous vraiment ? - À… à vous docteur... - À moi, dites-vous ? - Oui, à vous. - Précisez votre pensée. - J’imagine vos tenues. Elles sont sexy. - Mais encore ? - Je vous imagine nue avec vos talons aiguilles. - Intéressant. Vous avez un fétichisme pour les chaussures, pour les pieds ? - Pas vraiment. J’aime les talons. Je trouve ça beau… - Et après ? Vous pensez toujours à moi ? - Oui. Vous venez vous asseoir sur mon visage… — Intéressant...— Votre sexe est humide... Je le sens… Il sent fort… Il mouille ma bouche...Et mon nez... - Mon poid sur le visage vous empêche t-il de respirer ?— Oui... je suffoque...— C’est moi qui contrôle votre respiration maintenant. Je me lève, me rassois à nouveau sur vous. Vous n’avez pas le contrôle. Mon sexe bloque l’air dans votre bouche. Je me lève, vous prenez une courte respiration. Je reviens sur vous. Plus lourde encore.— Ah...— Très bien Mr Alexandre. Jouissez sans retenue.— … Oui...
 Je haletai et ne pus en dire davantage. Mon sperme tapissa d’une flaque épaisse les surfaces rigide de la pompe. Ma verge, sensible, continua d’être stimulée le temps que la machine s’arrête. Ce fut un supplice. Petit à petit, je fus remis en contact avec la réalité. Toutes les deux, elles m’enlevèrent les électrodes, les sangles, la sonde. Puis Karole alla rincer la pompe au robinet, tandis que docteur Kilsher examina les résultats du test d’un œil attentif.
Elle ne semblait pas troublée par ce que je venais de lui raconter. Moi, cependant, je l’étais par ce qu’elle m’avait dit ! Elle revint vers moi pour m’ausculter. Elle prit le temps de prendre mon rythme cardiaque, me palper les amygdales et le ventre. Elle prit ma verge endolorie entre ses mains, apprécia les testicules. Puis elle se remit entre mes jambes pour aller tâter ma prostate. Elle me fouilla sans vergogne, d’un doigt, puis deux. Je crus qu’elle allait me faire jouir à nouveau, mais s’arrêta au dernier moment.
« On va s’arrêter là pour aujourd’hui. Comme les derniers instruments n’ont pas donné grand-chose vis-à-vis de vos crises, on va en essayer de nouveaux pour la prochaine fois. »
Elle me présenta une plug anal courbé, avec un diamètre plus gros que le premier. Elle l’enfila avec un peu de difficulté dans mon cul. Elle fit un nouveau contrôle avec son doigt, qui tourna toute autour de la surface du plug, avant de se retirer. Mon anus réagissait à cette nouvelle intrusion en se contractant régulièrement. Kilsher vint à mon niveau pour m’expliquer la cage de chasteté. J’en avais vu quelques-unes dans les vidéos.
« Vous allez la porter trois jours et on se revoit pour l’enlever. Normalement, ça devrait bloquer les érections et les éjaculations. Vous pourrez uriner par le trou de la cage. Si quelque chose ne va pas, appelez tout de suite le cabinet. »
Quelques minutes plus tard, mon pénis était restreint par cet instrument de torture, mon anus habité par un nouveau plug. Avant de lui dire au revoir, je lui parlai du cahier de bord. Elle me dit que c’était une bonne idée. « Vous avez exprimé des fantasmes de soumission et de domination qui viennent de votre enfance. Ils ont traversé votre existence sexuelle, ont mûri avec vous. C’est très intéressant. Nous les explorerons ensemble pendant votre thérapie pour vous aider à les assumer, à les comprendre. », me dit-elle avant de me serrer la main. J’appréciai une dernière fois son généreux décolleté puis rentrai chez moi dans ce qu’il restait du soir.
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