Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 60 J'aime
  • 6 Commentaires

Cobaye pour ma soeur et ses copines

Chapitre 10

Inceste
Bonjour, bonsoir, chère lectrice, cher lecteur de mon histoire. Étant donné qu’une histoire fictive, comme j’ai l’habitude d’en écrire, peut avoir plusieurs fins, j’ai décidé d’appliquer ce principe, je l’espère, pour votre plus grand plaisir.
COBAYE POUR MA SOEUR ET SES COPINESCHAPITRE 5 bis
— Alors, petit frère ? Que veux-tu que nous fassions ?— Hum... J’aimerais beaucoup vous sodomiser toutes les trois mais, d’abord, j’ai envie de me détendre un petit peu. Tu te souviens des blouses d’infirmières que vous mettiez pour aller à Carnaval ? Eh bien, j’aimerais que vous les remettiez sans en refermer les boutons. Ensuite, Élodie, Thu Jin, vous vous placerez de part et d’autre de moi et me masserez les poignets et le dos. Quant à toi, grande soeur, je te laisse le soin d’aller explorer la cave. — Ça me convient. Je vais chercher les blouses.
Je m’assis dans le fauteuil et attendis le retour de Morgane. Celle-ci revint quelques secondes plus tard avec les blouses. Les trois filles les revêtirent et ma soeur s’agenouilla devant moi tandis qu’Élodie et Thu Jin prirent place à mes côtés et commencèrent à me masser les poignets.
Morgane prit mon sexe dans sa main et approcha son visage. Ma soeur ouvrit lentement la bouche et tira la langue. Elle commença par me masturber par un délicat mouvement de va-et-vient puis elle posa ses lèvres sur ma verge érigée et entreprit une fellation.
Élodie et Thu Jin continuèrent à me masser les poignets pendant que Morgane s’appliquait à sucer mon sexe. Après quelques minutes, je fis signe à ma soeur d’arrêter sa fellation en tapotant un bras du fauteuil.
Comprenant ce que j’attendais d’elle, ma soeur recracha mon pénis et se releva. Morgane empoigna ma virilité et s’assit dessus en la poussant lentement, centimètre par centimètre, dans son fondement.
Lorsqu’elle se fut bien empalée sur mon sexe, mon aînée commença à bouger ses fesses de droite à gauche en se caressant les seins. Je la laissai poursuivre son petit jeu pendant quelques secondes puis saisis ses hanches et la fis aller et venir sur ma verge en lui imposant mon propre rythme.
Pendant que je sodomisais Morgane, Élodie et Thu Jin se mirent à m’embrasser langoureusement dans le cou. Après quelques minutes, je décidai de changer de fessier.
Je fis sortir mon sexe de l’anus de ma soeur puis demandai à Thu Jin d’imiter mon aînée. Thu Jin empoigna mon pénis et, comme Morgane l’avait fait auparavant, s’empala doucement sur ma verge.
Comme avec ma soeur, je la laissai jouer pendant quelques secondes avec son fessier et sa poitrine avant de saisir ses hanches et de lui donner mon rythme.
Quant aux deux autres, pendant que je m’amusais avec Thu Jin, elles décidèrent de se caresser mutuellement en gémissant exagérément afin de m’exciter le plus possible.
Désireux de pénétrer les trois fessiers qui me faisaient tant envie, je soulevai Thu Jin afin que ma virilité sorte de son anus et fis venir Élodie.
Celle-ci suivit l’exemple des deux autres puis, après quelques minutes, pressentant ma jouissance, je relevai Élodie et demandai aux trois filles de s’agenouiller en demi-cercle devant moi et de tirer la langue. Ma soeur et ses amies obtempérèrent et je commençai à me masturber avec frénésie, tant et si bien qu’au bout de quelques secondes, j’éjaculai sur les langues de mes biologistes préférées qui avalèrent ma semence avec gourmandise.
Apaisées, les trois jeunes femmes posèrent leurs têtes sur mon ventre.
— Alors ? Ça t’a plu, petit frère ?— Quand il s’agit de vous trois, toujours !— Ah... Tant mieux parce que nous n’avons plus rien à tester sur toi. Il vaudrait peut-être en rester là. Tu as été formidable, Alex. — En fait, il m’est venu une idée. Je vous adore toutes les trois. Vous m’avez donné goût au plaisir charnel mais nous avons déjà fait beaucoup dans cette maison. Par conséquent, je pense qu’il faudrait peut-être essayer quelque chose en dehors de la maison. — Si tu veux. Tes désirs sont des ordres maintenant. Quelle est ton idée ?— J’ai pensé que nous pourrions peut-être nous amuser un petit peu à l’école. — Euh... Développe. — Je vous verrais bien user de vos talents dans les toilettes des garçons. — Si je comprends bien, tu veux nous voir coucher intéressement avec des mecs dans les toilettes du lycée. — Oui, en gros, c’est ça l’idée. — Je suis désolée, Alex, mais nous ne sommes pas encore prêtes pour cette expérience. En revanche, je viens d’avoir une idée qui devrait te plaire. Avant de me lancer dans la prostitution scolaire, j’aimerais d’abord qu’on couche ensemble tous les quatre en pleine nature. Par conséquent, je te propose d’aller nous amuser au parc. Ça te dit ?— Ton idée est géniale, grande soeur ! Qu’est-ce qu’on attend pour y aller ? Allons nous procurer quelques sensations fortes !
Les trois filles et moi nous rhabillâmes. Morgane me dit ensuite de les attendre devant la maison. Mes biologistes sortirent de la maison quelques minutes plus tard dans des robes d’été à couper le souffle. En réalité, ce n’était pas tant les robes en elles-mêmes qui me procuraient une érection mais ce que leur transparence me permettait de voir chez ma soeur et ses amies. En effet, les trois filles n’avaient rien mis sous leurs robes et l’on pouvait très distinctement admirer leurs seins qui bondissaient à chacun de leurs pas et leurs toisons pubiennes que le vent semblait prendre un malin plaisir à caresser.
Lorsque Morgane arriva à ma hauteur, je pus constater qu’elle portait un sac de pique-nique sur son épaule.
— Pourquoi as-tu pris ce sac avec nous ?— Tu verras bien. Tout ce que je peux te dire, c’est que tu vas adorer.
Les filles et moi continuâmes notre route vers le parc. Une fois arrivés, nous choisîmes un endroit plat pour nous y établir. Morgane ouvrit son sac et en sortit une nappe et un bandeau.
— Une nappe pour le confort et, ça, pour la surprise.
Sur ce dernier mot, ma soeur me passa le bandeau sur les yeux et m’allongea sur la nappe. J’entendis les trois filles se déshabiller et sortir quelque chose du sac. Une main s’aventura ensuite sur mon pantalon pour en faire glisser la fermeture éclair et me l’enlever.
— Lève les bras.
Je reconnus ma soeur au son de sa voix. J’obéis à l’injonction et les mains de Morgane m’ôtèrent mon T-shirt. Je sentis une deuxième paire de mains m’arracher mon boxer et se saisir de mon sexe érigé.
Les mains de ma mystérieuse masturbatrice cédèrent la place à sa bouche dont les lèvres coulissèrent lentement et habilement sur ma hampe. Thu Jin, peut-être ?
Soudain, je sentis un sein se coller contre ma bouche. Instinctivement, je le tétai. C’est alors que j’eus l’agréable surprise de constater qu’il avait un goût mielleux. En effet, à ce moment-là, je comprenais ce que ma soeur comptait faire avec ce sac de pique-nique.
Lorsque j’eus fini de lécher le miel sur la mystérieuse poitrine nourricière, celle-ci se retira. Pendant ce temps, ma fellatrice avait interrompu son traitement et était à présent en train de s’empaler sur mon phallus. Je voulus saisir les hanches de ma partenaire mais, avant que je ne puisse esquisser le moindre geste, je sentis un fessier s’écraser sur mon visage. Sans réfléchir, je sortis la langue et entrepris de lécher les deux globes jumeaux qui oppressaient si agréablement ma figure. Surprise : les fesses de ma partenaire étaient recouvertes de Nutella.
Je continuai à lécher goulûment cette savoureuse confiserie humaine puis, lorsque je l’eus nettoyée de toute trace de Nutella, ma délicieuse friandise se retira.
Au même instant, la mystérieuse jeune fille qui s’empalait sur ma verge s’était retirée. Je sentis soudain deux mains me soulever par les aisselles et me mettre à quatre pattes. Une autre paire de mains m’écarta les jambes et je sentis un corps se glisser sous le mien pour s’emparer de mon sexe et le masturber.
Puis deux mains plaquèrent mon visage contre un sexe, m’obligeant à le lécher. Rien de bien désagréable pour moi. Au contraire, la crème chantilly, mélangée à la cyprine qui s’écoulait du vagin de sa propriétaire, avait plutôt bon goût.
Je continuai à laper comme un petit chat la crème chantilly étalée sur ce sexe épilé pendant que ma masturbatrice faisait monter ma semence dans mon phallus.
Dans un timing parfait, lorsque j’eus fini de lécher la crème chantilly, ma verge fut prise de palpitations et j’éjaculai sur ma mystérieuse partenaire.
Une fois que je fus apaisé, les filles m’ôtèrent mon bandeau. En regardant entre mes cuisses, j’eus l’agréable surprise de voir les seins de ma soeur couverts de mon sperme. Nos regards se croisèrent et nous sourîmes.
Alors que laissais ma soeur se libérer de sa position, une voix se fit entendre derrière nous.
— Il y a des lits pour ça.
Surpris, les filles et moi tournâmes la tête...
Diffuse en direct !
Regarder son live