Elle passa par surprise au bureau de son mari. Ils traversaient certaines difficultés de couple en ce moment, et cela devenait de plus en plus difficile à supporter pour elle. Il fallait qu’ils en discutent. D’où sa visite surprise. Elle avait une proposition à lui faire, un spécialiste très connu en thérapie de couple, même si ça la dérangeait de tout déballer devant un inconnu. Mais c’était la dernière chance de sauver leur mariage. Malheureusement, il n’était pas à son bureau. Elle soupira. Elle allait quand même lui laisser un petit mot, pour dire qu’elle était passée. Elle prit un post-it, un bic, et allait commencer à écrire, lorsque sa main effleura la souris de l’ordinateur, et l’écran s’alluma... elle constata qu’il n’avait pas verrouillé son ordinateur. Mue par une curiosité instinctive, elle regarda les icônes sur la barre de tâches, les programmes ouverts : traitement de texte, tableur, e-mail, navigateur internet... elle ouvrit le navigateur internet, ouvert sur une page d’un moteur de recherche, vide. Toujours mue par cette curiosité, et sans doute l’instinct féminin, elle alla voir l’historique de navigation. Elle espérait au fond d’elle-même que lui aussi cherchait une solution à leurs problèmes. Mais elle vit des noms de sites étranges. Elle cliqua. Ce qu’elle vit la laissa la bouche ouverte. Elle cliqua sur deux, trois sites, explorant l’intimité profonde de l’homme qu’elle croyait connaître. Elle dut s’asseoir, tant le choc fut grand. D’abord, une sourde colère gronda en elle. Mais ensuite, la colère se calma. Le pragmatisme prit le dessus. Mais bien sûr ! Cela expliquait tout... finalement, c’était peut-être ça, la solution à tous leurs problèmes !
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Je m’appelle Alex, je travaille au département des statistiques d’un ministère. J’encode des données à longueur de journée. Certains trouveraient que c’est un boulot chiant, mais moi pas. J’adore la routine. Garçon timide, n’ayant pas connu mon père, ayant grandi sous la férule d’une mère très sévère, très autoritaire, et avec un caractère fort, je ne suis pas très affirmé. Ayant bien réussi mes études, je pourrais facilement passer un concours pour devenir chef de service, et même chef de département, mais cela ne m’intéresse pas. Je n’ai pas beaucoup d’ambition, et avoir plus de responsabilité, pffff... C’est – entre autres – ce que me reproche mon épouse. Julie est une femme énergique, qui aime prendre les devants, et il faut le dire, les commandes. Petite, des cheveux bruns assez longs, des yeux noisettes qui pétillent d’énergie, et avec tout ce qu’il faut où il faut, c’est une femme de rêve. Nous nous sommes connus à l’école, et je n’ai jamais compris pourquoi elle m’avait choisi comme petit copain. J’ai toujours été un gentil garçon, mais pas le plus beau, ni le plus fort, et encore moins le plus assertif. A 18 ans, nous étions à peine sortis de l’école qu’elle a proposé que l’on se marie. Pour moi, c’était l’opportunité de quitter le domicile où ma mère m’étouffait de plus en plus (et avouons-le de finir ma vie avec une jolie fille plutôt que seul et vieux garçon). Nous avons fait nos études supérieures en étant mari et femme, et en faisant de petits boulots pour payer le petit flat où nous vivions. Dix ans ont passé. Julie a toujours pensé que loin de la férule de ma mère, je m’affermirais, que mon intelligence et ma gentillesse feraient de moi le mari idéal. Mais il faut bien l’avouer, notre vie de couple est un échec. Nous n’avons pas le même caractère, elle est extravertie et fonceuse, je suis introverti et hyper-prudent. Elle aime les vacances à la mer, et moi à la montagne. Elle rêve d’une plus grande maison, d’une voiture neuve, moi j’aime que rien ne change, que tout reste de même, en place et discret. Elle a de l’ambition, moi pas. Elle a horreur de la routine, que j’aime plus que tout. Et au lit... je dois avouer que c’est ma faute. Elle est tellement jolie, ses jambes douces, son derrière rebondi, ses seins, ronds, fermes, amples, son visage si mignon... j’éjacule au bout de quelques minutes... nous avons essayé la méditation, le yoga, les exercices pour nous contenir, des crèmes pour ralentir l’éjaculation... mais rien à faire, à peine entré en elle, je jouis... Elle a tout essayé, puis, de guerre lasse, a abandonné. Nous ne faisons plus l’amour depuis deux ans, nous masturbant chacun de son côté, moi faisant semblant d’ignorer le gode qu’elle cache dans sa table de nuit, elle faisant semblant de ne pas savoir que je suis devenu accro aux sites pornos. Nous n’échangeons plus que des banalités, chacun vivant sa vie à l’intérieur du couple. Les repas du soir et deux semaines de vacances par an étant les seules choses que nous faisons encore à deux. Et ce qui devait arriver arriva ! J’ai la certitude qu’elle s’est trouvé un amant. Cela fait plusieurs semaines qu’elle a changé. Elle est plus joyeuse. Elle chantonne. Elle s’habille plus court, plus sexy, a ressorti ses talons hauts. Elle se maquille plus et mieux que ces dernières années. Elle a même réduit ses heures de travail pour avoir deux après-midi de libres en semaine. J’en suis convaincu, elle voit quelqu’un. Alors, je m’attendais à voir un jour ou l’autre des papiers de divorce sur la table, mais non, rien. C’est vraiment étrange comme situation. Elle ne m’aime plus, c’est clair, mais n’arrive pas à se séparer de moi. Je ne suis plus sûr de l’aimer, mais je serais dévasté si elle me quittait. Et lorsque j’ai compris qu’elle me trompait, au début j’étais en rage ! J’ai même voulu la suivre, la confronter... et puis non. Je me suis dit qu’elle avait raison. Je suis tellement nul au lit. Elle a aussi le droit à son plaisir. Et puis, je dois avouer que quelque chose aussi a changé dans ma vie. A force de regarder du porno, au travail surtout, à la maison, c’est dangereux quand elle est là, je me suis blasé. D’abord des filles qui se font prendre par un mec, puis par des mecs, puis des filles entre elles, puis des gang-bang, des orgies... au fil du temps, il faut de la nouveauté... en cherchant du nouveau, je suis tombé sur des sites extras : tout ce qui concerne les transsexuels, la sissyfication. Bon sang, non seulement c’était tellement excitant, mais en plus, je me retrouvais tellement dans ces histoires ou ces vidéos.
Je me sentais vraiment « bêta » mâle : homme soumis, timide, ayant difficile à prendre des décisions, en plus qui n’ont pas un sexe de taille extraordinaire, et qui n’arrivent pas à combler leur épouse... et avec une forte tendance à vouloir être dominé par des « alphas » mâles : des hommes sûrs d’eux, forts, virils, avec des sexes gros, longs, tendu, sachant se contenir et faire jouir autant les femmes que les sissys... je me retrouvais tout à fait dans la soumission, l’obéissance, ne pas avoir à prendre de décision, ne pas avoir à contrôler la situation... pour moi, c’était le rêve ! Une histoire en entraînant une autre, une vidéo en entraînant une autre, je commençais à fantasmer à ressembler à une sissy, à mettre des dessous féminins, à raser mes poils, à devenir désirable... cela m’excitait si fort que je devais courir dans les w.c. du bureau pour me faire jouir... Evidemment, tout cela restait au niveau du fantasme, j’étais trop peureux, trop prudent pour essayer en vrai... Mais l’excitation aidant, et le désir de partager ce « délire sexuel », d’en parler avec d’autres, je décidais d’ouvrir un blog, consacré à la sissyfication et aux jolies transsexuelles, avec des photos, des vidéos, des tutos que je trouvais sur le Net... j’y exprimais mon envie de leur ressembler, de faire comme elles, d’être comme elles... mais aussi mon manque de courage de passer à l’acte... je lisais également les expériences d’autres sissy, transexuelles, cachées comme moi, ou d’autres qui avaient osé passer à l’acte... cela m’excitait tellement ! Une fois masturbé, l’excitation retombait, et je me posais des questions sur mon identité sexuelle. Je ne me sentais pas vraiment attiré par les hommes, et l’idée d’en sucer un pour de vrai ne m’attirait pas vraiment. Je me disais alors que ce n’était juste qu’un fantasme... Et ainsi le train-train quotidien continua, jusqu’au jour où... J’avais reblogué sur mon blog durant la semaine des images très bandantes d’une nouvelle blogueuse « Maîtresse_de_sissy ». Des hommes en sous-vêtements féminins, habillés en soubrettes, obligés de sucer des pénis bandés, sodomisés par des godes-ceintures par leur femme, léchant les bottes de maîtresses SM... « Maîtresse_de_sissy » ajoutait des phrases sur ces photos prises sur Internet, du genre « Ton rôle de sissy » « Ose vivre ton rêve » « Ce sera toi un jour, Sissy ! » « Abandonne ta prétendue masculinité ». Il y avait même une série de photos d’un homme, féminisé, puis qui devenait esclave sexuel, avec la phrase « Ne reblogue que si tu es prêt à tout perdre pour vivre ton rêve ! ». Super-excité par les images et les textes, je rebloguais ce poste. Le lendemain, alors que tous mes collègues avaient quitté le bureau, je m’accordais ma demi-heure porno. Je me connectais à mon blog, et vis tout de suite que j’avais reçu un message. J’en recevais de temps en temps, surtout d’hommes qui pensaient que j’étais une sissy et qui voulaient savoir si je savais recevoir (dans tous les sens du terme). Messages que j’effaçais rapidement sans y répondre. Mais là, je vis que le message venait de « Maîtresse_de_sissy ». Ma curiosité éveillée, j’ouvris le message. « Salut, j’aime vraiment bien ton blog. Tu as tout d’une vraie sissy ! C’est tellement convaincant que j’ai décidé de te faire un cadeau magnifique : je vais commencer ton entraînement de chienne soumise que tu es. A partir de demain, tu auras des tâches à faire, que tu feras, et tu te photographieras pour me prouver que tu obéis bien à mes ordres. A demain, sissy,Maîtresse_de_sissy »Woah. En voilà une qui prenait la vie virtuelle trop à cœur ! Tout cela n’était qu’un fantasme, pas un truc que je voulais vivre en vrai ! Un peu embêté, mais souriant tout de même d’avoir attiré son attention par mon blog, je répondis au message : « Bonjour Maîtresse_de_sissy,Merci pour ton message, je suis vraiment honoré d’avoir attiré ton attention. Ton blog est génial aussi, il me fait bander grave. Par contre, je ne cherche pas de maîtresse, je vis mon fantasme discrètement. Merci d’en tenir compte ! Bises xxx »Puis, je continuais de surfer sur les blogs, rebloguant des images de ci, de là, mon sexe commençant à grossir dans mon pantalon, me caressant de temps en temps, attendant le moment où l’excitation grandirait au point où je n’en pourrai plus, pour me ruer dans les w.c. pour me branler et éjaculer... soudain, l’image de l’enveloppe brilla à nouveau. Un nouveau message. Maîtresse_de_sissy. Elle devait être aussi en ligne. Je regardais sa réponse. — T’es pas encore une bimbo, sissy, je pensais que tu savais lire et comprendre ce que tu lis. Tu as reblogué l’image « Ne reblogue que si tu es prêt à tout perdre pour vivre ton rêve ! C’est inscrit en dessous que c’est un contrat entre toi et moi, et qu’en rebloguant, tu acceptais cet accord... pas question de faire machine arrière, c’est trop tard. Alors ne fais pas ta mijaurée, chienne, tu vas obéir ! Oser dire non à ta maîtresse, tu vas voir comment je vais te dresser ! Et si tu refuses, tout le monde, ta femme y compris, saura ce que tu regardes pendant tes heures de boulot. Merci les traceurs ! A demain, sissy ! » En dessous, il y avait des captures d’écran, avec mon vrai nom, pas mon nom de blogueur, mes coordonnées privées, mes coordonnées du boulot ! Et ensuite, tout mon historique de navigation, des deux derniers mois, remplis de sites pornos, de soumission, de blog de sissy et de trans,... Je devins pâle, mon érection stoppait nette tandis que mon sexe redevenait tout flasque dans mon caleçon... Comment avait-elle... Mince, que se passerait-il si je n’obéissais pas ? Si elle rendait ça public, j’étais foutu ! Viré pour faute grave, moqué encore plus par ma femme, si elle ne décidait pas de me quitter ! Tout mon univers s’écroulerait ! Bon sang ! Je sentis des frissons me parcourir le dos... j’étais piégé ! Inutile de dire que je dormis très mal ce soir-là, au point que le lendemain, un de mes collègues me demanda si j’étais malade. Je travaillais en étant dans un état second, me demandant ce qui allait arriver, pesant les choix que j’avais, le pour et le contre de chaque situation... et rien à faire, j’arrivais toujours à la même conclusion : j’étais piégé ! A la fin de la journée, une fois seul au bureau, c’est plus fébrilement que jamais que je me connectais à mon blog. Et évidemment, un message m’y attendait. De Maîtresse_de_sissy. « Bonjour sissy ! Ton entraînement de soumise commence aujourd’hui. Alors heureuse ? Je te prédis que tu le seras, très très vite ! C’est ton rêve qui va devenir réalité !Ta première tâche : tu vas piquer une petite culotte de ta femme, n’importe laquelle du moment qu’elle soit rose. Tu la porteras comme sous-vêtement durant ta journée de travail. Je veux que tu te photographies dans les w.c. de ton bureau avec ton pantalon ouvert, me permettant de voir si tu portes la culotte ou pas. Puis tu m’envoies la photo.Inutile de te rappeler, ma sissy, que si tu désobéis, ta femme, ton patron, et même ta mère recevront le détail de ton historique de navigation internet !Bises, et amuse-toi bien, sissy ! xXxMaîtresse_de_sissy »Je restais quelques minutes, interdit, regardant l’écran sans le voir. Qu’allais-je faire ? Finalement, je pris une décision. Obéir serait le plus sûr. J’avais trop à perdre à risquer de ne pas le faire. Et puis, finalement, ce n’était pas si terrible comme tâche. Le lendemain matin donc, je traînais dans la salle de bain, et dès que j’entendis mon épouse quitter l’appartement pour son boulot, je retournais dans notre chambre, et fouillais son armoire. Elle avait de nombreuses petites culottes, et je trouvais une rose, en dentelle, avec un petit nœud à l’avant. Je la pris, puis la mis. Quelle étrange sensation ! C’était à la fois plus serré, et pourtant plus confortable que mon habituel boxer... avant que ces pensées et sensations ne commencent à me faire bander, je terminais de m’habiller et partis pour le bureau. A midi, je filais aux w.c., entrais dans une cabine, fermais la porte derrière moi, et ouvrant mon pantalon, fis plusieurs photos de moi. De retour à mon bureau, je téléchargeais les photos de mon GSM via le cloud, puis les lui envoyais via la messagerie du blog. — T’es sûr que ça va Alex ? T’es bizarre depuis hier. Là, t’es tout rouge dans ton visage...— Non ça va, un peu de fatigue...— Du surmenage, au ministère ? Ah, ah, ah me fais pas rire, ce serait bien la première fois ! Certains collègues rirent de la plaisanterie d’André. Extraverti, toujours à l’aise, toujours le mot pour rire, c’était mon plus proche collègue, et je l’enviais pour ce caractère facile et jovial. En plus, il était costaud, plus grand que moi, deux fois mes épaules, adepte de quasi tous les sports... En fait, il m’impressionnait. Heureusement, il avait un caractère jovial, toujours de bonne humeur. Mais il avait une drôle de façon de me regarder, surtout depuis quelque temps. Un regard qui me rappelait celui des costauds de l’école, quand j’étais jeune, avant qu’ils ne m’enferment dans les w.c., ou qu’ils ne tirent mon slip hors de mon pantalon... En fin de journée, une fois seul, je me reconnectais au blog, pour voir l’image de l’enveloppe en surbrillance. J’ouvris le message de Maîtresse_de_sissy :« Jolies photos ! Et jolie petite culotte ! Excellent choix ! Je rêve ou ça te fait bander de te photographier en petite culotte rose ? Trop mignon ! Je les ai rebloguées sur mon blog, trop la classe ! xox Tu auras une nouvelle tâche demain midi. Et ne t’avise pas à porter autre chose qu’une petite culotte rose ! N’oublie pas d’obéir, sissy, sinon... !Et maintenant, clique sur le lien ci-dessous, et concentre-toi là-dessus une bonne demi-heure !Bises sissy ! »Il y avait un lien internet dessous... je cliquais dessus... un site se chargea, avec une vidéo qui se lança... un écran rose, avec comme un tourbillon au milieu... un tourbillon qui tournait, tournait... puis une succession rapide d’images flashèrent, des images de soutiens-gorge, de petites culottes, de bas, des dentelles, des guêpières, le tout mis par de jolies femmes avec des pénis... des trans ! Et des mots accompagnaient les images : « Travesti ! Douceur du satin ! La sensation du nylon contre ta peau ! Tu aimes te travestir ! C’est si bon ! Ton petit clitoris caressé par la dentelle ! Le satin contre tes fesses rondes ! Soumis ! Travestis-toi ! Tu aimes tant ces sous-vêtements ! », etc. C’était une vidéo d’hypnose, qui tournait en boucle... je ne croyais pas vraiment à ces trucs d’hypnose, mais je dois avouer que les images étaient belles, si belles... j’essayais d’en voir tous les détails, mais elles défilaient si rapidement ! Je me concentrais sur les images, pour essayer d’en capter le maximum, et finalement, je n’arrivais plus à détourner le regard, à éteindre la vidéo... après 45 minutes, je l’avais visionnée déjà trois fois, et je me rendis compte de l’heure qu’il était... c’était comme si je sortais de transe... Il fallait que je rentre ! Heureusement, j’eus un bus assez rapidement. Je n’arrivais pas trop en retard à la maison, juste après mon épouse. Nous nous retrouvâmes dans la chambre à coucher. — Ah tu es là mon chou ? Avec ces chaleurs, je vais me prendre une douche, tu viens avec moi ?— Bien sûr, j’arrive ! Je ne pouvais résister à la voir nue, Julie avait vraiment un joli corps. Et elle semblait de si bonne humeur... cela faisait longtemps qu’elle ne m’avait plus proposé que l’on partage une douche ! Elle m’attendait devant la porte de la salle de bain, son regard posé sur moi. J’enlevais en hâte ma chemise, me sentant tout excité. Puis j’allais enlever mon pantalon. Soudain, mes mains se figèrent sur la braguette... je me souvins de la petite culotte rose que je portais ! Zut, elle ne pouvait pas voir ça ! Je refermais mon pantalon en toute hâte ! — Hum, non, désolé, chérie, je... je me souviens que j’ai un truc à faire... je... je redescends une minute !— Ah oui ? Même une douche, tu ne veux plus prendre avec moi ! T’as honte de moi, de mon corps, c’est ça ? T’es vraiment un looser Alex ! t’es vraiment nul !— Mais... Elle entra dans la salle de bain et claqua la porte derrière elle... J’en profitais pour vite me déshabiller, et cacher la petite culotte rose pour le lendemain, puis j’entrais dans la salle de bain, plein d’espoir... hélas, elle me demanda de sortir d’un ton glacial, me disant que c’était trop tard, que j’avais laissé passer ma chance... et elle me fit la tête toute la soirée... Le lendemain, je remis la petite culotte rose, puis mes habits, et allais au travail. Je travaillais assez consciencieusement le matin, mais avec une petite boule dans le bas-ventre. A midi, je profitais que j’étais seul dans le bureau pour me connecter au blog. Pas encore de message. En attendant, je parcourus le blog de Maîtresse_de_sissy. Elle avait effectivement publié mes photos, avec en légende « Une nouvelle sissy en formation... et elle s’expose, rien que pour vous ». On voyait mon pantalon baissé, mes cuisses, poilues, la petite culotte rose, mon sexe, qui se voyait bien serré dans la culotte... sur la troisième photo on voyait que mon sexe était bandé, pas au max, mais il bandait quand même... qu’est-ce qui le faisait bander ? Le fait de porter une petite culotte rose, le fait d’obéir à Maîtresse_de_sissy, ou bien le fait de m’exposer ainsi ? Ou le tout à la fois ? Je ne savais le dire... Mais c’est vrai que la petite culotte était vraiment belle, et me faisait de jolies fesses rondes... et je recommençais à bander en me voyant... Soudain, l’icône de l’enveloppe apparut en surbrillance... j’avais un message ! Je l’ouvris...« Hello sissy !Alors nouvelle séance de photo aujourd’hui ! Tu retournes dans ces w.c. pour refaire des photos... et cette fois, je veux que tu te branles et que tu jouisses dans la culotte ! Mais je ne veux pas voir ton clito inutile, hein ! Tu fais tout ça sans enlever la culotte ! A tes photos l’artiste !Et tu m’envoies les photos pour 18h... après tu visionnes à nouveau la vidéo d’hier.Comme ça m’excite une sissy aussi obéissante ! Si tu continues à bien obéir, tu auras une récompense !Bises » L’après-midi, je travaillais sans vraiment y être, et lorsque je fus seul, je visionnais plusieurs vidéos pornos, surtout celle avec des travestis, j’étais captivé par les belles dentelles, les petites chemises de nuit en soie, les bas et jarretelles, et même les chaussures à talon... que tout cela semblait fascinant, excitant ! Me sentant au comble de l’excitation, je me rendis dans les w.c., ouvris mon pantalon... mon sexe bandait à fond dans la petite culotte rose, une petite tache sombre marquait l’endroit où le pré sperme avait déjà abondamment coulé... je fis une première photo... puis une seconde avec ma main sur cette bosse dure... je me caressais par-dessus la petite culotte, c’était doux, et savoir que bientôt ces photos seraient sur le Net, que mon sexe bandé dans une petite culotte rose serait vu par tant de gens, cela m’excita encore plus... je me caressais plus vite, plus fortement, mon sexe bandé commença à battre comme un fou dans la petite culotte rose... nouvelle photo... je me caressais à nouveau, les images vues sur le Net se mélangeant dans ma tête à ma propre image... mon sexe battait encore plus fort, jusqu’à ce que je jouisse dans la petite culotte... je ne pus retenir un petit gémissement de plaisir, quel orgasme ! Cela faisait longtemps qu’une branlette ne m’avait donné autant de plaisir ! La tache sombre s’agrandit, nouvelle photo, du blanc passant par-delà le tissu, ne laissant aucun doute sur ce qu’était cette tâche : mon sperme ! Dernière photo... Calmé, je me trouvais face à un nouveau problème : je n’avais pas pensé à prendre de sous-vêtement de rechange... et ma petite culotte était pleine de sperme ! Avec du papier w.c., j’enlevais le plus gros, puis jetais le papier détrempé de sperme dans les w.c.... j’en avais un peu sur les doigts... quelle odeur forte ! Je n’avais jamais fait attention avant à la consistance ou à l’odeur de mon sperme... étrange... Pris par le temps, je remontais la petite culotte, encore humide sur mon sexe, remis mon pantalon et après m’être lavé les mains, je revins à mon bureau... marcher avec une petite culotte toute mouillée... toute mouillée de sperme... quelle drôle de sensation ! Je me sentais comme... comme une petite salope, qui avait sa culotte trempée, après s’être masturbée dans les w.c.... cette pensée me faisait rougir, tout en m’excitant à nouveau, je sentis mon sexe rebander doucement dans la petite culotte ! Arrivé à mon pc, je downloadais les photos via le cloud, puis les envoyais à Maîtresse_de_sissy, juste à temps, il était 17h50 ! Puis je regardais à nouveau la vidéo d’hier... tous ces sous-vêtements, ces pénis qu’on devinait sous les petites culottes, sous le satin, sous les dentelles... je trouvais ça si beau ! Et le plaisir qu’elles semblaient avoir à porter ces sous-vêtements... leurs longues jambes gainées de nylon, leurs bustiers, leurs soutiens, de toutes les matières, de toutes les couleurs... tout cela me donnait envie d’en porter aussi ! J’allais partir, de nouveau excité, quand je vis l’enveloppe de nouveau en surbrillance... la réponse de Maîtresse_de_sissy !« Jolies photos sissy, tu as dû prendre ton pied ! Demain, on remet ça... mais il faut changer de style de petite culotte... essaye un string, tu verras, avec un pantalon, c’est délicieux ! Je poste directement tes photos, j’en connais qui vont bien vite se branler sur ta petite culotte trempée !Bises ! » Je rentrais chez moi, le mouillé de ma culotte contre mon sexe et mon bas-ventre, et l’idée de pénis virils qui se branlent sur mes photos m’excitant passablement. Julie semblait de meilleures humeurs, et je pus me changer tranquillement pendant qu’elle faisait le dîner, mettant la culotte rose au linge sale, et lui piquant déjà un string noir pour le lendemain, que je cachais dans mes affaires. La soirée fut sans histoire. Mais pas mon réveil. Julie se levait toujours en premier, et se lavait pendant que je paressais un peu au lit, ayant besoin de plus de temps qu’elle pour sortir de la torpeur du sommeil. Je m’étirais en douceur, bâillant, lorsqu’elle sortit comme une furie de la salle de bain... — Tu peux m’expliquer ce que c’est que ça ??? Elle tenait la petite culotte rose en main... — J’allais mettre une machine en route avant d’aller au boulot... tu imagines ma surprise en voyant cette petite culotte que je n’ai plus mise depuis un certain temps... avec ça !!! Les auréoles blanches sur le tissu laissaient planer peu de doutes sur ce qui s’était passé... Je rougis, ne sachant que dire... — Tu n’es pas capable de me baiser, alors tu te branles dans mes petites culottes, c’est ça ! Pervers ! Branleur ! Elle me jeta la culotte au visage et quitta la chambre en claquant la porte. L’odeur de sperme qui restait dans la culotte me fit bander... je la reniflais, avant de revenir à moi... que m’arrivait-il ? Cette histoire allait trop loin ! Mais pouvais-je arrêter ? Et risquer de voir Maîtresse_de_sissy tout déballer (et elle avait des photos compromettantes en plus, maintenant !) et ruiner ce qui restait de ma vie ??? Après m’être lavé, un peu honteux, mais un peu excité, je passais le string noir le long de mes jambes... la sensation était encore plus forte, à la fois enserrante, et à la fois libératrice, douce... et le fin tissu qui passait entre les fesses, tandis que le tissu du pantalon caressait les fesses à chaque pas, lorsqu’on s’assoit ou se relève... c’était une autre dimension, une nouvelle dimension de sensation ! A midi, je ne fus pas seul au bureau, je dus attendre le soir pour me connecter au blog. J’avoue que j’étais impatient de lire les commentaires sur mes photos ! Je trouvais le blog de Maîtresse_de_sissy et trouvais très rapidement mes photos de la veille... bon sang, c’est vrai qu’elles étaient excitantes mes photos ! Les commentaires étaient dans l’ensemble assez flatteurs ! « Cute ! » « Mignon ! » « Quelle jolie sissy ! Dommage qu’elle n’est pas rasée ! » « Nice baby ! » « Jolie culotte, je lécherais bien son sperme, mmmm » « Too hairy for a good sissy ! »« Les poils c’est nul ! » « Dommage qu’elle n’a pas la peau douce, car beaucoup de potentiel » Excité, j’allais dans les toilettes et me photographiais avec le string, essayant de mettre mes fesses en valeur. Puis j’envoyais les photos à Maîtresse_de_sissy... qui répondit peu de temps après... « Hello sissy !Pas mal les photos ! Tu as un joli petit cul, mais il faudra travailler ça ! C’est comme pour les poils, t’as vu les commentaires sur tes photos ? Il va falloir faire disparaître ces vilains poils, pour avoir plus de like ! Donc puisqu’on est vendredi, voilà ce que tu vas faire ce week-end : pendant que ta femme va voir son amant – parce que nul et looser comme tu es, tu te doutes bien qu’elle en a un – toi, tu vas t’inscrire à ce cours de gym centré sur les squats et les abdos-fessiers. L’adresse est en dessous, tu as de la chance, c’est pas loin de chez toi. Pique une des tenues de yoga de ta femme, ce sera drôle ! Et n’oublie pas les photos, je veux tout voir ! Ensuite tu iras à ce centre d’épilation. On va définitivement enlever tous ces poils. Tout est déjà payé et réservé pour les deux, récompense de ton obéissance ! Les adresses et preuves de réservation ont été envoyées sur ton mail privé... que je connais évidemment aussi, looser ! Et ne me dis pas que ce n’est pas possible, à cause de ta femme. Trouve une excuse. Si ce n’est pas fait lundi, ou que je ne reçois pas les photos, j’envoie tout à ton boss, et avec les photos supplémentaires, sur lesquelles il reconnaîtra sans soucis les toilettes du ministère... amuses-toi bien sissy, à lundi !Bises »Je pâlis. Cela commençait à devenir hors de contrôle ! Comment expliquer tout cela à Julie ? Impossible, elle ne me croira jamais ! Mais si je ne le faisais pas, je perdrais tout !!! Je mis ma tête entre mes mains, maudissant mon destin, ma vie, mon karma... moi qui aimais tant la tranquillité, que rien ne change, là, j’étais au milieu d’une tempête, et d’une tempête dévastatrice ! Comment expliquer tout cela à ma femme !? Je téléphonais à mon épouse, pour lui dire que je ne me sentais pas bien, et que je passerais par la clinique en rentrant. J’avais en tête un bobard, gros comme une maison, qu’elle ne goberait jamais, mais je ne trouvais rien d’autre sur le moment... je restais plus tard au bureau, me gavant de vidéo porno, de travestis et de trans magnifique, je me fis jouir, et finalement, rentrais plus tard que d’habitude à la maison. Ma femme avait déjà préparé le souper. — Alors, ça a été à la clinique ?— Hum, tu vois mon problème de crampes, de jambes lourdes, cette pas envie de sortir ?— Moui ?— D’après le médecin, c’est un problème de... circulation sanguine... un truc dans les veines, j’ai pas trop bien compris. Il doit faire des analyses plus poussées, pour ça, je dois faire disparaître mes poils. Partout. Pour que sa machine puisse suivre le parcours du sang dans les veines. Et il m’a prescrit une gymnastique spécialisée aussi. Un centre pas trop loin d’ici.— Raser tes poils pour suivre ton sang dans tes veines ? Tu te fous de moi ou quoi ???— Mais... euh... c’est vrai, je te jure ! Elle allait rajouter quelque chose, mais se tut, haussant les épaules. — Fais ce que tu veux, j’en ai rien à faire ! Mais ne t’approche plus de mes sous-vêtements ! J’ai un string noir que j’adorais qui a disparu ! Je ne veux même pas savoir ce que tu fais avec, mais gare à toi si mes affaires devaient encore disparaître ! Le reste du souper se passa dans un silence glacial, avec une atmosphère niveau banquise. Puis nous passâmes la soirée devant la TV, avant d’aller nous coucher. Je passais à la salle de bain après elle, pour pouvoir retirer le string noir sans qu’elle le voit. Il était strié de petits traits blancs, fins, mon pré-sperme qui avait coulé sur le tissu noir... je le mis directement dans la machine à laver, avec les autres affaires, en espérant qu’elle lance la machine sans regarder ce qu’il y avait dedans... (à suivre)
