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De cocu ennuyeux à Sissy épanouie...

Chapitre 2

Travesti / Trans
Le lendemain, lorsque je m’éveillais, elle était déjà partie. Comme tous les samedis. J’allais sur mon pc, et dans ma boîte mail, je vis un mail de « Maîtresse_de_sissy », avec les heures, les adresses et les preuves de réservations des deux endroits où je devais me rendre aujourd’hui.
Après une rapide douche, je pris mon sac de sport, et allais y mettre mon survêtement de sport lorsque je me souvins des instructions de « Maîtresse_de_sissy »... je devais piquer une des tenues de yoga de Julie ! Bon, pas trop le choix... j’allais dans son armoire, et cherchais, mais n’en trouvais qu’une seule ! Mais où étaient les autres ? Elle en avait qui était assez ‘mixte’, des noirs et blancs, des verts et bleus... mais là, je ne les trouvais pas, il ne restait qu’un seul ensemble : legging rose, long T-shirt mauve et rose avec bretelle sur les épaules... demi-chaussette rose et basket rose et blanche... je cherchais encore, mais ne trouvais rien d’autre !
La mort dans l’âme, et quasiment les larmes aux yeux, je pris l’ensemble, fourrai le tout rageusement dans mon sac, m’habillais, et partis pour le centre de gym. J’arrivais juste à l’heure indiquée sur le carton. Un centre assez moderne, avec un côté pour le fitness, les machines comme rameurs, vélos, tapis pour courir, et un autre côté pour tout ce qui était yoga, dance, etc. Le centre devait être nouveau, ou avoir fait sa devanture, car les ouvriers finissaient de poser les grandes verrières de l’entrée. Une dame discutait avec un monsieur fort élégant quand j’entrais.
— C’est parfait, les travaux sont finis dans les temps. Il n’y a plus qu’à poser l’enseigne.— Et les affiches ?— Les textes sont prêts, les photos seront faites aujourd’hui, envoyées chez l’imprimeur cet après-midi. Il les livrera déjà ce soir, vu l’urgence, pour qu’on puisse les mettre demain matin. — Parfait ! L’alliance de notre fitness et de votre centre de gym va nous rapporter...
Je n’écoutais pas la suite, allant vers la réception. Une jeune et jolie fille, avec des ongles longs qui ne l’aidaient pas beaucoup à taper efficacement au clavier de son ordinateur, et à la poitrine généreuse, releva la tête quand j’approchais.
— Si c’est pour le fitness, il faut prendre l’abonnement à l’intérieur, c’est sur votre gauche !— Hum, non, ce n’est pas pour le fitness... j’ai rendez-vous pour un cours...
Je lui tendis le carton. Elle le prit, le regarda, puis me regarda...
— Vous... ah, c’est comme vous voulez, j’espère que ce n’est pas pour zyeuter, hein ? Le programme « Pilate et Squats » c’est à droite, troisième porte au fond du couloir... vestiaire féminin à droite, vestiaire masculin à gauche... hum... il est assez petit le vestiaire masculin, car... en fait, on n’a jamais eu d’hommes, vous êtes le premier intéressé par ce cours... Les hommes, en général, ils vont au fitness !
Je haussais les épaules devant son regard légèrement moqueur, et me rendis à l’endroit indiqué. Effectivement, le vestiaire masculin était plus que petit, un cagibi avec une cabine douche, un banc, et trois casiers pour enfermer ses affaires... Je me déshabillais, puis passais le legging rose. Je mis les petites chaussettes et les baskets roses et blanches, et terminais par le long t-shirt avec bretelle sur les épaules, qui n’arrivait qu’à la moitié de mes fesses, trop parfaitement moulées dans le legging. En passant devant le miroir, je voyais bien que cela faisait plus qu’efféminé ! J’avais l’air tarte ! André m’aurait traité de « tartouze », avec son humour vulgaire... par contre, qu’est-ce que le legging mettait bien mes jambes en valeur ! Je n’avais jamais remarqué que j’avais d’aussi belles jambes... ...... Mais, à quoi pensais-je ?
Je rentrais dans la salle de gym proprement dite. Elle ressemblait plus à une salle de danse classique, avec un parquet ciré, des miroirs aux murs. Quelques tapis de gym sur le sol. Et que des dames, pour le cours de gym. Qui me dévisageaient, mi-amusées, mi-dédaigneuses. Avec mon ensemble rose, je devais avoir un de ces styles... enfin... la prof, une cinquantenaire très énergique, cheveux poivre et sel tirés en queue-de-cheval, remit le silence dans l’assistance, me présenta comme un nouvel élève de son cours... et je passais l’heure suivante à courir, sauter sur place, faire des squats, des abdos-fessiers, encore des squats, et encore des squats... A un moment, la dame que j’avais vue à l’entrée passa avec un photographe, qui fit quelques photos du cours. J’en profitais, et allais vers eux. Après tout, j’avais besoin d’une photo pour « Maîtresse_de_sissy » ! Je leur demandais s’il pouvait me transférer une ou deux photos sur lesquelles on me voyait bien.
— Pas de problème Monsieur ! Mais alors, en échange, j’aimerais vous demander un petit service : accepteriez-vous de nous aider à faire la publicité du Centre ?
Cela devait être remplir des questionnaires, en parler autour de soi. Cela valait bien quelques photos. J’acceptais.
— Super ! Passez à la réception après votre cours, juste quelques papiers à signer. Merci beaucoup !
Ils sortirent, et d’un regard, la prof me fit savoir que j’avais perdu assez de temps, et que je devais reprendre mes exercices... après une heure, j’étais en nage, et je suffoquais comme un phoque, provoquant des regards moqueurs de ces dames qui semblaient faire ces exercices sans aucune difficulté... A la fin du cours, j’étais couché sur le tapis, cherchant mon souffle. Je vis le visage de la prof au-dessus de moi.
— Cela doit faire longtemps que vous n’avez plus fait d’exercices !— Hum... je... Pffffff... oui ça fait... pffffff... fait longtemps...— La personne qui a réservé le cours pour vous m’avait prévenue. Mais ne vous en faites pas, avec mon cours, en quelques semaines vous serez beaucoup mieux. C’est tous les samedis, même heure. Bonne journée !— La personne qui... pffffff... qui a réservé le cours... Pfffff... à quoi... pfffff... à quoi ressemblait-elle ? pffffff... A... Attendez...
Mais la prof m’avait tourné le dos, et allait vers le vestiaire. J’essayais de me relever rapidement, mais étais à la limite de la crampe dans les mollets... La porte du vestiaire se refermait déjà sur la prof... je marchais alors péniblement vers mon vestiaire... où je pris une douche bien chaude, ce qui me fit terriblement du bien !
Ensuite, je me rhabillais, et constatais qu’il était déjà presque midi. J’avais une demi-heure avant l’autre rendez-vous, peut-être juste le temps de manger quelque chose rapidement ? C’est que ces exercices m’avaient donné faim ! J’allais sortir, lorsque la réceptionniste m’appela.
— Excusez-moi Monsieur, mais la Directrice m’a laissé ceci, pour vous, vous devez le lire et le signer !
Ah oui, les papiers dont elle m’avait parlé... Je regardais le tas de papier... seize pages, recto verso ! Et beh, ils ne plaisantent pas, tout ça juste pour remplir quelques questionnaires ! Sans doute pour la protection de la vie privée ? Mais je n’avais pas le temps de lire tout ça, si je voulais manger quelque chose. Je signais donc, sans rien lire. La réceptionniste hausse un sourcil.
— Désolé, vraiment pas le temps ! Pour le questionnaire, je le remplirai plus tard !— Quel questionn...
Mais je ne l’écoutais pas, me ruant dehors. Je me fis un horrible, mais tellement bon hamburger en fast-food. Après la gym, ce n’était pas le meilleur, mais il me faisait trop envie.
Puis je me rendis à l’autre rendez-vous. C’était une clinique spécialisée en chirurgie esthétique et autre chose semblable. Le tout très chic, très professionnel. J’entrais, et allais à l’accueil, où se tenait une personne en tenure d’infirmière. Je lui tendis le carton.
— C’est pour ? Epilation ?
Ses yeux me regardèrent par-dessus ses lunettes, puis elle m’indiqua une direction.
— C’est au rez-de-chaussée, le couloir à droite, tout au fond.
Je suivis la direction donnée, et me retrouvais devant un autre bureau d’accueil, où une infirmière plus jeune et bien plus jolie prit le carton, puis me mena dans une salle annexe. Où il y avait une sorte de table, comme une table de massage.
— Alors, je vois que c’est pour une épilation définitive ?
Je rougis jusqu’aux oreilles.
— Hum, déf... définitive ? La personne qui a réservé pour moi ne m’a pas dit que...— Oh, mais ne faites pas le timide ! Il n’y a pas de honte à faire disparaître tous ces vilains poils ! Si vous saviez le nombre d’hommes qui le font de nos jours ! Y a vraiment pas de quoi avoir honte !
Je rougis encore plus. Il n’était pas question de ça, de honte. Enfin si, un peu. Mais surtout que je n’avais pas saisi que ce serait définitif.
— Allez, on ne va pas y passer la journée. Veuillez vous déshabiller entièrement !— En... entièrement ?— Bah oui, si je dois enlever les poils au niveau de l’anus, des testicules et tutti quanti, on ne va pas garder son slip... autant vous déshabillez entièrement, on gagnera du temps !
Je déglutis, n’ayant pas pensé à ça... elle allait vraiment enlever TOUS mes poils ! Je commençais à me déshabiller. J’enlevais mon sweat, ma chemisette, mes chaussures, mes chaussettes, mon pantalon...
— Ah d’accord, je comprends mieux...
Je me demandais ce qu’elle voulait encore, et je fus conscient qu’à ce moment, elle voyait la petite culotte rose que je portais. Comme j’en mettais quasi tous les matins depuis quelques jours, et que le string noir était à la lessive, j’avais remis la petite culotte rose, sans réfléchir ! Pourquoi cela ne m’a pas gêné ? Pourquoi cela ne m’avait pas frappé à la gym ? Pourquoi je n’y pense que maintenant ? Je redevins rouge dans tout mon visage !
— Y a pas de honte je vous dis, ne vous en faites pas ! Même les hommes normaux, je veux dire les hommes virils viennent se faire épiler. Donc pour vous, ça ira encore mieux !
Je voulus répliquer, mais cela n’aurait qu’aggravé la situation. Je préférais me taire, et soupirant, je descendis la petite culotte.
— Voilà, on y est ! C’est quoi ce gros soupir ? Ne vous en faites pas, je vais pas vous violer, hein, promis !
Si elle voulait me mettre à l’aise, c’était raté! En plus, j’ai toujours eu tellement horreur des filles aussi assertives ! Son regard se posa alors sur mon pénis, tout rétracté sur lui-même à cause du froid, de la gêne, de la situation... il semblait encore plus petit que d’habitude... Elle sourit...
— Non, là, je ne risque vraiment pas de vous violer... allez, couchez-vous sur la table !
J’obéis, au comble de la gêne et de l’humiliation... Elle mit des gants de médecine en latex, puis arriva près de moi avec un appareil. Comme une sorte de sèche-cheveux, mais beaucoup plus sophistiquée.
— C’est un laser. On va le passer sur tous vos poils, brûlant ainsi leurs racines. Ils vont tomber, et après deux ou trois séances, ne repousseront plus. Sur le moment, ça ne fait pas mal du tout, détendez-vous, par contre, vous pouvez sentir des picotements après, un peu comme la sensation après un coup de soleil. Mais je vais vous donner une crème à appliquer sur les zones un peu plus sensibles, après la séance.
Séance qui dura assez longtemps. Elle passa avec le laser sur chaque partie de mon corps, épaules, aisselles, bras, doigts, thorax, ventre, pubis, pénis, testicules, jambes, pieds, orteils... puis je dus me retourner, et ça repartit : dos, fesses, anus, arrière des bras et des jambes... Je trouvais le temps long, mais n’osais bouger, à cause du laser... finalement, après ce qui me semblait des heures...
— Et voilà ! C’est terminé ! Il y a une cabine douche sur votre gauche. Je vous conseille d’en prendre une, la majorité de vos poils vont déjà tomber. Attention, le produit dans le distributeur n’est pas du savon, mais une lotion apaisante, à mettre après votre douche, avant de vous habiller. Je vais également en déposer un flacon près de vos vêtements, pour en mettre à la maison, là où ça vous irrite un peu. Et nous, on se revoit la semaine prochaine, même heure, même endroit !
Elle me fit un clin d’œil, et sortit. Je pris la douche, effectivement, les poils commençaient à tomber, leurs racines brûlées. Je mis la lotion après, m’habillais et rentrais chez moi.
Le reste de la journée, je surfais sur Internet. Je reçus les photos, comme promis. J’avais décidément l’air un peu tarte dans ces trucs roses ! Mais pas tant que ça finalement. J’avais surtout l’air... efféminé ! Je soupirais, et fermais l’ordi. Après, je passais le temps en regardant une de mes séries préférées, puis allais dormir tôt, fatigué, et la peau un peu irritée par le laser... Dans un demi-sommeil, je sentis ma femme se coucher à côté de moi au milieu de la nuit, puis m’endormis profondément.
Je fus réveillé le lendemain matin par les jurons de mon épouse...
— Mais c’est pas vrai !
Je sortis du sommeil, il me fallut quelques minutes, avant de la rejoindre. Elle cherchait quelque chose dans son armoire.
— ‘jour Chérie... tu cherches quelque chose ?— Oui, je voulais aller courir, et je ne trouve plus mon ensemble rose, tu sais le legging, le t-shirt à bretelle, les baskets... bon sang, j’étais certaine d’avoir mis cela ici...
Je tournais imperceptiblement la tête, heureusement, j’avais tout laissé dans mon sac de sport... Soudain, elle s’arrêta de chercher, et se tourna vers moi.
— Ce n’est pas toi ? Tu ne t’es quand même pas branlé dans mon legging et dans mes baskets ???— Mais tu es folle ! C’est toujours pareil, dès que quelque chose disparaît ici, c’est ma faute !— Excuse-moi, hein, mais la culotte rose et le string noir, c’était bien toi !— Heu... Hum... pour tes affaires de sport... je te jure que c’est pas moi ! Qu’est-ce que j’aurais pu en faire ?— Juré ?— Juré !
Elle se calma. Vu tout ce qui s’était passé, je pensais qu’il fallait que je marque le coup.
— Tu veux qu’on aille manger chez Luigi ce midi ? Cela fait longtemps qu’on a pas fait un truc ensemble.
Luigi était son restaurant préféré, pas loin de chez nous en plus.
— Excellente idée ! Et ça me ferait super plaisir !
Nous prîmes une douche, ensemble, ah son joli corps... elle me trouvait finalement assez mignon sans poils... elle me caressa, un peu, la peau, et me mit même la lotion après la douche ! Après s’être habillés, il était temps de se mettre en route pour le restaurant. Nous marchions main dans la main. J’étais content de moi, qui sait, peut-être même que l’après-midi se terminerait de façon coquine ?
Soudain, elle s’arrêta net. Je fus surpris, sortant de ma rêverie. Je constatais que nous étions devant la salle de gym où j’étais venu la veille. Des types installaient de grandes affiches sur la vitre. Des affiches jaunes, avec un grand slogan, en orange : « La gym pour tous ! » En dessous du logo, un photo-montage de plusieurs personnes, un type baraqué, une fille de couleur, très jolie, une fille un peu plus enveloppée, un type un peu plus vieux, plus bedonnant, une dame ayant une bonne cinquantaine, moi dans le legging et t-shirt rose de ma femme......... Merde ! La pub dont me parlait la directrice, ce n’était pas un questionnaire, c’était d’utiliser les photos de la veille pour l’affiche !
Ma femme avait les yeux posés sur la photo, ses joues rougissantes, et elle me lâcha la main d’un coup. Je me tournais vers elle.
— Ecoute, je... ce n’est pas ce que tu crois... je...— Tu avais juré ! Juré ! Menteur ! Sale menteur ! Ne me parle pas ! Ne me parle plus !
Et elle me tourna le dos, partant, seule. Merde ! Je sentis ma colère monter, contre moi-même surtout, mais il fallait que je trouve une échappatoire à cette colère. Je me ruai dans le Centre de gym, et fis un esclandre à l’accueil... la jeune dame ne cilla pas, me regarda, un petit sourire sardonique aux lèvres, puis me sortit le paquet de feuilles que j’avais signé la veille.
— Hé, ça, c’est quand on signe sans lire... et le §59 précise qu’il n’est plus possible de refuser, une fois affiché... c’est affiché, jusqu’à la prochaine campagne de pub ! Bonne après-midi, Monsieur !
Et elle remit les feuilles en place, dans le bac à classement ad hoc, et retourna à son ordinateur. Sans plus faire attention à moi. J’étais sans voix, comme paralysé, pendant quelques minutes, puis ne trouvant rien à répliquer, je décidais de rentrer chez moi. Ma femme n’y était pas, évidemment. Comme la catastrophe était de toute façon faite, je transférais les photos vers la messagerie de « Maïtresse_de_sissy », puis fis une machine avec les vêtements de sport roses, que je remis ensuite à leur place, bien pliés et tout.
Ma femme rentra très tard, mais je préférais faire semblant de dormir, n’ayant pas envie de l’affronter ce soir-là. Et le lendemain matin, elle était déjà partie au travail lorsque je me levais.
J’allais au bureau, et la journée passa bizarrement, comme dans un rêve. Je réfléchissais à ce qui s’était passé ce week-end, et je le regrettais. Cela ne pouvait plus durer. Le soir, une fois seul, je me loguais au blog, et vis que j’avais reçu un message de « Maîtresse_de_sissy ».« Salut ma sissy préférée !Les photos sont géniales ! Le rose te va si bien ! Et tu vas voir, la gym va te faire un bien fou également ! sans compter que cela va te faire de ces fesses !Aujourd’hui, j’aimerais que t’ailles dans les w.c., faire des photos pour me prouver que ton corps est bien sans poil ! Je les attends !Et après, une nouvelle vidéo pour toi !Bises xXx »Voyant qu’elle était loguée elle aussi, j’essayais de passer par la messagerie instantanée du site.
— Bonjour Maîtresse_de_sissy, il faut que je vous parle !— Mais c’est ma sissy préférée qui s’enhardit ! Tu oses la messagerie instantanée, sans m’avoir demandé la permission ?— Tout ça va trop loin, il faut qu’on arrête ! Ce week-end, ça été catastrophique avec mon épouse. Ça ne peut plus continuer. Elle n’a pas le droit de souffrir comme ça.— Hélas on ne peut pas arrêter maintenant ! Tu sais ce qu’il t’en coûterait... et puis, tu sais, à la longue cela fera du bien à ton couple.— Vous rigolez ?— Parce que vous étiez heureux avant ? En pleine harmonie ? T’es pas capable de donner du plaisir à ta femme. Vous vous emmerdiez tous les deux dans une vie qui tournait en rond. Et maintenant ? Ose dire que tu n’as pas eu de bel orgasme en petite culotte ! Les photos en disent long !—...— D’ailleurs, dis-moi, quel sous-vêtement portes-tu aujourd’hui ?—... La petite culotte rose.— Pourtant je ne t’ai rien demandé !— Je... je ne sais pas pourquoi je l’ai mise ce matin. Par habitude ?— Déjà ? Non, parce que tu aimes ça ! Je vais pimenter ta vie, votre vie ! Vous serez heureux au bout du chemin. Mais pour cela, tu dois OBÉIR. Maintenant, ne discute plus, ou tu le regretteras, va faire les photos que je te demande !
Je voulus répondre, mais je vis qu’elle s’était déconnectée de la messagerie instantanée. Merde ! Mais d’un côté, elle avait raison, notre vie de couple n’était pas terrible avant de toute façon. Et là, dans les w.c., j’avais eu de ces orgasmes ! En plus, je devais bien avouer que c’est vrai que j’avais vite pris l’habitude de porter ces petites culottes. Elles sont si jolies et si confortables à porter ! J’aimais ça, j’avoue...
Finalement, je soupirais, et obéis aux ordres. J’allais dans les w.c., et retirais mon pantalon. Je fis des photos de mes jambes nues, avec la petite culotte rose. De mes fesses rondes, moulées dans la petite culotte rose. Puis je m’enhardis, et je baissais la petite culotte sur mes chevilles. Je photographiais mes fesses, rondes et lisses, mes testicules sans poil, mon pénis, glabre lui aussi. Cela m’excita, et bien vite, je bandais à fond ! Je commençais à me branler comme un fou et ne tardais pas à éjaculer. Je poussais même le vice à photographier ma main enserrant mon pénis, le sperme qui avait coulé dessus... je commençais aussi à me faire à cette odeur, forte, entêtante, qui emplissait la cabine w.c. après que j’ai joui. Cette odeur virile, cette odeur de sperme. C’est comme si elle me donnait un peu le tournis, la tête était plus légère...
J’essuyais le tout, me rinçais les mains, puis revins à mon pc. Je downloadais les photos et les envoyais à « Maîtresse_de_sissy ». Je reçus sa réponse peu de temps après.
« Géniale les photos ! Je le poste illico sur le blog.Crois-moi, tu seras plus heureux en obéissant. Ce sera plus facile pour toi, tu verras. Et au bout du chemin, tu ne le regretteras pas.Demain, je veux que tu portes un string rose. Je veux des photos pour le prouver, mais des photos faites en dehors d’une cabine w.c. !Bonne chance ! Bises xXx »Ensuite, je regardais la vidéo... de nouveau une spirale pour commencer, pour m’immerger dans la vidéo, puis des images flashées rapidement, de jolies trans dans de superbes sous-vêtements... puis des vidéos de très jolis travestis, qui se filmaient, s’habillaient, prenaient des poses coquines, faisaient des selfies... puis de nouveau les images flashées, avec des textes, quasiment pas lisibles, mais qui parlaient des beaux sous-vêtements, tellement agréables à porter, et de se montrer, se montrer encore, se montrer désirable... puis de nouvelles vidéos, et ainsi de suite, en alternance.
Le soir, le dîner avec Julie fut agréable. Je pensais qu’elle me ferait encore la tête, mais pas du tout. Elle m’a dit qu’elle réfléchissait beaucoup à tout ça, et qu’elle pensait y trouver un sens. Je ne compris pas où elle voulait en venir, mais elle ne m’expliqua pas plus loin, me disant qu’il fallait encore qu’elle réfléchisse à certaines choses.
Le lendemain, dès qu’elle fut partie, je lui empruntais un string rose, un peu flash, mais je ne trouvais que celui-là. La journée se passa sans problème, le travail habituel. Et le soir, dès que je fus seul, je me rendis dans les w.c. homme. Bon elle voulait que je prenne les photos ailleurs que dans une cabine w.c... Donc je me mis près des lavabos. J’ouvris mon pantalon, pour qu’il descende légèrement, et que le haut du string monte, se dévoilant lorsque je me penchais un peu. Je fis la photo. Soudain, la porte s’ouvrit, et André entra.
— Ah, tu es là Alex ! J’allais partir, mais un besoin pressant a fait que... mais... qu’est-ce que tu...
Il voyait le string rose flash qui montait de mes fesses, moi légèrement plié, le pantalon ouvert et un peu descendu sur les cuisses, le GSM en main, me photographiant.
— Alex ! Ah, ah, ah ! Je savais pas que tu étais dans ces trucs-là ! Mmmm, joli le string rose !
Sa grosse main claqua contre mes fesses !
— Sacré Alex ! C’est vrai que t’as jamais été très viril, mais là ! Ah, ah, ah, je comprends que ta femme... aaaaaah Alex ! J’imagine que ça ne te dérange pas que je me vide la vessie pendant que tu continues ta séance photo !
Et il alla à l’urinoir, j’entendis le bruit de sa braguette, puis le bruit de son urine qui giclait dans l’urinoir. Je n’osais pas bouger, puis, me ressaisissant, je remontais et fermais mon pantalon.
— Oh, mais continue, hein, te gêne pas pour moi ! ah, ah, ah...
Il avait fini, se secouait l’engin, puis le remit dans son pantalon. Je n’en eus qu’un rapide aperçu, mais il semblait bien fourni de ce côté-là, bien plus que moi ! Il vint se laver les mains sans me quitter des yeux.
— N’empêche, tu devrais faire ça chez toi, les toilettes du ministère... oh, oh, oh petit coquin !
Puis il s’essuya les mains, passa près de moi... et me caressa les fesses, avant de passer ses doigts sous le pantalon, pour tirer le haut du string ! Puis il rit, et sortit des w.c., en marmonnant encore « sacré Alex ! »
Je n’osais pas bouger... après quelques minutes, sûr que j’étais seul pour de bon, je fis rapidement encore quelques photos, avec et sans pantalon, puis courus jusqu’à mon pc, et envoyais les photos à « Maîtresse_de_sissy », avec un message, lui expliquant ce qui s’était passé. Après cela, je regardais une nouvelle fois les vidéos qu’elle m’avait envoyées, puis je rentrais à la maison, une boule dans le ventre. André allait-il en parler à tout le monde ? Pire, faire un rapport à notre chef de service ? J’étais vraiment mal, et ne dormis quasiment pas de la nuit.
(à suivre)
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