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De cocu ennuyeux à Sissy épanouie...

Chapitre 7

Travesti / Trans
André restait sans bouger, je sentis son sexe se calmer dans ma bouche... non, pas maintenant, il était si proche d’exploser !
— T’es fou André, recevoir une pute au Ministère ! T’es vraiment pas bien !
Mais tout en disant cela, il se caressait l’entrejambe... J’arrêtai ma fellation, embêté, André hésitait sur la conduite à tenir... Etienne reprit...
— Sacré André, t’es bien gâté par la nature... qu’elle continue son travail pendant qu’on cause...
André sourit, reprenant sa légendaire assurance, sachant qu’il pourrait s’entendre avec ce pourri. Sa main se posa doucement derrière ma tête, me poussant vers son sexe toujours bandé, et je recommençai à le sucer, mais avec un peu moins de passion qu’avant... cet idiot d’Etienne avait cassé l’ambiance !
— Ecoute Etienne, tu sais ce que c’est... manque de temps, besoin urgent... tu te rends compte, je tenais plus, j’ai pas vu ma maîtresse depuis quatre jours ! Alors j’ai vraiment fait au plus vite...— Je peux comprendre, mais au ministère ! Tu te rends compte ? Tu enfreins au moins une quinzaine de règles du règlement ! Si le patron le savait, ce serait pas joli ! Enfin bon, moi, je veux pas être chiant, surtout qu’on se connaît depuis des années... alors, si tu partages, je dirai rien...— Partager ?— La pute ! Elle te suce, puis elle me suce, et basta... moi aussi ça fait longtemps, j’ai aussi mes besoins !
J’allai arrêter ma fellation pour répondre un « Quoi ? » magistral, mais André me prit la tête, et commença à me ramoner la bouche, m’empêchant de parler...
— Mmmmm... oh elle est vraiment bonne ! Ce serait criminel d’en priver un pote !— Mgphj... nllpm...— Tu vois elle est d’accord, deal !— Qmmfj blffff... mmmmm...— Deal !
Je suçais comme je pouvais le membre d’André... il augmenta le rythme, rattrapant son excitation qui s’était un peu calmée avec l’entrée d’Etienne... ce dernier vint s’agenouiller derrière moi, et commença à me peloter les seins...
— Ils sont forts petits, dommage !— Oui c’est une débutante, mais elle en veut ! Quelle bouche...— Et quel cul !
Il fit rouler mes petits tétons entre ses doigts, tout en m’embrassant avec gourmandise dans le cou, et tout en frottant son bassin contre mes fesses, tandis que le sexe d’André allait et venait dans ma bouche... j’étais un objet pour ces deux hommes, qui parlait de moi comme si je n’étais pas là, de façon grivoise, avec les bruits de succion de son sexe dans ma bouche, l’odeur de sexe, les sensations, les caresses, le fait d’être complètement soumise à ces deux hommes m’emporta complètement... je devais vraiment être une pute soumise à l’intérieur de moi pour être excité par tout ça me disais-je... mais c’était comme ça, c’était ce que je ressentais, et emporté par cette excitation, cette électricité érotique qui parcourait tout mon corps, je resuçais la bite d’André avec passion, tandis qu’Etienne avait sorti la sienne, et la caressais contre ma joue... je l’attrapais, et le branlais doucement d’une main, tout en suçant André, dont je sentis la bite se cabrer à nouveau dans ma bouche...
— Mmmm, oh oui, ça vient ma jolie, tu as intérêt à avaler tout le jus de papa !
Il éjacula un jet de sperme dans ma bouche, puis un autre, encore un autre... j’avalais au fur et à mesure sa semence chaude et salée, sauf les derniers jets, que je gardais en bouche, que j’ouvris, pour lui montrer le blanc sur ma langue, puis fermais ma bouche et avalais, avant de lui montrer comme j’avais bien été obéissante !
— Parfait ma jolie, t’es une bonne petite pute ! Maintenant, occupe-toi de mon pote Etienne !
Je me tournai vers lui et pris sa bite en bouche, sans réfléchir plus avant. Elle était plus petite, mais un peu plus épaisse que celle d’André... je pus la prendre tout entière en bouche, ce que l’autre semblait aimer...
— Oh oui c’est ça... prends-la entièrement salope ! Mmmmm, c’est bon, oh oui ! Lèche-la de l’intérieur...
Je léchais, suçais, puis lui laissais aller et venir, me baiser la bouche... je pensais qu’il viendrait vite, mais c’est qu’il était endurant ! Au bout d’un moment, alors que ma salive dégoulinait sur son membre et sur mon menton, je sentis son membre commencer à battre dans ma bouche... il colla alors son bassin à moi, poussant sa verge le plus profond possible dans ma bouche, ses testicules contre mon menton, et il éjacula directement dans ma gorge... et effectivement ça faisait longtemps, il devait en avoir pas mal en réserve, car quelle quantité ! J’avalais le plus que je pouvais, avant de me reculer, toussant, et recrachant une bonne partie de son sperme...
— Y en avait trop pour toi, ma chérie ? Ah, ah, ah ! Tu as raison, c’est une débutante, mais elle est douée la petite. Faudra qu’on se refasse ça une fois ! André, je te paye un verre ?— Pas de soucis, Etienne, allons-y ! La petite retrouvera bien la sortie toute seule ! Après avoir nettoyé le bazar, bien sûr !
Et ils se réarrangèrent et sortirent des w.c., me laissant sur le sol, les jambes tremblantes, la tête qui me tournait un peu, du sperme à la bouche, du sperme sur les bas, du sperme sur le carrelage... ils m‘avaient utilisée, s’étaient vidés en moi, puis s’en allaient comme si je n’existais pas... Pourquoi cette idée m’excitait-elle tellement ? J’étais devenue une vraie sissy, faite pour donner du plaisir aux vrais hommes !?
Reprenant mes esprits, je constatai que l’avant de mon string bordeaux était tout sombre, tellement j’avais coulé, tellement tout cela m’avait excitée ! Je regrettais juste de n’avoir pu jouir moi aussi... mais ce sentiment ne dura pas, j’étais contente d’avoir pu leur donner du plaisir... Je repris mon GSM et arrêtais l’enregistrement, puis nettoyais le bazar, comme l’avait dit André. Je me rhabillais normalement, puis allais à mon PC. Je floutais les visages et envoyais le tout à « Maîtresse_de_sissy ». Je remis les chaussures de la secrétaire d’accueil à leur place avant de rentrer à la maison. Epuisée, groggy, mais de plus en plus à l’aise et content de ce rôle de sissy qui m’allait comme un gant !
Le lendemain, je travaillai avec une concentration pas au top, car André n’arrêtait pas de me lancer des œillades, ce qui à la fois me faisait peur (et si les collègues se doutaient de quelque chose ?), et à la fois m’excitait terriblement ! J’avais hâte de voir arriver la fin de la journée ! A midi, il sortit manger avec les autres collègues. J’en profitai pour regarder le blog, et un message de « Maîtresse_de_sissy » m’y attendait...
« Bonjour ma sissy !Eh ben, y en a qui s’embêtent pas ! Ta vidéo d’hier, c’était torride ! T’es quasi prête pour le cinéma X !!! J’ai adoré, je me suis masturbée comme une folle en la regardant ! Avec deux mecs en plus, quelle salope ! Le plus petit avait les couilles bien remplies, quel spectacle ! Les internautes ont adoré aussi, ta vidéo devient virale ! Trop fort !
J’espère que tu feras aussi bien ce soir, notre blog monte au top des blogs X amateurs sur le sujet ! Bises, xXx »Elle parle du blog comme de « notre » blog ! J’en avais chaud au cœur... et je me sentais tellement fier ! J’allais vite regarder la vidéo, et les commentaires postés, tous étaient admiratifs, un peu salaces, mais que des compliments ! Les lire me remplissait de désirs ! La vidéo avait été likée plus de 950 fois ! Imaginer tous ces hommes qui se branlaient en me regardant, ça m’excitait au plus haut point ! Mais il faut dire que la vidéo était vraiment hot ! Emporté par mon excitation, je la regardais encore une fois, c’était trop chaud ! Je fis pause pour m’admirer en sous-vêtements, j’étais tellement jolie ! Soudain, un « hum, hum » retentit derrière moi... je sursautais et fermais mon navigateur avant de me retourner, le rouge aux joues.
— Eh bien, c’est du joli... c’est votre pause, mais quand même, vous connaissez la politique de la maison à propos des sites, vidéos et images à caractère pornographique !
Merde ! C’était le superviseur RH pour notre étage. Il m’avait pris la main dans le sac, l’excitation m’avait fait perdre toute prudence, on n’était pas le soir, mais le midi, avec encore pas mal de passage dans les bureaux ! Je bredouillais des mots d’excuse quasi inintelligibles.
— Je venais vous dire que les entretiens d’évaluation pour votre service sont fixés fin de cette semaine. Voici la feuille avec votre ordre de passage. Nous reparlerons de vos loisirs douteux à ce moment-là !
Et il tourna les talons, me laissant pâle et perplexe, la feuille en main.
André revint le premier de sa pause et je lui expliquais ce qui s’était passé. Il me sourit, posant sa main sur mon derrière, de façon très virile.
— Ne t’en fais pas, je vais arranger ça. Je veille sur toi, tu peux te sentir en sécurité avec moi... tant que tu obéis à tout ce que je te demande, bien sûr.
Son doigt suivait mon sillon fessier, de plus en plus fortement, par-dessus mon pantalon. D’autres collègues arrivant, il me sourit et me laissa, le souffle court et les jambes tremblantes. Je me sentais si bien quand André prenait les choses en main... c’était un vrai homme, lui !
Je travaillais donc avec plus d’ardeur l’après-midi, jusqu’au moment où tout le monde fut parti. Je m’assurai que j’étais bien le dernier, puis pris le sac que j’avais apporté. Il y avait dedans un string bleu marine, avec soutien assorti, push-up, pour donner l’impression que ma poitrine était plus belle qu’en réalité, la robe jaune que Julie m’avait prêtée pour le restaurant, et des sandales à talon, bleues marines elles aussi, avec de petites lanières très sexy...
J’allais dans les w.c. pour me changer, puis préparais mon GSM pour tout enregistrer. Je travaillais encore mon déhanché, marchant de long en large dans les w.c., lorsqu’André arriva. Je marchais de ma démarche la plus chaloupée possible vers lui, alors qu’il me dévorait des yeux. Arrivé près de lui, je pressais ma petite poitrine contre son torse puissant, passais mes bras autour de son cou, et portais mes lèvres contre les siennes. Sa langue passa mes lèvres, vint à la rencontre de la mienne, tandis que son bras m’entoura et m’attira vers lui, fortement... je me sentais tellement femme, tellement désirée, je frottais mes petits seins contre lui, me serrais contre lui, l’embrassais passionnément...
Ses mains descendirent vers mes fesses, qu’elles caressèrent virilement, fortement... je poussais de petits gémissements, incontrôlables, une de ses mains passa sous la courte robe, malaxa fermement ma fesse, avant de suivre le sillon fessier, sous le string, jouant avec le plug... l’autre main remonta vers mon dos, puis, tandis que nos bouches se séparèrent et qu’il plongeait avec gourmandise dans mon cou, sa main pelota un de mes seins... je caressais son torse puissant d’une de mes mains, tandis que l’autre alla se poser directement sur son entrejambe, cherchant, puis trouvant la bosse formée par son érection... Sa main jouait toujours avec le plug fiché dans mon anus, tandis que je caressais ce membre, qui durcissait à vue d’œil sous son pantalon...
— Tu es très belle, et j’ai très envie de toi Alex, je vais te prendre comme la chienne que tu es... mais avant...
Ses mains quittèrent mes fesses et mes seins, pour se poser sur mes épaules, pour me faire m’agenouiller face à lui... il ouvrit son pantalon, et son sexe bandé, dur, en jaillit...
— Ta salive sera le seul lubrifiant que j’utiliserai... alors, lubrifie-le bien !
Je ne l’écoutais déjà plus, hypnotisée par cette verge puissante, sa hampe dure parcourue de veines, son gland, rouge et gonflé de désir, ses testicules, gonflées et douces, remplies de cette crème que je voulais en moi...
Je plongeais sur elle en premier, les léchant doucement, avec délicatesse, avant que ma langue ne remonte le long de sa hampe, puis son gland, avant de parcourir à nouveau la lampe, en sentant chaque veine, puis de remonter avec gourmandise vers son gland, le léchant sur tout son pourtour, son frein, sa petite fente d’où perlaient des gouttes translucides... puis il entra en moi, passant les lèvres, remplissant ma bouche de sa grosseur et de son musc masculin... je le suçais, le plus loin possible, me faisant saliver dessus le plus que je pouvais... il m’aida, me maintenant la tête, tandis qu’il se poussait dans ma bouche le plus loin qu’il pouvait, c’était intoxiquant d’être ainsi possédé, utilisé, mon sexe coulait dans sa petite cage de plastique, mouillant le string... il me laissa respirer, baisa à nouveau ma bouche, avant de se pousser à fond, comme il l’avait fait... puis retira sa bite dégoulinante de ma salive... sa main autour de mon cou me fit me relever, et il m’embrassa à nouveau à pleine bouche, sa main passa sous ma robe courte, tâtant l’avant de mon string...
— Tu aimes ça, hein Alex ? Tu mouilles comme une chienne en chaleur ! Il est temps de passer aux choses sérieuses !
Il me retourna, remontant ma robe jusqu’à la taille, puis ses mains se posèrent sur mes minuscules seins, qu’il caressa virilement... je me voyais dans le miroir, jupe jaune relevée, string taché de ma mouille, ses grosses mains pelotant mes seins par-dessus la robe... quelle image érotique ! Puis il me fit me courber en avant, m’accoudant au lavabo... fébrilement, il déplaça mon string... il était très excité aussi ! Il écarta doucement mes fesses, enleva le plug qu’il jeta dans le lavabo... mon anus palpita un peu, ce vide me faisait tout d’un coup si bizarre... puis il frotta son gland mouillé de ma salive contre ma petite rondelle, qui fut toute mouillée... mais il ne me pénétra pas... mes fesses bougèrent, je le voulais en moi si fort !
— Mmmm, oui ? Qu’est-ce que tu veux ?— Tu le sais ! Je le veux en moi !— Demande-le-moi gentiment ! — S’il te plaît André, prends-moi, là, maintenant ! Pénètre-moi, tout de suite !
Je sentis le gland frotter contre mon anus, se pousser, entrouvrir la petite porte serrée... avant de s’arrêter...
— Supplie-moi, comme la chienne en chaleur que tu es !!!— rhaaaa... André, s’il te plaît ! Baise-moi comme la chienne en chaleur que je suis ! Prends-moi, use-moi, et vide tes couilles dans mon cul ! Je t’en supplie !
Il sourit et s’enfonça... lentement, mais sans s’arrêter !
— Mmmmmm...
C’était un peu douloureux, mais le plug avait bien préparé le terrain... et ce vide comblé par la belle queue d’André, quel délice ! Il s’enfonça lentement, puis se recula doucement, avant de s’enfoncer encore, un peu plus loin et de se reculer, puis de s’enfoncer encore... c’était à la fois douloureux et plaisant... un peu comme quand Julie m’avait déflorée avec son gode... mais en mieux... sentir un vrai sexe, une verge chaude s’enfoncer en soi... c’était tout à fait autre chose, bien meilleure qu’un gode en plastique !
— Ah ma salope, ce que tu es étroite ! Mmmm, c’est trop bon... mais tu manques d’entraînement ! Je vais t’entraîner moi, tu vas voir !
Et il commença à aller et venir en moi, lentement et doucement d’abord, puis plus rapidement, plus fort, jusqu’à me baiser, jusqu’à ce que ses couilles frappe contre le bas de mes fesses... la douleur diminua, sans disparaître, mais le plaisir grimpait en flèche, surtout quand son gland raclait ce petit endroit si spécial, si délicieux... de temps en temps, sa main claquait sur mes fesses, tandis qu’il m’appelait encore chienne en chaleur, jolie pute, ou salope, mais je m’en fichais, j’étais dans un état d’extase, un plaisir orgasmique qui durait, mon sexe coulant comme un fou dans sa cage tandis qu’il me baisait de plus en plus vite, de plus en plus fort... je ne pouvais que gémir, et pousser de petits sons inarticulés, et soudain, le plaisir monta encore, jusqu’à ce que j’explose... un orgasme comme je n’en avais jamais connu !
— Oh putain, tout ton fourreau se sert autour de ma bite ! Tu jouis, c’est ça ! Un orgasme anal ! Oh putain... ça va me faire venir... je vais jouir... Alex... Oh Alex !!!!
Et je sentis un liquide chaud me remplir l’intérieur, tandis que sa bite s’enfonçait en moi comme jamais ! Je poussais un long gémissement de plaisir, avant que mes jambes ne se dérobent sous moi, tout tremblant... je ne tenais debout qu’empalée sur ce sexe qui palpitait en moi... et qui après un moment se retira... je dus me tenir au lavabo... sentant un vide désespérant dans mon cul, et son jus chaud, qui coulait sur mes testicules et le haut de mes cuisses...
— Ah non, il ne faut pas perdre le nectar de papa !
Il reprit le plug dans le lavabo et le poussa dans mon petit trou qui palpitait...
— Comme ça, tu le gardes bien en toi !
Je tombais assis sur le sol, ne pouvant contrôler mes jambes qui tremblaient ! Quel orgasme j’avais eu !
André me présenta son sexe tout mouillé de salive et de sperme, dans un état second, je le fis rouler sur mon visage, humant son odeur d’homme, sentant sa chaleur contre mes joues, mes lèvres mon front... puis je le léchais encore, ses testicules aussi... bon sang, j’étais amoureux de cette bite !
— Ah ah ah, doucement gourmande ! Là je dois filer, mais je t’en redonne demain ! Quel cul ! Putain, j’ai joui comme y a longtemps que j’avais plus joui. Avec un peu d’entraînement, tu seras une pro, aucun gars ne pourra te résister, crois-moi !
Il se rhabilla, m’aida à me relever, m’embrassa encore, puis s’en alla. Toujours groggy, je pris mes affaires, le GSM, postais en vitesse les vidéos pour Maîtresse_de_sissy, puis rentrais chez moi. Toujours habillé de la robe jaune et des chaussures à talon. Je ne pensais plus aux voisins, au qu’en-dira-t-on, j’étais encore dans l’extase de l’orgasme...
Ma femme fut ravie de me voir arriver ainsi.
— Eh bien, tu oses te promener dehors en femme ? Belle évolution !— Oh je... c’est-à-dire...
Je commençais doucement à descendre de mon nuage orgasmique...
— Tu as l’air fatigué ? Ta journée a été difficile ?
Elle me regardait d’un air suspicieux... bon sang, comment réagirait-elle si elle apprenait que je m’étais fait prendre comme une pute en chaleur par André dans les w.c. du ministère ? Pas bien, je pense... fallait que je trouve une excuse...
— C’est-à-dire... oui la journée a été difficile... c’est à cause du superviseur RH... il m’a surpris... en train de répondre à Maîtresse_de_sissy... il a vu le blog alors qu’il apportait le planning des entretiens d’évaluation...
Ma femme ne dit rien, semblant réfléchir...
— Au fait, tu ne m’as jamais dit comment tu avais rencontré Maîtresse_de_sissy ? Elle avait ton numéro de portable, c’est quelqu’un que tu connais ?— Pose pas de question, sissy ! Je réfléchis ! C’est embêtant que tu te sois fait prendre en train de regarder un blog aussi compromettant. Nous avons besoin de ton salaire, ce serait trop bête de te faire virer maintenant ! En plus, la pornographie, c’est la faute grave. Direct. Pas d’indemnité.
Trop excité, trop pensant au sexe d’André, je n’avais absolument pas pensé à ça ! Je risquais de me faire virer ! Je pâlis. Ma femme me regarda, la mine soucieuse. Puis son visage sembla s’éclairer.
— J’ai une idée ! Si on invitait ton ami du bureau, tu sais, celui dont tu me parles souvent. Le costaud qui est toujours à l’aise et connaît tout le monde au ministère ?— Hem... André ?— Oui ! C’est ça ! Si quelqu’un peut trouver une solution, c’est bien lui ! Téléphone-lui, et invite-le à souper demain... Il faudra que nous le convainquions de nous aider... je pense que je sais comment faire...— Tu... tu crois ?
Sans répondre, elle prit mon téléphone et me le tendit.
— Maintenant !
Je téléphonais à André, la voix un peu tremblante. Il répondit tout de suite. Je lui réexpliquais la situation avec le superviseur, et que ma femme voulait l’inviter à la maison pour en parler. « Super, d’accord. Ta femme est un joli petit lot. Je me rappelle son petit cul lors de la garden-party organisée par le bureau. Je serais très content de la revoir. Rendez-vous pris, à demain ! »
Le lendemain, je ne vis pas André au bureau. Il devait être en déplacement. Le midi – après m’être assuré qu’aucun superviseur ne se cache derrière moi ! – j’ouvris le blog, j’avais un message.
« Bonjour ma sissy !Putain, ta vidéo d’hier était encore plus torride que l’autre ! Comment tu l’as supplié de te baiser ! Et comment tu as joui, un vrai sissygasme ! Moi aussi j’ai joui tellement je me branlais à vous voir ! Encore une vidéo qui va devenir virale ! Trop fort !
Ta femme m’a parlé des soucis au boulot. Tu pourrais être plus prudent. Je l’ai dit, une vraie bimbo ! Enfin, juste un conseil à te donner : fais confiance à ta femme. Obéis à tout ce qu’elle dit, et ça ira.
Passe une bonne soirée !Bises, xXx »Sitôt la journée finie, je rentrais dare-dare chez moi. Ma femme m’y attendait... habillée pour séduire ! Elle portait une petite robe blanche, très décolletée, moulante et courte. Elle avait choisi des sous-vêtements clairs, mais on devinait leur forme sous le tissu de la robe, le soutien à dentelle, le string, les jarretelles, ses jolies jambes gainées de beige... les talons hauts, sa coiffure bien arrangée, le maquillage appuyé comme il fallait. Elle était sublime, j’avais peur de deviner comment elle allait « convaincre » André. Elle ne s’était pas habillée pour un dîner entre amis, un dîner sage...
— Je vois que tu aimes ! Il va aimer aussi. Ce soir, on va passer encore un grand cap dans notre nouvelle relation. Et sauver ta tête au bureau. Je le sens ! Arrête de me reluquer le cul, c’est ton tour !— Mon tour pour quoi ?
Elle m’entraîna vers la chambre. Des vêtements m’attendaient sur le lit... String rose à dentelle, soutien assorti, bas noirs, jarretelles et une robe du même style que la sienne, mais noire. Une fois habillée, Julie arrangea mes cheveux, en une coupe plus féminine, comme le jour du resto, et me fit un maquillage, un peu plus appuyé que la dernière fois. Enfin, elle me passa des sandales noires, avec des talons de plus de 6 centimètres ! En me regardant dans le miroir, j’étais de nouveau surpris de voir à quel point des vêtements, une coiffure et un maquillage me rendaient si jolie, si sexy...
— Trop bien, on va le faire craquer, crois-moi ! Le dîner doit être prêt, mets la table pendant que je m’occupe des derniers préparatifs.
Nous descendîmes, et tandis que Julie filait en cuisine, je commençais à mettre la table, pour trois convives. André sonna tandis que j’installais les affaires pour l’apéro.
— Je vais ouvrir !
Je terminais ce que je faisais, mais entendis des bruits étouffés venant du corridor. Je crus entendre un « tu es superbe ! », alors je passais très discrètement ma tête. André embrassait très passionnément ma femme, sa grande main lui palpant la fesse sans vergogne. Ils n’agissaient pas comme des personnes qui se rencontraient pour la deuxième fois, qui ne se connaissaient pas bien ! Une révélation me figea sur place : ils semblaient se connaître très bien ! On n’embrassait pas comme ça quelqu’un qu’on rencontrait pour la seconde fois dans sa vie ! En une fraction de seconde, tout devenait clair : c’était André l’amant de ma femme !!! Ah, ils m’avaient bien eu ! C’était effectivement après la garden-party du Ministère que Julie avait commencé à mieux s’habiller, se maquiller, et rentrer plus tard du bureau !
— Wouaw, mais tu es aussi très jolie toi !
André m’avait vu, et venait vers moi. Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, il me roula une pelle, comme pour ma femme, me pelotant tout aussi vigoureusement le derrière ! Son geste viril, sa façon de montrer comme ma femme et moi lui appartenions fit fondre toute ma colère comme neige au soleil. Après tout, j’avais aussi trompé ma femme avec lui, c’était 1 partout !
Puis il entra, son bras gauche me tenant par la taille, son bras droit enserrant ma femme souriante...
— Vous êtes toutes les deux magnifiques ! Quel homme chanceux je suis ! Je sens que nous allons passer une bonne soirée !
Il s’assit dans le canapé, et nous nous assîmes chacune à côté de lui. Nous prîmes un apéro, bavardâmes, sa main caressant la cuisse de ma femme, puis se posant sur la mienne. Une partie de moi était un peu énervée, le salaud, mais à chaque fois qu’il me souriait, qu’il me dévorait des yeux, qu’il me touchait, je fondais, j’avais envie de le servir, de lui obéir, de le satisfaire... Par contre, Julie semblait ne pas trop apprécier la façon dont il me caressait... elle devait comprendre que ce n’était pas la première fois pour nous ! Elle semblait... jalouse ? Bien qu’elle essayait de masquer ses sentiments, je la connaissais assez bien pour le sentir...
Après l’apéro, nous passâmes à table, et le dîner fut agréable, André et moi racontions des anecdotes de bureau. J’étais à sa gauche, et souvent sa main venait effleurer ma cuisse. Ma femme était placée face à lui, et je sentis sous la table sa jambe se tendre... j’imaginais qu’elle avait enlevé un de ses escarpins, et son pied gainé du bas beige devait se poser délicatement sur l’entrejambe d’André, le caresser, sentir la bosse se former, se durcir dans son pantalon... d’ailleurs leurs joues se coloraient de rouge... mais comment résister à sa verge, si chaude, si dure ?
— Et si nous retournions au salon pour le pousse-café ? Alex, tu vas chercher la bouteille et les verres ?
J’allais chercher la bouteille, un bon whisky, elle savait que je n’aimais pas ça, je préfère les alcools sucrés, mais elle et lui en prendrait volontiers un... c’était un alcool pour les forts, pour les dominants... Je revins dans le salon avec la bouteille, pour trouver ma femme embrassant André à pleine bouche, sa main aux ongles peint en rouge fermée sur son sexe bandé, sortit par sa braguette ouverte... Je fus choqué... de constater que cette vue, au lieu de m’énerver, m’excita profondément...
— Mmmm... Alex, rejoins-nous... nous devons nous occuper de notre invité...
Je m’approchais d’eux, posant les verres et la bouteille sur la table du salon. Je sentis la main d’André passer sous ma robe, caresser le haut de ma cuisse, le bas de ma fesse... et cela me donna des frissons partout... sa main remonta vers mon derrière, et il m’amena à lui. En un rien de temps, j’étais lovée contre lui, l’embrassant à pleine bouche, ma langue se mêlant à la sienne... Puis j’embrassais Julie, de la même façon, puis elle l’embrassait lui... voyant sa verge dure dans la main de ma femme, je m’agenouillais et commençais à lécher son gland...
— Oh, la gourmande passe déjà au dessert !
Ma femme s’agenouilla également, et nous léchâmes à deux sa hampe, son gland, puis lorsqu’elle avalait le gland avec sa bouche, je léchais ses testicules, puis nous changions... tandis qu’il nous caressait le dos, les fesses... nos robes se retrouvèrent bien vite sur le sol, avec la chemise et le pantalon d’André. Le soutien-gorge de ma femme également... elle entoura sa verge toute dure de ses seins, le branlant ainsi... à chaque fois que son gland apparaissait, entre les deux monts de chair, je le mettais en bouche, à chaque fois qu’il disparaissait, j’embrassais Julie...
— Ah, doucement les filles, vous allez me faire venir... on a le temps...
Il demanda à Julie d’enlever son string, et de se coucher sur la table du salon. Puis il me fit mettre à genoux, juste en face de son sexe tout mouillé.
— Lèche-la !
Je léchais le sexe de ma femme, comme elle m’avait appris, lui arrachant de petits gémissements de plaisir... André nous regardait faire, tout en parlant...
— Pour le superviseur, j’ai une idée. Mais il faudra qu’Alex y mette du sien. Julie, tu te rappelles de notre petite soirée folle, le mois dernier ? Au club échangiste ?
Elle poussa une sorte de grognement qui devait signifier oui, alors que ma langue tournoyait en elle...
— Le grand manitou du ministère y était aussi. Je le connais bien, il aime les soirées fines. Et les partouzes. Comme nous.
Julie maintenait ma tête entre ses cuisses, frottant son clito sur mon nez... André me caressait le derrière, la rondelle, jouait avec le plug avant de le retirer de mon anus et de le déposer dans mon verre vide sur la table du salon... j’étais bien trop excité pour prêter attention aux mots « échangistes », ou « partouze »!
— Lors de la soirée, il a parlé d’un souci au ministère qui l’énervait, pour ça qu’il avait besoin de faire baisser sa tension... je pourrais utiliser cette info pour aider Alex. Mais il faudra qu’il y mette du sien.
Je le sentis s’agenouiller derrière moi, son gland effleurer ma rondelle... puis appuyer dessus... puis s’enfoncer en moi... Mes lèvres contre le sexe de ma femme, je poussais un feulement de plaisir...
— Ah non Alex, t’arrête pas... je suis si proche... lèche-moi... lèche ! Mmmm ouiiii... Pas de soucis André chéri, Alex fera tout ce que tu lui demanderas...
Tandis qu’André allait et venait dans mon derrière, je léchais de plus belle, jusqu’à ce que je sente ma femme jouir, et qu’elle m’asperge le bas du visage de sa mouille... sentir ses odeurs de femmes, sentir cette bite puissante masser ma prostate, je jouis également, même si ce n’était pas si fort que la fois passée...
— Mmm André, j’en veux encore, viens me baiser !
André sortit alors sa bite encore raide de mon derrière, et me repoussant doucement, vint la planter dans le sexe de ma femme, tout mouillé, tout sensible... Elle cria son plaisir alors qu’il allait et venait en elle, sortant de temps en temps sa verge mouillée pour la présenter à ma bouche, je la suçais, puis il replongeait dans le sexe de ma femme... encore et encore... jusqu’au moment où, après qu’elle ait eu son troisième orgasme, il jouit à son tour en elle... je voyais ses gros testicules palpiter alors qu’il giclait tout son jus en elle...
Puis il se retira et me présenta sa verge, déjà moins grosse, un peu de sperme encore autour du gland... je la mis en bouche avec avidité, le léchant, le suçant, avant de plonger sur le sexe béant de ma femme pour y lécher le nectar, le sperme qu’il y avait laissé...
Alors que nous reprenions notre souffle, André assis dans le canapé, moi assis au sol, et ma femme toujours couchée sur la table du salon, les jambes encore tremblantes, André sourit...
— Là-dessus mes jolies, je prendrais bien un bon Whisky !
(... à suivre...)
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