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Un cocu est né

Chapitre 3

Qu'auriez vous fait à ma place?

Avec plusieurs hommes
Précédemment : Suite à un fantasme partagé, ma femme s’est donnée à un homme de notre entourage que je n’aimais guère. Il a joui en elle et m’a envoyé la vidéo...
Sans un mot, Judith vint jusqu’à mon chevet puis s’immobilisa à nouveau, attendant peut-être que ses yeux s’habituent à la pénombre, cherchant peut-être à discerner sur mon visage le signe d’une approbation ou d’un reproche. Pendant un moment qui me sembla une éternité, elle resta debout devant moi, respirant lentement tandis que je la détaillai. A peine décoiffée, elle semblait intacte. Il n’apparaissait sur elle, dans l’obscure clarté de notre chambre à coucher, aucune trace de la nuit qu’elle venait de passer avec un autre homme. S’il n’y avait cette vidéo pour le prouver, j’aurais pu croire qu’elle rentrait d’une soirée entre copines.
Enfin, elle se dévêtit, lentement mais sans faire de chichis, pas un effeuillage, non, elle enleva ses vêtements comme si elle eut été seule dans la chambre. Une fois nue, elle ne fit pas plus de manières pour monter sur le lit, comme poursuivant sur le même élan un enchaînement de gestes qui n’avaient pourtant plus rien de banals. Posant son genou sur le bord, elle souleva l’autre jambe qui passa au dessus de ma tête, occultant toute lumière. Elle agrippa mes poignets, les maintint sur le lit le long de mon corps et l’instant suivant, ses fesses s’écrasèrent lentement sur mon visage. Par réflexe ma bouche s’ouvrit pour happer une bouffée d’air. Une odeur étrangère m’assaillit soudain, comme une gifle, redoublée par le contact poisseux de la peau, ne me laissant pas le temps de me ressaisir. Je compris alors le sens de ce qui précédait, la raison de cette longue pause à mon chevet : je compris que le délai de rétractation était dépassé.
Tandis que cette prise de conscience s’allumait dans mon esprit ma langue avait déjà commencé son travail, dans un enthousiasme qui m’échappait, obéissant à sa propre volonté. Je bouffais le cul de Judith comme un affamé, comme jamais auparavant, comme la plus appétissante des choses qui se fut jamais présentée à mes lèvres. Sans doute aspirai-je à une réciprocité, sans doute que j’espérais en écho à mon ardeur, sinon une ardeur comparable, au moins une caresse, sinon sa bouche, au moins la libération d’une de mes mains, solidement maintenues. Mais ma pauvre queue se dressait vainement dans l’air face à une femme indifférente, dont le souffle demeurait calme et profond tandis que je tordais mon bassin à le recherche d’un contact. Elle aussi bougeait les hanches, doucement, d’avant en arrière, contractant et ouvrant ses orifices, comme cherchant à pousser hors d’elle quelque chose déposé là à mon attention et se concentrant sur cette tâche, tolérant mon baiser plus que l’appréciant vraiment. Comprenant cela, dans le fol espoir d’une récompense, de l’aumône d’une caresse, je cessai de laper et disposai ma bouche en cuvette sous le trou du cul, le titillant à peine, du bout de la langue, à la manière d’un encouragement. Judith, comprenant que nous n’en étions plus aux faux-semblants, se consacra tranquillement à la mission que son amant lui avait confié, retenant et expulsant son souffle. Enfin, dans une longue série de bruits humides, un fluide s’échappa d’elle que je m’empressai de lécher et d’avaler en exagérant le bruit de la déglutition. Quand la source se fut tarie, je déposais des petits baiser sur le trou du cul qui continua encore un moment ses contractions avant de s’immobiliser.
C’est à cet instant seulement qu’il me sembla entendre la voix de Judith, dans un soupir de soulagement. Contre toute attente, un instant plus tard, je sentis un contact sur mon gland. Ses deux mains étant occupées à enserrer les miennes, il ne pouvait donc s’agir que de sa bouche. Submergé par une vague de joie amoureuse et obéissant à un automatisme, je poussai ma queue mais ne rencontrai qu’une surface dure. Les dents restaient closes. La bouche, tout en s’interdisant, demeurait en contact avec ma queue. C’est ainsi qu’excité à l’extrême, me frottant contre les lèvres et les joues de ma femme, me contentant de ces maigres stimulations, je parvins à éjaculer, dans ses cheveux je crois.Nous n’échangeâmes pas un mot cette nuit-là. Judith regagna sa position habituelle pour s’endormir, blottie contre moi, caressant ma poitrine du bout des doigts. Elle s’attarda à un endroit où mon sperme s’était déposé, enduisant ses doigts avant de les porter à ma bouche en un geste inédit, poussant l’index et le majeur loin sur ma langue.
Durant plus d’un mois, deux à trois fois par semaine, Judith revenait à moi dans la nuit après plusieurs heures d’absence, se déshabillait dans la pénombre, venait à mon chevet s’assurer que j’étais toujours éveillé, grimpait sur le lit en s’agrippant aux barreaux, disposait les genoux de part et d’autre de ma tête et chevauchait mon visage, l’enfouissant entre les plis de son intimité tout en retenant mes mains entre les siennes. Elle commençait alors un lent va et viens durant lequel elle me faisait profiter des restes de sa nuit. Dès la nuit suivant la première, elle s’était remise à parler.
– Ça te plaît mon chéri, c’est bon ? Demandait-elle toujours.– Oh oui, c’est délicieux, répondais-je invariablement.
Parfois elle présentait à nouveau sa bouche close à ma queue et parfois, plus souvent, elle libérait une de mes mains afin que je puisse me soulager. Dans tous les cas, elle recueillait mon sperme et me le faisait goûter. Je ne savais pas trop à cette époque quoi penser de la situation. Je me sentais à la fois dépossédé et comblé. Je n’avais jamais connu un tel épanouissement ni une telle frustration. Ma vie était devenu une espèce d’oxymore, un enchantement cauchemardesque, quelque chose en tout cas qui ne pouvait durer trop longtemps. J’évoluais sur un fil, en tension permanente, attendant la prochaine étape, sans savoir au juste si elle allait me conduire vers une plus grande félicité ou un plus profond désespoir, les deux étant de plus en plus inextricablement mêlés. Je me branlais beaucoup dans mon coin, sans aller jusqu’au bout cependant, réservant mes orgasmes pour ces drôles de séances de cul, comme une incontournable offrande à ma femme chérie.
Bientôt, mon imaginaire tourna en rond et je cherchai ailleurs sur le web des échos à mes fantasmes, de quoi les nourrir. C’est ainsi que je découvris le vaste univers du candaulisme. Les nombreuses vidéos sur ce thème m’irritèrent rapidement par leur caractère outrancier et répétitif. Bien vite, je me rabattis vers la littérature, bonne ou mauvaise mais souvent plus intéressante, plus complexe que ces bêtes scénarios. Je découvris ainsi un auteur écrivant sur Xstory : Darryll Pauvert dont les histoires traitaient souvent de ce sujet. Je revenais souvent à l’une d’elle intitulée « Sylvaine se refuse à l’un, se donne aux autres », dont un des personnages, Luc, me ressemblait tant.

Alors que nous ne parlions jamais de « la situation » en dehors de ces quelques mots échangés après ses escapades nocturnes, Judith, un jour où je l’avais invité à déjeuner dans un restaurant en bord de mer, après une conversation anodine, aborda au dessert le sujet jusqu’alors interdit.
– Mon chéri, il faut que je te dise, Jérémy est d’accord pour me partager avec un autre homme.
Cueilli par la déclaration, je ne m’inquiétai pas moins de la proximité de l’autre table susceptible d’entendre cette conversation. Le vieux couple ne bronchait pas mais il me sembla surprendre un regard de la femme, aussitôt reporté vers son plat. Je revins à Judith qui me souriait, attendant manifestement une réaction. Je soupesai ses mots et pensai : pas trop tôt, c’était quand même le plan de départ, baiser ma femme à deux. Mais la perspective de pouvoir la prendre à nouveau et surtout, au-delà de tout autre considération, la peur de la perdre me fit ravaler mes remarques. J’en avais peut-être fini de me branler. J’en avait peu-être finit de sa bouche close, de sa chatte et son cul défendus. Non que cela me déplut tout à fait, comme je l’ai déjà dit la frustration et l’humiliation tendaient un ressort nouveau qui me procurait via l’onanisme d’intenses satisfactions, mais il n’est de plaisir dont on ne se lasse, surtout ceux nés de la privation.
– Super nouvelle. J’ai hâte !– Ah, je suis si contente que tu le prennes ainsi ! Tu es vraiment un amour, tu sais. Jeremy a montré nos vidéos à un copain à lui avec qui nous avons rendez-vous samedi. Tu voudras bien m’aider à me préparer pour eux mon chou ?
La dame de la table d’à coté avait renoncé à faire semblant de s’intéresser à son assiette et fixait ma femme d’un air ahuri que je devais partager avec elle.
Cette nuit là, une nuit chaude de juin, l’attente fut si longue que je pensai que Judith ne rentrerait pas et craignit qu’elle ne me fut définitivement perdue. Après de longues heures d’intense excitation où je l’imaginais prise simultanément par deux hommes, j’avais finit par débander, épouvanté à l’idée qu’elle me quitte. Épuisé, je commençais à m’endormir lorsque j’entendis la clé tourner dans la porte d’entrée. Comment se faisait-il que je n’avais pas perçus ses pas dans l’escalier ? Avait-elle déchaussé ses escarpins ? Les avait-elle perdus ?Pendant un long moment, il ne se passa plus rien, à tel point que je me mis à douter de moi, me demandant si je n’avais pas rêvé. Puis j’entendis soupirer et le plancher craquer doucement sous ses pieds de chat. Elle venait vers moi.Comme le premier soir, elle resta un moment entre le lit et la fenêtre, mais cette fois-ci, les premiers rayons du jour l’éclairaient bien plus nettement.
Elle était dans un état épouvantable. Sa jupe, apparemment déchirée afin d’être raccourcie au ras de l’entrejambe, s’effilochait sur un bas troué tandis que l’autre manquait. Le chemisier également déchiré s’ouvrait presque jusqu’au nombril. Le soutif disparu me laissa penser que la culotte avait subi le même sort. La première pensé qui me vint fut que ses sous-vêtements en dentelle étaient maintenant dans les poches de ses amants. Ses cheveux en broussaille encadraient un visage écarlate ou rayonnait un sourire fatigué et gracieux.Sans prendre la peine de se déshabiller, Judith vint vers moi et retroussa sa jupe dans l’intention manifeste de prendre sa position habituelle au dessus de mon visage. Mais elle se ravisa et s’assit au bord du lit, se penchant sur moi et passant sa main dans mes cheveux dans un geste tendre, comme l’eut fait une mère. Je craignis à cet instant qu’elle ne m’annonça notre séparation, mais d’autre mots sortirent de sa bouche.
– Ils étaient tous là, mon chéri...– Tous là ? ... heu... qui ça mon amour?
Elle ne cessait de sourire tout en caressant mon crâne.
– Tous ceux de ta liste.– De ma... Liste ?
C’est alors que me me revinrent en mémoire les deux listes écrites un peu avant le début de cette aventure. Sur l’une d’elle je proposais à ma femme des noms d’hommes de son entourage à qui elle envisagerait de se donner et sur l’autre des actes sexuels auxquels elle était prête à se livrer avec eux, lui donnant pour consigne de barrer tout ce qui ne lui convenait pas. Les deux listes consultées étaient demeurées intactes. Je pus dès lors envisager ce qui venait de se passer, ce à quoi ma femme adorée avait été soumise et avec qui. Judith haïssait l’un de ces hommes, un collègue de bureau qui le lui rendait bien. C’est à lui que je pensai en premier.
– Mais... Il y avait donc aussi... Cédric ?– Oui.– Il ne t’a pas... enfin, heu, brutalisée ?– Oh, mon chéri, c’était très fort... très sauvage tu sais mais il ne s’est rien passé qui m’ait déplu... Bien au contraire. Même lorsqu’il m’a fessée devant les autres... j’ai adoré, vraiment. Je suis peut-être un peu folle, je ne sais pas. En tout cas je dois te remercier. Sans toi je n’aurais jamais connu tout cela. Tu es mon mari chéri. Le meilleur des maris. Je crois... que je ne t’ai jamais autant aimé. Je pensais tout le temps à toi. Quand ils s’enfonçaient en moi, dans ma gorge, mon sexe, mes fesses… je pensais à toi. Sous leurs injures je pensais à toi. Leur plaisir, le plaisir qu’ils prenaient à tout ça, à me prendre comme bon leur semblait sachant que tu en étais, toi, privé… je ne sais pas pourquoi, ça me faisait jouir comme jamais. Je sais que tu me comprends mon amour. Je sais que nous jouissons de la même chose, comme dans une espèce de... communion. J’aimerais que tu ressentes ce que j’ai ressenti à être ainsi manipulée comme une poupée, soumise aux désirs brutaux de ces types. Je ne sais pas… Peut-être que tu aimerais éprouver toi-même certaines de ces choses qu’ils m’ont faites… certaines pénétrations… la soumission aussi. Oh comme je suis impatiente que tu vois tout ça. Ils ont tout filmé tu sais. Jérémy va faire un montage des vidéos que chacun à prises. Il m’a promis que tu en aurais une copie.
Elle se tut à nouveau puis sembla hésiter. Je m’attendais à ce qu’elle se pencha pour m’embrasser mais au contraire, elle se releva, me montrant d’abord sa chatte empourprée, puis, pivotant sur elle-même, son cul plus-que-rouge, strié de mauve.
– Ils ont tous joui dans mes fesses à la fin... pour toi. Mais Jeremy m’a bien recommandé de te le dire avant de chevaucher ta figure et de m’assurer que tu es d’accord...
Elle se retourna vers moi et me sourit affectueusement, inclinant la tête sur le coté.
Qu’auriez-vous fait à ma place ?

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