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Un cocu larbin, humilié mais heureux

Chapitre 1

Divers
Ses yeux se plantent dans les miens, elle me regarde en souriant, ce sourire glacial que je ne connais que trop bien. Elle est tellement belle. Elle, c’est Stéphanie, 25 ans, une très très jolie fille, chatain clair, de beaux cheveux, des yeux verts à faire tomber tous les hommes, et les femmes, 1m70, 56kg, une taille de guêpe, des jambes de rêve, un cul parfaitement rebondi, un joli 90b : en un mot, comme m’ont dit mes potes et les hommes de ma famille quand je leur ai présentée : une bombe. Moi c’est Julien, 27a, mignon, 1m70 aussi, 65kg, sportif du dimanche, je suis avocat d’affaires, j’ai réussi dans ma vie professionnelle, je suis sympa, drôle, cultivé, assez intelligent, mais un peu le mec banal. Je l’ai séduite parce que je la fais rire, et on s’entend très bien. J’ai rencontré Stéphanie à une soirée, par l’intermédiaire d’amis communs. Je suis tombé amoureux de suite. Je ne sais pas comment j’ai eu le courage de la draguer mais je l’ai fait, et elle a craqué. On a passé de merveilleux moments et on s’entend toujours tellement bien. On partage beaucoup de choses, de centres d’intérêt. Souvent les mecs, et les filles aussi, se demandent ce que nous faisons ensemble, mais ils se rendent vite compte qu’on est fait l’un pour l’autre. Mais Stéphanie ne manque pas de courtisants. Cela fait un an que nous sommes ensemble et tout va bien. Enfin presque tout. Il y a un mais évidemment. Les premiers mois de notre relation, Stéphanie envoyait clairement balader les dragueurs, elle n’hésitait pas etme montrait que je pouvais avoir confiance en elle. Mais depuis quelques temps elle est différente. Elle prend presque du plaisair à se faire accoster, draguer, et semble en prendre aussi à me le montrer. Parce que le « mais » de notre relation, de notre amour, c’est le sexe. Je suis doté d’un petit pénis, quand je dis petit c’est un plèonasme, il est vraiment petit. Je ne bande pas mou, je bande dur, mais je jouis très très vite. Je suis précoce. Je jouis très souvent sans même que l’on me touche. Et évidemment le plus souvent, quand nous faisons l’amour je viens à peine le gland effleure ses jolies lèvres. Donc en guise de « faire l’amour » cela se réduit toujours à un cuni de ma part. Moi j’ai joui depuis longtemps. Et comme je suis malgré tout doué de ma langue, mon amour finit par jouir à son tour. Puis nous nous calinons. Pathétique sans doute. Mais c’est ainsi, et c’est ainsi depuis un an. Et donc ce soir-là, je viens de me jouir dessus alors que nous nous embrassions. J’étais nu, elle en magnifique ensemble de lingerie., string et soutien gorge en dentelle rose et noire, bas dim up noir et escarpins noirs à talons aiguilles de 12cm. Ah oui, Stéphanie ne portait pas souvent de talons hauts avant, uniquement en certaines occasions. Depuis quelques temps elle ne porte plus que ça. Ce qui fait qu’en permance, elle me domine physiquement. Moi j’adorais cela : d’abord parce que je suis fétichiste des talons aiguilles (évidemnent vous me direz), ensuite parce que cela la rendait encore plus belle, et que je l’avoue, j’adore sentir que les gens la désirent, la regardent, l’admirent. Je me suis souvent surpris à bander en la voyant parler à d’autres hommes, et me suis souvent masturber en l’imaginant avec d’autres hommes. Ce soir là donc elle est arrivée dans le salon dans cette tenue, il m’a fallu tout mon courage et ma volonté pour me retenir de jouir sur place. Je me suis mis à bander immédiatement. Nous vivons dans un bel appartement, un duplex, on a une grande table basse, une grande table de diner, des fauteuils, canapé, une superbe salle de bain avec une grande baignoire jacuzzi, un escalier, une terrasse à l’étage, mais nous ne faisons l’amour que dans la chambre, je l’entraine donc dans la chambre à l’étage. Stéphanie travaille en marketing pour une marque de luxe. Elle s’habille toujours sexy classe, et portait cet ensemble sous ses vêtements la journée. Cela m’excite encore plus. Je bandais vraiment dur, elle m’a déshabillé, j’étais au bord de l’explosion, et cela n’a pas raté. Elle s’arrête et me regarde, sévèrement, et ce sourire aux lèvres qui se dessinent, comme une sentence terrible.— Evidemment !— Pardon, pardon ma chérie, je suis désolé. Viens, allonge toi, je vais te lécher.— Non !Non ? Elle ne refusait jamais un cuni, au contraire elle adorait ça.— Mais Steph, tu adores ça, je vais m’appliquer.— Non, ça suffit j’en ai marre.— Je t’en prie mon amour, calme toi.— Je suis très calme mais j’en ai marre.J’ai oublié de préciser un élément important de notre relation. Très vite il s’est avéré que j’étais dévoué à son bonheur, Stéphanie dictait le quotidien de notre couple et j’adorais cela, mais ça restait subtile, une sorte de dévotion amoureuse. Ne vous y trompez pas elle m’aime. Et c’est toujours le cas. Mais me méprisais sexuellement, et j’allais m’en rendre compte.— Je n’en plus, je veux me faire baiser tu comprends, ta langue c’est très bien mais ce n’est pas un sexe.Je la regardais, apeuré, je comprenais évidemment, mais je n’y pouvais pas grand chose. Et elle finit donc par me regarder en souriant, sévèrement. Je me sentais comme un tout petit garçon qu’on a pris en faute.— C’est fini Julien. J’ai cru que je pouvais passer outre, mais je n’en peux plus.Le monde s’est écroulé, je l’ai supplié, mais elle n’a pas faibli. Elle m’a demandé d’aller dormir à l’hôtel, ce que j’ai fait. Je lui ai envoyé des sms toute la nuit, lui demandant pardon, lui disant que j’étais prêt à tout. Elle ne répondait pas. Au petit matin je suis allé travailler, je n’ai pas fait de check out ne sachant pas si j’aurais besoin ou non de la chambre d’hôtel le soir suivant. À 10h j’ai reçu un sms, mon cœur battait fort et je tremblais. Je suis seul dans un grand bureau. Le cabinet appartient à mon père c’est lui qui l’a créé et je bosse pour lui. Je suis le patron bis si vous voulez. Je prends mon téléphone et ouvre le message, c’est d’elle. « J’ai lu tes messages de cette nuit, tu dis être prêt à tout. Tu le penses vraiment ? »Je l’ai lu et relu une centaine de fois peut-être, oui je le pensais mais que voulait-elle dire, qu’attendait-elle. Le téléphone a sonné, c’était un nouveau message. D’elle.« Alors ? Tu penses vraiment que c’est le moment de me faire attendre ?! »Je l’imaginais me dire ça de sa voix cinglante, et je bandais automatiquement. Je me sentais en son pouvoir. Toutes ses remarques des dernières semaines, elle se faisait plus méprisante, plus hautaine, plus sévère aussi n’hésitant pas à me critiquer, à me rabaisser, à n’humilier même. Elle me demandait plus de choses, était plus exigeante. Je répondais fébrilement, les doigts tremblant sur le clavier.« Pardonne moi ma chérie, je le pense oui, je t’aime je suis prêt à tout pour rester avec toi ».Je l’ai envoyé et n’ai absolument rien fait durant les 27 minutes qui m’ont séparé de sa réponse. Bip bip.« Parfait. J’espère que tu ne me décevras pas alors. Je vais sortir à 18h du travail ce soir, je veux que quand j’arrive le ménage soit fait, les courses aussi, je vais t’envoyer une liste sous peu, que tu me fasses un cadeau spécial, de type tenue sexy, je suis sûr vu ton bon goût que tu t’en sortiras très bien, et que tu m’attendes nu avec une bouteille de champagne et un verre, un seul, des fleurs, et toute autre surprise que tu jugeras utile. C’est compris ? »Je lisais et relisais, une fois encore. J’étais tétanisé, j’avais peur, mais je me rendais bien compte de l’excitation que cette situation provoquait en moi. Je bandais et je finissais par jouir alors que je commençais à taper ma réponse. J’écrivais le sms, le sperme à peine sorti dans mon boxer. « D’accord, oui ma chérie, je ne te décevrais pas. J’ai tellement hâte de te voir et de te serrer dans mes bras. Je t’aime ». J’étais content de ma réponse et l’envoyais. La sentence ne tarda pas à arriver.« Dorénavant tu me vouvoies, je préfère. Et fnis tes phrases par Déesse, ou Princesse, comme tu veux ».L’excitation et la peur remontent, se mêlent. « Bien Princesse ». La matinée se passe, je lui envoie d’autres messages qui demeurenent lettre morte. Je prends mon après-midi, pour m’aquitter de toutes les tâches. J’appelle la femme de ménage et lui demande de passer en urgence, elle peut et me sauve la vie, je ne me voyais pas faire le ménage moi même. Je fais les courses, remplis les placards et le frigo de tout ce qu’elle aime. J’achète du champagne, son préféré, du Krug. J’achète des roses, du parfum aussi, et je finis par l’essentiel, je lui achète un très bel ensemble de lingerie, nuisette string assorti, bas porte jaretelles, le tout en dentelles, la nuisette en soie, et je file chez son chausseur préféré, vous l’aurez deviné, le créateur aux semelles rouges. Les vendeuses nous connaissent, nous y venons une fois par mois. On discute un peu, je leur explique que je veux surprendre mon amour. J’opte pour une très belle paire d’escarpins à talons vertigineux. Je ramène le tout et dispose tout ceci, emballé, sur le lit. Je mets le champagne au frais, j’ai aussi acheté des macarons dont elle raffole. Le temps passe vite, je file prendre une douche. Il est 17h30, la femme de ménage a fait du bon boulot, je reste nu au salon et tourne en rond. Nous habitons au dernier étage d’un bel immeuble récent, à Genève, avec une belle vue sur le lac. L’avantage est que depuis le balcon du premier étage, je peux voir les arrivées. Je la vois donc arrivée, au volant de son coupé 206. Je m’assieds sur le canapé. Nu. Et tout raide, évidemment. De trop longues minutes se passent. Je suis sûr qu’elle sait que je la guettais, et qu’elle fait exprès de me faire mariner. Je me contrôle tant bien que mal pour ne pas une nouvelle fois me laisser aller. Finalement, la sonette retentit. Je suis tout tremblant, je me lève et me dirige vers la porte d’entrée, je vérifie par le judas, histoire de ne pas ouvrir à un voisin, nu. C’est elle. J’ouvre. Elle est radieuse. Elle ne dit rien, me temps différents sacs et entre en me bousculant presque. Ses talons claquent sur le parquet. J’adore cela. Je ferme la porte derrière elle et la suit. Elle s’écroule sur le canapé. Croise les jambes. La jambe du dessus bouge lentement. Je pose les sacs. Elle me regarde. — Et bien qu’attends tu ? J’ai mal aux pieds tu sais.Je ne sais pas trop quoi faire. Mais elle ne me lâche pas du regard, je m’avance donc vers elle et m’agenouille devant elle, et lui ôte ses bottines. Je commence à lui masser les pieds.— C’est très bien mon chéri.— Merci Stéph…La giffle est partie. Je ne l’ai pas vu venir.— Merci Déesse.— Voilà. C’est mieux. Elle tapote sur son portable, et je suis nu à genoux, lui massant les pieds. Elle rit, de temps en temps, répondant à des messages. Je suis perdu, mais tellement heureux de la voir. Je l’aime. Je sens que j’ai mis le doigt dans un engrenage terrible, mais je ne pex me retenir. Je suis bien à ses pieds. Vraiment bien.
j’attends vos commentaires pour la suite de l’histoire, en espérant que cela vous plaise.
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