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Un cocu larbin, humilié mais heureux

Chapitre 3

Divers
Je fais couler le bain. En attendant, elle s’est assise sur le rebord de la baignoire ronde, je suis à genoux, je lui lèche les pieds, elle continue à envoyer des sms, à rire, à me demander de m’appliquer. Elle m’a trainer avec la laisse jusqu’à la salle de bain. Je porte le tablier de soubrette. Le bain est prêt. Elle est nue, tellement belle, tellement désirable. Elle me tend les deux portables, le sien et le mien, avec un sourire. Elle entre dans le bain, je lui demande si elle désire autre chose. Elle me fait signe que non. J’ai allumé des bougies, mis une playlist de chansons qu’elle aime, le bain est moussant et à bonne température. Elle me dit que je peux disposer et me mettre à la préparation du diner. Je prends congé de ma désormais Maitresse.Je file à la cuisine, les deux portables à la main, je commence évidemment par le mien. Elle a écrit à mon père lui disant que nous avions quelque chose à célébrer que ce serait bien si je n’allais pas travailler demain. Elle lui disait que nous passerions chez lui ce weekend pour le tenir au courant. Il lui disais que c’était tout bon et de bien profiter du weekend long. Elle lui a juste répondu : « faites moi confiance ».Mes parents sont séparés, en bons termes mais séparés. J’ai le sentiment depuis le début que mon père veut se faire Stéphanie, il la mate sans graned discrétion, la touche dès qu’il peut. Mon père est grand, s’entretient, il est bel homme et charismatique, il enchaine les conquêtes. Il me méprise un peu je pense. Je tiens de ma mère. Bref, je passe au portable de Stéphanie. Elle a appelé la femme de ménage dans la journée. Evidemment. Les sms maintenant : plusieurs à son avocat apparemment pour le rendez-vous du lendemain ainsi que des appels à la banque et plus curieux un sms à notre banquier, le directeur de l’agence où il lui dit « je tacherais d’être en forme ». Des sms à Sam aussi. Sam est son ex. Ils sont restés en bons termes. Dans les sms il lui demande où elle en est de son projet, elle lui répond que ça avance. Je suis un peu perdu. Et surtout le temps passe, je dois me mettre au repas. Je prépare des toasts de foie gras avec de la confiture d’oignons, de la mâche en salade, il y a du vin blanc et du champagne au frais, des fraiss chantilly en dessert. Elle adore tout cela, j’espère que cela lui fera plaisir. Je mets la table pour deux, au salon. J’allume des bougies, prépare de la musique. Je suis content de moi. Son portable sonne. Elle a reçu un sms. C’est de Sam : « comment fait on alors ? ». J’hésite puis décide de lui apporter. Je frappe à la porte, elle me fait mariner une minute avant de me dire d’entrer. J’entre et lui présente le portable elle regarde. — Tu as lu mon sms ?— Je voulais vous l’apporter Déesse.— Tu ne lis plus mes messages larbin. Tu te prends pour quoi ?— Pardon Maitresse.— J’ai la punition toute trouvée.— Je vous écoute ?— A genoux !Je m’exécute. — Tu as donc vu de qui est le sms ?— Oui Déesse.— De qui ?— De Sam, votre ex.— Exactement. Tu l’aimes bien Sam ?— Euh, pas vraiment non.— Dommage pour toi, il va venir ce soir.— Pardon ?Sam est un trader en banque, très beau mec, viril, musclé, sportif, très sociable et m’as tu vu. Le contraire de moi. Et je l’ai vu à plusieurs reprises nu dans les vestiaires au club de sport que l’on fréquente tous les 2, il a un sexe énorme. Je me suis toujours dit qu’il devait toujours baiser Stéphanie mais sans vraiment y croire.— Et ta punition est très simple : tu vas l’appeler et lui demander de venir. Tu vas lui dire que cela te ferait très plaisir qu’il vienne à la maison. — Je vous en prie Princesse, pas ça, je ne peux pas faire ça.— Pardon ?— C’est que… c’est très très gênant.— Gênant ? Non, voyons. Ce qui est gênant, c’est le petit vermisseau qui te sert de sexe. Et puis, je croyais que tu étais prêt à tout ? Je me trompais ?
— Non, ma Reine, d’accord.J’attends, je transpire et ai vraiment peur.— Alors ? Allez, dépêche toi.— A vos ordres ma Reine.J’appelle Sam. Il décroche.— Allo Sam ?— Oui.Stéphanie m’interrompt. — Appelle le Monsieur plutôt.J’hésite. Elle durcit le regard.— Monsieur, c’est Julien, le copain de Stéphanie. — Ah oui, comment vas tu Julien ?— Bien bien et vous Monsieur ?Stéphanie sourit et se caresse les seins sous la mousse, elle se mordille la lèvre inférieure, je crois rêver.— Que puis je faire pour toi Julien ?— Stéphanie, enfin et moi, disons que j’aimerais beaucoup vous inviter à la maison ?— Ah oui ?— Oui Monsieur. Ce soir ce serait vraiment super si vous veniez.— Tu veux que je vienne ?— Oui Monsieur.— Tu le veux vraiment ?Le salaud, il joue avec moi. Tout cela était évidemment prévu.— Je le veux vraiment oui Monsieur.— Bien mon petit. A quelle heure ?Je lève la tête vers Stéphanie.— Monsieur demande à quelle heure Princesse ?— Quelle heure est-il ?— 20h Déesse.— Dis lui 22h. — 22h Monsieur.— Parfait.— Merci Monsieur.— De rien mon petit, de rien.Je raccroche. — Il vient à 22h Déesse.— Excellent. Le diner est prêt ?— Oui Votre Altesse.— Parfait, tu vas m’aider à me sécher alors et à me préparer.Je l’ai séchée, quel délice c’était de passer mes mains à travers la serviette sur tout son corps de Déesse. J’avais envie de bander, de me masturber et de jouir à ses pieds, mais je ne pouvais pas, je pouvais plus.Elle me regarda en souriant.— Tu aimes ?— J’adore.— Je sais. Tu sais pourquoi on fait tout cela ?— Pour que vous soyez parfaitement accomplie, épanouie et heureuse Princesse.— Exact. Et toi ?— Moi, je suis heureux si vous êtes heureuse ma Reine.— Mmmm c’est très agréable de te l’entendre dire mon chéri. Tu m’aimes ?— A la folie ma Reine.— Bien, range tout, et viens dans la chambre après. Je vais m’allonger quelques minutes.— A vos ordres.Elle est partie, j’ai rangé comme demandé. Elle était allongée sur le dos sur le lit. Tellement divine.Je me suis approché et ai embrassé délicatement ses pieds. — Mets moi du vernis sur les ongles de pieds. J’ai sorti ce qu’il te fautUne fois cela fait, elle a enfilé l’ensemble de lingerie et les escarpins.— Tu me trouves comment ?— Absolument divine.— Oui je pense que cela va plaire à Sam.Elle est descendue, je l’ai suivie, lui ai servie son repas. Quand elle a vu la table mise pour deux elle a ri. Moi je ne mangerai pas. Pas ce soir et pas avec elle. Je lui ai servie un plateau repas, elle zappait à la télé et moi je lui ai servi de repose pieds. J’ai ensuite tout débarassé, elle restait devant la télé. Je suis revenu après avoir tout rangé. Il nous restait un peu de temps, j’avais envie de ce moment d’intimité. — Dimanche nous irons voir ton père lui annoncer nos fiançailles.— Bien Déesse. — Lèche mes Louboutins, je veux qu’elles brillent.— A vos ordres.Mais Sam devait être impatient, il a rapidement sonné à la porte. Je restait pétrifier. Tout cela devenait horriblement réel.— La porte va s’ouvrir toute seule peut-être ?— Oh, non Princesse, pardon, j’y vais.Je me lève et vais vers la porte. Je m’arrête dans l’entrée, réalisant que je suis nu, avec un tablier de soubrette, un collier de chien autour du cou, et une laisse qui pend, une cage de chasteté sur mon sexe, et un bracelet gps à la cheville. Je finis par ouvrir. Sam se tient devant la porte, massif. Il me regarde de la tête et au pied et sourit. — Salut le cocu. Il entre en me bousculant. « Le cocu ». Il sait tout. Il doit être même de mèche. — Bonjour Monsieur. Il avance vers le salon je le suis, comme un petit chien. Stéphanie a éteint la télé, et est asise sur le canapé lassive, elle le voit se lève et se jette à son cou. Il lui roule une érmorme pelle, lui mettant deux mains au cul, juste sous mon nez.— Bonsoir mon chéri.— Salut ma belle. Je t’ai manqué ?— Beaucoup.Comment ça ? Il se sont vus hier soir à tous les coups. Il doit la baiser depuis un an. J’en était sûr. Le salaud. — Mon chéri tu sers du champagne à Sam ?— A vos ordres oui.Ils vont s’asseoir main dans la main dans le canapé, j’entends Sam dire :— Elle est toute mignonne comme ça !Ils rient tous les deux, je reviens avec deux flutes de champagne, ils trinquent ensemble, ils parlent, rient, s’embrassent, se caressent, moi je reste prostré devant eux. Ils m’ignorent.— A genoux larbin, lèche mes escarpins ils ne brillent pas assez.— Ils sont magnifiques. Nouveaux ?— Oui mon petit cocu me les achetés aujourd’hui, pour ce soir. Pour toi en quelque sorte.Ils rient. Sams a glissé sa main sous la nuisette de Stéphanie et le caresse. Je suis en enfer, sans doute, mais n’arrête pas de me dire que cela ressemble au paradis en quelque sorte, en tout cas, à ce dont j’ai toujours rêvé.
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