Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 85 J'aime
  • 0 Commentaire

Cocu mécontent appelant la vengeance

Chapitre 1

Divers
Cocu mécontent appelant la vengeance à la rescousse.
Prologue
Frisant la cinquantaine, j’habite un petit village peu éloigné d’une ville de moyenne importance. J’ai  connu mon épouse il y a une dizaine d’année lors de vacances dans un pays maghrébin, pays où je n’oserai plus mettre les pieds à l’heure actuelle. Pour notre malheur, nous n’avons pas eu d’enfants, mais malgré tout ce furent dix années de bonheur, jusqu’à ce que s’installe une certaine froideur dans nos relations. Sur le moment, pris pas ma profession, je n’y portais pas fortement attention. Je suis ingénieur commercial et souvent mon travail m’entraîne loin du domicile conjugal pour des fois des périodes plus ou moins grandes.

Les premiers symptômes
C’est au retour d’une de mes absences que je me rendis compte la première fois d’un changement assez radical dans son attitude. Elle passait d’une transe amoureuse intense à une froideur incroyable. J’avais de la peine à comprendre ce qui se passait, surtout que quand je rentrais à la place de partager le temps en semble, elle n’avait rien de mieux à faire que de s’enfuir. Intrigué, je me décidais qu’il y avait quand même anguille sous roche et qu’il me fallait trouver où se situait le problème. Je m’équipais de manière à pouvoir un peu l’espionner à distance sans qu’elle s’en rende compte. Je trouvais sur le marché internet des traceurs qui me permettaient de la suivre lorsqu’elle opérait lors de ses déplacements. Rapidement, je constatais qu’ils avaient tous une même et unique adresse. 21 Rue de Lamartine.
Ce qui ne me disait pas grand-chose, l’annuaire téléphonique ne me permettant pas de trouver la solution et finalement, je me décidais de coudre un traceur dans son sac à main de manière indétectable. Mais il fallait que je fasse très attention à le paramétrer de manière qu’il ne suscite pas l’éveil en réagissant et ne pas émettre de bib bip.
Enfin après l’avoir bien paramétré, je le mettais au bon endroit et attendit, je n’eus pas longtemps à attendre. Le lendemain, sitôt qu’elle fut partie, je fis venir un taxi et avec mon portable je la suivis, un premier passage en vitesse au super marché puis direction rue de Lamartine. Cette fois j’allais savoir ce qui s’y passait. Dès qu’elle fût dans l’ascenseur, je me précipitais pour voir à quel étage, mais c’était un vieux clou qui n’affichait pas les étages alors j’attendis patiemment qu’il s’éteigne pour le rappeler en chronométrant les temps de descente en supposant qu’ils soient les mêmes que ceux de montées. Je trouvais bien mon indicateur qui m’indiquait la porte au fond du couloir : Monsieur Durand-Dutoit. Avocat.
Me voila bien avec cette indication, si je veux divorcer, cela va me coûter un max, pas de doute. Il faut que je trouve autre chose.C’est à ce moment que je me suis intéressé à l’électronique d’espionnage et j’ai acquis pour près de 1000 euros de matériel, allant de la patère enregistreuse vidéo au détecteur de fumée caméra espion en passant par Vrai Interrupteur Photo-Vidéo GSM , bref tout ce qu’il fallait pour la prendre la main dans le sac et m’enlever mes derniers doutes. Je profitais d’une de ses perpétuelles absences pour installer le tout et cela me semblait bien invisible. J’allais enfin savoir plus précisément ce qu’il en retournait.
Une fois l’installation complète, je lui annonçais un nouveau déplacement, cette fois à l’étranger pour lui laisser toute liberté et aucun frein. Le deuxième jour, je recevais un bip de ma voiture. Tiens on me la déplace, bizarre. Mais je contrôle, elle ne va pas loin et après peu de temps, elle revient presque à sa place, mais plus précisément devant le garage. Ça y est j’ai compris, le visiteur a sa voiture cachée dans le garage. Ni vu, ni connu, que ma voiture soit à la pluie n’étonnera personne, vu que parfois je la laisse à la pluie par flemme. Là, les bip s’enchaînent sur mon téléphone, preuve que le poisson est bien ferré, mais je n’ai pas encore le bouquet que j’attends dû à ma prise dans la chambre.
Plus de doute
Après un passage dans la cuisine, si j’en réfère à mes capteurs, les deux complices se dirigent vers la salle de bain que je viens de faire refaire selon ses désirs. Je m’en mords bien les doigts quand je pense que c’est pour le confort de mon cocufiant. Là encore, ce ne sont que des bruits qui me mettent en transe quand je les entends se mettre en condition pour la suite. Il semble bien que les apéritifs sont à la hauteur de leurs envies. S’allume alors la chambre et le spectacle commence, les deux protagonistes, entièrement nus, ma chère et tendre épouse, tirant pas son appendice son compère qui n’en demande pas plus, accroché comme il se doit aux tétons de son aphrodite. Je comprends mieux maintenant le pourquoi de ma femme de ne plus avoir de toison, petite forêt d’astrakan que j’aimais si fortement, le drôle y met une telle ardeur à lui bouffer la corolle qu’il devrait avoir une belle provision de fils dentaire pour extraire les indésirables coincés entre les dents, sans parler de l’inconfort des poils arrachés lors du cuni. Voilà à quoi sert ce souci subit d’hygiène factice, à se faire brouter la motte sans frein à l’endettement.
Elle ne reste pas en arrière et englobe aussi un dard également tout glabre de tout poil, ce avec délice si j’en crois mes oreilles. – Mon chéri, que j’aime ta queue, si belle sans poils indiscrets qui me chatouillent le fonds de la gorge. Laisse-toi aller, tu auras le temps de recharger, mon mari est loin pour longtemps.
La salope, elle ne se doutait pas que j’étais à quelques kilomètres de là, mais je la laissais consommer pour voir jusqu’où allait mon déshonneur. Là, je la voyais pomper avec acharnement le jonc qui lui remplissait la bouche, chose qu’elle me refusait, prétextant que c’était contre ses principes et que c’était sale. Il semble que tout le monde n’est sur la même échelle selon elle. Enfin, le flux et le reflux arrivent, gonflant les joues de ma chérie, les yeux grands ouverts d’amour qui pour moi est depuis longtemps envolé, elle avale le fruit des couilles de celui qui me l’a volée avec dévotion. Cette fois, je suis vraiment fixé pour le tout, mais jusqu’où va le mal ? Je reste bien fixer sur mon ordi qui retrace les étapes de sa concupiscence.
Continuant à embrasser avec dévotion le membre qui a aspergé ses amygdales avec violence, elle lui redonne force et puissance. La garce n’a vraiment pas envie d’en rester là. J’ai presque pitié pour lui, probablement qu’en fin de compte, cette Messaline des temps modernes va le vider de sa substance et le laisser les piles à plat. Une fois arrivée à un premier résultat elle se redresse et j’entends clairement l’intrus lui demandant de pouvoir également honorer son minet de ses baisers, histoire de se refaire une santé, mais la traîtresse n’entend pas relâcher son emprise, sans s’occuper de ses désirs, elle le met sur le dos et s’empale sans tarder et commence à danser sur lui comme si elle avait le feu au cul, telle une possédée ce Saint Gui (qui se prononce Vit en tchèque et on comprend pourquoi) elle se démène multipliant les pénétrations sorties pour remettre au chaud, le tout sans protection. J’en suis vert de rage, je remercie le ciel qu’elle ne désire qu’avec moi, il n’y ait plus que des rapports protégés, attraper une saleté venue d’ailleurs, c’est pas mon truc.
Cela me revient qu’elle a dû suivre un traitement aux antibiotiques vaginaux, prétextant un refroidissement, cela m’avait complètement échappé.
Diffuse en direct !
Regarder son live