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Cocue par la fille

Chapitre 1

Hétéro
Avant-propos
Après avoir eu un certain succès chez les branleurs patentés, je me lance sur son pendant féminin. Je ne suis pas sûr que cela marchera aussi bien.Je veux rappeler une chanson de Patachou à cette occasion, la chose censurée en 1956!?
PersonnagesJeanne Salvenor : Chef d’entreprise, 56 ans, mariée à HenriHenri Salvenor : artiste peintre, 40 ans. Julliette : Fille de Jeanne issue d’une union malheureuse, 18 ans (pour respecter les prescriptions)
D’autres personnages pourront apparaître par-ci par-là au gré de ma fantaisie.
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Une journée de début d’été.
A 6h00, émergeant d’une nuit un peu agitée, Jeanne secoue son flemmard de mari.
— Chéri, je n’ose te demander si tu as bien dormi.— Quoi ? C’est quelle heure ? C’est pas chrétien de réveiller les gens si tôt.— Mais, mon chéri, tu sais que l’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt.— Je ne sais pas où j’ai lu que la santé appartient à ceux qui dorment beaucoup. Au fait, que veux-tu ?— Aujourd’hui, je rentrerai tard, j’ai mon conseil d’administration à diriger et souvent, cela se termine tard.— De nouveau cette bande de pieuvres. Je les hais.— Oui Chéri ; mais ce sont eux qui te nourrissent quand même. Qu’as-tu envisagé pour la journée ?
— Je vais finir ce tableau de ta fille, commencé il y a bientôt 6 mois, mais je trouve toujours qu’il y a quelque chose qui cloche et je ne vois pas exactement quoi. Je ne sais si c’est trop de fond type Hamilton ou si la bouche n’est pas assez Joconde. Tu me ferais pas une petite gâterie avant de partir.— Si tu veux, tu sais que j’aime cet apéritif du petit-déj.
Se glissant sous les draps, elle n’est pas longue à trouver ce qui l’intéresse et déguste cette baguette encore chargée des parfums et des épices de la nuit. Pour ne pas la faire attendre, il se représente un peu le tableau qu’il doit finir et rapidement libère sa potion magique.
— Tu es rapide ce matin.— C’est pour ne pas te mettre en retard, reste un moment tranquille. Oui, j’ai trouvé l’expression qui manque à mon tableau, ta bouche maintenant, elle a exactement la forme, les couleurs qu’il me faut pour finir le tableau. Magnifique. Viens, on va déjeuner maintenant.— Et moi ?— Et moi ! chantais, je ne sais plus qui ! Ne traînons pas, sinon je risque de perdre l’image avant de l’immortaliser.— Fais une photo !— Tu as raison. J’espère que cela suffira.
Clic-clac ! Merci Kodak.
On commence le petit-déj, quand je vois apparaître Juliette, pas très réveillée ce matin, les cheveux en bataille, un peu débraillée. Elle a fait un impair sur la salle de bain.
— Bonjour tout le monde ! Vous avez bien dormi, tout le monde ?— Tout le monde, je ne sais pas, mais j’aurai bien fait une ou deux heures de plus, mais ta mère devait se lever tôt.— Pauvre chou ! Que tu es à plaindre ! me fait-elle avec une moue à la Bardot, capable de faire bander un mort. Tu peux te recoucher après le déjeuner !— Non, j’ai dans les yeux l’image pour compléter mon tableau ; quoique ta moue... il y a aussi quelque chose à prendre. Tu ne veux pas m’accompagner à l’atelier ?— Mon cher beau-père, que ne ferais-je pas pour te faire plaisir ? me dit-elle sans se rendre compte de la portée de ses paroles.
Moi, je sais bien ce qui me ferait plaisir, mais je ne peux l’exprimer devant ma femme.
On a beau être libre d’esprit, mais avec sa fille, je ne suis pas sûr qu’elle, elle apprécierait, vu la scène qu’elle m’a faite parce que je faisais les yeux doux à sa jeune secrétaire pendant qu’elle discutait passionnément avec le chef de la production de sa boîte. Scène parfaitement stupide, car si je la courtisais, c’était plus par ennui que par intérêt à proprement parler, alors qu’avec son chef de production, je ne suis pas du tout sûr que ce fut par ennui. Elle ne devrait pas mélanger le boulot et les galipettes. Enfin, ce n’est que partiellement mon affaire.
Une fois Jeanne partie au turbin, on se dirige vers l’atelier, une fois installée sur le divan de pose, elle me demande si elle doit se déshabiller.
— Pas tout de suite, tiens, regarde cette photo de ta mère, l’expression de sa bouche m’a l’air parfaite. Tu arriverais à reproduire cette moue.— Oui, mais à ce que je vois, il me faudra me faire le même traitement qu’elle.— Tu n’y penses pas, on ne peut se permettre ce genre de familiarité, imagine qu’elle l’apprenne ; je l’aime ta mère, je ne pourrais vivre sans elle.— Je sais, mais on a pas besoin de le crier sur les toits. Viens, approche-toi, que je voie ce que je peux faire !
Attiré comme le papillon par la lumière, je ne peux m’empêcher de m’approcher et là, sans trembler, elle tire sur mon zip et tout de suite elle extrait mon sexe.
— Drôle de mélange : sperme en toile de fond, cyprine de maman en couche principale, et finalement en couverture, sa salive. Je comprends que tu étais théoriquement fatigué ; enfin, pas de partout à ce que je vois ! Je pense que je vais y ajouter au moins ma salive.— Non, si on part dans cette direction, tu dois aussi être nue. Je suis sûr que cela m’inspirera pour ma peinture. (Il faut bien rétablir l’équilibre et profiter des bonnes occasions.)
Je sens ses phéromones de jeune femelle qui me mettent hors de moi. Enfin, Jeanne n’est pas présente, on n’a pas besoin de lui dire et cela fait déjà un moment que je pense que la suite logique à la mère, c’est la fille.
Elle souscrit à mes désirs, et se retrouve en tenue d’Eve ; et je retrouve mon inspiratrice en peinture, même si jusqu’à maintenant, je ne l’avais que comme modèle en costume de bain, je sens que je ne vais pas tarder de l’avoir comme amante.
Je me mets à genoux devant elle en écartant les siens ; et son sexe, pour la première fois, me paraît sans la protection d’une culotte, ce qui me cachait le plus important. Je sens que sa fourche sent horriblement bon, un peu comme les foins coupés après l’orage. Ses lèvres intimes sont gonflées, formant deux petits pains qui donnent tout de suite envie de les goûter, sans parler de son clito drôlement proéminent à l’aurore de sa vie de femme. Elle a dû déjà bien souvent le maltraiter.
— Oui, lèche-moi ; depuis le temps que je rêve de toi sans jamais en avoir la satisfaction.— Mais tu sais ce que tu risques ? Une fois la locomotive lancée, il est difficile de la freiner.— Je suis sûr que pour moi tu y arriverais, mais je veux que ce soit toi qui me prennes pour la première fois. A entendre maman, je suis sûr que tu le feras bien.— Bon, je vois que c’est pas encore ce matin que je vais finir mon tableau. Tu es sûr de ce que tu veux ? Tu sais, à ce niveau, il n’y a pas de retour en arrière, une fois parti sur mes couilles, ton pucelage, il sera définitivement loin. Si tu veux, on peut se contenter de sexe oral. — Tu pourrais aussi m’enculer, mais je n’ai pas envie d’avoir mal au cul. Il y a des voies naturelles qui marchent mieux, et de toute façon, le pucelage, c’est plus un inconvénient qu’un avantage. — Et si ton futur mari te veut vierge ?— J’espère que vous n’allez pas m’obliger à prendre un vieux con réac.— Non, en aucun cas, tu seras bien libre de prendre qui tu veux. Le problème, c’est que je n’ai pas de capotes dans l’atelier, quand ta mère y vient, cela ferait mauvais genre.— Hé ! Moi, j’y ai pensé, me répond-elle en sortant une boîte de 20, on a de la marge avec ça.
Alors devant l’inévitable, je plonge ma tête entre ses cuisses, l’odeur des jeunes filles est quand même plus rafraîchissante que des MILF où souvent il faut couvrir l’odeur par du parfum, là, c’est nature et délicieux, un monde de saveurs à faire pâlir certains gastronomes. Simultanément, mes doigts pas encore couverts de peinture à l’huile partent à l’assaut des bourgeons qui ornent ses jolis petits seins.
Rapidement, l’huis est prêt pour le sacrifice ultime et je me redresse :
— Je te le redemande, tu veux vraiment ?— Oui, ne traîne pas, viens, depuis le temps que j’en rêve.— Attends pour que ce soit toi qui le fasses à ton rythme, viens sur moi.— Si tu veux.
Je me couche sur le divan et elle monte sur moi, mais à la place de descendre pour s’enfiler, elle me prend en bouche. Je ne sais pas où elle a pris des cours, mais c’est parfait la turlute.
— Où as-tu appris à faire des pipes dignes de Saint-Claude ?— Internet, c’est pas fait pour les manches. Il n’y a pas que toi qui vas sur les sites cochons.— Comment ça ?— Il ne faut pas laisser traîner ton PC ouvert et un mot de passe correspondant à Jeanne, c’est trop facile. C’est là que j’ai vu ton long calvaire, calvaire qui va prendre fin tout de suite, mon chéri.
Là, elle se retourne, et enfin, elle se laisse descendre sur ma queue à la limite de l’explosion.
— Halte, je lui dis, il faut mettre le chapeau de pluie, le temps est couvert.— Ouille ! J’ai failli oublier.
Gracieusement, elle revient à la position précédente et avec la bouche, elle place la protection anti-baby, puis elle se retourne, et sans hésiter, enfile mon sceptre jusqu’au fond ; même pas un aïe, juste une mini-grimace, et en route pour la cavalcade. J’ai l’impression d’être sur des montagnes russes, pas la plaine blanche après la plaine blanche, car c’est plutôt la place rouge qui n’est plus blanche. C’est l’armée des cosaques taillant en pièce la Grande Armée. Complètement démontée, comme une tempête majeure, elle va me faire passer pour un EP5, je sens le magma remonter de ma cheminée volcanique ; pas moyen de l’arrêter ; du reste, est-ce que je le veux ?
Ouf ! Je suis sauvé par le gong, elle a eu son orgasme avant que je libère la pression qui gonflait mes pruneaux. Elle s’affale sur moi.
— Je savais que ce serait torride. Merci.— Mais il faut dire que l’expression de ta mère qui m’a inspiré, c’est quand elle m’a fait une pipe ce matin, alors que je lui ai tapissé les amygdales.— Idiot, c’est toi qui as involontairement interrompu le processus.
Comment le pot aux roses a-t-il été découvert ?
A la fin de la matinée, ayant sacrifié moult fois à Aphrodite, comme dit la chanson : « Par-devant, par-derrière, joyeusement comme toujours, elle a connu l’amour, la matinée du 13 juillet6 », je me mets à ma peinture, et, oh ! Miracle ; enfin, je termine à ma satisfaction le tableau, sa bouche a l’exacte expression que je voulais reproduire.
Après un bon repas, je me plonge dans les délices d’un repos bien mérité dans la baignoire. C’est bon de flemmer dans un bon bain bien chaud. Les yeux fermés, je laisse mon esprit vagabonder sur les vagues de la matinée et me retrouve à nouveau avec une trique à faire pâlir d’envie une troupe de nonnes.
Oh ! Bonheur ultime, je sens une main compatissante qui soulage la mienne de son travail de va-et-vient, mieux elle enjambe le bord de la baignoire et se laisse tomber sur moi, mon sexe s’emboîtant exactement dans le sien.
— On ne peut pas dire, j’ai l’impression d’avoir ouvert la boîte de Pandore.— Plains-toi, j’ai l’impression que ce qui est en train de me faire du bien ne refuse pas ce que je lui offre !— Oui, mais avec ça, on va se faire piquer une fois, et là, je ne te parle pas du désastre. Je ne sais comment je vais gérer ça, deux tigresses affamées de sexe à la maison, dont la première doit tout ignorer de la seconde.— Elle fait toujours un boucan du diable quand elle rentre, pas de risque.
Justement, parlant du risque, j’ai l’impression d’avoir vu une ombre ; non pas au tableau comme d’habitude, mais bien réelle.
— Merde et re-merde ! Justement aujourd’hui, il fallait qu’elle se la joue discrète. Aïe ! Comment me sortir de cette galère ?
Finalement, j’opte pour l’illusion d’optique et je continue la chevauchée, sachant qu’une épée de Damoclès est suspendue par un cheveu sur ma tête. Une fois arrivée au port du plaisir, Juliette se démâte et sort de la baignoire, repue, je l’espère.
Trois heures plus tard, le gouvernement arrive. Ses talons claquent sur le sol comme les roulements de tambour lors d’une mise à mort. Je ne suis pas extrêmement fier, je présente un profil plus bas que bas.
— Bonjour, tu as passé une bonne journée ?— Journée harassante, j’ai besoin d’un remontant pour survivre.— Tout de suite ma puce, un petit Kir ?— Non, plutôt une vodka sèche.
Suite à l’apéritif vient le souper, du surgelé qui est passé au micro-ondes, mais pas mauvais du tout, puis sans transition au lit. Je sens que je vais en prendre pour mon grade. Ce n’était pas un fantôme qui nous a observés dans la chambre de bain.
L’heure des châtiments.
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