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Cohésion d'entreprise

Chapitre 4

Travesti / Trans
Je déployai le clic-clac et m’allongeai. J’entendis un bruissement. J’allumai mon portable et je vis Elodie s’approcher. — Je t’ai réveillé ? — Non, je ne dormais pas. Elle alluma une lampe. — Je peux te demander quelque chose ? — Euh oui, bien sûr. — Tu n’es pas obligé d’accepter tu sais. Je comprendrais si tu ne veux pas. — Y a pas de raison. Elle marqua un silence, baissant la tête, comme si elle était honteuse. — Tu veux me faire l’amour ? dit-elle d’un bloc. J’ai envie et j’ai envie de toi. Heureusement que j’étais assis. Je m’attendais à tout sauf à ça. — Excuse-moi, je n’aurais pas dû, dit-elle en se levant. Bonne nuit. Elle repartit vers sa chambre. Je bondis hors du lit d’appoint et la suivis. — Eh, ne te méprends pas. Si je suis venu, c’est pour que tu me coaches. Je ne m’attendais pas du tout à une telle proposition. — Dis plutôt que tu n’as pas envie de te taper la grosse, cracha-t-elle.Je tombais des nues. Finalement, elle n’assumait pas ses rondeurs autant qu’elle le laissait entendre. — Bon, je vais être franc : c’est sûr que je ne serai pas venu vers toi en premier. — C’est bien ce que je disais : on veut bien de moi parce qu’il n’y a pas d’autre choix. Je m’enfonçais et je ne savais pas comment faire pour rattraper l’affaire. Elle s’était recouchée, me tournant le dos. — C’est vrai que je suis attiré par des minettes plus dans les standards des magazines. Mais je t’avoue que c’est plus un désir qu’une réalité. Ma main me tient plus souvent compagnie qu’une jolie fille. Et tu admettras que je ne suis pas venu te draguer pour autant. Alors, si tu as toujours envie … J’attendis un moment. — Tu sais où me trouver, dis-je en me levant. — Attends, dit-elle enfin. Excuse-moi. Je n’aurais pas dû te parler comme ça. Je revins près d’elle. Elle s’était mise sur le dos. Ses gros seins étalaient sur son ventre et glissaient sur le côté.
— Moi non plus, je n’ai pas autant d’aventure que je le voudrais. A une époque, j’étais inscrite sur un forum spécialisé où je pouvais rencontrer des hommes qui aiment les filles comme moi. J’ai fait des rencontres. Dans des hôtels bas de gamme. J’ai arrêté quand j’ai compris que je faisais ni plus ni moins que la pute pour rien. Puis quelques amants croisés au hasard d’une soirée. Mais cela fait un moment que je n’ai plus fait l’amour. Je me suis dit que puisque tu étais ici …
Sa confession me toucha. Comme quoi, les rapports humains étaient plus que jamais liés à l’apparence et rien que l’apparence. Je m’approchai d’elle, posai ma main sur son ventre à la peau étonnamment douce et déposai un bisou sur son épaule. Lentement, mes lèvres remontèrent sur son cou, s’arrêtèrent un instant sur les lobes de ses oreilles, puis continuèrent sur la joue et terminèrent leur périple sur la bouche. Ma main n’en était pas inactive pour autant et jouait avec les seins et les mamelons presque aussi gros que mon pouce. Nous échangeâmes un long baiser et autant de salive. — Ne te sens pas obligé, dit-elle en me repoussant doucement.— Je ne me sens pas obligé. J’ai envie, tout autant que toi.
Et avant qu’elle ne réponde, je suçai un de ses tétons. Ma main, jalouse, décida d’aller voir ailleurs si elle y était. Elodie ne resta pas inactive. Elle chercha et trouva mon sexe déjà bien dur. Ma main trouva le sien, niché sous son ventre. Un pubis tout lisse précédant une large fente dans laquelle mes doigts s’enfoncèrent. Elle lâcha un soupir. Je m’occupai de son sein et de sa chatte. Elodie haletait. Elle abandonna ma queue et sa main rejoignit la mienne, me poussant vers son clitoris. Elle gémit lorsque je le frôlai. — Prends-moi, dit-elle. Il y a des préservatifs dans le tiroir. Je fouillai dans la table de nuit, découvris la présence d’un vibromasseur lisse. Je ne fis aucun commentaire. Ce n’était pas le moment. Je le déroulai sur mon sexe. Elodie s’était mise en position, les cuisses largement ouvertes. Je ne la pensais pas capable d’une telle souplesse. Je vins au-dessus d’elle. Mon sexe glissa entre les lèvres épaisses et s’engouffra dans la grotte chaude et humide. Je lui fis l’amour doucement au début avant d’aller plus vite. Son ventre grassouillet et ses seins remuaient au rythme de mes coups de reins. Elodie gémissait, criait parfois. « Oui » « Continue, c’est bon ! » « Plus fort » ponctuait notre coït. Elle jouit. Je le besognai encore un instant et me vidait dans la capote.Je restai en elle encore un peu et me retirai enfin, essoufflé. — Merci, dit-elle entre deux goulées d’air. Nous restâmes silencieux. — Alors ça fait quoi de baiser la grosse ? demanda Elodie. Je me relevai d’un bond et plantai mes yeux dans les siens. — Je t’interdis de dire ça. Je n’ai pas fait … ce que tu as dit. J’ai fait l’amour à Elodie. Et j’ai beaucoup aimé. Sincèrement. J’espère que tu as eu du plaisir. Elle fondit en larmes. Je passai un bras sur elle et embrassai sa joue. — J’ai vraiment aimé faire l’amour avec toi. Et je recommencerai avec plaisir si tu me le redemandes. Elle me tourna le dos. Je me levai et allai jeter le préservatif encore collé à mon sexe mou. Alors que je regagnai mon couchage, je fis demi-tour et vint m’allonger contre Elodie. — Bonne nuit Elodie, dis-je en bisoutant son large dos. Je n’eus pas de réponse.
Je me réveillai. Elodie n’était plus là. Je la retrouvai devant la cuisine, vêtue d’un peignoir, alors que moi j’étais encore en tenue d’Adam. — Bonjour Elodie. Bien dormi ? — Bonjour Vincent. Oui, Bien dormi. — Ça ne va pas ? Tu regrettes pour cette nuit ? Elle me fixa. — Je ne sais pas. C’est vrai que j’ai aimé. Mais je me demande si ce n’était pas une bêtise. — Pourquoi une bêtise. Tu avais envie. J’avais envie. On a eu du plaisir tous les deux. Enfin, moi, j’en ai eu. Et quand je te disais que je recommencerai si tu me le demandais, c’est toujours vrai.— Même si je suis … J’ouvris son peignoir qui glissa au sol. Je la pris dans mes bras et me collai à elle. Mon sexe s’anima.— Arrête de dire que tu es ou que tu n’es pas. J’ai aimé faire l’amour avec toi, peu importe tes formes. Et j’ai très envie de recommencer. Maintenant. Je pris sa main et l’entraînai vers sa chambre. Je la fis allonger sur le lit et écartai ses cuisses. Je m’avançai pour la lécher. Son plaisir monta. Elle se tortillait, serrant parfois ses cuisses épaisses sur ma tête comme dans un étau. Elle jouit à nouveau. Et pendant qu’elle reprenait son souffle, je glissai un préservatif sur ma queue tendue avant de glisser en elle.
— Merci encore, dit Elodie en terminant son café. — De rien. C’est moi qui te remercie. Non seulement, j’ai pris mon pied, mais surtout, tu m’as fait comprendre qu’il ne fallait pas juger les gens sur leur mine. Elle ne dit rien mais le compliment la toucha. — Bon c’est pas tout, dit-elle mais il ne faut pas oublier qu’on a une mission. Puis après un court silence. — Cela dit, je crois que je n’ai pas grand-chose à t’apprendre. — Rien n’empêche d’aller se promener non ? — En fille ? — Moi ? Pourquoi pas. Pour une fois que j’ai l’occasion de sortir de mon studio. Je ne vais pas laisser passer cette occase. Elle me fit un sourire qui me tenta de la prendre à nouveau. — Va te doucher, dis-je pendant que je débarrasse.
— Dis-moi, demandai-je en entrant dans la salle de bains. Je peux t’emprunter du vernis à ongles ? Elle ouvrit le tiroir sous le lavabo et me tendit un panier où était posé en vrac une quinzaine de flacons multicolores. — Fais-toi plaisir !J’optai pour un noir sur les pieds et un rouge vif sur les mains.— Pas mal, dit Elodie. Tiens, je vais en mettre moi aussi.
Je passai la journée en jupe et avec mes escarpins aux talons de douze centimètres. Finalement, on marcha beaucoup. Le soir arriva. — Bon, toutes les bonnes choses ont une fin, dis-je. Je vais y aller. Merci encore pour cet excellent week-end en ta compagnie. — Tu ne te changes pas ? — Non. Pas envie. Je suis trop bien comme ça.— On se revoit quand ? — La semaine prochaine ? Chez moi ?— D’accord. On se fit la bise. Puis un smack sur les lèvres. — A demain ? — A demain, répondit Elodie tout sourire en refermant la porte derrière moi.
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