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Le coiffeur de ces dames

Chapitre 3

Pris la bite dans la bouche

Avec plusieurs femmes
Le coiffeur de ces dames. 3

Barbara :Odette puis Diane passent chacune à leur tour au rasage. J’avais peur d’arriver après la guerre, mais je trouve le jeune homme toujours au « garde-à-vous ». Je pousse un « Oh » de surprise en voyant l’engin. Un bon point pour lui. A mon tour, je referme mes doigts autour de la longue tige de chair extraordinairement bandée de ce dernier. Je n’aurais pas cru qu’il banderait encore comme un turc et la vue du gland rose et gonflé me décide à entreprendre une fellation en règle. L’avantage de passer en troisième, c’est que ce « chaud lapin » est un peu moins speed. J’ai vite la culotte trempée.
Suite :
— Tu sais, ta teub est vraiment... impressionnante. Pas comme celle de mon mari.
Son gland est énorme, presque entièrement décalotté, et l’arrogance de cette virilité dressée est impressionnante. J’entoure d’une main ce sexe dont le gland frôle son ventre au-dessus du nombril.Je branle « la bête » et malaxe ses énormes boules poilues. Je remonte la main le long du gland, serre fort le membre, m’appliquant à tirer la peau du prépuce complètement vers le bas à la limite de la résistance du frein pour caresser le mufle nu.
Son gland est violet. Dominique a un spasme plus accentué, annonciateur d’une nouvelle jouissance due à la masturbation et la fellation qu’il subit.Il ne peut plus rester aussi zen, détaché de ce qui se passe en dessous de sa ceinture. Dominique se retire du brulot de ma bouche et se branle comme un fou, pointant son gland à quelques millimètres de mon visage. Il a abaissé son membre, non sans difficulté, car toujours d’une raideur stupéfiante, jusqu’à l’horizontale. L’engin se met enfin à gicler et malgré ses jouissances précédentes, il m’inonde copieusement. Son premier jet est si puissant qu’il passe au-dessus de ma tête et englue mes cheveux. Ça va être coton à nettoyer avant de sortir du salon.
— Merde ! Tu aurais pu faire attention !
Mais il ne m’entend plus, ses jets encore d’une puissance folle malgré ses précédentes éjaculations, s’envolent de son chibre et maculent de traînées mon visage. Je suis littéralement couverte de foutre.Dominique rigole comme un bossu, sa main tenant son calibre qui fléchit enfin. Il sait qu’il doit faire attention à l’heure, les séances de « maillots »prenant régulièrement de plus en plus de temps. Ça risque à force de devenir bizarre.
Dominique :Je savais bien que ça venait de plus en plus scabreux et je dois dire même que je suis heureux que vous vous en soyez rendu compte. Au début, j’ai été pris de court, mais plus ça allait, plus j’ai pris d’emprise sur ces « suceuses ». J’ai maintenant une collection de numéros de téléphone, car certaines voudraient aller beaucoup plus loin, mais je n’ai jamais osé. Si je commence avec une, je sais très bien qu’il ne faudra pas beaucoup de temps pour qu’elles soient toutes au courant.
Sonia :
Je dois dire que je lui donne raison. J’ai déjà eu à faire à son père, Patrick, un sacré étalon celui-là.Je ne sais pas si Dominique, enfin... Anaïs, ça ne sert plus à rien maintenant de le faire passer pour une fille, pourrait tenir la comparaison face à un tel baiseur. Bien que... il m’est facile de faire cette comparaison. Je ne crois pas qu’il s’opposera à ce que moi aussi, je m’occupe de son cas. Je vais l’attaquer franco.Je saisis ses mains et le force à toucher mes seins en dépit de ses faibles protestations.
— Non Madame Sonia, je ne peux pas !— Comment ? Tu te fais sucer par une multitude d’inconnues et tu ne veux pas toucher la marchandise avant d’essayer ? — Mais... C’est que...— C’est que quoi ? Tu es encore à mon service, que je sache ! Ne me dis pas que je suis moins bandante que toutes ces salopes !— Non, non, ce n’est pas ça, vous êtes une amie de mes parents... Oh et puis zut, au point où j’en suis.
Je lâche ses mains qui pétrissent mes seins comme un boulanger ses miches de pain, m’arrêtant de temps en temps sur mes mamelons qui durcissent sous ses doigts.Je suis excitée comme une puce. Je baisse les yeux, me mordant la lèvre supérieure à la promesse de découvrir son sexe bandé sous le tissu de son pantalon. Donc, c’est sans aucune hésitation que je desserre la ceinture et déboutonne son pantalon, j’ouvre sa braguette...
— Pas vous Madame Sonia... !
Dans un mouvement lent et sensuel, je descends son pantalon sur ses chevilles. Je m’attaque maintenant à son sous-vêtement et découvre une queue bien tendue qui se dresse fièrement devant moi. Bien membré, le petit ! Mais la forme courbée de sa verge n’est vraiment pas courante. D’après ce que j’ai compris, Anaïs ne s’est fait que sucer, mais maintenant, il est presque en transe, continuant à malaxer ma poitrine. Je retire mon haut et mon soutif, me baisse et enfonce sa bite entre mes seins que je comprime entre mes mains.
— Madame Sonia, aaahhh !
Je le regarde et lui souris en pressant vigoureusement sa grosse banane qui bute régulièrement mon menton.
— Tu veux que je te suce, Anaïs ?— Mmmhhh, oui Madame Sonia.
Ma bouche prend possession du gland dilaté pour lui faire une gâterie.Anaïs fait une dernière tentative pour me bloquer, essayant d’écarter ma bouche de sa queue.Je me suis mise à genoux entre ses jambes, baisse d’une main ferme cette verge dressée vers le plafond et suce son chibre d’une bouche experte. J’ai envie qu’il me l’enfonce dans ma chatte qui coule rien que d’y penser. Je suis assez surprise, car en moins de deux minutes, il me prévient après avoir dégluti avec difficulté le peu de salive desséchée qui reste dans sa bouche grande ouverte:
— Madame Sonia, je vais jouir, je ne peux plus me retenir ! Je ne voudrais pas...
Je sors sa lance de ma bouche, enserre fortement la base du membre d’Anaïs pour bloquer la montée imminente de la lave en fusion, le fixant droit dans les yeux. Ma main droite continue un doux et lent massage pendant que l’autre emprisonne les bourses de ce garçon androgyne qui se crispe sous cette nouvelle attaque. J’ouvre la bouche et reçois la divine semence en quantité appréciable, puis replonge sur la bête, les joues creusées pour tout aspirer jusqu’à la dernière goutte, le regardant langoureusement pour le remercier de m’avoir ainsi abreuvée. Mes lèvres laissent s’écouler un petit filet de cette délicieuse semence sur mon visage radieux.
— Putain Anaïs ! Tu tiens presque la comparaison avec ton père, mais c’était un peu rapide quand même... t’avais vraiment envie de te vider les couilles, mon salaud !— A votre service, Madame Sonia.— Arrête avec ce « Madame ». Et j’espère avoir l’occasion d’en reprendre. Combien de fois tu te faisais sucer par jour ?— Ça dépendait... deux, trois, des fois quatre rendez-vous par jour finissaient ainsi, soit quatre à six femmes qui se relayaient et revenaient au rabe tant qu’il y en avait.
Je continue à sucer sa bite qui, comme par miracle, est toujours aussi fièrement dressée, comprenant mieux ce qu’il entend par « retourner au rabe ». Je retire le sexe bandé de ma bouche et le regarde.
— Tiens, tiens, effectivement, tu es toujours en forme !
Nous restons un instant à nous regarder. Je reprends de grands va-et-vient de ma main et de ma bouche pour avaler toute cette grande queue. Il me faut cette fois beaucoup plus de temps pour qu’il pousse un râle de jouissance, prenne ma tête entre ses mains et se vide dans ma bouche en bonne quantité, je m’étouffe presque, mais réussis quand même à tout garder en bouche.J’adore le goût de sa liqueur qu’il décharge au fond de ma gorge, serrant bien mes lèvres autour du manche. Je me redresse et demande à Anaïs :
— Tu as vu des centaines de choupinettes, mais combien de fois tu y as plongé ton dard ?— Dans aucune, Mad... Sonia. Malgré toutes ces chattes offertes, je suis toujours puceau.
Je n’en reviens pas de ce qu’il vient de me révéler. Anaïs est toujours vierge !!! Enfin... si on veut.
— Tu veux que je change ton statut, Anaïs ? Tu veux goûter à ma chatte ?— Euh... Si vous croyez que...
A suivre ...
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