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Le coiffeur de ces dames

Chapitre 4

l'étalon est-il impuissant?

Avec plusieurs femmes
Le coiffeur de ces dames. 4

— Tu as vu des centaines de choupinettes, mais combien de fois tu y as plongé ton dard ?— Dans aucune, Mad... Sonia. Malgré toutes ces chattes offertes, je suis toujours puceau.

Je n’en reviens pas de ce qu’il vient de me révéler. Anaïs est toujours vierge !!! Enfin... si on veut.
— Tu veux que je change ton statut, Anaïs ? Tu veux goûter à ma chatte ?— Euh... Si vous croyez que...

Suite :
— Oui, j’en suis même sûre ! Mais avant, je vais te faire subir la même chose qu’à tes clientes, tu vois ce que je veux dire ?— Euh... oui. Vous allez me raser la bite.
Il n’y a pas que lui qui soit un expert, en un rien de temps, il est imberbe. Mais je dois lutter férocement pour garder son manche à l’horizontale et raser son bas-ventre tellement je sens entre mes doigts la force tranquille qui essaie de redresser cette poutre à la verticale.Je tiens toujours son sexe emprisonné avec un sourire mutin et pervers à la fois et lui demande s’il a aussi rendu aux filles leurs caresses buccales. Il me répond que non aussi.
— Eh bien, Anaïs, il faut commencer par le début, déshabille-moi et occupe-toi de ma chatte !
Il hésite un moment, mais il n’en est plus à découvrir une foufoune de plus. Il s’active, retire ma robe, puis un string trempé de ma mouille. Il m’a fait juter, ce petit con !Je m’amuse avec lui. Bouger mon bassin pour provoquer ses caresses. Un de ses doigts caresse doucement mon minou, se promenant le long de ma vulve jusqu’au clitoris qu’il titille avec hésitation.
— Ta langue... mets ta langue !
Il me caresse pendant un temps qui me parait une éternité alternant ses doigts et sa langue, goûtant pour la première fois à mouille féminine. Ses doigts remontent sur le bord de mes petites lèvres, bousculant mon clitoris dardé aussi raide que sa queue, le pétrissant, le malaxant. Tout mon corps se raidit dans un frisson incontrôlable sous ses caresses. Il relâche la pression de sa bouche contre ma fente, elle est détrempée de ma mouille et de sa salive. Mes sens chavirent sous ses caresses, qui me pénètrent, me troublent ... Une onde de chaleur monte, car ses caresses irradient dans tout mon corps... Je le repousse violemment et lui crie :
— Prends-moi ! Prends-moi !
Il se redresse, ses deux mains massent l’intérieur de mes cuisses qu’il ouvre au maximum, mon fruit mûr baille déjà, suintant abondamment. Il bande comme un âne, un étalon, un taureau... Il se positionne face au trou qui va recevoir ce jonc vigoureux, et sans aucun préliminaire, il s’enfonce avec satisfaction dans mon volcan chauffé au rouge.
Je ceinture mes deux jambes et pousse mon bassin en avant à la rencontre de ce piston qui me pilonne sans aucune complaisance. Ce petit con a des leçons à apprendre de ce côté-là ! Nos bas-ventres claquent l’un contre l’autre, ma chatte émet des bruits bizarres par la compression de l’air causé par sa poutre. La forme courbée vers le haut de sa pine, la grosseur inusitée de ce mufle puissant et la tendance à toujours vouloir remonter vers le haut font qu’une pression énorme appuie sur la partie supérieure de ma vulve, exacerbant au-delà du possible mon point G.
Je n’ai jamais ressenti ça avec une telle intensité et il ne lui faut que quelques minutes pour déclencher chez moi un orgasme presque permanent. Il est en sueur, je le repousse et me retourne, pose les mains sur mon bureau, bien cambrée, la moule saillante. Une mousse épaisse s’est formée autour de mes lèvres intimes et de sa verge, le haut de mes cuisses porte les traces de ma cyprine abondante.
La fournaise détrempée de ma grotte aux délices dégouline de ma cyprine sous ses mouvements frénétiques à une cadence folle. Je me prépare au déferlement du sperme du jeune homme qui pine tel un lapin sa lapine. Mais il n’en finit pas, me pinant encore et encore. Il s’écroule au sol et je reprends le témoin, son gros bâton crémeux d’une main, je dégoulinais comme un robinet à l’idée de me défoncer par cette matraque tordue. Je frotte son gland contre ma chatte et enfonce son monstre dans mon abricot juteux qui palpite de plaisir.
Mais j’ai beau faire... Dix minutes de baise, puis trente, puis quarante... Il ne jouit toujours pas. J’ai la chatte en feu.Il me repousse tellement sa verge est devenue elle aussi trop sensible aux frottements et m’avoue :
— Désolé Sonia, mais je n’arrive pas à jouir !
Anaïs a tellement vu de chattes de toutes formes, de tous âges, telle la chanson du « zizi » et c’est tellement fait pomper qu’il en est bloqué physiquement et psychiquement. Je vais le soulager en une dernière fellation. Je me mets tête-bêche sur lui pour qu’il s’occupe de ma chatte pendant que j’enfonce jusqu’à la garde sa pauvre verge enflammée. Repensant au sucre d’orge de mon enfance, je pompe le dard de mon vigoureux apprenti. Et enfin un cri...
— Aaahhh ! Je vais jouir ! Enfin !
J’approche mon visage de sa lance et ouvre la bouche en grand. Cela fait si longtemps que ça s’accumulait dans ses burnes que ça gicle, ça gicle encore et toujours en abondance. Les jets se suivent toujours aussi rapprochés et entrent dans ma bouche, explosant au plus profond de ma gorge. Ma bouche est pleine, ça déborde même. Je n’ai pas envie que ça dégouline, je veux tout dans ma bouche. Alors j’avale, j’avale encore et encore au fur et à mesure de cette éjaculation dantesque.
Anaïs reprend son souffle et ses esprits, les yeux tournés vers le plafond. Après avoir dégluti, il me regarde, encore agenouillée entre ses cuisses. Mon visage rayonne, tout auréolé d’un halo de tendresse, de sensualité. Mes lèvres rouges serrées, retenant le sperme qui remplit encore ma bouche, au goût spécial et unique. J’avale tout jusqu’à la dernière goutte.
— Mon petit Anaïs, tu comprends bien que bien que j’aie apprécié cet interlude, il ne m’est pas possible de te garder. Je ne veux pas tomber comme maquerelle... Tu finis ton mois et on en restera là. C’est mieux pour tout le monde de rester discret. Bien sûr, fini les pipes. La seule chose que je te demande pour ne pas faire de scandale, c’est que tu acceptes que je te donne encore quelques cours particuliers pour te dessaler et vaincre ton blocage.— Euh... Oui Madame... Oui Sonia.

Anaïs :J’ai fini mon mois, refusant les gâteries, donnant cette fois mon numéro de portable et vrai prénom qui peut aussi se décliner pour les deux sexes aux clientes, ce que je refusais jusqu’à présent. Malgré les leçons de ma patronne, mon trouble persiste. Je n’arrive pas à jouir dans une chatte...Il faut dire que j’en ai tant vu, des jeunes et des moins jeunes, des béantes et des serrées, des grandes lèvres pendantes et des vulves à peine fendues comme celles des petites filles. Maintenant, je suis auto-entrepreneur, le « coiffeur de ces dames » à domicile. Ma clientèle est restée fidèle et je nique presque tous les jours. Certaines sont frustrées de ne pas réussir à me faire jouir avec leur sexe. D’autres sont plutôt ravies de pouvoir chevaucher un étalon infatigable jusqu’au bout de leurs forces, se relayant parfois pendant des heures dans des bacchanales endiablées avec leurs copines.
Le plus marrant, c’est qu’avec mon physique de fille, mes pantalons bouffants et mes longs cheveux, leur mari, frère, père, fils, me reçoivent et vont même des fois jusqu’à me draguer quand leurs « femmes » ont le dos tourné. Ils sont juste derrière cette cloison, cette porte, rêvant de baiser la jeune inconnue pendant que je suis en train de piner leur épouse, sœur, fille ou leur mère.
Les mois passent, je suis ce soir chez une cliente fidèle qui m’a promis une agréable surprise, Jeanne. À peine la quarantaine, c’est une femme assez grande, cheveux longs, blonde aux yeux verts, des beaux seins fermes et généreux et une chatte accueillante. Elle a un style de fellation très reconnaissable, faisant jouer ses deux mains en des mouvements circulaires et contraires sur ma pine avec sa langue qui excite mon gland.
Elle m’a mis un bandeau sur les yeux. Elle travaille un moment ma queue et cède la place à une inconnue. Je caresse des cheveux longs et soyeux. Je repousse un peu la tête de la fille qui s’occupe de ma queue et je parcours de mes mains le corps de l’inconnue, assez petite, me semble-t-il.
Je découvre de petits seins fermes, visiblement elle est beaucoup plus jeune que Jeanne. Je veux retirer mon bandeau, mais Jeanne s’y oppose, me disant de fantasmer sur l’inconnue avec mon esprit, de la laisser s’occuper de ma queue.
Je me laisse aller dans le divan, sentant la petite bouche parcourir ma verge avec une application hésitante. La bouche de Jeanne participe de temps à autre la fellation, comme si elle lui donnait des leçons pratiques.
On dirait que c’est la première fois que cette fille branle et prend dans sa bouche le pénis d’un homme. Je suis fier d’être le premier à l’initier à ce plaisir. J’éjacule enfin et l’inconnue a un mouvement de recul pendant que je finis de jouir. Mes jets sont puissants et nombreux. J’entrevois à travers le bandeau la fille. Elle a fermé les yeux et se pince les tétons pendant que je l’inonde copieusement. Mon second jet est si puissant qu’il passe au-dessus de sa tête pour aller s’écraser sur le corps de Jeanne. Elle ouvre à peine les mâchoires pour crier son étonnement qu’un jet copieux arrive en plein dans sa bouche et sur son nez. Elle baisse un peu la tête pour recracher mon épaisse purée, mauvaise pioche, car les jets suivants s’écrasent sur son front et dans ses yeux, puis dans ses cheveux ...
Jeanne déclare que c’est le moment de me retirer le bandeau. Elle retire le morceau de tissu et me laisse enfin regarder. Ce que je vois me laisse bouche bée !

A suivre...
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