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Ma coiffeuse: on passe du virtuel au réel

Chapitre 1

Hétéro
Ceci est la suite de nos échanges virtuels sur internet.
On continue nos échanges avec ma coiffeuse, et on s’invente de nouveaux partenaires: une copine à elle, une nièce à moi, et un ami à Francis qui possède un chenil. On termine dans une orgie, tous ensemble, les trois filles, les trois mecs, et des chiens à volonté. On tourne en rond dans nos histoires, on se répète, et je sais par expérience que ça sent la fin. J’ai failli la perdre une première fois lorsqu’elle a changé de salon, et je ne veux pas la perdre à nouveau. Je lui écris alors pour tenter le tout pour le tout, on verra bien. Voici donc mon message et sa réponse:
MOI:Ma chérie,J’ai un peu bu pour me donner le courage de t’écrire. J’ai peu de chance que tu apprécies ce qui suit, mais je ne veux pas avoir le regret de ne pas avoir tenté ma chance. J’espère juste que tu ne m’en voudras pas.J’ai eu d’autres correspondantes avant toi, et qui m’ont donné pour certaines autant de plaisir que tu m’en donnes. J’ai bandé pour elles, je me suis branlé pour elles, j’ai joui pour elles, et à les croire elles mouillaient et se masturbaient pour moi. Et puis un jour on met fin à nos échanges et on s’oublie.Je pense que l’on arrive au point de rupture avec toi aussi, sauf que là c’est différent. C’étaient des inconnues à qui je ne pouvais donner un visage, alors que toi je te connais bien, je sais tes yeux magnifiques, ta bouche gourmande, tes formes affriolantes. Aussi quand je te lis ou que je t’écris, je peux t’assurer que c’est bien pour toi que je bande, pour toi que je me branle, pour toi que je jouis, et je rêve que c’est pour moi que tu te masturbes et que tu mouilles.Notre virtuel s’épuise et je me dis que l’on pourrait passer à du réel. Bien sûr on ne ferait pas toutes les cochonneries que l’on s’est écrit, mais on pourrait peut-être s’offrir du bon temps, réaliser ce que ton copain ne t’offres pas, et dont tu as envie (tu m’as dit que ce n’était pas le top au lit).Je sais que j’ai 60 ans et toi 25, et je me dis que ce n’est que mieux. Il n’y a aucun risque que tu tombes amoureuse de moi, et ton copain n’en souffrira pas. Notre relation ne sera que sexuelle, sans aucun sentiment profond, juste pour combler tes manques. Je fais sans doute une connerie à t’écrire ce mot, mais tant pis. A défaut d’une réponse favorable, j’espère que tu vas me pardonner et que l’on restera en bons termes.Bisous ma puceEric
ELLE:Vieux cochon,Si je vous appelle ainsi, c’est parce qu’une copine du salon où je vous coiffais me disais de me méfier de vous, que vous étiez un "vieux cochon" qui cherche à se faire des minettes. Je ne la croyais pas, vous me sembliez sympa, mais je vois qu’elle avait raison.J’ai lu plusieurs fois votre message pour m’assurer que je ne rêvais pas. Trente-cinq ans d’écart, vous ne doutez de rien; c’est drôle de croire au père-noël à votre âge. Ca m’a amusée notre correspondance virtuelle, mais de là à passer à du réel, même soft, rien que d’y penser j’en suis......................................................................................toute mouillée.Vous avez raison, le père-noël existe, et je ne vais pas vous faire marcher plus longtemps. C’est avec plaisir que je serais votre cadeau.Je vous ai menti pour mon copain. Il me faisait très bien l’amour, mais il me trompait avec une autre et on n’est plus ensemble. C’est pour cela que j’ai accepté votre proposition de dialogues, j’étais seule, en manque, et vous êtes tombé au bon moment (même si c’est moi qui vous ai appelé). Ca me fait plaisir de savoir comment vous pensez à moi, et vous ne rêvez pas en imaginant que je mouille pour vous. J’ai envie de réel moi aussi, et vous attendais depuis un bon moment; vous en avez mis du temps à vous décider.
Comme vous le dites, on ne fera pas tous nos fantasmes, mais je ne sais pas ce que vous espérez de moi. J’aimerais que vous m’écriviez le scénario de notre première rencontre, et vous dirais si ça me va. Ensuite on passera à la réalisation.Merci pour votre demande, je vais encore la lire, je ne veux pas rêver.BisesAnne-laure
MOI:Petite coquine,Tu m’as bien eu avec le début de ta réponse. J’ai marché à fond, j’étais sûr que c’était foutu, je m’en voulais de t’avoir écris. Heureusement j’ai lu plus loin, et tout s’est illuminé. J’ai moi aussi relu plusieurs fois ta réponse pour être sûr de ne pas rêver à mon tour.Ce que j’espère de toi! Que tu ne sois pas trop sage, mais quoi qu’il en soit je ne te forcerais à rien, on fera tout ce que tu voudras, que ce que tu voudras.Tu m’as demandé un scénario, mais pour cela j’aurais quelques questions à te poser sur tes pratiques. Ce sont des questions intimes, indiscrètes, mais au point où on en est! — est-ce que tu embrasses?— est-ce que tu suces? à fonds?— est ce tu jouis quand on te lèche?— est ce que tu baises sans préservatif?Tu me réponds si tu veux, sinon on verra lors de notre rencontre.Bisous ma belleTon vieux cochon
ELLE:Mon cochon,Avec vous on ne perd pas de temps, on va droit à l’essentiel. Je vais moi aussi être directe dans mes réponses:— embrasser: je ne me vois pas uniquement vous embrasser, mais en faisant l’amour, dans le feu de l’action, je crois, je suis même sûre que ça se fera.— sucer: mon copain se faisait sucer tous les jours, et j’avais ma dose quotidienne de sperme. C’est ce qui me manque le plus. Alors oui, je vous sucerais à fonds, et j’avalerais tout.— jouir: ça dépend de vous. Mon copain ne me léchait pas, mais j’ai eu un petit ami avant lui qui le faisait. Il était doué et me faisait enchainer les orgasmes. Alors si vous savez y faire.....— préservatif: pas la peine. J’ai un stérilet, et vous pourrez jouir dans mon ventre sans risque que je tombe enceinte.Dépêchez vous de me répondre, me dire votre plan, que l’on se fixe un rendez-vous. Je n’en peux plus d’attendre.Bises

Je lui réponds sans tarder. Je lui indique mon plan, juste les positions, en lui précisant que rien n’est figé et que l’on peut improviser. Je ne mentionne aucun dialogue, ne sachant pas si elle aime parler en faisant l’amour, en quels termes, et surtout je ne veux pas l’influencer, qu’elle soit naturelle.Peu de temps après mon téléphone sonne, c’est elle. Elle est d’accord pour mon scénario et on se fixe un rendez-vous. Elle a le lundi comme jour de repos et je pose une RTT. Elle m’attend dès le matin, pour passer la journée ensemble.9h, je suis chez elle, et elle me reçoit en chemise de nuit. Elle me conduit à sa chambre. On se déshabille et on s’allonge sur le lit défait qui nous attend. On se sourit sans un mot, on se caresse, moi la chatte, elle la queue, et je ne tiens plus:— Doucement, doucement ma chérie, tu vas me faire jouir.— Allongez vous sur le dos, et laissez moi faire. Elle s’installe entre mes cuisses pour me sucer. Elle décalotte mon gland gonflé de désir, et qui parait énorme à côté de mon manche qui ne bande pas encore. Je jouis, je pisse du sperme plus que je n’éjacule, et elle me garde en bouche mieux qu’une professionnelle. Il faut dire que je l’avais prévenu de mon éjaculation précoce face à une nouvelle partenaire, lui ai proposé de me branler auparavant, mais elle m’en a dissuadé disant qu’un pipe éclair lui convenait. J’ai fini de me soulager, elle a dû tout avaler et continue à me sucer. Je suis un peu honteux:— Excuses moi, mais tu m’excites trop.— Ne vous en faites pas, vous m’aviez prévenu et c’est très bien comme ça. Il est bon votre sperme, et abondant; ça aurait été dommage que vous vous masturbiez avant de venir.— Merci, tu es gentille. Je vais me rattraper mais il va me falloir un peu de temps; en attendant je vais te manger le minou, si tu veux bien.Elle s’installe sur le dos, à ma place, et je viens entre ses cuisses. Elle a une belle vulve, toute rasée pour mieux ressentir mes caresses buccales. Je prends le temps de l’admirer, de la caresser, de la sentir, la renifler à plein nez. Elle sent hyper bon, et j’ai dans l’idée qu’elle doit être délicieuse à bouffer, à boire. Je me sens un grand appétit et j’attaque mon repas: grandes lèvres, petites lèvres, vagin, clitoris, rien n’échappe à ma bouche gourmande. Je m’applique à bien la lécher et le résultat ne se fait pas attendre: elle m’offre un premier orgasme dont je me délecte avant de repartir à l’assaut. Elle gémit, se tortille comme un ver, et ma bouche suit ses mouvements comme une ventouse. Elle jouit à plusieurs reprises et c’est toujours le même scénario: ses muscles se tendent, ses reins se soulèvent, et son petit volcan entre en éruption pour cracher sa lave brulante. Tout en la léchant je me tripote la queue de temps en temps pour m’assurer que je bande. Elle est bien dure et sans quitter sa chatte je fais un demi tour pour venir au dessus d’elle. J’ai un genou sur le lit, mais mon autre jambe repose sur le pied pour ne pas l’étouffer, ne pas la forcer à bouffer mon paquet, lui laisser le choix. Elle n’hésite pas un seconde et je sens sa main et sa bouche jouer avec ma bite et mes couilles.On se fait un merveilleux 69, qui pour moi pourrait durer des heures, mais pas pour elle. Elle me demande de la baiser, me dit qu’elle en a trop envie.Je me dégage et revient sur elle pour la couvrir. Je n’ai même pas besoin de ma main pour guider ma queue dans sa fente. Elle est tellement chaude, ouverte, huilée, que mon missile à tête chercheuse frappe dans le mille au premier coup. Elle est trop bonne son huître, j’éprouve des sensations inconnues, et je reste immobile à savourer cet instant magique. Elle me rappelle à l’ordre:— Baisez moi, baisez moi, j’ai envie de votre grosse queue qui me défonce. Baisez moi s’il vous plait.Bien sûr qu’il me plait. Je me met en mouvement, la lime, la ramone, la matraque, la pilonne, en même temps que ma bouche cherche la sienne. Elle ne cherche pas à m’éviter et passe ses bras autour de mon cou pour maintenir mes lèvres soudées aux siennes. Je la baise de toutes mes forces, et on se roule des pelles goulues.Je m’épuise, les bras, les jambes, mais pas la queue. Je me retourne sur le dos et elle vient sur moi. Elle me chevauche comme une folle, une forcenée, et s’épuise elle aussi. J’ai repris des forces, elle est allongée sur moi, et je la tringle avec ardeur. Ma bite s’échappe de sa fente, et c’est l’occasion de tenter une pénétration anale. Elle n’est pas d’accord et saisit mon manche pour le remettre dans son vagin. Je l’embroche à nouveau puis retente sa rondelle. Encore faux, elle me remet dans sa fente puis se redresse et me baise pour s’assurer que je ne recommence pas. Elle monte et descend sur ma colonne à un rythme soutenu et efficace. Je sens mon plaisir venir et la préviens. Elle se dégage, et me prend en bouche:— Hummm, elle est bonne votre queue.— Tu m’étonnes, après le bain qu’elle s’est pris dans ta chatte ruisselante. Tu mouilles trop bien.Elle continue sa turlutte savante et me fait jouir une nouvelle fois. Elle avale encore tout.Elle rampe sur moi, je la prends dans mes bras et on se fait un câlin. On se félicite de ce premier contact, de cette première baise, en espérant que ce ne soit pas la dernière.Il est bientôt midi, on prend une douche, on s’habille et on déjeune: un surgelé vite fait. On a fait à peu près le plan que j’avais prévu dans mon message, sauf que je l’avais prévu l’après midi et qu’on l’a fait le matin. Du coup il nous reste beaucoup de temps.On ne rebaise pas de suite et on se couche en petites tenues pour discuter de nos plans à venir. On a plein de fantasmes tous les deux, sans être sûr de vouloir les réaliser. On décide de lister tout ce qui peut se faire puis de marquer si on est pour ou contre. On se relève pour aller consulter internet sur son micro. Je suis sur une chaise, en slip, et elle s’assoit sur mes genoux, en culotte et soutien gorge, pour pianoter, me laissant ainsi les mains libres. On regarde deux sites d’histoires érotiques, on relève tous les thèmes possibles, et elle les note au fur et à mesure sur une feuille word de son ordi. Je la regarde faire, l’aide à ne rien oublier, et m’occupe à la caresser. J’ai dégrafé son soutif, et je pelote ses beaux petits seins bien fermes. On a tout noté et on complète avec des thèmes relevés sur un autre site, de vidéos pornos celui là. On en profite pour regarder quelques extraits et je sens ma queue se raidir. Je la fais se relever pour enlever mon slip et libérer mon sexe, et elle en profite pour enlever sa culotte humidifiée. Elle se rassoit sur moi, cuisses ouvertes, et je plaque ma trique bien raide contre sa vulve chaude et moite, sans la pénétrer. On continue notre liste, on la détaille, chacun donnant une idée à son tour sans aucun préjugé (ce n’est pas parce que l’on a proposé un truc que l’on est pour; c’est juste que ça existe). La liste est terminée, elle en imprime deux exemplaires, chacun va mettre oui ou non en face de chaque ligne et on va analyser les résultats.Mais ce sera pour plus tard, dans l’immédiat on a trop envie de baiser tous les deux. Elle se lève, puis se rassoit sur moi, de face. Elle s’empare de ma queue et s’empale la chatte dessus. Elle me baise, fait du yoyo sur ma bite, puis je lui demande de se relever, se tourner, que je la prenne en levrette. Elle est d’accord à condition que je n’essaie pas de pénétrer son petit trou. Je lui ai déjà dit que l’on ne fera que ce qu’elle veut et elle n’a rien à craindre. Je la baise virilement, encouragé par ses gémissements, ses encouragements, sa mouille qui dégouline. Je vais bientôt jouir et elle me finit une nouvelle fois dans la bouche.Notre première rencontre est terminée et je rentre chez moi en possession d’un exemplaire de liste pour la compléter. On se donne rendez-vous pour le lundi suivant.
A suivre.....................
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