Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 147 J'aime
  • 5 Commentaires

De la coïncidence est né le désir

Chapitre 1

Hétéro
Il est 8h25, je viens de me garer au parking du sous-sol de mon travail et attends l’ascenseur. Je traverse une période de ma vie compliquée, le travail me prend beaucoup de temps et mon couple n’est pas au mieux.Je monte dans l’ascenseur, direction le deuxième étage. Il fait escale au rez-de-chaussée et les portes s’ouvrent sur toi. Je t’ai déjà vu avant c’est certain, mais où ?On se regarde tous les deux avec la même impression quand tu finis par dire :
— Vous êtes le papa de Léo ?— C’est exact, et vous d’Élise ?— Presque ! Élisa !— Pardonnez mon erreur ! Vous travaillez ici ?— Oui au sixième.
Les portes s’ouvrent sur mon étage et cela vient interrompre cette conversation.
— Le monde est petit ! Passez une bonne journée, on se recroisera sûrement !— Merci bonne journée également !
Très jolie femme, me dis-je...
Plusieurs semaines passent et nous nous croisons de temps en temps, en coup de vent, à l’école où sont nos enfants ou dans l’ascenseur. Le temps d’échanger quelques politesses et banalités.
De mon côté, j’ai ralenti le travail pour être plus présent à la maison et ainsi avoir plus de temps avec ma compagne et mes enfants. Néanmoins ça n’aide pas mon couple. Malgré de nombreuses discussions, elle ne me voit plus que comme un père et un super copain. Le côté amant de notre relation a disparu depuis très longtemps et ça me pèse de plus en plus.J’ai envie de me sentir désiré. J’ai repris le sport intensément depuis près d’un an et mon corps est plutôt athlétique, mais malgré ça, rien de rien à la maison.
Un jour, c’est la fête de l’école et je t’aperçois avec ta fille. Je t’observe de loin interagir avec elle. Tu as l’air de prendre ton rôle de maman très au sérieux et d’être au petit soin avec ta fille.Je te trouve très attirante et commence à ressentir des envies que je ne devrais pas ressentir... Mais c’est plus fort que moi. Mon instinct me dit que tu as aussi un côté moins sage qui ne serait pas pour me déplaire. Quelques indices, comme des tatouages, un petit piercing sous la lèvre inférieure, une voiture plutôt sport viennent étayer ma théorie.J’essaye d’emmener mon fils gentiment prendre son goûter à côté de ta fille pour engager la conversation. Quelques regards un peu timides et fuyants de ta part me font penser que je ne te laisse pas indifférent. Avant de se quitter, je tente ma chance non sans quelque appréhension :

— Ça vous dirait qu’on déjeune ensemble un midi ? Histoire de discuter plus longuement qu’en coup de vent.
Je pensais me prendre une veste honnêtement, mais ta réponse me surprit :
— Ah ouais ! Carrément !
J’ai senti un enthousiasme dans ta réponse qui me remplit de joie !
— Je vous donne mon numéro pour qu’on se planifie ça ?— Oui avec plaisir, ce sera plus facile.
Je passe le week-end à penser à ce potentiel moment. Est-ce que c’est raisonnable de déjeuner ensemble ? Est-ce que je lui plais ou a-t-elle simplement envie de discuter par curiosité du fait qu’on travaille au même endroit et avec nos enfants dans la même école ?Les questions fusent dans ma tête. Je suis tiraillé, mais j’ai envie, besoin même je dirais, de légèreté dans ma vie. Je décide de t’écrire pour organiser notre déjeuner. Nous commençons à échanger quelques messages, des sujets sur les enfants au début, un peu sur nous aussi, comme l’âge par exemple ou tu me taquines que je suis plus vieux. Un petit jeu de séduction s’installe sans qu’on aborde ce type de sujet. On décide de manger ensemble un vendredi dans trois semaines. Et nos discussions continuent pour apprendre à se connaître. Petit à petit, je commence à m’avouer que j’ai du désir pour toi. Je rêve souvent de toi et me caresse en pensant à notre rencontre.
Les jours passent et nos échanges évoluent. Nous parlons de nos situations personnelles respectives et de l’attirance mutuelle que l’on a. Les discussions deviennent très chaudes... J’aime écrire des textes érotiques et te partage des scénarios au fil de mes envies. Parfois c’est tendre avec de la douceur. Parfois bestial avec des mots crus... Tu es très réceptive et jouis beaucoup en me lisant. Par quelques messages en retour, tu me fais comprendre que tu es très ouverte et me fais jouir aussi beaucoup.
Quand on se croise, la tension sexuelle est énorme, mais nos emplois du temps sont très remplis, difficile de se voir. A quelques jours de notre déjeuner organisé, je te propose de plutôt déjeuner ensemble en se faisant livrer à mon travail. Il s’avère que l’étage au-dessus du mien est des bureaux vides et que j’y ai accès avec mon badge. L’idée a l’air de te plaire.
Le jour J, je suis tout excité et aussi stressé. Je me sens un peu rouillé sur le plan sexuel et j’ai peur de ne pas être à la hauteur de tes attentes. On se chauffe par messages toute la matinée au point où je ne sais pas si on mangera avant de se sauter dessus. Finalement au moment du déjeuner, je monte au troisième pour t’y accueillir. Quand tu arrives, on est tous les deux un peu intimidés, comme des adolescents. Ça calme légèrement le jeu et nous permet de déjeuner tranquillement. Des échanges de regards s’installent et je sens ta timidité, mais aussi ton envie. C’est très clair dans ma tête, je te veux là maintenant tout de suite ! Alors je te provoque un peu, beaucoup même. Et finis par te dire :
— Tu as envie de moi ?
Ça te surprend, mais répond en rougissant un peu :
— Oui.— Alors, lève-toi et viens là !
Au moment de dire ça, je m’étais déjà levé et appuyé sur un bureau. Tu viens près de moi et poses tes mains sur mon torse. On s’enlace. On se caresse au-dessus de nos vêtements. On finit par s’embrasser. Hmmm c’est délicieux, tu embrasses divinement bien, tu aimes jouer avec ta langue... Je sens ta fougue et ton envie. Toute cette tension accumulée depuis des semaines nous submerge. Je te soulève et te pose assise au bord du bureau, je t’embrasse, te mordille et te lèche le cou. Tu me mords l’épaule en retour et t’agrippes à mon dos.
Je glisse mes deux mains sous ta robe et t’enlève ton dessous. Mes doigts commencent à jouer avec ton intimité. Tu es rasée de près, j’aime beaucoup. Tu es trempée... Tu ne tiens plus et me fais comprendre en m’enlevant ma chemise et défaisant ma ceinture que mes doigts ne te suffisent plus.Et surtout un "je veux te sentir en moi" s’échappant de tes douces lèvres dans un soupir de plaisir me fait baisser mon boxer et venir présenter mon membre à l’entrée de ta fente dégoulinante d’envie.
Je te regarde alors dans les yeux et pose mes lèvres sur les tiennes pendant que je te pénètre lentement jusqu’à ce que nos pubis se touchent. Tu ouvres la bouche de plaisir, j’en profite pour te mordre doucement la lèvre inférieure.
Je prends soin de reculer jusqu’au bord de ta fente à chaque mouvement avant de m’enfoncer au plus profond de toi. Tu t’agrippes à mes fesses et essayes de m’entraîner dans un rythme plus soutenu. Je t’attrape alors à la gorge et te murmure à l’oreille :
— Tu veux que je te baise plus fort petite coquine ?
Tu hoches la tête et je sens que te serrer la gorge te fait un certain effet.Je place alors ma deuxième main derrière toi pour te maintenir près du bord du bureau sans relâcher mon étreinte sur ton cou. Je te pénètre plus sèchement avec de grands coups de reins. J’accélère le rythme, ce qui te fait perdre un peu l’équilibre. Je te pousse alors en arrière pour t’allonger sur le dos, sur le bureau. Je saisis ta gorge à deux mains et serre fort pendant que je démonte ta petite fente sans aucune retenue, faisant cogner le bureau contre le mur et secouant les écrans d’ordinateur dessus.Tu t’accroches à mes avant-bras et les serres de plaisir, tu es sur le point d’exploser. Je te pilonne ainsi jusqu’à ce que tu jouisses et m’inonde de ta mouille.
Ce que tu es belle quand tu jouis...
Tu reprends tes esprits, te relèves et viens te mettre à genoux face à moi. Tu me lèches les boules et remontes avec ta langue le long de ma queue tout en me regardant dans les yeux. Pour finir par engloutir mon gland et le suçoter. Tes mains se mettent en action, tu me branles et joues avec mes boules en même temps. C’est très bon. Je pose mes mains sur ta tête pour que tu enfonces un peu plus ma queue dans ta bouche. Et que tu suives les mouvements de ta main qui me branle. Ça devient exquis quand tu aspires en même temps. Je te fais part du pied que je prends à me faire pomper de cette façon, ce qui provoque des petits cris de plaisir chez toi. Waaaaaaaa ! Ça m’excite énormément de sentir que tu prends ton pied à me faire du bien avec ta bouche.
— Relève-toi et tourne-toi face au bureau.
Un peu étonné, tu t’exécutes. Je te penche alors en avant et viens présenter ma bite sur le bord de ton petit trou plissé. Pour seule réponse tu écartes tes jolies fesses avec tes deux mains.
— Hmmm je note ma belle. Mais pas ce midi, je vais encore baiser ta petite chatte serrée.
Je te prends alors d’un coup sec au plus profond de toi, tu hurles de surprise et de plaisir. Je repars dans un rythme effréné en te saisissant par les hanches. Je te pilonne sans relâche comme une petite traînée. Je t’arrache rapidement un deuxième orgasme. Ce que tu jouis vite et facilement.
— Je vais bientôt jouir, tu veux que je me retire ?— Tu peux jouir en moi, mais je suis impatiente de te goûter.
Sur ces mots excitants, ma queue se durcit encore plus ! Tu te retires de mon étreinte et viens me reprendre en bouche comme avant. La vue est magnifique, tu me branles énergiquement avec une main tout en me léchant le bout du gland et en me regardant droit dans les yeux. Tes yeux qui me disent "Donne-moi ton jus que je m’en délecte".Je ne tiens plus et te dis que je vais jouir.Tu me prends dans ta bouche pour me faire venir. Je sens que tu aspires et joues avec ta langue. Tu finis par avoir raison de moi et j’explose dans de longs jets qui me font littéralement trembler de plaisir pendant que je m’agrippe au bureau derrière moi. Tu n’en laisses absolument pas une goutte.
— Tu es délicieux et généreux. J’adore et je risque de devenir accroc...
Ta timidité est clairement partie et je découvre une jolie coquine, ce qui m’excite au plus haut point. On se rhabille et on s’enlace. Un moment plein de tendresse après ce tourbillon de plaisir. On se sépare ensuite pour retourner à nos bureaux respectifs.
Quelques échanges de messages pour nous dire le bien qu’on a ressenti. Je finis par t’écrire un message plus direct :
— Tu me prends pour un obsédé si je te dis que j’ai encore envie de toi ?
Pour seule réponse je reçois :
— Ah bah voilà ! On est d’accord ! Ça suffit pas !
J’esquisse un sourire de voir que je ne suis pas le seul à avoir très faim.Je te chauffe assez fort par message, je veux te faire craquer pour te prendre vite et fort. Tu me dis que tu dois partir à 17h tous les soirs pour récupérer ta fille à l’école. J’évoque l’envie de m’éclipser à 17h et de t’emmener dans un débarras du sous-sol pour faire plus ample connaissance...
— D’accord, mais je n’aurais que 5 minutes maximum.
À 17h, je descends au sous-sol et t’attends dans le débarras. Plusieurs minutes s’écoulent et tu es bloquée pour venir, car des collègues à toi partent en même temps. Tu finis par ouvrir la porte du débarras et marmonnes quelque chose, mais je ne te laisse pas le temps de finir. Je t’attrape par le bras et te fais entrer, te tourne dos à moi, baisse ton dessous, sors ma queue et te l’enfonce bien au fond de toi. Tu n’as rien pour te tenir alors tu te penches en avant et attrapes tes chevilles. Cette vision me survolte et je te baise le plus vite et le plus fort possible à tel point que ça m’irrite rapidement.Je ne mets que quelques minutes à jouir en toi. Tu remets vite ton dessous avec mon sperme qui coule le long de ta jambe tout en disant :
— J’étais juste venu te dire que je n’avais plus le temps, tu es vraiment un sale gosse toi !
Et tu pars en courant. Tout en remontant à mon bureau, je me dis que tu aurais pu simplement m’envoyer un SMS si tu n’avais vraiment pas eu le temps. Cela me fit sourire. En remontant à mon bureau, une collègue me demanda pourquoi j’étais aussi essoufflé.
— J’ai fait du sport, suivi d’un clin d’œil. Cela la fit rire, mais je lus de l’incompréhension dans son regard.
La journée se termina et je pris le chemin de la maison, la tête pleine de belles images et une envie de te goûter encore et encore...
Diffuse en direct !
Regarder son live