Je me présente, Clément 19 ans, je suis un peu la représentation de Monsieur Tout le Monde. Je mesure 1m79 et je suis d’une corpulence moyenne, malgré les apparences, je suis très sportif car je pratique à bon niveau le trail et le marathon. N’étends pas vraiment doué pour les études, je me suis arrêté au bac, j’ai bien essayé de faire une fac de sport, mais j’ai abandonné au bout de quelques mois car cela ne me plaisait pas.Je travaille donc dans un supermarché ou je m’occupe de la mise en rayon des produits. Le travail n’est guère passionnant mais il a l’avantage de me laisser du temps libre pour mes occupations comme le sport. Je dois avouer que je n’ai jamais vraiment était doué avec les filles, je n’en fréquente pas beaucoup. J’ai bien eu une amourette pendant quelques mois, mais je me suis vite rendu compte que cette relation ne me correspondait pas... En effet, je ne suis attiré que par des femmes mature, voire très mature... Il n’y a que ça qui m’attire, une femme de 70 ans, aux formes généreuses me fait bander comme un fou... J’ai eu l’occasion de me faire dépuceler par une amie de ma grand-mère, un moment inoubliable qui fera peut-être l’objet d’une autre histoire... Pour rencontrer des femmes correspondant à mes fantasmes, je me suis inscrit sur bon nombre de sites de rencontres. Malgré ce que l’on peut croire les personnes âgées ne sont pas tant en retard que ça au niveau technologie et il n’est pas rare de croiser de très belles femmes à mon goût sur ces fameux sites. Un dimanche, jour de repos, je me promène sur ces sites quand je tombe sur le profil de Juliette, 74 ans un regard vert qui vous transperce. Un visage ou le temps laisse apparaître son ouvrage, mais malgré cela Juliette est resté très belle, elle a dû avoir un succès certain auprès de la gent masculine à l’époque. Je décide donc de visiter son profil, quelques photos supplémentaires permettent de me laisser apprécier son corps, et quelle surprise ! Une très belle et grosse poitrine, elle a l’air d’être un peu tombante, mais c’est bien normal, à son âge, et j’adore ça... Elle est malgré tout, très bien conservé et son style vestimentaire l’a met vraiment bien en valeur, c’est un look moderne, plutôt bourgeois, tout ce que j’aime.La description de son profil fini de me convaincre de tenter ma chance, elle se décrit comme veuve depuis plusieurs années, célibataire et avec la volonté de faire de nouvelles rencontres. Elle n’a pas l’air contre l’idée de rencontrer de jeunes hommes, sont regard trahi même une pointe de coquinerie...Je prends mon courage à deux mains et lui envois un message pour me présenter et expliquer ma recherche. Quelques heures plus tard, je reçois sa réponse, elle n’a pas l’air contre l’idée que l’on fasse connaissance, de plus on habite tout près l’un de l’autre. Le dialogue s’engage donc entre nous deux, bientôt la conversation s’oriente sur le sexe et la température monte encore. Elle me décrit ses pratiques en m’expliquant qu’elle n’a presque pas de tabous, elle aime tout dans le sexe, ses mots me donne une érection mémorable et je me soulage en pensant à elle. Par sécurité elle refuse de m’envoyer des photos plus coquines d’elle.Les jours passe et le feeling est vraiment bon.Un matin, alors que je suis en train de mettre des produits en rayon, je sens une présence derrière moi, je me retourne donc et découvre Juliette en train de faire ses courses, elle ne m’a pas reconnu. J’en profite pour la regarder un peu, elle est vraiment belle, terriblement bandante... Elle porte une jupe blanche au niveau du genoux et un haut rouge laissant apparaître un très beau décolleté, en se baissant pour prendre un produit, sa jupe se tend et laisse deviner un string dessous. Cette vision suffit à me donner une érection de taureau. Voyant son caddie quasiment vide, j’en profite pour aller chercher un bout de papier sur lequel j’écris "Salut c’est Clément, si tu as envie de t’amuser avec moi, reviens au supermarché demain à la même heure avec un pantalon ou une jupe rouge." Je réussis à lui glisser dans son sac à main sans qu’elle me repère.En rentrant le soir chez moi, je me suis branlé en pensant à elle.Le lendemain, j’attends avec impatience de la croiser et en fin de matinée, bingo ! La voilà qui déambule dans le magasin habillée d’un chemisier noir un peu transparent, de talon haut, et..., d’une minijupe ROUGE. Mon cœur bat à mille à l’heure. Je la vois qui s’approche de moi; — Salut Clément ! Toujours envie de jouer ?— Salut ! Évidemment, tu es très belle dans cette tenue...— J’ai un moment là, tu me suis ?— Avec plaisir ! Elle m’emmène en direction des toilettes du magasin, sur le chemin, sa main fait discrètement remonter sa jupe, elle ne porte rien en dessous !
Arrivée aux toilettes, elle entre dans une cabine, s’assoit sur les toilettes et me fait signe de rentrer. Je m’exécute, et quand je m’apprête à fermer la porte à clef, elle me chuchote; — Non, ne ferme pas à clef, j’aime l’idée que l’on nous surprenne. J’accepte et à peine retourné qu’elle me baisse déjà mon pantalon et mon caleçon.Je bande comme un malade, à la vu de mon engin, de bonne taille, un sourire fend son visage. Plus un mot ne sort de nos bouches. Elle commence à faire glisser sa langue le long de ma bite, descend sur mes couilles bien pleines, les gobes en entier. Elle salive tellement que je me retrouve l’entrejambe trempé. Puis les choses sérieuses commencent, elle avale ma bite d’un coup et débute de long et fougueux va-et-vient, malgré mes 19cm, elle arrive à tout prendre au fond de sa bouche. Son nez vient titiller mon ventre quand elle est en gorge profonde. Elle empale sa bouche dessus encore et encore. Juliette crache dessus, la lèche, mordille mon gland, c’est une fellation de rêve. Je lui fais comprendre que je vais bientôt exploser, elle se stoppe et me dit; — Viens vider tes couilles contre ma chatte ! Je me branle alors en titillant son clito avec mon gland. Peu de temps après, j’explose dans de longs jets puissants qui recouvre bientôt sa chatte, elle étale mon foutre sur son minou et se lèche les doigts. Elle vient ensuite m’embrasser langoureusement, le goût de mon sperme me surprend mais ne me déplaît pas... Elle remet en ordre ses vêtements ainsi que ses cheveux, me fait un clin d’œil et sort des toilettes. En rentrant le soir chez moi, je découvre dans une de mes poches un mot où il est écrit;"Si tu veux passer au chose sérieuse, viens chez moi ce soir, au 18 rue Jean Moulin." La coquine a du me le glisser pendant qu’elle s’occuper de ma bite. Je prends juste le temps de manger un morceau et de prendre une douche, puis je me rends chez Juliette.Je sonne, elle m’ouvre en porte-jarretelles noir et talon-aiguilles, ses gros seins laiteux pointe vers moi.Aucun mot ne sort de ma bouche, je suis sous le charme de cette dame qui pourrait être ma grand-mère. — Alors mon grand, prêt à me démonter toute la nuit ? Ses mots me surprennent venant de sa part. Elle enchaîne ; — Oui, j’ai passé l’âge de tourner autour du pot, je veux que l’on me baise et ce soir, c’est toi qui t’en charges. — Quand tu veux, je suis tout à toi Juliette. Elle me fait entrer chez elle, son appartement est très grand et décoré avec goût. Elle s’assoit sur le canapé, les jambes grandes ouverte et me dis; — Ce matin je t’ai fait du bien, à ton tour maintenant ! Je me mets à 4 pattes et commence à lui lécher la chatte, je m’attarde sur son clito, elle frémit de plaisir. Quand j’accélère le rythme je sens qu’elle est au bord de jouir alors je ralentis. Je joue avec ses nerfs, j’attends qu’elle craque et quand je vois qu’elle n’en peut plus, j’augmente la cadence pour l’emmener à l’orgasme.Elle hurle de plaisir. Sa chatte est trempée.Ni une ni deux, elle se tourne sur le canapée et me dis ; — Enfonce ta bite en moi, je veux que tu me baises comme une chienne !! Je me déshabille et enfonce mon sexe en fond de cette chatte qui n’attend que moi, je la pilonne, ses seins bougent dans tous les sens. Je sens mes couilles taper contre ses fesses charnues. Elle jouit encore et encore, à en trembler. Je commence à lui rentrer un doigt dans le cul, puis deux, puis trois. Ce cul a dû voir passer bon nombre de bite, car quand je présente la mienne à l’entrée, cette salope s’empale sans prévenir dessus. Ce coup-ci, c’est elle qui mène la danse. Pendant que je l’encule, mes mains se promènent sur son corps de femme mûre, je lui caresse les seins, le ventre, les fesses...Après de longues minutes de sodomie très hard, je sens que je vais jouir, et sans prévenir, je me vide les couilles dans ce cul. Elle glousse de plaisir.Je me retire. Son anus reste ouvert. Sans bouger le cul toujours levé en levrette sur le canapé, Juliette me demande ; — Va dans la cuisine et ramène moi un verre, vite ! Je m’exécute, trouve un verre qui sèche sur l’évier, je lui donne. Dans un savant mouvement, Juliette s’assoit sur le canapé, le cul avancé, et garde sous son anus le verre. C’est alors que s’échappe de son cul mon sperme qui tombe dans ce verre. Malgré le fait que se soit la seconde fois que je me vide aujourd’hui, une belle quantité de foutre s’écoule de son cul. Quand la dernière goutte est tombé, Juliette me propose de me servir un rhum d’une bouteille posé sur une table à côté du canapé.Une fois mon verre rempli, je m’assois à coté d’elle et nous commençons à faire plus ample connaissance, moi sirotant mon rhum et Juliette dégustant mon foutre... À suivre.
