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Coïncidences

Chapitre 1

Hétéro
Il a fallu que je tamponne la femme pour que je commence à m’intéresser à nos voisins. Elle sortait de sa cour et moi de la mienne… en marche arrière. Je faisais un petit signe à Lisa (ma femme) et bien sûr, je ne regardais pas où j’allais… et Bang ! en plein dans son aile droite (l’aile de la voiture). Je me confonds en excuses… je me traite d’idiot… et ça la fait sourire. Nous remettons le constat à plus tard.
Bien sûr lorsque je rentre à la maison, en fin d’après midi, et que je relate les faits à Lisa, je me fais incendier. Puis elle tient à m’accompagner chez les voisins. Priorité au constat ! Lorsqu’il est enfin rédigé, nous faisons connaissance et nous allons de surprise en surprises : Marc est médecin, comme moi et Anna infirmière… comme Lisa. Plus surprenant encore, nous travaillons tous les quatre dans le même hôpital, dans des services différents. Il est pneumologue, je suis cardiologue. Il ne faut pas plus que ces coïncidences, pour que nos voisins nous retiennent à dîner.
Nous sommes en juin et la température clémente se prête tout à fait à une soirée barbecue. Mais auparavant, Anna ( la femme tamponnée ), ne résiste pas au plaisir de nous faire visiter sa demeure. Une maison des années 30 à la façade magnifiquement ouvragée. Elle nous précise que tout l’intérieur a été repensé par un architecte dont ne ne pouvons que saluer le talent. Je sens une pointe de jalousie allumer les yeux de Lisa lorsque nous débouchons sur la terrasse bordée par une piscine… à filtration naturelle s’il vous plait ! Je complimente nos hôtes sur leur incroyable propriété tout en me demandant si je ne me suis pas trompé de spécialité à la fin de mes études.
Heureusement que nous n’avons que la rue à traverser pour rentrer, car Lisa est complètement bourrée. Une semaine plus tard, je lui propose de rendre l’invitation, et nous programmons, nous aussi, un barbecue (mais avec des ingrédients différents). Alors que la soirée semble lancée, Lisa se fait tirer l’oreille lorsque je lui suggère de faire visiter la maison. Elle me fusille du regard mais cède devant la demande générale. Bon, nous n’avons pas une bâtisse des années trente entièrement relookée, ni une piscine à filtration naturelle mais notre modeste logis occupe quand même une surface honorable de 200 m2 et la piscine est… à débordement. Donc pas vraiment de quoi faire un complexe d’infériorité, mais Lisa a toujours le sentiment que chez les autres… c’est mieux que chez nous. Heureusement Anna a la gentillesse de la complimenter sur la déco (c’est elle qui l’a faite) et peu après, Marc s’enthousiasme sur la qualité de sa conception. Lisa explose de joie et lance d’une voix haut perchée :
— C’est une maison d’architecte.
Elle redescend aussitôt de son nuage lorsque nous éclatons de rire, puis fait la moue quelques secondes avant de nous rejoindre. J’aime son rire clair et franc ! Nous passons une excellente soirée que Lisa arrose un peu moins, et au cours de laquelle nous nous découvrons encore de nombreux points communs. Peu à peu, nous sentons les liens amicaux se renforcer et nous prenons l’habitude, le dimanche matin, de courir tous les quatre. Comme nous avons (tous) une excellente condition physique nous y prenons beaucoup de plaisir. Nous allons même jusqu’à nous inscrire, tous les quatre, dans la même salle de sport où nous nous retrouvons le mardi et le jeudi, vers 20 heures.
C’est lors de la quatrième séance, que je surprends Anna, bien involontairement en entrant distraitement dans le vestiaire des filles. Elle est en sous vêtements. Bien sûr je me confonds en excuses, mais elle ne se formalise pas de mon intrusion. Quelques heures plus tard, lorsque je raconte cette anecdote à Lisa, elle éclate de rire, puis une fois calmée, me confie qu’il lui est arrivé la même chose : elle a vu Marc en slip !
Je cherche la signification de cette nouvelle coïncidence, lorsque j’entends Lisa prendre sa petite voix pour dire :
— Il est beau.
Comme je ne veux pas être en reste je lâche à mon tour :
— Anna aussi est très belle.

Lisa me regarde :
— Encore une coïncidence.— Quelle coïncidence ?— Et bien, on est beau, nous aussi, non ?— C’est vrai, on est pas mal non plus.
Nouveaux rires…Quelques heures plus tard nous faisons l’amour… et je pense à Anna. C’est pas gentil, je sais, d’autant que Lisa est une vraie bombe, mais je ne peux pas m’en empêcher et je me console en me disant qu’elle pense peut-être à Marc.Nous ne sommes d’un naturel jaloux, ni l’un ni l’autre, et nous ne nous refusons pas, de temps à autre, une petite escapade dans des clubs libertins, où Lisa ne rechigne jamais à me sucer sur le coin d’une banquette, au vu et au su de tous ! Nous y avons même fait l’amour dans un salon… où tout le monde a pu nous voir.Alors, c’est tout naturellement qu’un samedi soir ce genre d’escapade arrive sur le tapis et nous nous demandons si une nouvelle coïncidence voudrait qu’Anna et Marc aient le même genre de distraction. Pas facile toutefois de leur en parler ! Je vois Lisa lever les yeux au ciel, signe chez elle d’une intense concentration. Je ne la dérange pas car il en résulte souvent de bonnes idées.
— On a qu’à leur proposer une sortie en boîte.— Directement ?— Pourquoi pas ? On leur parle d’un endroit classique et puis on va à « l’Imprévu ». On verra bien leur réaction.— L’Imprévu, est le club échangiste que nous préférons.
Je trouve l’idée de Lisa un peu risquée. Je crains de les choquer et de compromettre notre amitié. J’en parle à Lisa qui réplique aussitôt :
— C’est pas écrit sur la façade que c’est un club échangiste. On rentre et lorsque l’ambiance devient trop intime, on leur dit qu’on ne savait pas. On verra bien ce qui se passe. Y’a pas de quoi fouetter un chat. — Ouais, on peut la jouer nigauds ! Appelle Anna.
Lisa tend la main et au moment où elle attrape son smartphone, il sonne. Je n’ai qu’une partie de la discussion :
— Salut Anna. — …— Oui, pourquoi pas ?— … — Ce soir ?… attends j’en parle à Fred. (Fred, c’est moi !). C’est Anna elle nous propose une sortie en boite.
Tiens… tiens… encore une coïncidence.Lisa saute sur l’occasion :
— Ça vous dirait qu’on aille dans une boîte dont on nous a parlé ? — …— Non on connait pas, ça fera l’occasion.— … — D’accord, à toute…
Elle raccroche et crie :
— Bingo ! On a rendez-vous devant chez eux à 22h00.
Une heure avant, Lisa choisit une jupe écossaise, mi-cuisses et un chemisier blanc. Je suis sûr qu’elle n’a pas de sous vêtements. J’ai dû faire la réflexion tout haut car elle lance :
— Non, j’en ai pas.
Je souris.Anna a une superbe robe rouge, très courte et je me demande aussitôt si elle est comme Lisa… en dessous. Cette dernière devine mes pensées. Elle me donne un coup de coude en murmurant :
— Arrête.
Bon, l’ambiance est annoncée dès que le videur libère le passage : l’hôtesse d’accueil est en petite tenue : culotte et bustier transparent. Mince ! Je me retourne vers Marc.
— Désolé, je pensais que c’était…
Il me coupe la chique :
— Pas grave. Et puis ça peut être marrant. Qu’est-ce que tu en penses chérie ?
Anna ne semble pas avoir d’avis ce qui agace Lisa.
— Bon, on reste ou on va ailleurs ? — Vous devriez rester. On a un DJ fabuleux. Et puis vous n’êtes obligés à rien, affirme l’hôtesse. Enfin si, juste à prendre une carte de membre, valable toute l’année.
Mince, la carte ! Quand je vais donner mon nom, la fille va me dire que j’en ai déjà une. Marc paie la cotisation modique et lorsqu’il s’écarte, Lisa donne son nom de jeune fille. Il me lance un regard interrogateur et je hausse les épaules. Bon, personne n’épilogue et nous cherchons une place. Innocemment je nous entraine dans notre coin favoris et nous prenons place, sur la banquette. Anna et Marc nous faisant face. Moins d’une demi-heure plus tard je sens que Lisa commence à chauffer à force d’observer les couples qui se frottent… sur la piste et ailleurs. Elle pose la main sur mon genou. Anna et Marc semblent eux aussi captivés par le spectacle. Sur la piste, une femme, catégorie cougar, invite deux paires de mains sous sa jupe tandis qu’elle plonge la sienne dans un pantalon. Lisa me caresse la cuisse tandis que Marc s’empare de la bouche d’Anna. Peu de temps après la cougar quitte la piste, les mains inquisitrices toujours accrochées à ses fesses… Anna se penche vers Lisa :
— Ils vont où ?
Lisa me regarde puis se lève brusquement en attrapant Anna par la main.
— Viens !
Le spectacle doit être interessant car elles tardent à revenir. En fait elles réapparaissent quelques secondes seulement avant la cougar, libérée de ses sangsues, laquelle repart aussitôt à la recherche de nouvelles proies en recommençant à se dandiner sur la piste. Quelle santé !Anna se rassied. Elle a l’air troublée et se jette sur la bouche de Marc… qui ne se plaint pas de sa main, qui se pose sur son entrejambe. Lisa se penche et me glisse à l’oreille :
— Je l’ai touchée.
Je la regarde, l’air ébahi, et elle précise :
— Elle n’a rien dit quand je l’ai touchée.
J’ai parfaitement compris ce qu’elle vient de dire mais je ne peux m’empêcher de lancer d’une voix un peu trop forte :
— Quoi ?
Lisa se rapproche encore de mon oreille.
— J’ai passé la main sous sa robe.
La sournoise. Elle sait que c’est un de mes fantasmes : la voir toucher une autre fille… et je n’étais pas là ! Elle stoppe ma déception en tapant ma cuisse et en lançant :
— Non je déconne… mais j’en ai eu presque envie.
Je m’empare de sa bouche pour un long baiser sauvage qui la pousse à défaire mon pantalon… sans lâcher ma bouche. Lorsqu’elle se décolle enfin, elle lance un regard à Marc et Anna puis arrache les pressions de mon slip « spécial coquin » libérant ma queue déjà dressée. Je tourne mon regard vers Anna… qui a le sien posé en plein coeur de l’action. Lisa se laisse glisser au sol puis elle me gobe le gland, tandis que je vois la main d’Anna s’activer sur la braguette de son homme. Va-t-elle oser imiter Lisa ? Je ne le crois pas. Pourtant, lorsque je la vois déboutonner le pantalon de Marc, mes certitudes fondent. Branlette ou pipe ? Je parie pour une branlette discrète. Raté ! Elle écarte le slip, balaie la salle du regard et plonge sur la queue de son homme. C’est discret… mais ça à l’air efficace. Quant à Lisa, elle sait exactement quoi faire pour me faire décoller.
J’ai envie de regarder Anna s’affairer au plaisir de Marc mais je suis obligé de fermer les yeux lorsque je décharge en retenant difficilement un grognement. Lisa attend encore un long moment avant de retirer sa bouche et de rajuster mon pantalon. Je lui donne un léger coup de coude en lui désignant nos amis. Anna suce Marc très lentement. Sans doute comme il aime. Puis soudain je le vois sursauter. Je me penche vers Lisa :
— Elle l’a mordu tu crois ?— T’es con, il vient de gicler, oui !
La langue d’Anna lui lèche encore le gland quelques minutes puis elle se redresse en nous souriant. Nous renouvelons nos consommations puis nous nous amusons encore en observant la cougar qui en est au moins à son troisième voyage aux salons intimes… toujours avec au moins deux hommes.
— Quelle santé, lâche Anna en éclatant de rire.
Nous reprenons la route vers une heure du matin et avant de nous séparer Marc m’adresse un clin d’oeil :
— Belle découverte cette boîte. Je crois qu’on a tous passé une excellente soirée.
La rue à traverser et Lisa s’effondre sur le lit.
— Ça c’est bien passé, non ?— Très bien et je ne pensais pas qu’Anna allait oser.— Qui te dit qu’ils ne fréquentent pas ce genre d’endroit ?
Nous obtenons la réponse le week end suivant lorsque nous les retrouvons chez eux pour l’anniversaire de Marc.
— Ça nous est arrivé une fois ou deux, mais jusqu’à présent nous n’avions jamais rien fait, nous confie ce dernier.— Alors pourquoi cette fois ? lança Lisa, curieuse comme une pie.— Je crois que c’est à cause de vous.— Plutôt grâce à vous, rectifia Anna. Vous m’avez donné confiance. Et puis quand je t’ai vue Lisa… j’ai eu envie de faire pareil.— C’est pas plutôt la cougar qui t’a donné des idées en se faisant sauter ? interroge Marc.— Oui, aussi, réplique Anna.
Je crains soudain que Lisa ne s’emballe. Nous sommes devenus tellement complices tous les quatre ! Je la vois se trémousser… me lancer des regards impatients… se trémousser encore… Aie ! qu’est-ce qu’elle va nous sortir ? Elle ne me laisse pas le temps de cogiter en lançant sans aucune gène :
— Vous savez quoi ? Après le gâteau on pourrait faire l’amour tous les quatre… côte à côte.
Un ange passe. Marc me regarde. Je le regarde… nous nous regardons tous les quatre puis au moment où je m’apprête à balancer une histoire grivoise pour détendre l’atmosphère, Anna se lève et lance :
— Chiche !
Marc la regarde, interloqué et elle répète,
— Alors… Chiche ? en présentant sa main pour sceller le défi.
Lisa est la plus prompte. Elle frappe sa paume.Je n’ai pas envie de passer pour un dégonflé, alors je tape sa main à mon tour :
— Chiche !
Marc se fait un peu prier mais finalement se joint à nous.Bon, lancer des défis c’est bien, mais c’est une autre histoire que de les relever.Un autre ange plane. Et quelque chose se passe entre les filles.Anna se lève et attrape Lisa par la main.
— Viens !
Elles disparaissent à l’étage et ni Marc, ni moi ne savons comment briser le silence. C’est finalement lui qui y parvient :
— Elles sont incroyables.— Et tellement belles !
Ça m’est sorti comme ça ! et ça me permet d’apprendre que Lisa est parfaitement au goût de Marc. Ça tombe bien, Anna me plait aussi. Mais je ne peux pas lui dire, bien sûr. Pour tromper l’absence des filles nous sifflons encore deux coupes de champagne.
— Qu’est-ce qu’elles fabriquent ? s’inquiète Marc.— Une surprise peut-être.
Ah oui… pour une surprise, c’est une surprise ! Anna débouche dans le salon en nuisette et sous-vêtements turquoise. Elle est magnifique avec ses longs cheveux dénoués qui lui caressent les reins. Je ne peut réprimer un début d’érection. Lisa se fait attendre. Mais ça en valait la peine. Elle apparait, également en nuisette, sous laquelle se dessinent une culotte et un soutien gorge couleur chair. Elles sont éblouissantes et elles me font bander grave ! J’imagine Marc dans le même état.
Les filles s’installent sur nos genoux (chacun sa femme) et Anna ôte les 40 bougies que Marc vient de souffler. Elle découpe le gâteau. Excellent ! Encore une petite coupe puis les filles se retournent et de concert, entreprennent de nous deshabiller. C’est un peu plus long pour Marc qui s’est affublé d’une cravate en soie. Moi je suis toujours en t-shirt. Lisa fait une pause et attend qu’il soit comme moi, torse nu, pour déboutonner mon pantalon. Lorsque nous sommes en caleçons, à pois rouges pour Marc et uni, pour moi, elles nous abandonnent. Anna glisse un CD dans le lecteur et une musique orientale s’échappe aussitôt des murs. Elle commence à onduler, rapidement imitée par Lisa. Le spectacle est grisant ! Toutes deux s’accordent à merveille. Au bout de dix minutes, nous recevons les nuisettes sur le visage. Je m’échauffe en pensant que dans cinq minutes je vais voir Anna à poil. Ça se passe différemment de ce que j’imagine. Les deux filles se positionnent de dos puis ralentissent leurs ondulations.
Anna dépose un baiser sur la nuque de Lisa, puis elle dégrafe son soutien gorge qu’elle lance à l’aveuglette dans notre direction. Je l’attrape au vol. Lisa ralenti encore lorsque Anna s’accroupit et saisit l’élastique du string. Elle le fait glisser jusqu’aux pieds de Lisa et j’écarquille les yeux en la voyant déposer un baiser sur ses fesses. Je lance un rapide coup d’oeil à Marc qui ne décolle pas les yeux du corps de Lisa, laquelle vient à son tour se positionner derrière Anna pour lui retirer ses sous vêtements sans oublier le bisou sur les fesses, puis, ensemble elles se retournent… lentement.
Elles ont toutes deux une poitrine généreuse, mais je trouve celle de Lisa plus épanouie. Elles s’avancent lentement vers nous et d’un geste nous font signe de nous lever. Lisa s’accroupit devant moi… Anna devant Marc et toutes deux, d’un geste accordé nous retirent nos caleçons. Nous bandons comme des taureaux ! De concert elles nous embrassent le sexe… les bourses… puis roulent sur le sol où elles s’allongent sur le dos, côte à côte… jambes écartées. Marc est le plus prompt à réagir. Il s’allonge sur sa femme et la pénètre lentement. Je ne tarde pas à prendre possession de la chatte de Lisa… mais plus sauvagement, comme elle aime. Je lance de fréquents regards vers nos amis… qui font de même. C’est excitant de faire l’amour ainsi… côte à côte. Les filles ne tardent pas à mêler leurs gémissements… puis leur cris. C’est grisant. Il me semble que j’ai la queue qui durcit encore. Je ne vais pas pouvoir me retenir aussi longtemps que d’habitude.
Marc non plus, sans doute, car je l’entends jouir quelques secondes après moi… les filles nous ayant devancé de peu. Nous restons un moment silencieux puis nous nous dirigeons ensemble vers leur immense douche. Lisa me savonne… Anna savonne Marc… puis brusquement Lisa donne le signal en étendant de la mousse sur les fesses de Marc.
Alors, le plus simplement du monde… nous nous échangeons ! Je caresse le corps glissant d’Anna tandis que Marc savonne les seins de Lisa… puis je vois ma femme s’emparer de sa queue… et j’offre aussitôt la mienne à la main d’Anna. Je vois les filles échanger un sourire puis elles commencent à nous masturber. C’est bon. C’est différent d’avec Lisa. Non que ce soit vraiment mieux, mais la caresse d’une nouvelle main apporte tellement d’érotisme…
Marc jouit avant moi et Lisa le nettoie. Anna en fait de même avec moi après que je décharge dans un cri de bête qui fait éclater de rire Lisa. Nous restons nus. Marc tire du frigo une nouvelle bouteille de Don Pérignon. Anna est assise sur mes genoux. Lisa sur ceux de Marc. Aucune jalousie… aucun malaise… nous sommes bien, dans cette atmosphère puissamment érotique. C’est la première fois pour Lisa et moi. Et je crois bien que pour nos amis aussi. Nous plaisantons, nous distribuons des blagues et des bêtises de circonstances, en laissant nos mains découvrir le nouveau corps qui nous est offert. Anna a les seins fermes avec de gros tétons qui se dressent à la moindre sollicitation. Je ne vois plus la main droite de Marc mais quand j’entends les petits cris de Lisa je sais qu’il joue avec son clitoris. Je suis surpris par la sensation étrange qui m’étreint brusquement et je comprends que j’ai du plaisir à entendre Lisa gémir sous les doigts d’un autre homme. Je caresse les cuisses d’Anna. Elle s’ouvre et je pars moi aussi à la conquête de sa chatte. Je glisse les doigts dans sa fine toison… je cherche ses ronronnements.
Sa chatte coule. J’ai envie de la gouter. Je soulève Anna pour me dégager puis je la tire au bord du fauteuil. Elle s’écarte encore. J’embrasse ses cuisses… son ventre… ses lèvres luisantes de désir. Je suce son clitoris et elle m’inonde d’un nouveau jet de cyprine. Je lèche… je bois… je me désaltère à cette nouvelle source prometteuse de plaisirs. Anna ondule… gémit… pousse de petits cris qui se joignent à ceux de Lisa que Marc, à présent, lèche avidement. C’est bon de l’entendre prendre du plaisir avec lui. Ça m’excite terriblement. Je m’active sur la chatte d’Anna. Elle jouit en me tirant les cheveux. Je n’en peux plus. J’ai trop envie de la baiser. Je place ses jambes sur mes épaules… cramponne ses cuisses et je m’enfonce d’un seul coup de reins. Elle crie :
— Oui… oui, baise-moi !
Je jette un regard inquiet à Marc. Il a dû entendre sa femme crier, mais il s’active toujours sur le clitoris de Lisa. Elle ne va pas tarder à hurler. Je pilonne Anna. Je déploie tout mon savoir pour ne pas la décevoir. Elle geint… elle crie… elle parle… et accompagne mes assauts de propos obscènes qui m’encouragent à la baiser plus ardemment… plus sauvagement. Et elle crie encore :
— Plus fort… plus fort !
Je ne vais jamais tenir la distance. Je me sens trop excité pour parvenir à me contrôler et je ne veux pas jouir comme un novice, sans l’avoir satisfaite. Alors je ralentis, histoire de reprendre le contrôle. Je sens quelques palpitations dans ma verge… comme quand…. mais non, l’orage s’éloigne et je me calme. Anna ne semble pas apprécier. Elle hurle :
— Baise moi, baise moi encore… fais moi jouir.
Alors je reprends de plus belle en espérant…Soudain elle me repousse… saute à quatre pattes sur le fauteuil… lève la croupe… et écarte ses fesses. Message reçu ! J’appuie le gland sur son anus. Ça rentre facilement. Au moment où je m’accroche à ses reins, elle lâche :
— Prends moi violemment j’adore ça.
Sa demande me déstabilise. Je tourne la tête vers Marc au moment où il entre sa queue dans la chatte de Lisa. Nos regards se croisent et il me fait un signe affirmatif de la tête en disant :
— Vas-y, te pose pas de questions.
Son accord me libère et je me lance dans un rodéo sauvage que j’agrémente de quelques claques sur les fesses d’Anna. Ses cris… ses mots… ses encouragements me signalent son plaisir. J’ai envie de la défoncer… de la déglinguer encore plus sauvagement… mais j’ai une queue épaisse et les parois de son fourreau exercent une pression, certes délicieuse… mais dangereuse pour mes performances. J’ai peur d’éjaculer trop vite. Il ne faut pas que j’y pense sinon ça va arriver. Je m’empare de ses mamelles. Elle hurle :
— Oui…oui…
Je les triture un moment puis lorsque je cherche à pincer ses tétons elle crie :
— Oh oui…oui, ça y est, je vais jou…iiiiir !
J’active encore mon pilonnage… à la limite de mes possibilités et elle explose… dans un langage fleuri. Encore un ou deux coups de reins et je vais venir à mon tour. Mais elle se dérobe… roule sur le dos… agrippe mes cuisses pour se redresser, et enfile ma queue dans sa bouche pour me pomper vigoureusement. J’éjacule en quelques secondes puis je m’écroule sur le sol. Lorsque j’émerge, je vois Lisa assise sur les cuisses de Marc. Elle lui tourne le dos et ses jambes largement écartées ne laissent aucun doute. Il est dans ses fesses… mais il ne bouge pas. C’est elle qui s’empale sur son pieu. Je sais qu’elle aime se faire sodomiser mais elle ne jouira pas. Elle n’y est jamais parvenu. Je l’observe, toute abandonnée à son plaisir. Je suis heureux. J’échange un regard avec Anna qui me demande :
— Tu aimes la regarder se faire prendre par un autre ?— C’est la première fois, mais oui, je crois que oui.— Moi aussi, ça me plait de voir Marc la baiser.
Encore une coïncidence !
— Et j’aurais bien aimée la regarder le sucer, conclut Anna.
Je lui souris et lui donne de l’espoir :
— La soirée n’est peut-être pas finie !
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