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Coline

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Coline

Heureusement le soleil est de la partie car les voitures sont rares. Je dois rentrer au campus pour reprendre les cours demain et l’autostop est le meilleurs moyen que j’ai trouvé, n’ayant pas encore mon permis de conduire. Les voitures passent, mais ne s’arrêtent pas ou ne vont pas dans ma direction. Un gros 4X4 s’arrête, et oh bonheur me propose de m’emmener. L’homme qui conduit présente bien, genre cadre commercial au costume impeccable, la cinquantaine, bronzé.La discussion s’engage et je lui apprends que mes études m’obligent ce passage en campus et en co-location. Je suis jeune et c’est ma première année. Il me pose plein de questions sur la vie ensemble et sur les relations garçons – filles etc. les kilomètres s’égrainent et je me détends. La discussion continue, aimable et je constate que bien que bien plus agé que moi il est ouvert d’esprit et curieux. Il fait un peu chaud dans la voiture et j’entrouvre ma chemise pour être plus a l’aise, ce qui amuse mon chauffeur qui me lance, si tu veux te mettre plus à l’aise, ne te gêne pas. nous allons faire un arrêt chez moi, j’ai un dossier à y prendre avant de reprendre la route.Je m’inquiète de savoir si de me déposer à ma destination ne va pas lui faire perdre du temps, et que je peux continuer la route en stop si nécessaire. non! Je dois juste récupérer ce dossier, et on repart.Devant le ton directif, je ne dis rien et profite du paysage qui s’offre à moi. La forêt est belle en cette saison. Le gros 4X4 s’engage sur un chemin de terre, et je comprends mieux le véhicule, la route est en fait un chemin de forêt en piteux état. Nous arrivons à un portail qui s’ouvre sous l’impulsion de la télécommande, et se découvre à nos yeux, une très belle maison plus proche du ranch que de la maison de ville, une écurie jouxte la maison.Il me fait signe de descendre et m’invite à entrer boire un verre avant de reprendre la route, ce que j’accepte bien volontiers, vu le temps passé au soleil à faire de l’auto-stop. Il retire sa veste et m’invite à m’asseoir dans un canapé en cuir. L’intérieur de la maison est à la hauteur de l’extérieur, et décorée avec goût. C’est chaleureux, et une grande cheminée fait face au canapé. Le style oriental surprend, mais s’intègre bien dans la maison.Je bois mon verre lentement pendant que mon hôte s’occupe à je ne sais pas quoi au juste. Il réitère sa proposition de me mettre vraiment à l’aise car il fait chaud. Je peux l’entendre aller et venir dans la maison. Il revient en short et polo, toujours impeccable. On voit qu’il fait du sport à sa musculature et sa peau bronzée. on repart tout à l’heure, et je n’ai plus de client à voir aujourd’hui.Un sac de voyage est prêt à côté de la porte ainsi que son PC portable. Il se sert un thé à l’orientale, l’eau coule dans le verre avec le bruit qui lui est caractéristique.
prends ton temps pour boire, on n’est pas pressés.
Je l’entends qui bricole dans sa cuisine, et reviens dans la pièce. Il est derrière moi, et je sens sa main qui se pose sur mon épaule. Ma respiration se coupe et je ne sais quoi dire ni faire. Je reste ainsi sans bouger. Sa main descend et s’insinue dans ma chemisette. La caresse est douce et je deviens ce que je devine être du plus beau rouge pivoine, tellement la situation est inattendue pour moi et troublante. Ma respiration s’accélère sous ses caresses. Il caresse mes tétons et joue à les faire rouler sous ses doigts. Le silence règne dans la maison. J’ai conscience que ce qui se passe n’est pas ordinaire, et que je n’avais jamais envisagé cette situation. Mille idées traversent ma tête comme des supersoniques, mais aucune ne s’arrête.
Après m’avoir pétri les tétons un petit laps de temps, il fait le tour du canapé et vient s’asseoir à côté de moi. Sa main se pose sur ma cuisse, et je suis comme cloué. Je n’arrive pas à bouger le moindre muscle, sans être tétanisé, mon corps ne réagit pas. Tu as l’air d’aimer ça petit,
Incapable de répondre, sa main commence un va et vient sur ma cuisse. Je tente de la retirer mais ma manœuvre est timide et peu convaincante.
hum tu fais ta mijaurée, j’aime ça !
Sa caresse remonte vers mon sexe. Curieusement, sans bander, je sens l’excitation et je devine que du liquide s’en écoule et est en train de mouiller mon slip. Sa main s’arrête sur mon sexe, l’enserre, je sens la puissance de sa main autour de mon sexe qui ne réagit toujours pas.
Je sens la fièvre qui envahit ma tête et mon corps. Tout en me maintenant par le sexe, il s’approche petit à petit de moi, prends mon visage, le tourne vers lui, et écrase ses lèvres sur ma bouche. Je sens la chaleur humide de sa langue pénétrer mes lèvres de façon autoritaire, je n’oppose aucune résistance. Je ne sais d’abord pas quoi faire, puis ma langue commence à s’agiter et aller au devant de la sienne. Nos bouches s’étreignent, et je sens que mon corps m’abandonne, j’ai perdu le contrôle, je n’oppose aucune résistance, je ne suis plus maître de moi.
Il me repousse doucement, mais ma tête le suit, j’en veux encore.Il me regarde en souriant, recommence à me caresser le haut des cuisses et mon sex au travers de mon jean. Je suis excité et ai envie que ça continue. Je me tends vers lui pour qu’il m’embrasse à nouveau.Il dépose un petit baiser sur ma bouche, me prends la tête et me pousse fermement vers son short.
Je n’oppose aucune résistance, je suis en feu et suis incapable d’analyser la situation. Avant que j’ai le temps de réagir, son sexe circoncis est hors de son short et je comprends que je vais devoir le sucer. Mon corps se redresse un peu, mais il tient la situation en main, et pousse un peu plus fermement. Je ferme les yeux et son sexe pointe à l’entrée de ma bouche. Je n’hésite pas longtemps, j’ouvre les lèvres pour laisser ce membre imposant envahir ma bouche, tout comme sa langue peu de temps auparavant. J’ai peur, car je n’ai jamais fais de fellation avant, c’est mon premier rapport sexuel à dire vrai.Ma bouche est ouverte et il va et vient dedans. Puis au fur et à mesure, mes lèvres, englobent son membre dur. Ma bouche va et vient à son rythme, ça dure longtemps, mais je ne peux me desserrer de son étreinte, sa main maintenant toujours fermement mon cou.
Il fait une pause, retire doucement son barreau de ma bouche, crache dessus et le remet sans ménagement. Le va et vient reprend de plus belle. De temps à autre, son gland tape le fond de ma gorge provoquant des débuts de haut le cœur.Au fur et à mesure que le temps passe, je reprends conscience de ce qui m’arrive et de la situation embarrassante dans je me trouve. Mon malaise augmente de plus en plus, jusqu’au moment ou je sens son corps parcouru de spasmes. De ses deux mains, il agrippe ma tête et la maintient calée.Je sens des jets puissants m’arroser le fond de la gorge. Un puissant haut le cœur me parcours, mais j’ai beau essayer de me débattre, la puissance dont il fait preuve me neutralise. Au bout de quelques instants je suis bien obligé d’avaler son jus salé. Un goût spécial tapisse le fond de ma gorge. Je me sens humilié et penaud. Il remonte son short, me regarde avec un large sourire, je sens ses lèvres chaudes m’embrasser, je me détourne. Il me glisse une tape sur les cuisses.Allez on y va, tu vas être en retard.Nous remontons dans le gros 4X4. Je me cale contre la porte, le nez pointé vers le sol, mes cheveux châtains clairs mi longs en paravent me protégeant de son regard. J’ai l’impression d’avoir fait une grosse connerie, et je ne suis pas à l’aise.
La route défile sans un mot. Je n’ai pas envie de parler, j’essaye tant bien que mal de remettre de l’ordre dans mes idées.
Nous arrivons à destination, la voiture s’arrête peu avant l’entrée. Il me regarde avec un grand sourire, me caresse la cuisse que j’essaie de soustraire de sa main sans y parvenir. — Allons, allons, tu vas pas faire ta mijaurée maintenant. Tu n’as pas envie que tout tes copains et copines soient au courant ? Je fais un timide non de la tête. Maintenant tu m’appartiens, tu vas être ma petite femme. Tu fais du stop toutes les semaines ?Je hoche la tête timidement affirmativement, et le regrette aussitôt. Tu seras au même endroit à la même heure la semaine prochaine.Son ton n’admet pas de contradiction. tu as bien compris ? Sinon, je fais savoir à tout le monde autour de toi ce que tu es.L’idée m’épouvante et je hoche à nouveau la tête en signe d’assentiment.
Je descends de la voiture et vais retrouver mes amis de co-location.
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