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Collection histoires vécues

Chapitre 2

Billet Joanna 2

Inceste
Billet Joanna 1
Cette histoire, Joanna me l’a racontée après une petite crise de cafard...
— Tu vois, mon fils a dix-huit ans, pas marié, toujours chez moi, alors que mon mari se fait rare et que je ne peux recevoir personne...— Tu peux venir chez moi, avec ton copain...— Oui, mais ce n’est jamais le même, et puis je ne veux pas te déranger... Enfin, mon propos, c’est qu’il m’est arrivé de rêver... Et pas des rêves bleus... Des rêves très X et même interdits, je pense que je deviens folle... En fait, quand ça me prend, je ne peux plus me contrôler et mon corps prend le pouvoir sur mon esprit, mon cerveau, je deviens moite, j’ai envie de sexe...— C’est normal, disons... Il nous arrive, lors de longues périodes sans rapport sexuel, de fantasmer, d’avoir besoin de calmer sa libido... On se touche, on va plus loin, certaines ont des sex-toys, de plus en plus sophistiqués, connectés, et surtout très réalistes...— Oui, je comprends... Mais je suis de l’ancienne époque, et seul le réel m’intéresse... J’ai pensé à me venger de mon mari. Il sait que je sais... On n’a plus de rapports depuis 6 mois... Cela me pèse trop. Un de ses copains est venu chez moi un soir. On a bu l’apéritif... De verre en verre, je me suis sentie libérée et prête... Sa femme était chez sa mère, il avait le temps. On a mangé un repas simple, surgelé, mais maison...
Il a adoré. La bouteille de rosé était presque vide. Il me mangeait des yeux, en buvant un café sur le canapé du salon... Je me laissais ma robe d’intérieur dévoiler mes charmes... Je parlais fort, on s’est embrassés dans la cuisine en rangeant le lave-vaisselle... Il m’avait suivie, j’ai eu peur ! On a ri, il a fait le reste... Ses lèvres ont glissé dans mon cou, ses mains se sont plaquées sur mes fesses, et j’ai senti son désir contre mon ventre...
Je lui ai murmuré que mon fils allait rentrer, il était au cinéma... La séance se termine vers minuit moins le quart...Il m’a soulevée sur la table, a écarté mes cuisses et j’ai senti sa langue venir me délivrer... Je me suis ouverte, j’ai libéré mes seins pour que ses mains les prennent... Genoux repliés, je lui offrais mon sexe comme une pute en manque... Je délirais, j’adorais, je partais, je jouissais en m’exprimant, ses doigts m’ont pénétrée, j’ai fondu et j’ai eu mon premier orgasme... Il me fouillait avec passion, trouvait mes points sensibles, il a sorti son dard, je n’en pouvais plus d’attendre, j’étais en transe, trempée... Il m’a mise sur le ventre, les jambes vers le sol, et j’ai senti son membre...
Un plaisir inouï, enfin une bite, une vraie, qui me prend en cadence, ses doigts me font vibrer, avec mon clitoris doucement caressé, j’ai monté mon bassin vers lui, plusieurs fois pour le sentir me pilonner... Quel spectacle, allongée, les seins plaqués, les bras en croix, je me suis donné sans m’arrêter de jouir...
Il est allé au bout, m’a défoncée, pendant plusieurs minutes, s’arrêtant pour reprendre son souffle, puis reglissant sa bite dans ma chatte, je la sentais écarteler mes chairs, me remplir comme jamais, à fond, mon vagin se distendait en me donnant de sensations intenses...
J’ai parlé dans mon délire, tant j’étais heureuse de vivre ces instants magiques, ce relâchement, abandon dédié au sexe...
« Oui, viens, défonce ma chatte, j’ai besoin de jouir, de ressentir ton dard, j’ai besoin de ton sexe, de me sentir à toi, de baiser avec toi, de sentir ta semence... Viens, lâche-toi... Je suis tienne ce soir...
Dans un fracas intense, la table n’en pouvant plus, je l’ai senti durcir, me tenir par les hanches et donner des coups de reins, m’emportant dans un monde bleu, jaune, blanc, rouge, vert, orange... Un arc-en-ciel, une explosion des sens, et cette chaleur dans mon ventre, irradiant mon dernier orgasme, avec mes râles de salope...
Que c’est bon de baiser... Que c’est bon le sexe, se donner, partager nos assauts, vibrer en ressentant cette chose nous emporter dans un plaisir intense...
Voilà... Quelques minutes de plaisir, un écart de conduite, le premier en 20 ans... Il l’avait mérité, juste retour des choses, il avait commencé... Son copain était tendre, me serrait dans ses bras, nous sommes retournés sur le canapé, j’ai fondu dans ses bras... Et je l’ai entendu...
« Maman, tu te fais baiser dans la cuisine ? C’est qui lui ? »« Paul, mon chéri, je ne t’ai pas entendu entrer... »
— Depuis quand je sonne avec mes clés ? — On n’a pas vu passer l’heure, Jean est un ami de ton père... Il a dîné avec moi, et d’une chose à l’autre... Comprends-moi, je suis sevrée de sexe depuis 6 mois... J’avais besoin d’un homme... — Je ne te juge pas, Papa est absent souvent, même pour moi... Mais te surprendre en pleine action, dans une partie commune, te voir jouir de lui, nue, son sexe te pourfendant comme dans les clips sur Internet... Je suis un peu sur le cul... Tu es ma mère, tu es sacrée et taboue... — Oh, mon chéri... Excuse-moi... — Tu aurais pu vous enfermer dans la chambre, j’aurais compris..., Tu n’as pas de compte à me rendre sur ta vie intime... Je sais que tu en as besoin comme tout le monde... — Merci, je vais passer à la salle de bain... On reparlera après. Jean, si tu pouvais nous laisser, on se rappellera...
Voilà ce qu’elle m’a raconté.
Une soirée anodine, en solitaire... Une visite imprévue qui illumine sa soirée... Deux adultes un peu ivres, une attirance mutuelle, basique, qui devient sexuelle après un bon repas et quelques avances déguisées... Puis ce premier contact qui met le feu aux poudres, ce baiser presque volé, suivi de caresses, le désir fait le reste et bien plus encore... Moment d’abandon, de partage, de sexe...La nature qui nous prend, nos phéromones qui font que nous des pantins, des poupées qui se donnent, pour vivre leur plaisir, parfois tant espéré...
V. Billet Joanna 2
Joanna est revenue chez moi, tôt ce matin, en pleurs ou presque...
Ivre de rage contre elle, contre son mari, contre son fils, contre les hommes...
Cela se passe quelques jours seulement après m’avoir confié sa première incartade extra-conjugale...
Joanna a parlé à son fils, Paul. Librement, reposée. Il est adulte et connaît un peu les problèmes des adultes... Son père qui voyage à l’étranger, lui qui découche souvent...
Cet ami, Jean, qui passe un soir et qui la fait craquer...Mais la soirée qui était magnifique pour elle se termine par l’arrivée de son fils, les découvrant en pleins ébats...
Il a bien réagi, n’a donné que son ressenti. Découvrir sa mère se faisant baiser sur la table de la cuisine, en vociférant ses orgasmes... Il n’allait pas le lui reprocher. C’est la première fois qu’il la voit tromper son père... C’est, pense-t-il, une sorte de revanche et il ne lui en veut pas...
En parlant à tête reposée, il lui confia avoir eu le temps de regarder jusqu’au bout, d’attendre qu’elle revienne de la salle de bain, nue et désirable, et de s’être collé à lui dans le grand canapé, tout en prenant son sexe, pour le ragaillardir... Il est intervenu avant que cela se déchaîne, pressentant que le second acte allait durer plus longtemps...
Il avoua avoir ressenti quelque chose, en regardant sa mère jouir sous son amant...La scène l’a hanté dans le fond de son lit, et le sexe géant, la pénétrait sans cesse... Provoquant ses orgasmes... Il ne peut le nier, il a ressenti du désir, tabou, mais il ne voyait que des êtres faisant l’amour sans gêne... Comme une vidéo porno, dont il connaissait l’actrice...
— Il m’a dit textuel : « j’ai ressenti du désir en te voyant et t’entendant jouir, feuler, gémir, te donner à lui, ouvrir tes cuisses, relever tes fesses pour mieux le ressentir et jouir sans cesse, en prenant plein la chatte, débordant de son foutre... »— C’est cru, mais réel, il en a souffert... Il en souffrira encore...— Hier soir, j’ai regardé la télé, un film que j’avais aimé... Quand il est entré, il est venu m’embrasser... Il m’a demandé si ça allait... Je lui ai dit que c’était fini avec mon ami... Que c’était moi qui avais tout déclenché, que j’étais à bout de nerfs et qu’avec l’alcool, je me suis désinhibée, l’invitant à rester manger... Qu’après le repas, je l’ai trouvé charmant, j’ai eu envie de lui... Il l’a vu, l’a compris, m’a embrassée...
Voilà, comme vous dites, c’était un coup du soir, juste un peu de sexe dans un désert affectif délirant...
— Bien dit... Et ?— Il m’a prise dans ses bras, a essuyé mes larmes, m’a dit qu’il était là et que ces choses-là pouvaient se partager, qu’il était un homme, qu’il savait aimer... Et quand j’ai ressenti ses mains, je me suis aperçue que j’étais presque nue...
Alors j’ai vu son sexe, il bandait réellement, un vrai chibre d’âne prêt à exploser !...
Je me suis levée d’un bond, j’ai filé dans ma chambre et me suis enfermée...J’ai appelé ma sœur... 20 minutes plus tard, Anne était devant moi...
Elle savait tout cela, que c’était obligé... Alors elle me raconta... A notre dernière fête, pour ses dix-huit ans, il a voulu l’embrasser, il l’a caressée dans le jardin, elle était en maillot de bain deux pièces qui ne cachaient rien de ses formes et même les mettait en valeur... Ils avaient bu ensemble, masqués par les plantes, allongés dans l’herbe fraîche...
Paul était beau, il lui parlait comme un homme, lui faisait la cour, des compliments sur ses formes, sa grâce, sa beauté... Elle accepta quelques caresses, un baiser volé... Il la serrait contre lui et lui demanda de le masturber. Il était dans un état second. En froid avec son mec, elle se sentit désirée, courtisée, des lustres qu’elle n’avait ressenti cela... Il embrassa ses seins libérés de son haut... Elle sentit du désir en chérissant le membre, il la fit s’asseoir sur lui, essaya de la caresser à son tour, le sexe prêt à la pénétrer...
Elle tenta de le raisonner, que c’était sans lendemain, qu’elle était sa tante, n’avait aucun sentiment pour lui, qu’il était attirant, mais pas au point de franchir le pas... Penaud et décontenancé, honteux de s’être mal comporté, il la laissa s’échapper, il lui fit jurer de ne rien me dire...
Quelques semaines passèrent et ils se revirent en ville. Il s’excusa, lui paya un verre... Ils se baladèrent, jusqu’à la roseraie... Elle était folle devant ces fleurs aux senteurs merveilleuses, elle virevoltait... Il lui sourit, un sourire enjôleur... Elle se laissa embrasser... Elle sentit son sexe contre son ventre, elle eut envie de lui...
Et comme la dernière fois, elle dut s’échapper, et le remettre à sa place...A deux doigts de céder aux charmes de son neveu dont elle rêvait la nuit...
— Tu as envie de lui ? — Il m’a ensorcelée sournoisement, et maintenant quand j’entends sa voix, je fonds... — Alors, aide-moi... Fais-le avec lui... — Que je baise avec mon neveu ? — Que tu lui fasses l’amour, toute une nuit d’amour, que tu le vides, que tu lui fasses tout, lui demande tout, qu’il soit comme une loque... — Mais... Pourquoi ? — Je veux qu’il souffre, qu’il comprenne que les femmes ne sont pas des putes qu’on baise dans les jardins... Qu’on a besoin de ressentir des sentiments pour connaître le vrai amour, le sexe ne suffit pas, l’esprit doit le guider... — Cruelle avec ton fils... Mais je te comprends ! — Oui, je veux m’en libérer, car comme toi, je rêve de son sexe, je sais qu’il est allé te voir parce que je me suis défilée... Il était prêt à le faire avec moi, ouvertement... — Oh !... Mais il est comme son père, un queutard de première, un baiseur sans vergogne ! — Il t’a... ??? — Oui, il m’avait vue avec son fils... Il m’a fait chanter la semaine d’après... J’y suis passée... Et je te comprends, il est con et nul au pieu !— Tu aurais pu me le dire... — Bof, ça n’a pas compté pour moi, une heure de semblant de jouir... — Alors pour Paul ? Tu sembles apprécier sa jeunesse et sa fougue, je me trompe ? — Non, je ne me forcerais en rien... — Alors c’est dit. Je pars avec Jean ce week-end, Paul ne le sait pas encore, tu vas t’inviter et tu feras le nécessaire, tu auras tout le temps... Et tu me rendras compte le lendemain matin...
Avec Jean que je ne voulais pas revoir, c’est un feu d’artifice. Il a compris que je viendrais pour le sexe, remplacer mon mari absent... Il s’est doté de pouvoirs magiques...
Je n’ai pas vu passer la nuit du samedi au dimanche matin. Ce fut l’apothéose...Puis j’ai vu mon smartphone, le SMS disait :
— Je me suis sacrifiée pour toi... Il est vide ! Son service 3 pièces est en réparation, je rentre chez moi... Et merci du cadeau, j’ai adoré !
Je réponds en notant que moi aussi, j’ai fauté pendant ce temps... Jean, c’est un étalon, un prince, surtout dopé... Il m’a fait des choses que j’avais oubliées, alors merci pour tout, heureuse que tu aies pris du plaisir avec Paul...
La semaine suivante, Paul rentre vendredi soir de sa formation...Pas un mot depuis le week-end dernier. Juste un au revoir...
Je le questionne sur son week-end, après avoir parlé du mien et que tout était fini avec mon amant...Il est déçu... Me demande pourquoi j’ai cassé avec Jean...
— Je ne parle pas de Jean, c’est du nouveau dont je parle, celui de ce week-end... Et toi ?— Bof, Anne est venue te voir, mais tu étais partie. Elle m’a tenu compagnie...— Vous êtes sortis ?— Euh... Ensemble ?— Oui, évidemment !— Ah, oui, pardon, non, elle a regardé un film avec moi, on a discuté... Elle m’aime bien... On a soupé pizza et vin rosé... Elle a dormi ici, c’était plus prudent...— Avec toi ?— Ben... Oui... Tu sais, elle est très attirante... Je ne suis qu’un homme...— Tu as baisé ta tante ?— Elle était en manque, son ami s’en va... Elle n’avait pas le moral... On a un peu flirté sur le canapé, c’est pas la première fois que je lui fais des avances... Et comme tu m’as dit, d’une chose à l’autre... On a fait l’amour comme des bêtes, toute la nuit... Rassure-toi, sans sentiment, elle s’est servie de ma bite pour se donner du plaisir, sans réserve, comme avec un coup d’un soir...
Mais j’ai adoré la prendre comme une catin, faire ce que je rêvais de te faire, baiser sans façon, sans arrière-pensée, la faire crier de plaisir, enchaîner ses orgasmes, la faire délirer, la voir s’éclater, entrer en transe, recommencer...
— Bon... J’espère que cela t’a remis les idées en place...— C’est vrai... J’aurais dû le faire depuis longtemps... Je l’ai sodomisée avec plaisir, elle a hurlé au début, puis s’est mise à onduler et partager, se donnant en ouvrant ses fesses... J’ai joui dans son cul, une première pour moi... Elle beuglait de plaisir en masturbant sa chatte... Anne est une bombe, elle aime le plaisir, elle aime le sexe... Elle s’enivre un peu avant, puis s’offre tout de go... Nue, lascive, entreprenante, offerte et tentante... J’ai plongé sans réserve dans sa douce chatte... Dieu que j’ai joui, je n’ai pas arrêté de la baiser, et à chaque pénétration, elle criait son plaisir, me griffant les épaules... J’étais son dieu, j’étais amoureux, je te voyais en elle...— Paul ! — Maman, si tu savais comme c’était bon... Elle s’était rasée pour moi, elle a dessiné un papillon sur son pubis, comme s’il allait se poser sur sa chatte lisse pour la butiner, comme moi... Je repensais à toi dans ton lit, nous masturbant ensemble...— Arrête, tu me troubles... Anne est ma sœur, tu l’as prise, elle était d’accord, elle aime le sexe, en a besoin, juste le sexe Paul...— Oui, mais c’est toi que je voyais jouir !...— Non, c’est impossible !... — Je l’ai appelée Jo... Elle a eu un orgasme... Je l’ai défoncée... J’étais déchaîné... Je suis resté longtemps en elle, dans son vagin inondé, avec mes bébés qui la fécondaient... — Paul, non...
Il a sorti son membre qui s’est dressé d’un coup, alors qu’il racontait encore ses exploits avec Anne...Il était là, près d’elle, il a posé sa main sur son sexe...Joanna l’a serré, comme on serre un trophée... Elle l’a entouré avec ses doigts, lui faisant un écrin...
On n’entendait plus rien, que leurs souffles retenus...Elle s’est penchée et a ouvert la bouche...Quand ses lèvres l’ont touché, le membre a bougé, reprenant du volume...Les lèvres coulissaient le long de la hampe, en de grands mouvements qui le faisaient gémir...Plus question de discours, la fellation se transmettait jusqu’à son propre sexe qui se libérait, qui coulait son désir...Ils se sont aimés, mécaniquement emboîtés, et les orgasmes ont fusé de part et d’autre, le sperme giclait toutes les dix minutes, elle recommençait, s’offrant sans plus de doutes, et elle jouissait, jouissait, comme une nymphomane, jusqu’à ce qu’elle le sente exploser dans sa chatte...
Quelle passion entre ces deux êtres... Quel inceste pourrait être imaginé de façon plus intime ?...
Joanna a rêvé...
Le lendemain matin, elle avait tout oublié, puis Jean l’a appelée, elle s’est jetée dans ses bras... Anne était là, les regardait s’embrasser... Alors Joanna l’a invitée à les accompagner pour ce week-end. Pour la remercier, comme une communion, pour enterrer ses tabous sous des tonnes de caresses...
FINMarika842010 - Août 2019
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