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La collègue

Chapitre 1

Erotique
J’étais jeune marié, une petite trentaine, et je travaillais dans un cabinet comptable de moyenne importance. Assez diplômé mais encore sans grande expérience, on m’avait adjoint une collaboratrice d’expérience, mais moins diplômée. On faisait équipe, elle me montrant l’exécution des tâches routinières, et moi chargé des travaux plus théoriques.Elle avait une bonne cinquantaine, sans être laide son visage accusait un peu son âge, mais elle avait gardé une silhouette assez fine avec des nichons imposants, surement un 95D. Elle portait en général pantalon et t-shirt, ces derniers parfois assez échancrés, et quand on se penchait sur un dossier, j’avais souvent une vue plongeante dans l’échancrure du t-shirt, et comme elle avait en général des soutifs un peu grands, je voyais ses globes balloter légèrement au gré de ses mouvements. Et moi qui adore les poitrines tressautantes, j’étais comblé – au moins des yeux et de l’esprit – et il m’en venait même parfois un début d’érection !!!... Vous me direz « mais c’était une vieille, vu ton âge !... » Certes, mais que voulez-vous ? Elle avait du charme, d’humeur toujours égale, et elle me cocoonait quelque peu ! Bref, j’avais grande envie de me la lutiner !!!... D’ailleurs, certains soirs, en prenant en levrette ma dulcinée, je rêvais que c’était Irène que je tronchais, et je suis sûr que dans la phase finale, les jets de foutre dont je remplissais le con de ma chère et tendre n’en étaient que plus abondants !!!...Un soir de printemps, nous eûmes une soirée professionnelle à quelques dizaines de kilomètres chez un de nos clients, dans un « relais et châteaux » vers Rambouillet. Irène et moi ne connaissions pas grand monde et nous avons passé la soirée ensemble, alternant rocks et coupes de champagne ; nous hasardâmes même un slow, pas trop collé, mais je laissais mes mains un peu trop bas et j’eus droit à un « Pierre, tenez-vous, on peut nous voir … ». Je remontais vite mes mains, trop prompt car j’eus une autre épigramme « voyez, votre promptitude à arrêter prouve que votre geste n’était pas anodin !!!... » avec un petit regard en coin qui en disait encore plus long … « Si vous croyez que je ne remarque pas vos regards plongeants dans mes décolletés !!!... » Je rougis comme un adolescent pris à mater sous les jupes de son prof d’anglais !!!... Et l’espiègle de continuer « Vous n’avez pas honte, vous êtes tout juste marié, avec une femme ravissante, et j’ai largement l’âge d’être votre mère !!!... » Je restais pantois, ne sachant trop quoi dire ! La musique s’arrêta et nous décidâmes de boire une dernière coupe et de prendre congé de nos hôtes …A vrai dire, nous avions pas mal éclusé, et la frêle Irène commençait à accuser le coup ! Et quand nous regagnâmes le parking elle trébucha sur une bordure et j’en profitai pour la soutenir par la taille ; elle ne me repoussa pas, et je la sentis même se reposer sur mon bras. Pour la circonstance, elle avait délaisser ses jeans habituels et portait ce soir-là une sorte de robe chasuble trapèze, assez courte pour son âge (une dizaine de cm au-dessus du genou), et j’admirais des mollets et un début de cuisse bien galbés, gainés dans un collant ou des bas brillants ; le haut de la robe avait des bretelles assez larges, et la zip courrait dans le dos du haut jusqu’au milieu du popotin … Sa voiture était gérée assez loin, et nous cheminions dans la pénombre. Je n’osais pas refaire s’aventurer mes mains, en revanche je fantasmais un maximum et je me mis à bander !... Arrivés à sa voiture, elle me demanda d’un air un peu gêné si je pouvais conduire, car elle se sentait « un peu pompette » … J’acquiesçai et lui ouvrant la portière passager, je l’aidais à s’installer, ce faisant en s’affaissant à moitié, elle écarta grandement les jambes et j’eus là un gros plan sur ses cuisses et son entrecuisse, et pus constater qu’elle était en collant… J’eus un regard sûrement égrillard, qu’elle n’a pas dû distinguer dans la semi-pénombre et laissais fuser un espiègle « jolies gambettes, Irène, j’admire et j’apprécie …». Je m’installais ensuite, plein de cochonneries en tête, et je me demandais in petto où je préfèrerais l’arroser de mon foutre. Elle me dit « Conduisez prudemment, Pierre, car vous n’êtes pas beaucoup plus net que moi !!! »… Effectivement, sur l’autoroute, je ne dépassais pas le 70. Irène s’assoupit, après avoir incliné le siège, la robe assez troussée, quasiment en haut des cuisses. Ces dernières légèrement écartées, dans une position un tantinet érotique …Je ne pus résister à la tentation de poser une main lourde sur sa cuisse gainée « Ca va, Irène ? »… Elle me répondit d’un murmure avec son habituel sourire… « Ca va aller, Pierre, merci … ». Un moment plus tard, « arrêtons-nous s’il vous plaît, j’ai une envie pressante … » Je pris une aire d’autoroute déserte, et me garais près de la guérite… Ni boutique ni station-service, une aire de repos toute simple, un peu à l’écart … Je l’aidais à descendre, elle me dit, « je ne vais jamais dans les toilettes, c’est sale et plein de mauvaises odeurs… ».Sans vergogne alors, sans doute incitée par l’envie irrépressible et perdant un peu le sens des convenances sous l’emprise de l’alcool, elle s’accroupit en se troussant aux hanches, et en baissant le collant aux chevilles, et elle se met alors à pisser d’un jet long et puissant sur le macadam, et ça dure, ça dure, tellement elle a dû se retenir… je contemple ses cuisses et ses fesses musclées. Galant, je vais chercher dans la voiture un paquet de kleenex et lui présente… Elle se tourne pudiquement et s’essuie le minou !!!... et se rajuste …On se réinstalle dans la voiture, le parking est désert, et dans une quasi obscurité… Je lui entoure les épaules de mon bras droit, et me penchant vers elle « Ça va mieux, Irène ? »« Ça va, Pierre, ça fait du bien … » Et alors, n’écoutant que mes sens, je lui roule une pelle grand siècle ! Elle se débat un peu, mais j’ai bien assuré ma prise (!!!...) et j’ai sa bouche grande ouverte, et ma langue y fouraille à qui mieux mieux… « Pierre, vous êtes décidément insupportable »… Je ris et reprends la pose, cette fois je la sens s’amollir, et nos langues se trouvent, s’emmêlent, se poussent et se repoussent, s’épousent … Elle sent l’alcool, mais quel pied que ces baisers !!!... On reprend de nouveau notre souffle … « Bon, ça suffit, on rentre, conseille-t-elle en fronçant le sourcil … ».Loin de m’exécuter, je me repenche vers elle et l’embrasse de nouveau fougueusement. Ma main droite quitte son épaule et trouve la boucle du zip de la robe dans le cou, je la manœuvre jusqu’au milieu du dos, en la décollant du siège pour laisser le passage à ma main, tout en continuant à lui fouir la bouche. Ma main droite atteint la boucle du soutien-gorge que je dégrafe sans mal (je suis un expert en dégrafage de soutif !!!), puis remonte maintenir Irène à l’épaule, tandis que ma main gauche investit le décolleté de la robe et va emprisonner un sein rendu libre par les bonnets détachés. Irène a des seins normaux pour son âge, non siliconés, je les sens mous et roulants sous les doigts, bien malléables, je les imagine ballotant large quand la belle est besogné en levrette !!! J’adore !!!... Quant à Irène, sous ces débuts d’assauts, elle semble au moins résignée, voire consentante … Je lui pelote les seins à qui mieux mieux, elle feint de résister, mollement… Ma main gauche sort du haut de la robe et s’aventure sur les cuisses, troussant le tissu au passage ; je parviens sans peine à l’entrecuisse, Irène essaye de serrer les jambes, je continue à l’embrasser à bouche-que-veux-tu … On respire une seconde, « allez-Pierre, cessons cela, on pourrait nous voir … » Je la regarde, narquois, « c’est seulement la peur d’être vue qui vous ennuie ? »- « Bon, arrêtez maintenant, Pierre, soyez raisonnable »…Je me déboutonne rapidement et sors ma tige dressée, au gland déjà décalotté et turgescent, et prenant la main droite d’Irène, je la pose sur mes couilles gonflées … « Vous voyez, Irène, je n’y peux plus rien, il va bien falloir que vous me soulagiez d’une manière ou d’une autre… » Là je me mets à lui murmurer à l’oreille en mots crus, et ce faisant, j’insinue de force une main entre ses cuisses et l’envoie assez loin derrière ses fesses, et je parviens à enfoncer un ongle dans le collant, à y pratiquer un petit trou, que j’agrandis bien vite et qui devient en quelques secondes une longue fente d’une bonne dizaine de centimètres, à l’endroit crucial de l’anatomie d’Irène, bien sûr !!! Insinuant la main dans cette fente, je sens maintenant sous mes doigts une toison abondante, un véritable buisson de poils longs, drus et frisés ! J’adore les foufounes de cette sorte !!! J’aventure un doigt entre les lèvres, et qu’elle n’est pas ma surprise de trouver un con tout trempé, j’y introduis 2 pleins doigts, mon impression se confirme, la délicieuse Irène mouille comme une ado devant Justin Bieber !!!... Je lui murmure à l’oreille, salace, « Chère Irène, vous avez l’air toute émue … »… « Oh, Pierre, vous êtes insupportable, allez, baisez-moi vite fait puisque c’est ce que vous voulez, et n’en parlons plus… » Inutile de préciser que je ne me le fais pas dire 2 fois, et basculant le siège au maximum, je cale au mieux ma proie, et lui écartant les cuisses sans ménagement, je me vautre sur elle, et sans coup férir ma tige trouve le chemin de sa chatte ouverte, offerte et prête à l’emploi, et l’investit d’une seule poussée, à fond… Le plaisir est si intense que je manque de décharger immédiatement, je me reprends Dieu merci, je me coule sur elle et vais de nouveau lui rouler de belles pelles, tout en lui parlant du « con d’Irène » d’Aragon qui me revient en mémoire. Ma vigueur maîtrisée, je me mets à la besogner dur, la limant, la pistonnant, la tronchant, le tout sans ménagement et sous mes coups de boutoir elle tressaute sur le siège, alternativement lui malaxant les nichons, lui pelotant les fesses et les cuisses au travers du collant, l’embrassant goulument en allant même jusqu’à lui cracher dans la bouche, et lui racontant tous les fantasmes qu’elle m’a provoqués depuis 6 mois, lui rappelant les circonstances et lui expliquant qu’alors je bandais pour elle en le cachant …Elle ne disait pas grand-chose, me rendait mes patins, écartait les cuisses au maximum, elle parvint aussi à trousser ma chemise, et je sentis ses mains me caresser le dos… « Vous mériteriez, Pierre, que je vous laboure le dos de mes ongles, pour que votre femme vous demande des explications … »… Mais ses halètements devenaient plus rythmés, je me sentais bien, invincible, et fort au point de l’amener à l’orgasme … « Finissez, Pierre, dépêchez-vous… » Elle avait encore un reste de pudeur qui lui soufflait de ne pas se livrer au plaisir sous mes assauts furieux… Mais je la besognais toujours et la sentais partir, « laissez-vous aller Irène, gémissez tant que vous voulez, nous sommes seuls, prenez votre plaisir tout votre soul … » Elle haletait maintenant en cadence, de plus en plus fort, et soudain ce fut un feulement continu, je la sentis se raidir, son gémissement se fit intense, puis s’éteignit, elle retomba pantelante… De mon côté alors, je décidais de lâcher les chiens, je l’écartelais le plus possible pour l’ouvrir au maximum, je l’enconnais bien à fond, et je laissais filer mon orgasme, et en plusieurs soubresauts mes couilles se vidèrent, et de longs et répétés jets de foutre vinrent inonder le con d’Irène, ce fut un orgasme extraordinaire, qui dura plusieurs dizaines de secondes.Finalement je me rendis à mon tour, et totalement vautré sur Irène, je continuais à lui débiter des insanités, mais en lui disant aussi qu’elle m’avait procuré un des orgasmes les plus intenses que j’aie connus …Elle reprit la première ses esprits « Pierre, vous êtes un violeur, un suborneur, un salaud, un profiteur, un voyou, un chenapan, un forban … mais qu’’est-ce que vous m’avez fait jouir !!!... » … « Allez, poussez-vous il faut qu’on y aille, il est 1 heure du mat’ votre gentille petite va s’imaginer … et mon époux jaloux comme tout va me torturer de questions … »… « Surtout quand il va voir l’état de votre collant, dis-je espiègle !!!... »… « Je ne vais pas lui montrer, évidemment …, je filerai directement à la salle de bains … »Ainsi commença une longue aventure. Débutée assez débridée, elle tourna assez vite à une grande tendresse, moi trouvant en elle une sorte de mère, elle me traitant comme ses deux fils qui d’ailleurs avaient mon âge… Cette relation n’excluait évidemment pas le coït, car jusqu’à la fin elle me fit bander, et pourtant elle ne suçait pas, branlait à peine, en fait rien que de la voir ôter son t-shirt me procurait une érection, et vite alors nous nous mettions nus ; nous étions assez routiniers, le missionnaire, elle cuisses largement ouvertes, moi me coulant vite dans sa chatte offerte, nous nous frottions, nous embrassions, en général ses mains me caressait doucement le dos et le visage avec des mots doux et tendres…Nous vieillîmes ainsi tous les 2, moi acquérant enfants et responsabilités professionnelles, elle en rides et en résignation face à l’âge et la maladie. J’étais amoureux de ma femme, mais avais néanmoins toujours pour Irène cette passion d’ado pour une femme mure. Nos étreintes étaient tendres et confiantes, faites certes de l’empathie mutuelle de nos épidermes, mais aussi d’une complicité affectueuse. Ses mains me caressaient le visage comme elle devait caresser ses fils, quant à moi je continuais à la limer passionnément, elle me traitant d’obsédé et prenant son orgasme de temps en temps. Cette liaison dura plusieurs années, sans nuage ni d’autres perspectives qu’une rencontre de loin en loin. Et puis la maladie la prit, on se vit et s’aima jusqu’au bout. Quand elle mourut j’eus un vrai chagrin, comme si ma mère était morte une seconde fois.Je chéris toujours aujourd’hui Irène, le souvenir de ses tendres paroles, ses doux sourires et son corps accueillant. A son évocation toujours un accès de mélancolie m’enserre, et je me dis que, même si tout est chimère dans les illusoires plaisirs de notre vie, mon « histoire Irène » en aura du moins été un des plus exaltants…
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