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Ma collègue de bureau… et son neveu

Chapitre 1

Orgie / Partouze
D’abord l’épilogue de mes frasques au bureau en 1999 :
Quand Martine est rentrée le lundi 19 juillet, j’avais repris une tenue plus conventionnelle. Légère, vu qu’il faisait toujours aussi chaud, mais pas trop dénudée : Robes d’été, chemises sans rien dessous en haut comme en bas, évidemment, vous me connaissez (sinon allez lire mes aventures d’abord...).
Je m’aperçois d’ailleurs que je ne vous ai pas encore décrit Martine. Ma collègue a deux ans de plus que moi, donc 35 ans en ce changement de millénaire. Elle a une silhouette assez mince, mais avec apparemment des fesses bien rondes fesses et une poitrine d’un gabarit un peu supérieur à la mienne. Elle s’habille très sobrement, met peu de maquillage et ses cheveux châtain clair sont longs et le plus souvent attachés en chignon négligé. Je sais par nos papotages dans les moments calmes au bureau qu’elle est divorcée sans enfant et qu’elle travaillait à cette époque dans notre agence de Lyon. Mais pour prendre de la distance avec son ex-mari qu’elle croisait trop souvent et comme elle préfère le climat du midi, quand elle a su qu’une place se libérait à Marseille, elle a postulé et a été choisie. C’était un an environ après que je sois embauchée et nous avons bien sympathisé. Toutefois, nos rapports sont toujours restés professionnels jusque-là.
Et évidemment, si je lui ai parlé de notre famille, je ne l’ai pas mise au courant de nos pratiques sexuelles débridées. Tout juste sait-elle que nous pratiquons le naturisme.
Donc après son retour, il ne s’est rien passé de spécial et le vendredi, je l’ai laissée puisque c’était à moi de partir en vacances, Sylvain rentrant le lundi. Quand je suis revenue le 16 août, c’était Martine qui était partie pour rejoindre sa sœur ainée avec qui elle a l’habitude d’aller passer une semaine dans un village-vacances en Corse chaque année. En fait, ce sont des bungalows qui sont loués par le comité d’entreprise de la boîte où travaille son beau-frère et cette année, ils ont eu le créneau de la troisième semaine d’août. Ils y vont tous les deux avec leur fils et elle en profite avec eux, car il y a trois chambres et qu’au moins, elle décompresse bien dans cette ambiance familiale. Du coup, je me suis retrouvée avec mon boss, et quand Martine est rentrée, tout s’est déroulé comme avant, surtout que la période de reprise en septembre est toujours chargée.
Et voici ce qu’il s’est passé l’année suivante :

Mercredi 16 août 2000
Au bureau, nous avons pris l’habitude de prendre trois semaines en été pour en garder deux en hiver et printemps. Martine a choisi le créneau du 1er au 23 juillet par rapport à son histoire de bungalow en Corse. Je suis en vacances depuis le 22 juillet et je rentre à l’instant, Sylvain ayant décidé que les bureaux seraient fermés le lundi 14, le 15 août étant férié. Sylvain en ayant profité pour partir le vendredi 11 août et ne devant revenir que le 3 septembre, nous sommes aujourd’hui seules au bureau.
Cette fois, j’ai décidé de tester un peu ma collègue vers la nudité, voire le sexe. Mais tout doucement tout de même. Ce serait tout de même catastrophique de se retrouver fâchée avec la personne qui partage toutes mes journées.
Je sais, pour en avoir parlé avec elle, qu’elle aussi a déjà pratiqué le naturisme, mais très peu, et pas depuis longtemps, avec un ancien petit ami. Mais je me dis que c’est un bon angle d’attaque. Je profite du moment de la pause-déjeuner pour lui raconter l’épisode de l’an dernier, en le modifiant pas mal, de quoi rester soft :
— Tiens, tu connais Sophie, celle qui t’a remplacée l’an dernier ?— Euh... oui, mais seulement au téléphone.— Eh bien, il faisait tellement chaud qu’en en parlant, on a fini par tomber d’accord pour se mettre un peu plus à l’aise puisqu’on était seules au bureau. Surtout qu’il y a pas de vis-à-vis directement en face de nos fenêtres, juste les quais et la mer.— Ah bon ? Et c’est quoi que tu appelles “plus à l’aise” ?
— Ben, le premier jour, on s’est mises en soutif et culottes. Et comme on était trop bien comme ça, dès le lendemain, on est venues avec des maillots de bain.— Ouah ! Et si quelqu’un était entré ?— Pas de risques. D’abord, déjà que les clients font tout par téléphone et ne viennent que rarement ici, idem pour les formateurs, l’été c’est encore plus tranquille. Et de plus, ils sont obligés de sonner puisqu’on est les trois seuls avec Sylvain à avoir la clef. Ça laisse largement le temps de se rhabiller correct.
Finalement, comme elle ne veut peut-être pas passer pour une vieux-jeu, elle me dit :
— Bon, OK, ça me dérange pas si tu veux refaire pareil étant donné la canicule.— Merci, j’aurais pas voulu le faire sans ton accord. Et toi ?— Moi, je sais pas si je me sentirais vraiment à l’aise de te suivre dans cette voie.
Je la remercie et retourne dans mon bureau où je vire immédiatement mes fringues pour me retrouver en soutif et string. En effet, ayant prévu de me lancer aujourd’hui dans cette voie, j’avais mis un string au lieu d’être cul nu comme d’habitude. Mais par contre, je porte un soutif sans bonnets. De toute façon, je n’en ai pas beaucoup, et tous de ce modèle.
Un peu plus tard, Martine doit venir pour me parler d’un dossier et elle reste scotchée :
— Oh, Anna !— Quoi ?— Ben, c’est quoi ce soutif ?— Justement, il porte bien son nom, il soutient les seins, il ne les comprime pas.— OK, mais avoue que ça surprend. C’est pas le modèle standard.— Non, mais quitte à en porter, ça fait longtemps que j’ai choisi ces modèles.— Ah bon, tout le temps ? Même ici ?— Oui, surtout ici. D’ailleurs, j’en mets généralement pas du tout. Et puis ça tient moins chaud. Pas vrai ?— Euh... oui, c’est certain ; vu comme ça. Et en bas, je parie que c’est l’équivalent ?— Evidemment, string comme tu viens de le deviner !— Bon OK, la surprise est passée, ça va. Parlons un peu de travail !
Elle s’approche donc de moi et s’assoit à côté pour que nous travaillions sur le dossier. Tout ce temps, je sens qu’elle ne peut s’empêcher de jeter des coups d’œil vers mes seins dans leur présentoir de dentelle. Mes tétons sont en érection vu que l’exhibition me fait toujours cet effet et elle ne peut l’ignorer, car elle les a pile sous son nez. Puis elle retourne dans son espace, non sans avoir jeté un dernier regard vers ma tenue bien plus légère que ce à quoi elle s’attendait. Du coup, je ne me prive pas du plaisir de me déplacer sous son nez comme ça, lui montrant souvent mes fesses et mes tétons, qui soit dit en passant restent bien durs. Mais j’ai mis un string pas trop transparent pour ne pas tout lui dévoiler dès le premier jour. En fin d’après-midi, après m’être rhabillée, je promets à Martine de mettre un maillot de bain dès le lendemain, plutôt que de la lingerie.

Jeudi 17 août 2000
Chose promise, chose due : ce matin, j’enfile un maillot de bain, mais un string évidemment. J’en choisis un vraiment mini, trois ficelles minces et un triangle suffisamment petit pour laisser deviner que ma touffe est vraiment réduite. Dès mon arrivée et après le rituel café de démarrage avec ma collègue, je vais dans mon bureau et vire la robe légère que je porte pour me retrouver en string et sandalettes. Quand Martine me voit débarquer dans cette tenue un peu plus tard alors que je la rejoins à son bureau, elle marque le coup, mais pas trop. Elle me fait même un clin d’œil en disant :
— Ah, tiens ! Pourquoi ça ne m’étonne pas que ton maillot soit de ce type et sans le haut ?— Peut-être parce que tu connaissais déjà mes sous-vêtements ?
Bon, apparemment elle le prend à la rigolade, donc je vais pouvoir aller plus loin. J’attends toutefois qu’elle se soit bien habituée à me voir évoluer en cache-sexe sous tous les angles pour lui proposer de faire comme moi. Comme c’est la fin de la pause de midi et qu’il fait une chaleur de four, elle finit par céder et se déshabille enfin en marmonnant :
— Pfff, qu’est-ce que tu me fais pas faire...— Allez, laisse-toi tenter, tu vas vite te rendre compte que tu seras bien mieux !
Et elle se retrouve en sous-vêtements. Comme je le pressentais, ils sont des plus classiques : un soutif à armatures et un slip tanga, le tout blanc et bien opaque. Je la félicite pour sa libération et nous nous remettons au travail. Je note au passage en parlant avec elle que je ne me suis guère trompée pour ses mensurations, car vu sa finesse de corps et le volume de ses doudounes, elle doit porter du 85E. Quand nous nous rhabillons en fin de journée, elle a l’air de s’être bien accommodée de cette situation. D’ailleurs, je la questionne et elle me confirme qu’elle veut bien continuer comme ça, mais qu’elle aussi mettra plutôt un maillot le lendemain, tout en précisant :
— Mais ce sera un vrai bikini...

A suivre...
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