Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 228 J'aime
  • 6 Commentaires

Ma collègue de bureau… et son neveu

Chapitre 3

Orgie / Partouze
Samedi 26 août 2000
Cette fois, c’est complètement à poil que j’ouvre la porte à Martine. Elle s’exclame :
— Mais Anna, tu es toute nue !— Ben quoi, tu m’as déjà vue comme ça, non ?— Euh, oui, mais là, tu es presque dans la rue. Et s’il passait quelqu’un ?— Justement, pour l’instant c’est désert, alors entre vite si tu veux pas que ça arrive.
Elle me suit et me donne un sac dans lequel il y a du vin et un gâteau. Elle tenait à ne pas venir les mains vides. Je lui montre la chambre d’amis en face de la nôtre et la laisse s’installer et se déshabiller tranquillement.
Quand elle nous rejoint, je vois qu’elle n’a pas fait de chichis pour ne rien porter sur elle que ses lunettes de soleil. Elle va faire la bise à Ber qui est dans la piscine, ce qui l’oblige à se pencher, lui offrant une belle perspective sur ses seins qui ballotent doucement.
Après une première baignade durant laquelle elle a l’occasion de se relâcher complètement, nous ressortons et nous essuyons pour profiter du soleil sur les matelas posés au sol sur la terrasse. Nous nous passons tous un peu d’huile de protection avant de nous abandonner aux rayons sur le dos.
Au bout d’un bon moment, comme elle se retourne pour exposer un peu le côté pile, je m’empresse de proposer à ma collègue de se passer mutuellement l’huile sur le dos pour plus de facilité. Elle accepte et comme je n’attends pas pour me mettre la première sur le ventre, c’est elle qui commence. Elle le fait très sobrement, des épaules aux chevilles, n’insistant que peu sur les fesses et n’aventurant pas ses doigts entre elles, bien que j’ai pris soin de bien écarter mes cuisses pour qu’elle puisse passer. A défaut d’y mettre les doigts, elle a certainement une vue dégagée sur ma fente et ma rosette.
Par contre, quand elle finit et que c’est à mon tour de m’occuper d’elle, je ne me gêne pas, me fixant tout de même la limite de ne pas l’attaquer sexuellement pour le moment, d’aller juste un peu plus que ce qu’elle m’a fait. Je me permets donc de déborder largement de son dos pour venir effleurer la naissance de ses seins. Puis mon action sur ses fesses se transforme en massage pendant lequel je vais assez loin entre ses deux globes sans pour autant toucher sa rosette que je découvre et qui est assez tentante. Enfin, lorsque je remonte le long de ses jambes depuis les chevilles, je termine contre le creux sous ses fesses puis je redescends vers les mollets. Je remonte à nouveau et cette fois, je prends un peu plus en paume ses fesses, les écartant vraiment et opérant un mouvement tournant vers l’intérieur de ses cuisses qui amène mes pouces pratiquement au contact de sa chatte. Je note que sa fente est bien brillante, et pas forcément à cause de l’huile.
Elle tressaille un peu, mais ne resserre pas ses cuisses et ne me fait pas de remarque.
C’est maintenant Ber qui me demande de m’occuper de lui. Machinalement, Martine lève la tête en l’entendant parler et elle constate qu’il est toujours sur le dos et qu’il bande :
— Oh, qu’est-ce...— Oups, pardon ! Mais de voir deux belles femmes se caresser, j’ai pas pu résister. Mais je veux pas te gêner. D’ailleurs, je me mets moi aussi sur le ventre.

En effet, il se retourne, mais dans le mouvement qu’il fait à dessein de notre côté, Martine a tout le temps de bien voir sa bite en pleine érection et qui tient bien droite sous son ventre jusqu’à ce qu’il s’allonge dessus précautionneusement, la soustrayant à nos regards.
Je formule aussi quelques excuses pour lui auprès de ma collègue, arguant que c’est la nature, puis je vais m’occuper de lui. Là, sachant qu’elle ne pourra pas s’empêcher de regarder, je fais le maximum. A savoir qu’après avoir enduit l’ensemble de la face pile de Ber, je termine par les fesses que je masse longuement. Puis ayant constaté en coin que Martine nous espionne discrètement, je fais toujours comme si je ne le savais pas et continue ma manœuvre. Je commence par descendre mes doigts dans la raie de Ber et la parcours ostensiblement, ne laissant pas de doute sur le fait que je lui caresse l’anus.
Puis je descends entre ses cuisses et mon mouvement montre bien que je suis en train de lui malaxer les couilles. J’arrête enfin et je jette un regard rapide vers ma collègue qui fait mine de sommeiller, car je la vois vite fermer ses yeux. Faisant comme si j’étais rassurée, je commence à me caresser l’entrejambe. Je ne regarde pas de côté à nouveau, mais je me doute bien qu’elle est en train de me regarder en train de me branler. Je continue juste un petit moment sans aller jusqu’à me faire jouir. J’arrête très vite comme si j’avais juste eu un petit coup de chaud et je jette un regard furtif vers elle, comme si j’avais eu peur de me faire surprendre. J’ai juste le temps de la voir fermer à nouveau ses yeux.
Lorsque nous avons assez cuit sur cette face, c’est Ber qui déclenche la baignade suivante en annonçant qu’il va un peu se rafraichir. Je le suis en me levant, puis c’est Martine, qui a le temps de voir la queue de mon mari pas totalement débandée en train de battre pendant qu’il se dirige vers la piscine. Elle finit par nous rejoindre dans l’eau où tout reste soft, juste une trempette délassante.
Puis, c’est Ber qui ressort le premier, ayant entre temps repris un volume de repos. Il va cette fois se mettre sur le dos dans un des transats après s’être essuyé et nous l’imitons, tous les trois en rang face au soleil. Chacun se tartine de protection solaire la face, sans besoin d’aide. Etant bien placée entre eux deux, j’agrémente ma manœuvre en me caressant plus que de nécessaire les seins, insistant sur les tétons que je fais rouler entre mes doigts. Vérifiant à la limite de mon champ de vision latérale que ma collègue s’en aperçoit, je termine par mon triangle sud où j’insiste, cuisses bien écartées. Je finis même par me caresser sans ambiguïté le clito. Tournant la tête, je constate que Ber s’est laissé un peu aller lui aussi. Il s’est bien enduit partout et se caresse doucement la tige à nouveau toute droite. Puis nous cessons, le but n’étant pas d’aller jusqu’à l’orgasme à ce moment-là, mais juste de s’exhiber un peu. Je suis certaine que Martine a tout vu.
Malgré tout ça, elle ne se manifeste à aucun moment pour nous le faire savoir. Ce n’est que quand le soleil se cache derrière la maison et que nous décidons de rentrer prendre une douche avant l’apéro et le dîner qu’elle se lance à m’en parler un peu. Elle m’a laissée la suivre à la salle de bains. Nous sommes donc entre nous, mais elle attend que je sois en train de régler la température de l’eau pour se lancer :
— Euh, tu sais Anna, je vous ai vus faire tout à l’heure...— Ah oui, quoi et quand ?— Ben, te caresser quand tu étais sur Ber après l’avoir caressé en lui passant l’huile.— Ah, et alors ?— Eh bien, ça m’a un peu gênée que tu fasses ça en public.— Oh, en public... tu exagères, y avait que nous trois !— Oui, d’accord, mais quand même. Et après, quand on était sur les transats. Je vous ai bien vus vous faire plaisir, toi entre tes jambes et lui sur son sexe en érection.— Bon, allez, tu sais tout de même à quoi ça ressemble une bite, non ? Et puis, c’est naturel qu’il bande quand il a sous le nez deux belles femmes en train de se caresser partout. Note, c’est un peu normal qu’il y mette de la protection solaire, ce serait dommage qu’il prenne un coup de soleil là et qu’il pèle, non ?
Cette dernière remarque humoristique la déride un peu et elle finit par en rire avec moi et me rejoint sans chichis sous le jet. Je ne fais rien pour aller plus loin, mais je la savonne bien partout et elle m’en fait autant, toutefois en insistant moins de son côté sur mes parties intimes. Puis nous sortons de la cabine et nous essuyons chacune de notre côté. Ber a fait en sorte de nous laisser seules pour ne rien brusquer et va se doucher quand nous revenons toutes fraiches au salon. Pendant qu’il se refait beau, je prépare l’apéro.
Nous avons fait tout naturellement en sorte de rester nus et elle nous a imités sans questions, s’y étant bien habituée. Nous relâchons totalement toute pression érotique jusqu’à la fin du barbecue, mais en veillant évidemment à bien faire boire Martine, sans aller jusqu’à la mettre hors d’état. Juste ce qu’il faut pour la désinhiber et attaquer la suite.

A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live