Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 265 J'aime
  • 5 Commentaires
  • Corrigée par l'équipe

Ma collègue de bureau… et son neveu

Chapitre 5

Orgie / Partouze
Dimanche 27 août 2000
Ce matin, tout le monde se lève assez tard et c’est Martine qui est la dernière à nous rejoindre. Quand elle nous retrouve dans la cuisine, elle a tout de même enfilé un T-shirt alors qu’elle constate que nous sommes entièrement nus. Vu l’heure, nous étions en train de préparer un bon brunch pour tenir lieu de petit et gros déjeuner à la fois. Elle nous aide à tout porter dans le salon et nous nous posons pour manger. Je lui fais la remarque :
— Dis, non seulement il fait assez chaud, mais en plus on t’a déjà vue toute nue...
Elle rit et fait passer son T-shirt par-dessus sa tête pour se retrouver dans la même tenue que nous. Alors que nous terminons, elle finit par me lancer sur la soirée d’hier :
— Dis donc Anna, hier vous m’avez surprise, mais c’était vraiment bon !— Oui, nous aussi tu nous as surpris. Avec Ber, on ne savait pas comment tu allais réagir.— Ben, au début, j’ai été un peu paniquée de vous voir faire des choses devant moi. Mais après, comme je suis un peu en manque, ça m’a bien excitée.— C’était un peu le but. On s’était dit que si tu ne disais rien pour nos premières exhibitions, c’était bon, on pouvait aller jusqu’au bout.
Pendant que nous parlons, Ber qui est debout en train de débarrasser revient de la cuisine avec un beau début d’érection assez prometteur pour la suite de la journée :
— En tout cas, tu aimes ça visiblement, et même certaines nouveautés.— J’avoue, c’était nouveau pour moi de faire des choses avec une femme.— Mais tu as vite appris, à ce que je t’ai vu faire avec Anna.— C’est vrai, c’est bon aussi, finalement.— Et par contre, c’était vraiment pas ta première sodomie, non ?— Euh, non et j’avoue que j’adore ça !
Martine se lève en disant qu’elle va faire la petite vaisselle de notre brunch et Ber la suit à la cuisine, précédé par sa bite bien dure déjà à l’horizontale. Dès qu’ils sont partis, je me harnache vite fait de mon strapon qui était resté avec les autres jouets sur le petit buffet du coin de la pièce. J’arrive dans le dos de Martine et je constate qu’elle a une façon particulière d’aider Ber à faire la vaisselle puisqu’en fait, elle tient sa queue dans la main et le branle doucement. Je n’ai donc aucun scrupule à me plaquer derrière elle en insérant ma bite factice entre ses cuisses et lui dire sur un ton amusé :
— Dis donc, c’est ça que tu appelles aider Ber ?
— Oh, c’est lui qui a pris ma main pour la poser là...— Oui, je m’en doute, le connaissant. Et tu n’as pas trop protesté, je vois.
Ber annonce que c’est fini pour la vaisselle et on se désunit un instant, le temps de retourner au salon. Martine se retrouve assise avec nos deux bites devant elle :
— Ça fait drôle de te voir avec un sexe d’homme, même si je sais que c’est un faux.— J’aime bien de temps en temps me transformer, ça permet de varier les plaisirs. Tiens, suce-moi pour commencer !
Comme hier, je lui présente l’engin et elle le fait volontiers, tout en branlant Ber qui cette fois n’a pas eu à prendre sa main pour qu’elle se lance sur la manœuvre. Puis au bout d’un moment, elle prend l’initiative de changer de gland dans sa bouche. Mais comme je m’y attendais, car il adore ça, Ber lui demande une tout autre caresse :
— Non, attends ! Depuis que j’ai vu tes superbes seins, j’en ai envie. Tu connais la branlette espagnole ?— Evidemment, un de mes ex adorait ça lui aussi !
Il la fait mettre à genoux devant lui et elle se laisse guider pour enserrer la tige entre ses doudounes moelleuses et la faire coulisser sur toute la longueur. Je vois au clin d’œil que me lance Ber qu’il apprécie bien cette caresse qu’elle maîtrise parfaitement. Le gland apparaît brièvement au-dessus des seins à chaque aller-retour pour venir presque buter sous son menton. Elle en profite par-ci par-là pour y mettre un coup de langue.
Mais il se force un peu et la fait stopper pour s’assoir dans le canapé et la faire mettre à genoux entre ses jambes pour continuer avec la bouche uniquement. Dans cette position, pendant qu’elle lui pompe le gland, je vérifie qu’elle est suffisamment lubrifiée et je promène ma bite sur sa fente pour l’enduire avant de le pointer sur son vagin que j’investis en douceur. Puis je l’empoigne par les hanches et la pistonne amplement :
— Tu aimes que je te baise ?— Oui, c’est bon. Et c’est la première fois qu’on me baise pendant que je suce quelqu’un.— C’est donc vrai que t’as jamais fait ça à plusieurs ?— Non, jamais. Mais je me dis maintenant que j’aurais dû essayer quand mon dernier mec me l’a proposé.— On va se rattraper, t’inquiète !
Je la bourre en levrette un moment, puis Ber se libère se sa bouche pour aller se coucher sur le canapé. Je guide Martine qui s’empale sur lui pour le chevaucher et je la fais se pencher en avant pour dégager son petit trou. Je la doigte juste un peu avec sa mouille, mais je constate qu’elle est déjà bien ouverte, car ça coulisse facilement. Je me place alors derrière elle et lui prends le cul sans trop de ménagements. Ma bite factice entre sans effort et je commence à remuer, donnant le rythme à notre ensemble.
Si j’en crois ce qu’elle nous a dit juste avant, c’est donc aussi son premier sandwich. Et ça a l’air de lui convenir comme menu. Elle le confirme par ses clameurs et ne tarde pas à jouir. Je la laisse redescendre tranquillement, mais pas refroidir complètement :
— Dis donc, tu as pris un méga-pied !— Ouais, c’était géant ! Je regrette encore plus de pas avoir fait ça avant.— Allez, un peu à moi. Viens là que je t’équipe...
Je place le strapon sur Martine et l’ajuste bien. Je la fais s’admirer dans la grande glace du salon. Elle a l’air de trouver ça amusant de se retrouver avec une belle bite, même si c’est une fausse. Puis je me mets d’abord à genoux devant elle pour la sucer pour lui montrer l’impression qu’on peut avoir en se retrouvant dans la position d’un mec, avant de me retourner et de me mettre à quatre pattes pour lui demander :
— Allez, viens, prends-moi en levrette !
Elle se positionne et n’hésite pas trop à m’investir la fente pendant que Ber vient me présenter son gland à sucer pour l’entretenir. Martine est bien arrimée des deux mains à mes hanches et me pistonne assez bien, pour sa première expérience en tant que mâle. Je la laisse aller un petit moment, puis je propose de changer de position. Ber s’allonge sur le tapis et je vais le chevaucher, puis je tourne la tête et dis à ma collègue :
— Allez, à ton tour de me prendre la rondelle, je l’ai bien méritée cette double !
Elle semble se prendre au jeu et se met derrière moi. Elle hésite un peu au moment de me perforer la rondelle, mais elle finit par y mettre timidement le gland. Je n’attends pas plus et bouge mes fesses à sa rencontre pour absorber le reste en lui disant :
— Vas-y, n’aie pas peur, j’ai l’habitude et j’adore ça au moins autant que toi !
Du coup, elle y va franchement, me cramponnant par les hanches pour m’enculer copieusement. Pour une débutante, elle se débrouille bien. Je ne tarde pas à m’abandonner à un bel orgasme, puis nous nous dégageons tous les trois et Ber demande à ce qu’on l’aide à terminer lui aussi.
Il s’assoit dans un transat et c’est à deux que nous nous partageons son gland. Il ne retarde pas son éjaculation, mais la réserve à Martine, en tant qu’invitée. Et elle ne se retire pas au moment où il lui lâche ses salves dans la bouche. Elle avale tout.
Puis nous plongeons dans la piscine pour nous remettre un peu de ces péripéties. Martine nous avoue qu’elle se doutait que nous étions des gens assez libres et ouverts, mais pas au point d’en arriver là. Mais elle ne le regrette pas, ça lui a permis de prendre un pied comme elle n’en avait pas eu depuis longtemps. Et de découvrir de nouvelles choses.
A suivre...
Diffuse en direct !
Regarder son live