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Ma collègue de bureau… et son neveu

Chapitre 6

Orgie / Partouze
L’après-midi est bien avancé et c’est l’heure où ma tante doit nous ramener Lola. Et comme je la connais, Marie-Lou est ponctuelle pour faire son apparition. Elle m’apprend qu’avec ma fille, elles sont allées marcher dans la forêt et qu’elles se sont bien dépensées.
Je lui présente Martine qui est un peu gênée de se trouver nue devant une inconnue. Mais comme je suis restée à poil pour aller lui ouvrir et que Ber sort dans la même tenue pour aller lui faire la bise, elle s’enhardit à sortir elle aussi pour aller s’essuyer avec la serviette posée sur son transat. Puis elle nous dit qu’elle va rentrer. Elle va s’habiller dans la chambre et revient nous dire au revoir, merci pour ce beau week-end et à demain au bureau pour moi.
Quand elle est partie, Marie-Lou accepte ma proposition de profiter de la piscine avant de rentrer chez elle. Elle ne fait pas trop de chichis pour se mettre à poil, elle y a été habituée avec nos aventures dix ans auparavant. Elle n’a plus le ticket de métro de la grande époque, mais elle entretient tout de même un peu sa toison en l’épilant en gros triangle et en tondant les poils assez ras. Elle se laisse rafraichir un moment par l’eau, puis comme elle a remarqué les jouets sexuels sur la table de jardin, elle me demande :
— Vous avez fait quelques galipettes avec ta collègue de bureau ?— Ben oui, comme tu t’en doutes...— Vous n’avez pas changé.— Ben non. Pourquoi, ça te donne envie ?— Oh, Anna ! A mon âge...— Quoi, ton âge, tu viens juste de tourner les 50. C’est pas la décrépitude. Pas vrai, Ber ?— Non, même si je trouve que tu négliges ta touffe.— C’est vrai, je me laisse aller de ce côté-là. Mais à quoi bon ? Et pour qui ?— Rassure-toi, tu es toujours bandante. La preuve !
Ber ne cache pas à ma tante son érection naissante et comme Lola est dans le bain avec nous, je sors et l’emmène vers les chambres sous le prétexte de la préparer pour la nuit. C’est aussi pour laisser le champ libre à Ber que je vois prendre la main de Marie-Lou et la mettre sur la queue au moment où je disparais à l’intérieur de la maison.
En effet, une fois que j’ai fait faire sa toilette à notre fille et que je lui ai donné son dîner pour ensuite la border dans son lit où elle ne tarde pas à baisser les paupières après une journée bien remplie, je retourne à l’extérieur où je ne suis pas vraiment surprise. Ma tante est toujours dans la piscine, mais debout, cramponnée à la bordure, et Ber la prend par derrière, la tenant pas les hanches. Je m’approche et m’accroupis devant elle :
— Ah, tu vois que c’est toujours d’actualité pour toi !— Oh oui, et ça faisait longtemps...— Comme quoi, tu serais bête de te priver, on est toujours là. Bon, et moi, alors ?
Je m’assieds sur la margelle juste devant elle et lui présente ma fourche imberbe pile devant sa tête. Elle n’a que se pencher un peu pour que ses lèvres viennent en contact avec mon abricot. Et elle n’hésite pas, retrouvant rapidement les bonnes habitudes qui s’étaient estompées au fil des années. Je sens à ses halètements de plus en plus forts dans ma fente qu’elle est en train de monter en puissance et elle ne tarde pas à jouir. Ber qui n’a pas terminé continue un peu sur sa lancée, puis il se dégage et sort de l’eau. Il fait sortir Marie-Lou et la fait mettre à genoux devant lui. Elle commence à le branler, puis à le sucer, mais il la stoppe et lui suggère de passer à autre chose :

— Tiens, la preuve que j’adore toujours tes seins, j’aimerais que tu me fasses jouir avec.
Elle s’exécute et lui fait une belle cravate de notaire tout en passant de temps en temps sa langue sur le gland. Ber se laisse cajoler un moment, puis il prévient :
— Ouah, c’est bon, t’as pas perdu la main, si j’ose dire. Tu veux ma potion magique ?— Oh oui, donne-moi tout !— Alors, ouvre la bouche, je vais venir !
Et il éjacule sur-le-champ une première salve de sperme qui aboutit sur la gorge de ma tante qui s’empresse de gober le gland pour recevoir les autres giclées dans la bouche. Quand les spasmes s’arrêtent, elle reste un peu comme ça, le temps de déglutir, puis recrache la bite, toute débarrassée des sucs dont elle l’a nettoyée. Elle réagit :
— Ouf, ça fait du bien, je dois avouer !— Ah, tu vois, quand je te le disais. C’est quand tu veux, on est à ton service.— T’en fais pas, je te prendrai au mot !— Et tu feras bien. Après tout, si on s’entraide pas un peu en famille...
Puis elle se sèche et renfile ses vêtements pour retourner chez elle, car le soir s’est bien avancé pendant ces péripéties.

Vendredi 1er septembre 2000
Nous avons passé toute la semaine à poil au bureau toutes les deux. C’était vraiment calme question boulot et nous n’avons eu que deux visites pour lesquelles nous avons eu largement le temps de nous remettre en tenue “normale” entre le coup de sonnette et le moment où la personne est arrivée à l’étage de notre bureau. Evidemment, j’ai emporté quelques jouets pour nous faire des petits plaisirs dans les temps morts.
Avant-hier, j’ai proposé bien évidemment à ma collègue de venir à nouveau passer le week-end à la maison pour la piscine entre autres, mais pas que ça évidemment. Et je lui ai glissé que notre fille serait de nouveau chez ma tante. Mais elle me rappelle une info que j’avais eue en juin, mais que j’avais un peu zappée entre-temps.
Guillaume, le fils de sa sœur ainée vient de réussir le bac du haut de ses dix-huit ans, et il a choisi de faire une filière de management du sport. Il n’y a rien de tel autour de chez eux et il a été accepté à Luminy. Comme il était difficile de lui trouver un logement pratique, Martine a proposé qu’il vienne s’installer chez elle. D’une part, elle a une chambre en plus et d’autre part, elle adore son neveu, qui est en même temps son filleul. D’ailleurs, il débarque dès ce vendredi soir pour s’installer et prendre ses repères pour les transports et le reste avant le début des cours. La pré-rentrée est déjà prévue pour mardi prochain. Voyant qu’elle hésitait, mais ne disait pas non catégoriquement, je n’ai pas insisté.
Hier, j’ai laissé mûrir l’idée et aujourd’hui, j’ai relancé l’invitation juste après qu’elle ait pris son pied avec moi et deux vibros. Finalement, elle est OK, mais elle met des limites :
— Par contre, je veux pas qu’on soit à poil devant mon neveu.— D’accord, mais topless, ça peut aller ?— Euh, oui. Il a déjà vu des femmes comme ça à la plage avec ma sœur et moi.— Et pas toi ? Tu as pourtant même fait du naturisme, tu m’as dit.— Oui, mais pas en famille. Avec ma sœur, on a toujours porté un bas de bikini.— En parlant du bas, je connais ton maillot tanga bien échancré. Il le connaît aussi, donc ?— Oui, c’est celui que j’ai porté avec eux en juillet en Corse.— Eh bien, je te propose un deal : je te passe un string bandeau presque aussi large que ton tanga. Les deux sont noirs, il fera pas la différence.— Euh...— Allez, ça dévoile à peine quelques centimètres carrés de plus que ton maillot.— Bon, OK.— Et comme ça, je me sentirai moins seule avec le mien.— Evidemment, je m’en doutais. Bon, comme on dit : alea jacta est !
Tout est réglé, on les attend vers le midi pour un barbecue.
A suivre...
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