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Ma collègue de bureau… et son neveu

Chapitre 7

Orgie / Partouze
Samedi 2 septembre 2000
Quand la sonnette de l’entrée me signale que Martine et Guillaume sont arrivés, je sors de l’eau et m’enroule dans un paréo pas trop transparent pour commencer soft, mais en faisant un peu exprès de ne pas trop m’essuyer. J’ouvre la porte et les fais entrer :
— Ah, enfin je fais ta connaissance, Guillaume. Ta tante m’a tellement dit du bien de toi.
Je m’approche de ce grand blondinet que je viens de découvrir et lui fais la bise. Il est un peu étonné par ma tenue, car si le paréo est relativement opaque, il est tout de même pas très épais. De plus il dévoile bien que je n’ai pas grand-chose dessous. Je l’ai noué guère au-dessus de mes tétons qu’on voit certainement pointer à travers l’étoffe humide. Pendant qu’ils me suivent à travers la maison, je sens que le tissu me colle bien aux fesses et doit leur révéler le relief de la ficelle du string que je porte dessous.
Nous débouchons sur la terrasse où Ber est déjà en train de préparer les braises dans le barbecue. Tel qu’il est positionné, il est de face par rapport à nous, derrière l’appareil, et il porte un tablier pour se protéger des projections éventuelles de brindilles enflammées. Donc ils ne voient pas ce qu’il porte dessous. Il leur fait signe et annonce :
— Il y en a pour un bon moment encore avant que les braises soient au top. Vous pouvez vous mettre à l’aise et vous baigner en attendant. Ensuite on prendra un petit apéro.
Je ramène donc d’abord à l’intérieur et les installe. Lui dans la chambre à côté de la nôtre et elle dans celle en face comme la semaine dernière. Je les laisse se mettre en maillot et retourne à l’extérieur où je tombe le paréo avant de me poser sur un transat qui fait face au soleil et en même temps à la baie vitrée du salon.
Guillaume revient assez vite dans un short de bain assez ample. Effectivement, il a le corps qui correspond à un étudiant en STAPS, svelte et musclé.
Il découvre enfin mes seins qui lui sont exposés et le minuscule triangle avant de mon string. Je me lève et lui tourne le dos pour aller vers la piscine. Il peut donc profiter de la vision certainement agréable pour un garçon de son âge que représentent mes fesses séparées par une simple ficelle coincée au milieu. Je me glisse dans l’eau et lui propose de me rejoindre. Il marque le pas puis vient me rejoindre, pile au moment où sa tante fait son apparition.
Elle a tenu parole, car elle a enfilé le string-bandeau lié sur les côtés par des nœuds que je lui avais préparés sur son lit. Et pourtant, contrairement à ce que je lui avais annoncé, même si l’arrière n’est pas une ficelle, la bande de tissu n’est pas trop large et rentre bien entre ses fesses. Son neveu ne voit donc rien de spécial quand elle arrive face à nous. Mais c’est quand elle se retrouve avec nous dans la piscine et qu’elle lui tourne enfin le dos qu’il s’aperçoit de sa tenue minimaliste, inédite pour lui. Je note qu’elle est un peu gênée dans ses mouvements à cause de cette situation nouvelle pour elle et son neveu encore plus. Il n’arrive pas à empêcher ses yeux de revenir sur la poitrine et les fesses de sa tante qu’il n’avait jusqu’à présent pu qu’imaginer et qu’il a là juste sous son nez. Et ça ne lui fait certainement pas le même genre de sensations, car son short dont le tissu mouillé lui colle un peu à la peau fait une bosse devant.
J’attends que ma collègue se soit acclimatée et détendue pour lui souffler discrètement à l’oreille :
— Je crois que tes fesses font de l’effet à ton neveu...— Arrête, Anna, tu vas me faire regretter de t’avoir suivie.— Mais non, je suis même sûre que ça t’excite de savoir qu’il te mate.
Pour détendre un peu l’atmosphère, je les éclabousse et lance quelques plaisanteries. Ça marche, car je sens que les deux se décontractent peu à peu.
Pendant ce temps, le barbecue est bien avancé et Ber me demande de m’occuper de l’apéro pendant que lui va mettre en route les grillades et finir d’installer les assiettes, couverts et ustensiles posés en attente sur la table de jardin. Je sors de la piscine et vais chercher le nécessaire : boissons, olives, salés et autres amuse-gueules. Donc forcément je montre bien en contre-plongée mon postérieur pratiquement nu à nos invités.
En revenant, je constate qu’ils ont forcément aussi vu la tenue exacte de Ber puisqu’il a fait le déplacement vers la table et leur tourne maintenant le dos. Donc ils savent qu’il est lui aussi en string-ficelle, le tablier ne masquant que le devant. Je propose à nos deux spectateurs de sortir pour pouvoir passer à la suite.
Martine profite d’une occasion de ne pas être entendue par son neveu pour me souffler :
— J’aurais dû me douter que tu mettrais pas le plus large de tes strings.— Tu vois, tu me connais bien. Et je crois que ton neveu apprécie celui-là.— Forcément, à son âge. Et ton mari ?— Ah, là je t’arrête. On avait pas parlé de sa tenue.— OK, c’est vrai.— Allez, laisse-toi aller. Déjà tu as réussi à te mettre en string devant ton neveu.— Ouais, je me demande comment j’ai fait...— Pff, je pense qu’en réalité ça te plaît bien. Et à lui aussi...
Elle ne réplique pas et nous nous installons dans les transats. Guillaume a droit à un pastis bien frais, comme Ber tandis que Martine et moi attaquons directement au rosé glacé. Puis après deux tournées, Ber reprend sa place au service pour nous apporter les saucisses pendant qu’il laisse les côtes d’agneau grésiller encore un moment sur le grill. Il a enlevé son tablier et Martine parait rassurée de voir que le triangle du string qu’il porte n’est pas trop mini, car il cache presque entièrement son pubis épilé. Presque, car on aperçoit tout de même le haut de sa petite bande de poils au-dessus de l’élastique.
A table, Martine et moi faisons face respectivement à Ber et Guillaume. Je note que ce dernier est bien intéressé par ma poitrine juste devant ses yeux, mais qu’il porte son regard plus souvent encore vers celle de sa tante qui est plus lourde et ballotte plus que la mienne. A une occasion où je vais chercher quelque chose en cuisine, je jette un coup d’œil rapide qui me permet de vérifier que c’est le cas, car son short fait une belle bosse devant. Au passage, je fais en sorte qu’il s’aperçoive que je l’ai vu et il a l’air gêné.

A suivre...
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