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Ma collègue de bureau… et son neveu

Chapitre 8

Orgie / Partouze
Puis nous sommes de nouveau tous les quatre dans la piscine. Il a réussi à faire en sorte de ne pas montrer à sa tante l’ampleur de son trouble et la fraicheur relative de l’eau lui permet de dégonfler, tout au moins suffisamment pour que ce ne soit plus visible dans l’ampleur du caleçon. En étant la première à sortir pour aller se poser sur un transat, Martine me donne l’ouverture pour aller un peu plus loin. Je demande discrètement à Ber de sortir lui aussi et je m’occupe immédiatement de Guillaume avant qu’il ne se sauve :
— Dis-moi, tout à l’heure, c’est ta tante qui te faisait bander ou bien moi ?— Euh...— Ou les deux peut-être ? Allez, tu peux en parler, c’est tout à fait naturel.— Ben oui, c’est la première fois que je vois deux femmes presque entièrement nues. Et en plus d’aussi près. Et une des deux, c’est ma tante. Je l’avais jamais vue en string.— Eh bien profites-en, c’est toujours ça de pris. Dis donc, d’en parler ça te fait de l’effet !— Euh, pardon, je peux pas contrôler.— T’excuse pas, je t’ai dit que je trouvais ça naturel. Fais voir...
Et j’envoie une main sur son paquet-cadeau qui est bien garni. Il panique un peu quand mes doigts se referment sur son manche à travers le short. Je lui suggère un deal :
— Mmm, pas mal ! Tiens, je vais te proposer un moyen de contrôler ça. OK ?— Euh, oui, ça m’arrangerait bien. Mais tu peux me lâcher, s’te-plaît ?— Oh oui, pardon, voilà ! Mais pour te montrer mon idée, on sera mieux à l’intérieur.— D’accord, et on fait quoi ?— Ne sois pas impatient, suis-moi et tu me laisses faire.
Je sors de la piscine et il me suit, en faisant attention à ne pas se montrer de face à sa tante et il prend une serviette qui était au bord pour faire mine de s’essuyer afin de masquer l’ampleur de son émoi. Martine nous voit partir vers l’intérieur et demande :
— Dites, vous allez rentrer déjà ?— Non, c’est juste que j’ai parlé à ton neveu d’un truc qui devrait l’intéresser. Je lui montre et on revient dans un moment.— Quel truc ?— Tu verras, on reviendra probablement avec.
Elle n’insiste pas et se recouche sur son transat. Tout va pour le mieux. J’emmène Guillaume jusqu’à notre chambre et je ferme la porte. Je farfouille dans un tiroir et en sors un string de bain de Ber qui est plutôt bandeau, donc assez large, que je lui tends :
— Tiens, enfile ça, tu seras à égalité avec nous !— Euh... Je crois que ça va pas le faire. Surtout dans mon état...— Ah oui, commençons par ça. Je t’avais promis une méthode infaillible.— Oui, c’est quoi au fait ?— Commence par enlever ton maillot.— Euh, et me mettre nu devant toi ?— Oui, nu, comme je le suis presque moi-même. Et en érection, je sais, c’est pour ça qu’on est là. Tiens, si ça peut t’aider et te prouver que ça me gêne pas, j’enlève moi aussi mon string. Vas-y, j’ai déjà vu des sexes masculins en pleine action, tu sais...
Il hésite un moment, restant ébahi devant l’épilation radicale qu’il découvre alors que je lui fais face dans ma nudité totale. Mais finalement, l’idée de pouvoir exhiber en toute impunité sa bite en érection devant une nana mûre pour la première fois l’emporte et il enlève son short. Il me dévoile une bite de bonne taille et déjà bien raide surmontant des couilles qui ne pendent pas, le tout enveloppé par un duvet léger aussi blond que ses cheveux. Je suis agréablement surprise par l’ensemble et je le lui fais savoir :
— Ben dis donc, en voilà une belle queue. Aussi longue et presque aussi large que celle de mon mari. En tout cas, bien supérieure à la moyenne. Par contre, tes grelots n’ont rien à voir avec les grosses cloches de Ber. Mais c’est mignon. Bon, maintenant suis-moi.— Comme ça ?— Oui, comme ça. Ta tante peut pas te voir depuis la terrasse.
Il me suit donc jusqu’à la salle de bain heureusement assez proche et là, je lui dis :
— Bon, maintenant, occupons-nous de ton problème ! Montre-moi comment tu te branles.— Euh... là, devant toi ?— Ben oui, tu vas pas me dire que tu t’es jamais fait plaisir devant une photo de nana en imaginant qu’elle était en vrai, hein ?— Euh oui, j’avoue que ça m’aide bien.— Eh bien, là, c’est en vrai. Donc au travail ! Et si ça peut t’aider un peu, regarde-moi bien.
Je commence par m’assoir sur le bord de la baignoire en me basculant en arrière, jambes écartées pour qu’il ait une bonne vue de ma fente. Il ne résiste pas et fort de ma permission, il commence à se secouer doucement la queue, voyant qu’il essaie tout de même de faire durer le plaisir en n’accélérant pas trop son mouvement, au bout d’un moment, je me retourne et me penche complètement sur la baignoire pour lui présenter mon côté pile. J’en rajoute un peu en passant deux doigts de mon clito à ma rondelle brune. J’entends que dans mon dos, il s’agite de plus en plus nerveusement. Je préviens :
— Et attention, n’en mets pas partout ! Vise la baignoire quand ça vient.
Sitôt dit sitôt fait, il éjacule intempestivement à côté de moi une belle quantité de sperme. Je tourne la tête pour voir les dernières giclées tomber sur la faïence. Mais j’enchaîne sans le laisser souffler. Je me redresse et attrape sa bite, le prenant un peu au dépourvu :
— Bravo, c’est un bon début, mais sera pas suffisant. Passons à la suite du traitement...
Je commence par passer ma main en mouvement vrillé sur son gland et jusqu’en bas de sa hampe pour bien lubrifier le tout en me servant des coulures de son liquide séminal. De l’autre main, j’empoigne ses couilles, ce qui me confirme l’impression de fermeté qu’elles présentaient au regard. Puis je me mets à genoux pour continuer à le masturber en serrant bien mes doigts pour le pousser dans ses derniers retranchements. Il essaie de résister, mais je sens les premiers soubresauts de sa queue et ses halètements qui annoncent son arrivée imminente. J’accélère le mouvement et il explose une nouvelle fois en grognant sa jouissance. Cette fois, comme il est en face de moi, forcément je reçois toutes les giclées sur la poitrine. Je continue à l’essorer jusqu’à ce qu’il ne sorte plus rien du méat et que je sente sa queue dégonfler dans ma main. Je le lâche enfin :
— Voilà, ça devrait aller mieux maintenant. Tu as aimé, j’espère ?— Ah oui, je m’attendais pas du tout à ça. Mais c’était excellent.— Et tu vois, ça ne remonte pas tout de suite comme au premier coup. Maintenant, il te reste plus qu’à faire un petit nettoyage, à l’eau froide évidemment, et tu es paré !
Il s’exécute et savonne ses outils avant de les rincer à l’eau fraiche et de les essuyer. Nous retournons maintenant à la chambre sans qu’il n’y ait d’alerte bandaison de sa part et il peut maintenant enfiler sans problème le string.
Nous retournons à l’extérieur où sa nouvelle tenue est immédiatement remarquée. Avant que Martine ne réagisse, je prends les devants :
— Et voilà la surprise ! Maintenant, on est tous à égalité.
Ma collègue ne sait plus quoi dire, d’autant que son neveu a l’air de ne pas se sentir gêné le moins du monde. Du coup, elle garde pour elle les réserves qu’elle allait émettre. Je me pose dans le transat à côté du sien.

A suivre...
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