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Ma collègue de bureau… et son neveu

Chapitre 9

Orgie / Partouze
Profitant peu après que les deux hommes soient dans la piscine, elle me rebranche :
— Dis donc, vous en avez mis du temps pour juste passer un string.— Ben justement, tu imagines que ça posait un problème, non ?— Euh, je vois de quoi tu parles...— Donc il a fallu calmer son érection intempestive pour qu’il puisse tenir dedans.— Et comment tu as fait ? Tu l’as sucé, peut-être ?— Qu’est-ce qui te fait dire ça ?— C’est Ber qui me l’a suggéré quand je lui ai dit que c’était un peu long.— Et que vous étiez en train de faire quoi, de votre côté ?— ...— Oh, ça va, je me doute bien qu’il a dû te proposer de profiter de l’absence de ton neveu.— Oui, bon, c’est vrai. Et c’est là qu’il m’a dit que tout dépendait du temps que tu mettrais à faire éjaculer Guillaume en le suçant.— Et pour passer le temps, vous avez fait quoi, exactement ?— Il m’a pris en levrette et ensuite je l’ai sucé pour qu’il gicle sans laisser de traces.— Eh bien bravo ! Par contre, de mon côté, ni baise ni sucette.— Vous n’avez rien fait, finalement...— Ben non, ou presque. Juste une bonne branlette. Et même deux pour bien le vider.— Mouais, tu m’étonnes. T’as vraiment pas de limites. Juste à côté avec mon neveu...— Allez, fais pas ta mère-la-pudeur. Je parie que là tu nous imagines dans cette situation. Et que ça te plaît de savoir qu’il bande en matant tes seins et tes fesses. La preuve, tu as les tétons qui commencent à pointer...
Nous arrêtons là cette discussion pour aller rejoindre les mâles dans l’eau. Dans l’intervalle, j’ai noté que Ber avait profité quand il avait rattaché le string de Martine après l’avoir baisée pour refaire les nœuds différemment, de ceux qui sont faciles à détacher.
Donc nous nous prélassons dans l’eau pour nous rafraîchir et je me positionne à côté d’elle pour tirer doucement sur un des brins. Le nœud magique est tellement bien fait qu’il cède immédiatement et que les lanières se mettent à flotter librement sans que Martine ne le sente. Ber a vu ma manœuvre et en fait de même presque simultanément de l’autre côté. Comme elle ne se rend compte toujours de rien, je la chante un peu pour s’asperger d’eau le visage et elle entre dans cette petite bataille. Dans le mouvement, le string qui n’est plus du tout attaché se libère enfin de son entrejambe. Ber le récupère dans son dos et en fait une boule qu’il garde dans sa main et sort pour se diriger vers les transats. Pour que Guillaume qui l’a vu faire ne vende pas la mèche, il lui fait aussitôt un clin d’œil accompagné d’un pouce en l’air et c’est bon, il ne dit rien à sa tante.
Je sors à mon tour, suivie par Guillaume et nous nous essuyons pour nous installer au soleil pour finir de sécher. Pendant ce temps, je le mets discrètement au courant de ce que nous comptons faire juste après. Martine nous emboîte le pas et en montant à l’échelle, elle jette un œil machinalement vers le bas pour voir où elle pose son pied. Elle s’aperçoit enfin qu’elle ne porte plus rien du tout sur elle et redescend dans la piscine. Elle commence à chercher en scrutant le fond, mais comme le fond est bleu turquoise et que le string est noir, elle se rend très vite à l’évidence qu’il a disparu. Ber ne la laisse pas douter longtemps et brandit le morceau de tissu :
— C’est ça que tu cherches ?— Oh, c’est toi qui me l’as enlevé ?— Non, il a dû se défaire tout seul. Je l’ai juste récupéré qui flottait.— Tu aurais pu me le dire !— Ah non, c’était beaucoup plus amusant comme ça.— Bon, maintenant, rends-le-moi...
C’est à mon tour d’intervenir dans ce débat :
— Et si au contraire on en profitait pour tous se mettre dans ta tenue ? Qui est pour ?
Ber lève immédiatement la main avec moi, suivi rapidement de Guillaume qui obéit sans scrupules à mon précédent briefing. Je suis donc la première à soulever un peu mes fesses pour enlever mon string, suivie par Ber et notre jeune complice qui se dépêche de nous imiter avant de changer d’avis. Martine barbote toujours dans l’eau et je la nargue :Allez, fais pas ta rabat-joie, maintenant on est tous à poil. C’est bon, tu peux sortir !
Elle se décide enfin et nous rejoint pour vite prendre sa serviette et s’en draper pour se sécher avant de s’assoir comme ça sur le dernier transat libre, entre Ber et Guillaume, moi-même étant à droite de ce dernier. Elle ne manque pas en route de noter que son petit neveu a bien grandi, surtout à certains endroits. Puis enfin, elle se fait une raison :
— Bon, vous avez gagné, laissons-nous aller !
Et elle enlève sa serviette, s’abandonnant sans plus de résistance aux rayons du soleil. Tout se passe bien dans un premier temps, et ça semble la rassurer totalement. Toutefois, Guillaume jette de petits regards furtifs vers le ticket de métro de sa tante qu’il vient tout juste de découvrir et qui doit forcément l’intéresser au plus haut point.
Mais comme je trouve que ça traîne un peu trop en longueur, je me lance dans la suite. Je me lève pour me coucher à plat ventre sur un matelas de plage et je demande :
— Dis-moi, chéri, tu voudrais bien me passer l’huile dans le dos ?— Ça tombe mal, comme je commence à avoir soif, et je suppose que c’est pareil pour tout le monde, j’allais me lever pour ramener de quoi boire. Attends que je revienne.
Et effectivement, il se lève et me passe à côté. Il stoppe juste le temps de dire :
— Ou sinon, peut-être que Guillaume peut te rendre ce service ?
Je me tourne vers l’intéressé qui regarde vers sa tante comme pour en obtenir une permission, mais comme elle ne se manifeste pas, il se lève et balbutie :
— Euh, volontiers...
Il vient donc s’agenouiller à côté de moi, dos à sa tante, et prend de l’huile solaire dans ses mains pour me tartiner en premier les épaules et la nuque. Il descend ensuite le long de mon dos et s’arrête sagement au niveau de mes reins. Puis il se déplace latéralement pour se trouver au niveau de mes jambes. Je jette un œil pour vérifier qu’il est maintenant en grande érection, non visible par Martine dans cette position, et je lui suggère :
— Tu serais certainement mieux placé pour mes jambes si tu te mettais carrément derrière, à cheval au-dessus de mes chevilles.
Je sens qu’il hésite à se mettre comme ça, ce qui le placerait de profil par rapport à sa tante. Mais finalement il doit trouver ça amusant de se montrer à elle dans cet état, car il le fait et j’ai confirmation de mes suppositions, car elle laisse échapper un petit “Oh” de réprobation que je perçois, bien qu’elle l’ait presque murmuré. Je sens les mains remonter sur mes jambes puis mes cuisses que j’écarte ostensiblement de plus en plus, lui dévoilant progressivement ma fente que je sens déjà humide. Enfin, il arrive à mes fesses et ne se prive pas de bien les malaxer, rassuré sur le fait que je ne vais pas me plaindre. Je sens même un doigt commencer à s’aventurer autour de mon entrée arrière. C’est à ce moment que Ber revient. Il ne se prive pas pour exprimer ce que Martine n’osait pas dire :
— Ouah, Guillaume, tu m’as l’air en pleine forme !— Euh, pardon, je...— Mais non, c’est normal, moi aussi je banderais à ta place en tripotant ses fesses.
Et il finit sa trajectoire en posant le plateau supportant les verres et les bouteilles sur le sol devant les transats. Il fait comme si de rien n’était et propose à chacun de choisir sa boisson. Martine se dépêche de demander un grand jus d’orange pour ne pas trop montrer son trouble. Son neveu semble décider que sa séance est finie, car il profite de la diversion pour retourner s’assoir, disant qu’il prend la même chose. Je préfère une boisson gazeuse et Ber en sert une autre pour lui avant de s’assoir lui aussi dans son transat. Pour boire plus aisément, je me redresse et me mets en tailleur face à eux. Un silence s’impose un petit moment, puis comme Guillaume est affalé sur son siège avec sa bite toujours tendue, mais toujours pas décapuchonnée qui repose sur son ventre, sa tante lance enfin :
— Dis donc, tu pourrais au moins mettre quelque chose dessus pour ne pas nous gêner.
C’est moi qui réponds en premier, relayée par Ber :
— Oh, ça va, on n’est pas choqués. Après tout, c’est naturel de bander à cet âge.— Oui, ne dramatise pas, Martine, sinon tu vas le culpabiliser. C’est pas de sa faute.— Ecoute, n’y pense plus et ça va te passer. Tu es chez nous, on te donne l’autorisation.— Exactement ! Et si ça peut te rassurer, je vais te tenir compagnie.
Effectivement, Ber se laisse un peu aller à penser à des choses certainement aussi excitantes que moi, car une érection se développe doucement, mais sûrement sur son bas-ventre. Et rampe un peu avant de s’élever franchement. Lui par contre complète l’opération en décalottant son gland et ma collègue se retrouve entre deux belles bites dressées en se rendant compte qu’elle n’aura pas son mot à dire si tout le monde se ligue contre elle. Donc elle se résigne et essaie de ne pas y faire attention. C’est suffisant pour qu’au bout d’un temps pas trop long, les deux colonnes grecques redeviennent des polochons bien mous posés sur leurs matelas. Elle a l’air de souffler après cette alerte.

A suivre...
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