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Ma collègue de bureau… et son neveu

Chapitre 10

Orgie / Partouze
Tout reste calme même pendant l’apéro, car je me retiens volontairement de faire des provocations. Il vaut mieux ne pas titiller Guillaume pour éviter qu’il ne bande à nouveau et laisser Martine se rassurer. Tout au moins pas avant la fin du dîner. Ça ne l’empêche pas d’avoir un nouveau début d’érection lorsqu’il lorgne sur le cul de sa tante en la suivant quand nous rentrons nous mettre à table. Elle remarque sa bite presque à l’horizontale quand il contourne la table pour se mettre en face d’elle et le lui fait savoir :
— Décidément, tu pourrais te tenir un peu...— Euh, je fais pas exprès, Marraine...— J’espère bien.
Pendant cet échange dont Ber et moi ne nous mêlons pas, ils sont restés debout et je note que cette fois, elle garde bien son regard sur l’objet du conflit jusqu’à ce qu’ils s’assoient. Pendant le repas, Martine se laisse aller à boire un peu, comme elle l’a déjà commencé pendant l’apéro. Je suppose que c’est pour essayer de ne pas trop penser à l’appareillage de son neveu. Comme elle vient m’aider à débarrasser, j’attends que nous soyons à la cuisine pour lui en parler, histoire de la chauffer un peu :
— T’as vu comme il est bien monté, Guillaume ?— Euh... si on parlait pas de ça ?— Allez, avoue : tu aimerais bien y goûter, non ?— Ça va pas, c’est mon neveu, tout de même.— Et si c’était pas le cas ? C’est une belle bite, tu dois le reconnaitre.— Oui, c’est vrai, mais bon...— Allez, dis-le clairement : j’ai envie de cette grosse queue.— J’ai envie...— Vas-y !— J’ai envie de cette grosse queue. Voilà, tu es contente ?— Bravo ! Tu peux pas le nier, tes tétons dressés te trahissent.— Mais c’est mon neveu, donc ne rêvons pas.— Moi je rêve pas, j’ai déjà touché.— Oui, je sais, merci de me le rappeler...
Je la laisse redescendre un peu tandis que nous retournons au salon. Ber est en train de mettre en route le home cinéma en nous annonçant que Canal+ passe en exclusivité le dernier Kubrick, Eyes Wide Shut.
Nous nous installons tous les quatre dans le canapé en nous serrant un peu entre les accoudoirs. Ber est à gauche, moi à droite, et au milieu nous avons Guillaume à côté de moi et Martine entre lui et Ber. Evidemment, dès les premières scènes à forte tension érotiques les effets secondaires ne tardent pas à se faire ressentir. Il faut dire que Kidman nue, c’est déjà assez excitant. Mais les situations le sont encore plus.
Donc les deux mâles de l’assistance n’essaient même pas de se retenir et arborent rapidement un grand mât bien droit au-dessus du niveau de flottaison. Martine essaie de se concentrer sur le film pour éviter de trop regarder ces deux piliers turgescents qui l’entourent. Mais entre ça et l’érotisme torride du film, ses tétons la trahissent en pointant bien dur. Ber n’hésite pas à se décalotter et à garder sa main sur ses couilles qu’il masse doucement. Du coup, Guillaume qui doit guetter tout ça du coin de l’œil en fait de même. Pour ma part, je me caresse tranquillement avec un doigt dans ma fente humide.
Au bout de deux heures trois quarts, le film prend fin et j’éteins les appareils dans un silence que personne ne rompt. Pour éviter de se manifester sur notre état, Martine se lève et annonce qu’elle va aux toilettes, car elle se retient depuis un moment. Profitant qu’elle n’est pas là pour un court moment, nous attaquons Guillaume. Ber se branle juste un peu pendant que j’attrape la bite de mon jeune voisin en lui disant :
— Bon, voilà : tu vas être le premier à aller dans ta chambre. Ensuite tu sortiras par la porte-fenêtre derrière et tu attendras en silence devant celle de notre chambre.— Euh...— A moins que ça ne t’intéresse pas de t’amuser un peu avec nous.— Non, non, c’est bon. Bien sûr que ça me dit.— Bon, alors c’est OK. En attendant, fais un peu comme Ber pour narguer ta tante. Mais pas trop, garde tes munitions ! Et je te promets une bonne surprise...
Je libère sa queue qu’il s’empresse de prendre en main pour la caresser assez tranquillement pendant que mon doigt continue à s’activer en douceur sur mon clito. C’est dans cette configuration que Martine nous trouve à son retour des toilettes :
— Ah ben, ne vous gênez pas, surtout ! Et toi qui les laisses faire.— Allez, laisse-les. Avec ce film, c’est normal qu’on soit excités. Pas toi ?— C’est pas la question. Guillaume, franchement, faire ça devant moi...— Euh oui... Excuse-moi, Marraine. Je vais aller dans ma chambre.
Et il se lève, la tige bien raide au-dessus de l’horizontale et se dirige vers le couloir des chambres. Ce qui l’amène vers sa tante à côté de laquelle il doit passer. En route, il éprend son engin en main et remet en route de lents aller-retour. Martine est tellement abasourdie qu’elle ne lui dit rien et même se tourne un peu lorsqu’il l’a dépassée pour continuer à le suivre du regard. Il disparaît enfin et elle nous prend à témoin :
— Non, mais vous avez vu ce qu’il ose faire devant moi. Et devant vous ?— Oh, ça va, y a pas mort d’homme. Il a forcément des besoins naturels à son âge.— Je veux bien, mais tout de même, il peut faire ça sans nous en faire profiter.— Moi, ça me gêne pas, et Ber non plus.— Oui, je me doute, il fait pareil, alors forcément ! Et toi tu l’as déjà aidé...— Allez, dis-nous sans mentir que le film t’a pas excitée.— Bon, c’est vrai, mais...— On s’en est bien rendu compte, tes tétons étaient raides. Et sa queue, elle te tente, non ?— Oh, allons, je t’ai déjà dit...— Oui, je sais, c’est ton neveu. Mais ne me dis pas que tu ne la regardes pas avec envie. Tes cabochons clignotent encore. Je parie que tu mouilles.— Oui, bon, j’avoue que ça me trouble un peu l’esprit. Mais tout de même.
Nous nous levons, nous approchons d’elle pour l’entourer et je lui suggère :
— Et si on allait un peu calmer tout ça ensemble dans notre chambre ?
Ce disant, je lui pince un des ses cabochons qui continuent à pointer et Ber lui prend la main pour la poser sur sa hampe. Elle ne s’insurge pas et même la fait aller et venir machinalement. Toutefois, elle hésite encore et nous le fait savoir :
— Putain oui, j’ai vraiment envie de baiser, mais il est à côté.— Et alors, de toute façon, même si on va que nous deux dans notre chambre, on va pas se priver de se donner à fond. Et Guillaume doit déjà être aux aguets pour écouter ça et se branler dessus. Il ne pourra pas imaginer que tu sois avec nous, vu que tu as cassé l’ambiance chaque fois que ça virait au sexe. Et on restera discrets du point de vue vocal.
Pendant que j’argumente, je lui frictionne l’entrejambe qu’elle a bien trempé comme on s’en doutait. Donc elle monte dans les tours et finalement elle cède à ses pulsions. Pour donner le change, je lui propose un stratagème. J’ouvre sa porte et dis clairement :
— Bonne nuit, Martine !— Bonne nuit vous deux !
Je ferme sa porte un peu bruyamment en lui faisant un clin d’œil et ça semble la rassurer par rapport à son neveu. Nous entrons tous trois dans notre chambre. Mon premier regard en entrant va vers les rideaux qui sont tirés pour ne pas montrer que la porte-fenêtre est ouverte. Si Guillaume est bien derrière, en tous les cas ça ne se voit pas, car la nuit est bien noire et les rideaux assez opaques.

A suivre...
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