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Ma collègue de bureau… et son neveu

Chapitre 13

Orgie / Partouze
Dimanche 3 septembre 2000
Ce matin, tout le monde se lève tard suite à la journée mouvementée de la veille. Je m’aperçois en me réveillant que Ber est déjà levé. Je le retrouve dans la cuisine en train de boire un thé avec quelques biscuits. Il m’en propose en disant :
— Comme il est presque midi, je prends juste ça en attendant qu’ils se réveillent.— Oui, tu as raison, on fera un gros brunch à la place, ça sera le plus pratique.
Evidemment, nous n’avons pas pris la peine d’enfiler quoi que ce soit. Au point d’intimité où nous en sommes avec eux, je ne crois pas que nos invités en soient gênés.
Puis c’est Guillaume qui émerge et nous rejoint sur la terrasse où nous nous profitons du soleil. Il a bien assimilé des leçons de la veille, car non seulement il est à poil lui aussi, mais il n’a aucune honte à nous présenter une demi-érection en plein développement.
Il se pose sur un autre transat après nous avoir salués. Il pensait peut-être que nous allions lui faire remarquer son état, mais justement, nous faisons comme si tout était plus que normal. Nous nous relevons pour nous assoir de façon à pouvoir manger confortablement, levant juste la tête pour l’accueillir. Je l’invite à s’installer avec nous :
— Salut Guillaume ! Bien dormi ?— Euh... oui, merci.— Je suppose que tu as faim, alors viens, on commence. Ça fera venir ta tante...
C’est certainement l’idée de s’exhiber devant nous qui le faisait bander, mais force est pour lui de constater que sa manœuvre est tombée à plat. En conséquence, sa queue retombe elle aussi petit à petit. Donc, comme il est plus affamé qu’autre chose en ce moment, il s’installe près de nous et grignote un peu de tout.
Martine ne tarde pas à nous rejoindre. Elle non plus n’a rien mis sur elle. Je pense qu’elle a eu le temps de se rembobiner les séquences que nous avons vécues hier et qu’elle a bien pesé le pour et le contre de la situation où elle se trouve vis-à-vis de son neveu. Elle se pose près de nous et se met elle aussi à manger et boire. Je sens tout de même qu’elle leur d’envie de parler de ce qu’il s’est passé entre elle et son neveu. Je l’aide :
— Alors, bien remise de cette nuit ?— Euh, oui, justement, je voulais t’en parler, mais...— Mais quoi ? Pas devant les hommes ? Allez, ils sont concernés eux aussi, non ?— Oui, finalement tu as raison, autant crever la bulle.
— Vas-y, sors ce que tu as sur le cœur.— Eh bien, voilà, on s’est fait prendre dans un tourbillon, mais il faudrait pas recommencer.— Pourquoi, ça t’a pas plu ?— Euh, oui, mais là n’est pas la question. Guillaume va vivre chez moi et c’est mon neveu.— Donc ?— Donc, ça risque de mettre une mauvaise ambiance entre nous deux.— Mais non, au contraire, maintenant vous vous connaissez vraiment et vous pouvez en profiter quand vous voulez. Ça veut pas dire baiser comme des bêtes en permanence, c’est juste que vous pourrez vous faire plaisir quand vous le voudrez. Pas vrai Guillaume ?— Euh... oui, c’est ça, je vais pas te harceler, t’inquiète pas pour ça.— Voilà, c’est un garçon intelligent, il sait qu’il faut pas abuser. Donc, c’est réglé !
Martine semble à moitié convaincue par mon raisonnement et par l’assurance que lui a donnée son neveu. Mais elle ne relance pas le sujet et nous terminons le brunch. Puis Ber propose d’aller tous se prélasser dans la piscine pour se rafraichir un peu vu que le soleil tape déjà bien fort. L’ambiance décontractée fait que même Guillaume ne bande pas, ce qui continue de rassurer sa tante. Mais je compte bien relancer la machine un peu plus tard. J’ai eu le temps de me rendre compte au fur et à mesure qu’elle se dévoilait à nous qu’en fait ma collègue est une belle cochonne comme moi, même si elle fait tout pour le cacher et qu’il ne faudra pas beaucoup d’efforts pour la remettre en route.
Après nous être séché sommairement, nous nous installons pour une séance de bronzette. Ber amène Guillaume se poser dans deux transats côte à côte et je me pose devant sur un matelas en demandant à Martine qui est la dernière à sortir :
— Dis, tu veux bien me passer l’huile solaire sur le dos ?
Elle était en train de se diriger vers un autre transat et se détourne de sa trajectoire pour venir s’agenouiller sur le matelas à côté du mien avec le flacon. Elle commence sagement par le cou et les épaules puis descend le long du dos pour atteindre mes fesses sur lesquelles elle s’attarde un peu, ce qui est bon signe. J’écarte mes jambes sensiblement et tourne la tête vers elle pour lui murmurer afin de ne pas être entendu des autres :
— Tu veux bien me caresser aussi entre les jambes ?— Anna, on va pas recommencer, là ?— Dis-moi que ça t’excite pas de me masser. Je vois tes tétons qui pointent.— Oui, c’est vrai, c’est parce que je repense en même temps à ce qu’on a fait avant.— Alors, fais-toi plaisir, et à moi aussi.
Comme elle se rend compte que tel qu’elle est positionnée, elle masque l’action aux deux mecs, elle finit par céder à son envie et me caresse la fente et le petit trou. Elle stoppe son action pour descendre sur mes jambes et finalement se déplace pour se mettre à cheval au-dessus de mes chevilles pour parfaire son travail en remontant le long de mes jambes en finissant bien haut entre mes cuisses sans même plus songer à se retenir alors que ce qu’elle fait est maintenant parfaitement visible par nos spectateurs.
Je lui propose de lui rendre la pareille et au point de fusion où elle est parvenue, elle ne songe plus à retourner vers les transats. Elle s’allonge à plat ventre sur le matelas voisin et je me redresse pour m’occuper d’elle. Contrairement à elle, je me mets directement à cheval sur elle et je commence par les chevilles, remontant rapidement jusqu’aux épaules. Arrivée là, je suis carrément assise sur ses cuisses et mon pubis vient buter contre ses fesses. Puis je me décale vers le bas et reviens insister sur ses fesses et ce qu’il y a entre. Ce faisant, je jette un œil de côté, juste pour vérifier le résultat de ses actions sur nos deux mâles. Aucune surprise, ils bandent bien haut et Ber a même pris sa tige en main pour montrer l’exemple à notre jeune recrue qui en fait de même. Pour ne pas qu’il s’active trop et brûle des cartouches, Ber lui fait signe d’y aller doucement.
Je remarque qu’entretemps ils s’étaient tous deux aussi badigeonnés d’huile solaire, ce qui a certainement contribué aussi à leur montée en érection. Martine est déjà bien partie, car elle ne calcule plus le fait d’être exposée et ne m’empêche pas de lui investir ses deux orifices avec mes doigts pour la branler en pince de crabe. Elle monte rapidement et ne retient même pas son râle quand elle jouit. Je la libère et lui fais remarquer le résultat de nos ébats :
— Tiens, t’as vu ? On va pouvoir jouer au baise-boule, ils ont sorti les battes !

A suivre...
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