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Ma collègue de bureau… et son neveu

Chapitre 14

Orgie / Partouze
Elle tourne la tête vers eux et réalise enfin le spectacle que nous avons offert :
— Oh non, qu’est-ce que tu vas penser de moi après ça, Guillaume ?— Mais non, Marraine, au contraire, je trouve que tu es encore plus cool maintenant.— Mouais, et je t’ai déjà demandé de plus m’appeler comme ça.— OK, je vais essayer, mais c’est difficile, ça fait des années que je le fais.
Je reprends les rênes de la conversation en lui suggérant :
— Au point où on en est, si on allait profiter de ces belles tiges ?
Elle ne répond pas, mais quand je la prends par la main, elle ne résiste pas et se laisse entraîner vers eux. Pour ne pas la culpabiliser plus, je prends l’initiative sur Guillaume et elle suit le mouvement sur Ber. D’abord, ce sont nos mains qui prennent le relais des leurs et qui accentuent la branlette qui était juste légère jusque-là. Puis je gobe le gland de mon partenaire et apparemment, Martine n’attendait que ça pour en faire autant.
Comme elle est sur les rails, je m’arrête et la fais pousser pour prendre sa place. Elle n’y voit aucune objection, car elle se place entre les genoux de son neveu et le prend en main pour faire quelques aller-retour avant de le sucer. Mais Guillaume veut autre chose :
— Non, je voudrais que tu me fasses comme tu as fait à Ber cette nuit.— Comment ? Avec mes seins ?— Oui, je les adore, et j’aimerais sentir ce que ça fait.
Martine ne voit aucune raison de lui refuser cette gâterie. Elle cale bien sa queue au fond de son sillon inter-mammaire et presse latéralement sur ses doudounes pour l’emprisonner, puis commence à monter et descendre. Guillaume a l’air d’apprécier cette méthode, car il soupire énormément et attrape la tête de sa tante, le regard braqué sur ce qu’elle lui fait. De temps en temps, elle relâche son étreinte et prend la bite en bouche pour lubrifier le tout. Puis elle recommence, de plus en plus fort. Guillaume ne tient plus :
— Oh, oui, ça vient ! T’arrête pas, Marraine, c’est bon...— Guillaume, tu l’as encore dit !— Excuse, Martine, ça m’a échappé. Continue, ouiiiii...
Et il ne retient rien, éjaculant en force sur les seins de sa tante. Elle est surprise par l’abondance des giclées et libère la queue qu’il reprend en main en finissant de lâcher les dernières sur le visage de sa tante. Avec Ber, nous avons surveillé l’ensemble de l’action pendant que je continuais ma pipe sur un rythme de croisière tout en me doigtant le clito doucement, histoire de faire des économies pour la suite.
Nous ne les laissons pas refroidir. Ber va prendre Martine en levrette pendant que je remets Guillaume en forme de la main et de la bouche. Il est rapidement reconstitué et commence à pousser un peu son bassin en avant pour aller plus profond vers ma gorge. Je me lubrifie les doigts de l’autre main avec ma mouille et lui caresse la rondelle que je ne sens pas se dérober. Je vérifie et mon index entre sans forcer dans le conduit. Je lui branle un peu l’anus avant d’entrer un deuxième doigt. Je lui demande :
— Dis, tu as l’air de bien aimer ce que je te fais.— Oh oui ! Je connaissais pas, mais ça fait du bien.
Je continue un peu mon exploration de son rectum puis comme il est dur comme une barre à mines, je suggère à Ber de lui laisser la place. Il le fait de bonne grâce et pendant que Guillaume reprend la levrette de sa tante, Ber se poste devant elle et se fait déguster le gland. Pendant ce temps, je vais à l’intérieur, me harnacher avec mon strapon et je reviens vite rejoindre le trio qui s’active en cadence. Je viens me placer derrière notre jeune recrue et lui souffle à l’oreille:
— Arrête un peu, que je puisse te prendre en douceur.— Quoi ?— Oui, tu as aimé mes doigts, tu vas voir comme ça va être bon avec ça.— Mais...— Laisse-toi faire, décontracte-toi.
Et je positionne l’engin que j’avais bien lubrifié tout en revenant et pousse juste un peu, lentement, surveillant l’entrée du gland en silicone. Et après une petite résistance bien naturelle pour une première fois, il passe la petite porte. J’ai même la bonne surprise de rencontrer un conduit qui se laisse visiter sans effort, m’amenant rapidement au contact de ses fesses. Il a l’air de bien le prendre, à tous les sens du terme. Alors je me mets en mouvement et donne le rythme qu’il répercute sur sa tante. Il commente sa découverte :
— Oh oui, t’avais raison, c’est bon !
Nous continuons dans cette combinaison, juste le temps que Martine atteigne l’orgasme. Je quitte alors le cul de Guillaume pour me débarrasser de mon harnais et lui demander :
— Bon, un peu à moi !
Je me place à quatre pattes et il ne se fait pas prier pour venir me faire subir le même traitement qu’à sa tante. Quand je sens qu’il prend un rythme plus saccadé annonçant sa délivrance, je me retire et me retourne sur le dos. Il a compris et reste à genoux entre mes cuisses et se branle pour terminer. Mais il est surpris par Ber qui va se placer derrière lui et qui se plaque dans son dos pour l’empêcher de s’éclipser tout en lui prenant la queue d’entre ses mains. En même temps, il frotte sa bite calée verticalement entre les fesses de Guillaume qui se laisse secouer le cocotier. Ber fait ça en grand virtuose et je vois le moment où il va finir par aussi l’enculer. Mais sa manipulation experte provoque enfin l’éjaculation dont je reçois le résultat sur le ventre.
Ber ne le laisse pas souffler et se place devant lui pour lui présenter sa queue :
— Et maintenant, à toi de me rendre la pareille !
Comme Guillaume hésite un peu, il lui prend la main et la pose sur sa hampe. Et enfin, il se met à le branler, d’abord timidement, puis de façon plus assurée. Pendant ce temps, je demande à Martine de s’équiper pour venir me baiser en levrette. Elle s’exécute, mais jette des regards étonnés vers ce que fait son neveu. Surtout que maintenant, Ber lui dit :
— Suce-moi un peu en même temps.
Et en disant ça, il lui prend la tête délicatement et l’approche de son gland. Guillaume est bien lancé et cette fois, il ne met pas d’hésitation à passer la langue sur cette tête chauve et finit par la gober pour faire une pipe qui semble correcte. Martine est enfin prête et reprend plaisir à me baiser en levrette tout en profitant du spectacle que nous donnent les deux hommes. Je demande alors à ma collègue de changer de trou et je la remplace par un vibro que j’avais mis à portée de main, pendant qu’elle m’encule avec ardeur. Ber ne retient plus rien et éjacule dans la bouche de son partenaire, ce qui, conjugué avec les deux engins qui me taraudent les orifices, me fait monter en flèche.

A suivre...
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