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Ma collègue de bureau… et son neveu

Chapitre 15

Orgie / Partouze
Nos invités étant comblés et fatigués, Ber et moi reprenons la main pour ramener la situation à un calme relatif. Bien installés dans les transats après une douche réparatrice et un bon plongeon dans la piscine, nous faisons le bilan du week-end. Martine finit par admettre qu’il est positif, mais qu’il faut instaurer quelques règles pour leur vie chez elle :
— Bon, je te cacherai pas que j’ai pris l’habitude de vivre nue depuis quelque temps.— Moi ça me va, je veux bien faire pareil.— Mais par contre, pas question de baiser comme des bêtes en permanence.— Euh, OK, mais un peu quand même ?
J’interviens sur ce sujet :
— Allons, Martine, vous n’allez pas vous priver de ça. Tiens, je propose une chose : on va prendre l’habitude de faire ça à quatre les week-ends, ici ou chez toi. Et la semaine, vous vous reposez. Enfin, peut-être pas toute la semaine, ça fait long. Un petit coup le mercredi ou le jeudi ?
C’est adopté par les deux, et elle continue sur un autre problème :
— Et par contre, en public, je reste ta tante, pas de gestes équivoques.— D’accord, je me tiendrai bien.— Et surtout, pas un mot dans la famille, principalement tes parents !— Ah oui, je les imagine pas du tout dans ce truc-là. Ils nous tueraient...

L’après-midi ayant plus qu’avancé sans que nous y prenions garde, c’est à ce moment que la sonnette retentit. C’est Marie-Lou qui nous ramène Lola. Je vais lui ouvrir tout en disant aux autres de ne pas bouger, ma tante et ma fille ayant l’habitude du naturisme même ici à la maison. En effet, quand je reviens avec elles, Lola ne marque aucune surprise à la tenue générale et va faire la bise aux invités. Puis elle demande à aller dans la piscine et se déshabille à son tour pour plonger sans attendre. Je propose à Marie-Lou d’en faire de même et elle se décide à suivre le mouvement. Je note au passage qu’elle a retaillé sa touffe et a retrouvé son triangle de poils ras, peut-être même plus réduit.
Je les rejoins dans l’eau et toutes trois nous barbotons un moment, puis Ber décrète qu’il est temps pour Lola de se préparer pour la nuit, donc de prendre une douche et de manger un morceau avant d’aller au lit pour être en forme demain matin. Dès qu’ils disparaissent à l’intérieur, ma tante me fait remarquer que nous avons dû nous amuser en me désignant les jouets qui traînent dans un coin de la terrasse, mal cachés par une serviette. Je ne vais pas nier, et même je choisis de la provoquer un peu :
— Eh oui, on s’est bien envoyés en l’air tous les quatre. Tu en veux un peu ?
Un bon moment plus tard, nous sortons de la piscine et nous dirigeons vers les transats. Je me pose à côté de Guillaume et il reste à ma tante celui entre lui et Martine. Je commence à tripoter la bite de Guillaume. Ça récupère vite à cet âge-là et il repart au quart de tour, la colonne de chair ne tardant pas à prendre de la consistance entre mes doigts pour aboutir à une belle érection que je commence à branler en douceur. Je nargue ma tante :
— Alors, une belle bite jeune et vigoureuse, ça se refuse pas, non ?
Elle jette tout de même un coup d’œil vers Martine, mais comme celle-ci ne met pas de véto, elle se décide à saisir la queue devant elle et la branle un peu avant de continuer par une fellation. Puis Guillaume la fait mettre à quatre pattes devant nous et la prend en levrette, cramponné à ses hanches. Je commente l’action pour Martine :
— Il a la santé, ton neveu, hein ?— Oui, je vois ça. Et dire qu’il était encore puceau hier matin...— Il apprend vite. Tu vas pouvoir rattraper le temps perdu.
A ce moment, Guillaume démontre effectivement qu’il s’enhardit puisque Marie-Lou dit :
— Oh oui, c’est ça, encule-moi maintenant !
Ma collègue me relance sur autre chose :
— Mais alors, si je comprends bien, tu m’avais parlé de ta cousine...— Oui, c’est sa fille.— Et entre elles aussi ?— Evidemment. Et encore, je t’ai pas tout dit. Il y a eu aussi ma sœur, mon frère, mon cousin, mon père et ma mère.— Ouah ! Eh bien, quelle famille !— Oui, une famille en or...
Martine réalise alors quelque chose et m’en fait part :
— Dis donc, je me rends compte en étant en dehors de l’action que ça doit s’entendre tout autour, chez les voisins.— Oui, je pense, mais on n’a jamais eu de remarques. Des propositions non plus, d’ailleurs. Mais ça doit en faire bander ou mouiller plus d’un ou d’une.
C’est le moment que choisit ma tante pour jouir, mais en retenant ses râles tandis que son cavalier lui largue ses dernières cartouches dans le fondement. C’est aussi celui où Ber revient après avoir bordé Lola. Il rigole en voyant la scène :
— Ah, je vois que vous avez fait connaissance...
Marie-Lou est un peu confuse de s’être laissée aller comme ça pour une première rencontre. Mais ça lui passe vite et nous prenons un petit apéro pas trop chargé puisqu’ils ont encore un peu de routes à faire pour rentrer chez eux. Rendez-vous est pris chez Martine pour vendredi prochain au soir et je suggère à ma tante de passer nous voir plus souvent, elle sera toujours la bienvenue à la maison. Puis tous trois se rhabillent et nous quittent.
Ce week-end a tenu ses promesses et même bien au-delà de nos espérances. Les mois à venir vont être bien agréables avec ce changement dans nos relations, ma collègue et moi.

Fin
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