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Ma collègue Lea

Chapitre 2

Hétéro
Résumé:Ma femme, avec qui ça ne va pas fort, est en vacances dans sa famille. Ma collègue Léa m’invite au bar que nous quittons ensemble après un baiser. Rendez-vous chez moi, c’est anxieux que je l’attends.
En silence, Léa entre dans la maison, son visage est fermé. Je tente de la prendre dans les bras, mais elle esquive. Je lâche un soupir, elle a dû réfléchir... Elle lève enfin les yeux vers moi et dit:
— Désolé, j’en ai envie mais j’ai besoin d’un peu de temps. Tu comprends ?— Tu veux t’en aller ou m’accordes-tu le temps d’un dîner ?
Elle s’approche, se glisse dans mes bras et place son visage dans mon cou.
— Merci, souffle-t-elle.
Se détachant, elle ajoute
— Quelque chose de simple— Apéro dinatoire ? Signe de tête pour acquiescer.
Ca risque de pourrir l’ambiance, mais bon...
— Ca te dérange que j’appelle ma femme ? Ca permettra que nous ayons la soirée tranquille.— Pas de soucis. Je peux squatter une chambre pour que j’appelle aussi ?— Non, mais ça sera prêt dans 10 minutes.
Une fois que Léa s’est isolée, j’attrape mon GSM pour 10 minutes d’appel qui m’ont paru très longues:

— Oui, chérie je suis à la maison. — Je t’appelle tôt car je vais me coucher tôt et ne veux pas te gêner dans ta soirée avec tes parents.[...] Oui, je t’enverrai un SMS— Oui, je t’aime !
Bref je crois que je ne lui ai jamais autant menti ! Je finis de poser l’apéro sur la table et m’installe sur le canapé pour attendre Léa. Dire que je l’ai évité tout ce temps. Je me souviens comme si c’était hier de l’attirance ressentie quand je l’ai vu la première fois.
La déception quand j’ai sus qu’elle était en couple. La joie lors de sa séparation. L’indécision car je n’avais jamais vraiment dragué une fille avant, des problèmes à régler et puis nous n’avons pas vraiment des personnalités compatibles (Elle: Papillon de nuit, moi: Ermite appréciant les balades)Le choc de la voir se remettre avec le p’tit con alors que j’étais prêt "à passer à l’attaque". Le choix de l’éviter pour pas me "perdre". Plongé dans mes pensées, je suis surpris quand la porte de la chambre s’ouvre.
Elle en sort les yeux rougis. A-t-elle pleuré? Je l’invite à s’asseoir sur le canapé. Inspiration du moment, je me lève pour installer des bougies et baisse l’éclairage. Je m’assois à ses côtés et lui tend son verre.
— Merci, me dit-elle en me faisant une bise.
En mangeant, la discussion reprit sur nos loisirs, nos projets de vacances. Léa se détend, elle répond plus facilement, raconte des anecdotes. A la fin du repas la conversation dévia, je ne sais comment, vers problèmes de couples.
Je me laisse à la confidence:
— Faire l’amour doit être un jeu érotique ou on laisse exprimer nos imaginations— Oui, se limiter au missionnaire, c’est routinier ! S’il reste à ça, comment lui rester fidèle !
Elle s’interrompt en rougissant, venant de se rendre compte de son aveu. Je dois avouer que ma gorge devint sèche, comme mon verre en un instant.
— Je peux une question indiscrète ?— Oui— Pourquoi le rendez-vous au bar ce soir ?
— Je voulais savoir pourquoi tu m’évites depuis des mois. Je comprends maintenant. Me dit-elle avec un petit sourire.
Je ne peux plus résister, je penche et l’embrasse ; d’un baiser aussi doux qu’une plume qui se transforme bientôt en un ballet passionné de nos langues. Je passe une main autour de son cou et la deuxième se fraie un chemin sous son chemisier: sa hanche, son dos,... Que sa peau est douce ! Léa se décale un peu et glisse une main sous mon t-shirt, effleurant ma poitrine en douces caresses. Pour lui rendre la pareille, je déboutonne son chemisier découvrant l’absence de tissus ou dentelles en dessous. "Surprise !" murmure-telle avec un petit sourire.
C’est presque en arrachant son chemisier que je réponds à cette invitation ! Mes mains et ma bouche venant explorer ces monts jumeaux au galbe parfait. Trouvant les pointes au milieu des auréoles, je joue avec mes doigts pour les faire réagir. J’effleure avec ma langue ces petites pyramides. Un petit soupir de contentement de Léa. Je déplace ma main sur ses fesses que je caresse. Voulant la passer sous son jean, je commence à déboutonner ce dernier.
— Tu me promets que ça restera que sexuel ? Me demande-t-elle— Si tu me promets qu’on remette ça si t’apprécies !
Je sens sa main se plaquer sur mon sexe comprimé, le caresser. D’un geste elle le déboutonne et vient chercher l’objet de désir. "Deal" me dit-elle en le prenant bien en main. Décidément pas si sage la demoiselle.Ne résistant plus, je la débarrasse de ses derniers vêtements, admirant au passage son string en dentelle noire. Faut dire que mettant admirablement son abricot en valeur... Mais bon... Faut bien le découvrir, si je veux déguster ce fruit ("Non-défendu").
Un échange de regard: qui commence ? Sa petite langue caressant ses lèvres en regardant ma tour d’un air gourmand et moi qui souhaite goûter sa source. Moment suspendu étonnamment magique. Une solution, et nous nous allongeons naturellement sur le tapis dans la position adéquate. Son souffle effleurant la partie sensible du gland avant que la chaleur de sa bouche ne vienne le recouvrir. Pourquoi résister ? Mes lèvres se posent sur celles de son sexe, ma langue frayant son chemin pour trouver le point sensible.Je ne sais combien de temps nous sommes restés à nous faire du bien.
— J’ai envie de toi ! Tu veux que je mette une capote ? Je lui demande en me redressant.— Pas le temps
Et elle vient s’empaler sur mon pieu et m’attire vers elle pour un torride baiser. Bon dieu, que je me change les idées ou je vais venir trop vite tellement les sensations sont bonnes !
Je la repousse doucement, mes mains venant au contact de ses monts jumeaux. Descendant en douces caresses, je lui saisis les fesses. Comprenant mon geste, elle commence à bouger son bassin. J’accompagne ses mouvements de plus en plus ample et rapide, ma bouche se régalant des pointes roses à leur hauteur. Soudain elle se contracte avant de venir s’appuyer contre moi. L’amenant avec moi, je nous couche sur le tapis.
— Tu n’as pas joui ?
Pour toute réponse, je l’allonge sur le dos avant de la pénétrer d’un seul coup.
— Oh c’est bon !
C’est tellement humide que ça glisse "tout seul". N’ayant plus de résistance, au bout de quelques mouvements profonds, je lâche les réserves. Une impression de me vider incroyable. Je me retire et m’allonges à ses côtés.
— T’as encore de la réserve ? Me demande-t-elle. J’ai... J’ai encore envie !
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