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Ma collègue Manon et Moi

Chapitre 2

L'invitation

Hétéro
La nuit avait passé sans que je ne parvienne trop à dormir tant les événements de la veille occupaient encore mon esprit. C’est en y repensant longuement que j’avais fini par m’endormir. Seulement, à la différence de mes autres nuits, je n’ai pas rêvé de Manon, cette nuit-là. Mes fantasmes s’étaient en effet dissipés.
C’est seulement vers 11h que j’ouvris réellement les yeux. C’est à ce moment-là, au moment de me réveiller, que je pris réellement conscience de ce qui s’était produit la veille. A vrai dire, cela semblait si surréaliste que je crus l’espace d’un instant que tout n’avait été qu’un rêve. A la façon d’un vieux souvenir que l’on se remémore plusieurs fois et qui finit par se transformer, je doutais un peu de ce qui s’était passé. Pourtant, cela s’était bel et bien produit il y a quelques heures à peine.
Après m’être suffisamment réveillé, je pris mon téléphone portable. Comme à mon habitude le matin, je souhaitais vérifier mes notifications. Je vis alors que j’en avais deux en attentes. Quand j’ouvris l’application en question et que je vis le nom de Manon, mon cœur s’est remis à battre très vite. C’était elle qui m’avait envoyé deux messages. A la vue de la petite bulle, je fus parcourue d’une légère angoisse. Et si elle regrettait ? Et si elle décidait de s’arrêter ici ? Cela aurait été trop dur pour moi. J’avais peur de devoir revivre une énième frustration. De ne pas pouvoir aller au bout de ce que j’avais réellement envie de lui faire. Malgré cette crainte, je pris mon courage à deux mains et j’ouvris la fenêtre de discussions. Il y avait deux messages dans lesquelles Manon m’annonçât : « Toujours OK, pour ce soir ? Mon copain partira vers 19h40 donc essaie de ne pas venir trop tôt ! » Elle ajouta enfin : « Pense à prendre des capotes ».
La simple lecture de ces messages me soulagea d’un seul coup. Manon ne regrettait rien, et elle semblait bien décidée à passer aux choses sérieuses avec moi. Pire encore, elle tromperait son copain avec moi. Cette idée m’excita beaucoup. Car, non pas que je détestai son copain, avec qui j’avais véritablement échangé que très peu de conversation en soirée, mais il incarnait très exactement tout ce que je détestais chez les mecs de son genre. Grand, musclé, beau-gosse, sûr de lui et un peu frimeur, c’était ce genre de mec qui m’avait mené autrefois la vie dure et avec qui toutes les filles décidaient quand même de sortir. Mais maintenant, j’avais ma chance et il fallait que je sois à la hauteur pour ne pas laisser cette occasion me filer entre les doigts. Car moi, j’étais bien décidé à la niquer, Manon !
L’après-midi au travail se déroula sans encombre à l’exception près que j’avais désormais la légère crainte de la croiser. En effet, je ne l’avais pas revue depuis les événements de la soirée et encore moins au travail. Je redoutais donc cette nouvelle première rencontre, même si, à vrai dire, je me doutais qu’elle adopterait avec moi son comportement habituel au travail. Et tant mieux. Elle ne voudrait pas que ça se sache et moi, ce serait ma petite victoire personnelle !
Ce n’est qu’une heure après moi que Manon prit son service. J’étais occupé à travailler quand je la vis arriver. Comme à son habitude, sa démarche était droite et son allure soignée. Je ne sais pas si c’était les événements de la veille qui vinrent modifier mon jugement, mais je la trouvais aujourd’hui particulièrement belle et excitante. Elle n’avait pas attaché ses cheveux qu’elle avait laissés glisser sur sa nuque. Quant à sa tenue, elle avait mis un tailleur comme elle en portait très souvent, mais c’est une jupe courte accompagnée de collant noir qu’elle avait choisi de porter ce jour-là. Aux talons hauts, elle avait préféré une simple paire de baskets blanches. Le tout lui donnait son air précieux comme elle aimait à le faire paraître, mais avec un je-ne-sais-quoi en plus qui la rendait particulièrement... mignonne. C’était le mot.
Cela m’excitait beaucoup et je peinai à garder ma concentration. En même temps que je travaillais, je l’admirais au loin. Comment une fille aussi belle pouvait avoir envie de coucher avec moi ? Cette question me travaillait sans cesse et pourtant, je prenais du plaisir à vivre cette situation. Tant et si bien qu’à chaque fois que l’un de mes collègues, un garçon grand et sportif qui lui tournait autour, vint lui parler, je ne pouvais m’empêcher de penser : « Tourne-lui autour autant que tu veux. C’est moi qui y aurais le droit ! » Et cela m’excitait tellement que je dus m’absenter aux toilettes le temps de calmer mon érection qui devenait trop visible.
La journée se termina sans d’autres incidents et bientôt ce fut le moment de partir. Plus le temps avançait et plus je pensais à la soirée. Tantôt angoissé, tantôt excité, je ne tenais plus en place. Sur le chemin du retour, je pensais tout de même à acheter un paquet de préservatifs. Je n’avais pas tellement l’habitude de devoir aller en acheter. La seule fois où j’en avais eu besoin remontait à il y a deux ans et c’est la fille en question qui y avait pensé. Mais l’exercice se trouva être plus facile que prévu.
Une fois chez moi, je commençais à me préparer. La dernière fois, je n’avais pas pu anticiper les événements, mais j’étais cette fois-ci bien décidé à surprendre Manon. Ainsi, j’entrepris d’abord, après une bonne douche, de me raser entièrement le sexe. Manon ne m’avait pas fait de remarque à ce sujet, mais je devinais assez facilement que c’est ce que faisaient les mecs avec qui elle couchait la plupart du temps. Et puis, cela devrait de toute façon être plus confortable pour elle. Enfin arriva l’heure fatidique.
C’est vers 19h50 que j’arrivais devant l’immeuble où habitait Manon et son copain. Naturellement, je pris le temps d’attendre un peu qu’il soit 20h00 pour entrer. Arrivé au bon étage, c’est un peu stressé que je me mis devant la porte. C’est dans ce genre de situation et en étant très stressé que je me mets à avoir l’air empoté. Alors, je m’efforçais au mieux d’être cool et naturel. Je frappais assez discrètement la porte quand Manon vint m’ouvrir. « Entre ! » me fit-elle très brièvement. A ce moment, je compris que ce ne devait pas être la première fois que Manon entreprit ce genre de soirée. Mais je m’en moquais complètement. Car, à ce moment-là, c’est moi qui franchissais le seuil de son appartement. A peine je fus rentré que Manon s’éclipsa dans sa chambre. « Installe-toi » me fit-elle en s’éloignant, « j’ai mis de quoi boire sur la table basse ». C’est tout penaud, que je m’installais dans le canapé en me servant un verre. Dans mon caleçon, ma bite était plus raide que jamais.
Je n’avais désormais plus qu’une idée en tête. Pénétrer Manon !
C’est là que je l’entendis m’appeler. Ça y était, c’était le moment. Dans ma tête, tout s’accéléra de nouveau. Tout se mélangea et je crois que je n’avais jamais senti mon cœur battre aussi fort dans ma poitrine. J’aurais pu m’évanouir à tout instant si mes intentions n’étaient pas aussi fortes. Si je n’avais pas autant envie de la baiser.
En franchissant la porte de sa chambre, je la vis. Elle était là, inexplicablement devant moi, assise sur le lit en sous-vêtements, les jambes pliées sur le côté. Ses sous-vêtements étaient à la hauteur de ce que j’imaginais auparavant. Ils étaient assortis, noirs et en dentelle, avec de petits motifs brodés. Tout cela m’excita énormément et j’avais maintenant du mal à retenir mes pulsions. Je sentais l’instinct animal se réveiller en moi. Elle me faisait bander grave.
Elle détacha lentement son chignon pour laisser tomber en cascade ses beaux cheveux blonds. Puis elle me fit signe de m’approcher en ne manquant pas de souligner l’air béat que je lui faisais. Je m’avançais donc sur le lit, ou je vins me placer derrière elle. Comme pour me rassurer dans mes gestes, elle tourna la tête et vint placer mon bras gauche sur son épaule. Enlacée contre moi, le dos contre ma poitrine, je pouvais sentir sa respiration et l’odeur de sa peau. Son odeur si particulière que j’aimais tant. L’odeur d’une femme.
Je l’embrassais d’abord dans le cou, lentement. Sa peau était effectivement très douce. Je continuais de l’embrasser partout, les bras d’abord, puis le dos. J’embrassais ses épaules, que je caressais lentement avec mes deux mains. Puis, Manon posa légèrement sa tête sur mon épaule gauche, bombant ainsi le torse. Mes mains se posèrent alors immédiatement sur sa délicieuse poitrine qui m’avait tant fait fantasmer. Enfin, je la touchais pour de vrai. Elle était belle et ferme comme j’avais pu le deviner. Très vite, comme un chien affamé, je dégrafais son soutien-gorge en dentelle noire, que je laissais tomber contre son ventre. Là, je pus toucher davantage sa poitrine que j’admirais comme l’œuvre d’un grand artiste. Je savais que mes réactions, sans doute immodérées, pouvaient la faire sourire. C’est la première fois qu’une aussi belle femme s’offrait à moi et elle le savait. C’est sans doute ce qui lui plaisait chez moi et dans ce jeu. Mon côté naïf et néophyte.
Et au fond, je savais qu’elle y prenait du plaisir.
Elle se tourna légèrement et je m’empressais de prendre fermement ses seins entre mes mains. Je n’en finissais plus de toucher sa poitrine et après avoir délicatement soupesé un sein, je viens le placer contre ma bouche. Je léchais son téton avec la vivacité d’un animal affamé. Nos respirations s’accéléraient. Ce sein, je le léchais, je le suçais et je le mordillais très légèrement. Puis je passais au deuxième. Tout s’entremêlait dans ma tête et mes longues nuits de fantasmes se mélangeaient désormais à la réalité. Je ne percevais plus rien de ce qui était réel ou non. Je vivais simplement l’instant avec intensité.
Là, elle s’allongea doucement sur le dos et je repris mes baisés là où je les avais laissés, en descendant toujours un peu plus. J’embrassais son torse, son ventre puis son bas-ventre. J’arrivais au niveau de l’entrecuisse. J’y glissais ma main et je sentais déjà une chaleur que son corps produisait naturellement. Je saisissais désormais Manon par la taille et je commençais à lui extirper lentement sa petite culotte tant convoitée. Je la fis glisser le long de ses jambes jusqu’à ses pieds, puis une fois libérée, je n’ai pu m’empêcher de la renifler. Il s’en dégageait une odeur forte et intime qui trahissait son excitation. La même odeur que j’avais pu sentir la veille dans sa salle de bain. L’odeur de Manon. Moi, je bandais plus que jamais et je sentais presque les palpitations de mon cœur dans mon gland, qui était désormais gonflé et violacé.
C’est là que je la vis enfin, sa vulve. Sa magnifique vulve qui était comme j’avais pu le pressentir, toute épilée. Il m’avait été donné qu’une fois par le passé de pouvoir admirer le sexe féminin, que je trouvais toujours aussi beau et élégant. J’approchais mes mains doucement comme auprès d’un objet rare et fragile. Elle était belle, sa chatte ! Manon écarta alors un peu plus les cuisses pour me laisser contempler pleinement le spectacle. Voir Manon s’offrir à ce point à moi, c’était merveilleux. En écartant de moi-même encore un peu plus, je pus contempler son clitoris. Le petit bouton de chair était gonflé, ce qui trahissait, si le fut encore besoin, une excitation réelle.
Là, je me penchais et me mis à le lécher, impunément. Je faisais des va-et-vient entre son clitoris, que je titillais du bout de ma langue et ses lèvres. C’était délicieux. J’étais en train de savourer pleinement. Je lui bouffais littéralement le minou. Manon pencha sa tête en arrière sur le lit. Ses yeux se fermèrent, son bassin ondulait et son ventre laissait percevoir l’accélération de sa respiration. Plus je titillais le clitoris et plus les mouvements de son bassin s’accéléraient.
Mon cunnilingus avait désormais plongé Manon dans un état secondaire. Son corps tout entier répondait désormais à mes caresses. Toutes les barrières étaient à présent tombées entre elle et moi. Quand j’en eus fini de lécher sa chatte, d’où la cyprine s’écoulait en abondance, j’entrepris de la lui fourrer. Je pris deux doigts que je glissais à l’entrée de ses lèvres. Lentement, j’enfonçais mes doigts et je sentis sa chair s’ouvrir autour. C’était chaud et délicieux. Ils entrèrent, bien sûr, très facilement, comme dans du beurre. Au fur et à mesure que j’allais et je venais, j’accélérais le mouvement puis j’insérais bientôt un troisième doigt. Enfin, elle poussa ses premiers cris qu’elle ne contenait plus. C’était si bon. Manon fit alors parvenir sa main droite jusqu’à son clitoris qu’elle commençât à masturber frénétiquement. Comme pour m’indiquer la marche à suivre, je suivis son rythme plus rapide encore.
Son ventre se contracta, elle cria et Manon succomba à un violent et premier orgasme. Je me repositionnais au-dessus d’elle et nous nous embrassions mutuellement. Nos langues se mélangeaient.
Nous n’étions qu’au début.
A suivre.
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