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Le collier de la "chienne" !

Chapitre 1

Une expérience inattendue...

Zoophilie
Cette fois-ci, Cécile n’en menait vraiment pas large. Assise dans la voiture à côté de son mari, elle serrait nerveusement ses deux mains entre ses cuisses, là où l’imperméable beige s’arrêtait, laissant sa peau à nu. Evidemment, elle ne voyait rien, son mari lui ayant de nouveau déposé un foulard sur ses yeux, pour l’aveugler. Tout ce qu’elle pouvait percevoir de son environnement immédiat, c’était le vrombissement du puissant moteur de la berline, et les odeurs qui lui parvenaient par la fenêtre légèrement ouverte.
Depuis environ 15 minutes qu’ils étaient partis, elle n’entendait plus aucun autre bruit de circulation... elle en déduisit que son mari l’emmenait à la campagne. La route semblait déserte, et les effluves des blés coupés et les senteurs boisées qui lui parvenaient aux narines étayaient cette impression.
Pour une fois, son mari n’allait pas la "contraindre" à quelque fantaisie sexuelle en ville. Cela néanmoins lui créait une impression de malaise indéfinissable. En effet, le milieu urbain et ses vices lui étaient devenus presque naturels : les étreintes sauvages en club échangiste, les soirées chez des amis ou même des inconnus, au cours desquelles elle était livrée en pâture à la convoitise sexuelle de mâles en rut, voire de femmes enragées de sexe, lui étaient presque devenues courantes. Et elle devait s’avouer que cela lui procurait de plus en plus de plaisir. Après quelques atermoiements, bien naturels pour la fidèle épouse un peu coincée à l’époque, elle devait bien le reconnaitre, et des pudeurs de pucelle effarouchée, elle avait pu connaître des orgasmes et des satisfactions sexuelles intenses, qu’elle n’aurait jamais cru possibles !

Or là, elle plongeait dans l’inconnu : que lui avait donc réservé son mari, quelle idée saugrenue ou odieuse lui était bien sortie de l’esprit ? De plus, à chaque fois son mari tenait à la voir revêtir des bas, une guêpière ou un porte-jarretelles, toujours sans culotte, mais toujours affublée de son collier-de-chien en cuir noir. Or là, elle était simplement nue sous son imperméable, portait des cuissardes en cuir noir, et le fameux collier épais et large... qu’est-ce que cela voulait donc signifier ?! Cécile commençait à être plus qu’angoissée... comme à chaque fois d’ailleurs !

Et puis ils arrivèrent près d’un bâtiment assez grand, une villa campagnarde perdue dans le noir. Son mari sonna, et la tirant avec la chaîne métallique qu’il avait fixée à son "collier de chienne", il la fit entrer à l’aveuglette, dans une pièce. Les y attendait un homme en noir...
« Alors donc, la voilà ! Elle a l’air pas mal du tout ! Vous dites que c’est votre épouse ?
— Vous voulez mon livret de famille, lui répondit le mari goguenard. — Non, ce n’est pas la peine ! D’habitude, pour ce genre de chose, le mec emmène sa maîtresse du moment, ou alors un impresario qui veut entraîner son actrice avant de la faire tourner ! Des couples légitimes, j’en ai eu très peu, tout compte fait. Surtout si la dame est "pucelle"... enfin pour ce genre d’exercice ! Ce sera donc sa première fois ? — Oui tout à fait ! — Et pourtant vous en avez demandé deux, et pas les moins membrés ! — Madame est gourmande... enfin, je l’espère pour elle, dans ce cas de figure ! Cela pose problème ? — Non pas vraiment... mais... — Quoi ?! Ne me dites pas que cela ne sera pas possible !! J’en rêve pour elle depuis de nombreuses années. Je rêve de la voir se faire prendre de cette façon ! Vous vous dégonflez ?
— Non... enfin, vous ne craignez pas qu’elle prenne peur, devant ce que vous allez lui proposer de faire ? Vous lui avez donné un aphrodisiaque, un excitant quelconque ? — Non ! Ce n’en sera que plus drôle et excitant... pour moi ! — Et pour elle ? C’est son fantasme ? Vous en avez déjà parlé ensemble ? — Absolument pas, elle ne sait pas du tout ce qui l’attend ! — Vous êtes complètement fou ! Ca ne marchera pas, cela peut même très mal se passer ! Je n’ai pas envie d’avoir des problèmes, moi ! Je crois que vous pouvez rembarquer votre petite dame ! Je ne prends pas le risque ! "

Cécile avait écouté le dialogue avec intérêt, puis progressivement avec un début de terreur lancinante, qui lui labourait l’estomac. Elle ne comprenait rien à la conversation des deux hommes. Mais ce qu’elle savait, c’est qu’elle allait être obligée de faire quelque chose de terrible pour elle, et de terriblement excitant pour son mari.
Pourtant elle savait qu’elle allait se plier à la volonté de son époux. Pour lui faire plaisir, pour se faire pardonner ses errements antérieurs, et surtout en fin de compte, pour son plus grand plaisir à elle ! Car même si la peur s’emparait d’elle, devant l’inconnu, une boule de désir se formait aussi dans son ventre, une excitation démentielle commençait à s’emparer de son esprit, à lubrifier ses nymphes et à ouvrir son sexe en grand. Elle sentait la cyprine qui commençait à lui mouiller l’intérieur de ses cuisses. Ses grandes lèvres et son clitoris grossissaient, et elle concevait un désir incommensurable d’être possédée, et complètement investie par un gros sexe, une bouteille, un objet quelconque.
Quelque chose de dur, de gros, et de long devait absolument s’introduire dans sa chatte, qui devenait béante et affamée de luxure. Elle savait que ce serait dégueulasse, abject, très vicieux, elle le sentait dans les intonations rauques et graves de son mari, qui démontraient son excitation grandissante. Elle savait que quand il s’exprimait de cette façon, c’était que son fantasme était très hard et pervers. Elle savait que même crucifiée par son angoisse, elle allait de nouveau lui montrer la facette la plus animale et abjecte de son moi intérieur ! Elle savait qu’elle allait se vautrer de nouveau avec concupiscence dans des coïts endiablés.

Et puis elle entendit un bruit de verre, et un liquide en mouvement dans une bouteille. Son mari avait de nouveau sorti le petit verre à liqueur et la fameuse bouteille de cognac de trente ans d’âge. Là, elle comprit qu’elle allait franchir un nouveau cap dans la perversité : son mari ne sortait la bouteille, que pour lui faire subir une nouvelle épreuve initiatique, dans la bassesse des vices les plus abjects. Cette pensée lui procura une décharge de plaisir, qui lui traversa le ventre tel un courant électrique. Sa chatte s’ouvrit encore un peu plus, comme si c’était encore possible ! Avec le degré d’humidité de son bas-ventre, elle se dit qu’un poing d’homme entrerait plus que facilement dans son gouffre de luxure ! Cécile n’attendait plus, elle piaffait littéralement d’extase malsaine.

" C’est pour moi le cognac, vous êtes vraiment un drôle de bonhomme !
— Non pour elle, donnez-lui-en deux verres, laissez-la savourer l’alcool et sa chaleur, et passez vos doigts sur son sexe... vous m’en direz des nouvelles ! — Le verre du condamné, quoi ?! "Dit le type, excité à l’idée de tripoter le pubis de la jolie bourgeoise.» Le type prit la bouteille et en emplit généreusement le petit verre, qu’il présenta devant la bouche de la femme, toujours debout et aveuglée par son bandeau sur les yeux. — Allez, ouvre la bouche et bois ça, salope ! On verra si ton mari dit vrai !
Cécile but lentement le cognac ainsi présenté, devant ses lèvres. Et elle sentit la chaleur de l’alcool se dissiper dans son ventre. Aussitôt une douce euphorie la saisit... elle se sentait bien... très bien même. Elle accepta derechef le deuxième verre. L’alcool fit son effet et elle plana aussitôt sur son petit nuage. Le type la regardait avec envie. Il l’imagina déjà nue et à sa merci. Il devina que cette fois, l’expérience allait dépasser tout ce qu’il avait déjà vécu auparavant. Après cinq minutes, le mari reprit la parole.

« Allez-y, passez votre main entre ses cuisses, sentez l’humidité de son sexe sur vos doigts ! «
Le type, avec un peu de nervosité dans le geste, passa lentement sa main sur la cuisse gauche, sous l’imperméable assez court, puis il atteignit la fourche des cuisses. Avec une lueur égrillarde dans le regard, il passa la main sur le pubis, sentit les poils collés et alla fourrer ses doigts sous les lèvres grossies par le désir intense de la femme, puis s’autorisa à faire entrer trois doigts dans la chatte ouverte à sa convoitise. Enfin, il retira sa main et contempla ses doigts brillants et gluants de cyprine.
" Putain ! Elle est au comble de l’excitation, elle mouille comme une salope en chaleur !
— Ce qu’elle est, en définitive. L’alcool la fait grimper au septième ciel, elle devient une vraie pile atomique. On peut alors lui faire tout ce qu’on veut ! Cela décuple sa libido. Faites-la se déshabiller, et demandez-lui ce qu’elle veut vraiment "

Le type au comble de l’excitation donna des ordres à la pécheresse :
« Tu as entendu ton mari ? Allez déloque-toi, fous-toi à poil ! «
Cécile défit alors lentement la ceinture de son imperméable, et dégrafa lentement les boutons, pour ensuite faire choir le vêtement par terre. Elle apparut alors nue, en cuissardes, ses petits seins aux tétons pointant et durcis par le désir ; son splendide ventre plat, son pubis décoré d’un petit triangle de poils blonds vénitien, ses lèvres vaginales grosses d’envie sexuelle, brillantes de cyprine... cyprine qui marquait l’intérieur de ses cuisses de traînées brillantes. Et bien sûr, son gros collier en cuir autour du cou !

Le type lui caressa doucement un sein, dont il titilla le téton dressé, puis passa sa main sur la touffe de poils englués. Il la fit asseoir dans un fauteuil, et lui demanda d’écarter bien les cuisses pour avoir la vue sur son sexe affamé. S’étant approché de son oreille, il lui susurra des mots crus !
« Alors ma belle, tu es venue pour quoi au juste ?
— Pour faire plaisir à mon mari, et me faire baiser par tous les trous. — Tu aimes être traitée comme une chienne en chaleur ? — J’adore ! Je veux des bites bien dures et très longues ! — Tu es quoi, au juste ? — La putain de mon mari, sa salope dévouée, son trou à bites. » Le type se retourna vers le mari, qui attendait, un sourire aux lèvres :

« Alors, vous êtes rassuré ?
— J’en ai vu des nymphos, mais alors celle-là, je crois qu’elle bat tous les records ! Vous avez de la chance d’avoir une telle femme. — N’est-ce pas ? Mais ça n’a pas toujours été comme ça ; j’ai dû la reprendre en main. Mais maintenant, elle fait tout ce que je lui ordonne ! — Y a quand même un truc ! — Quoi encore, dit le mari qui commençait sérieusement à s’énerver de sa frustration. — Moi ce que j’en dis. Mais vous savez, une fois la surprise et la crainte dissipées, elle risque d’y prendre goût, d’en devenir accro. Vu la tension sexuelle qui l’habite... elle va prendre un pied d’enfer. — Et alors, je veux qu’elle devienne une vraie truie, la pire salope, la pute la plus perverse que le monde ait jamais portée ! — Bon c’est vous qui voyez. Vous l’avez pluggée ? — Oui, je veux qu’elle soit prise recto puis verso. Avec une bonne dilatation, ça lui évitera des fissures anales, vu le calibre que vous m’avez proposé ! — OK, ça me va ! Vous voulez donc qu’elle soit filmée, et qu’on le diffuse ensuite sur le site spécialisé. — Oui, c’est mon désir. — Bon, on va pouvoir y aller alors. Viens petite pute. Lève-toi et suis-moi. “

Cécile descendit prudemment un escalier, toujours aveuglée, son odorat lui disait qu’ils arrivaient dans une espèce de cave. Le type lui avait accroché sa laisse en chaîne de maillons métalliques, à son gros collier de chienne en cuir noir, et il la tirait comme un animal entravé ! Une porte couina sur ses gonds et elle sentit aussitôt qu’ils n’étaient pas seuls. Elle ressentit la chaleur de spots puissants sur son corps dénudé, tandis qu’elle entendait de nombreux déclics de flash. On la prenait en photos. Il y avait dans la pièce, en plus des relents de renfermé et de moisissures, propres aux souterrains, comme des odeurs de matériel électronique.
Elle comprit qu’elle se trouvait dans une espèce de studio, et que l’on avait commencé à filmer le moindre de ses gestes. Cela l’excita encore plus. Son nouveau don pour l’exhibition reprenait de la vigueur. Elle savait qu’elle était la proie consentante d’hommes, qui mataient sa nudité et n’attendaient qu’un ordre pour la posséder complètement. Combien d’hommes pouvait-il bien y avoir dans la salle ? Elle se dit qu’elle allait être partouzée sous toutes les coutures, dans tous les sens, et que sa prestation filmée serait bientôt disponible sur le Net. Cela l’excita encore plus ! Elle porta sa main droite sur son sexe, et voulut s’introduire deux doigts, pour calmer la brûlure de désir qui lui envahissait trop le sexe, et devenait intolérable. Elle reçut une gifle sur le visage.
« Te branle pas pouffiasse ! Demande ! lui cria une voix inconnue.
— Je veux être baisée ! dit-elle dans un souffle rauque ; je veux des bites dans ma chatte ! — Tu vas être exaucée, mais d’abord les préliminaires ! Amenez Zeus et Apollon, cria le premier type. “

Aussitôt elle entendit une autre porte couiner, et saisit deux mouvements assez rapides, ainsi que des bruits de chaînes. Était-elle tombée dans un cercle sadomasochiste ? Son mari avait déjà évoqué cette hypothèse. Dans une attente enfiévrée et un peu angoissée, elle écouta la suite des événements.
Debout, nue en cuissardes noires, la laisse métallique reposant sur son sein gauche et son ventre, elle attendait, se demandant qui pouvaient bien être Zeus et Apollon... Cécile était trop jeune pour avoir suivi la série des années 80, « Magnum...» Elle sentit alors un mouvement près d’elle, quelque chose lui tournait autour, mais elle n’arrivait pas à définir quoi. Alors, au moment où elle sentit la douce caresse d’une toison de poils, contre sa cuisse droite, puis un autre contact en même temps, de poils plus rêches contre ses fesses, elle comprit. Il y avait deux chiens qui lui tournaient autour et commençaient à se frotter à elle. Quand elle sentit un souffle chaud contre les lèvres de son sexe en fusion, le doute n’était plus permis. L’angoisse s’empara d’elle, mais elle se dit que son mari n’oserait pas commettre un tel délire.
Alors espérant que tout cela n’était qu’une mise en scène cynique, elle tenta de garder son calme et ne dit mot. Alors le type reprit la chaîne et en la tenant, la dirigea vers un autre endroit de la pièce, et lui intima l’ordre de se coucher sur le sol, de placer ses bras en extension derrière sa tête, et de bien écarter les cuisses, en pliant les jambes, les pieds sur le sol. Là encore, ivre d’angoisse, elle obéit servilement... n’était-elle pas là pour assouvir le moindre caprice de son mari et de ses bourreaux associés ?
L’homme lui plaça des bracelets en cuir sur les chevilles et les poignets, et les relia à des chaînes fixées au sol. Cécile était donc nue, couchée sur un sol empierré très froid aux aspérités rudes, entravée, ne pouvant bouger, les cuisses grandes ouvertes et le sexe béant, son plug toujours profondément enfoncé dans son anus. Elles se sentait à la merci des hommes et des deux chiens qui recommencèrent à lui tourner autour en l’effleurant à chaque fois un peu plus de leur pelage. Elle sentait aussi leur souffle chaud et humide sur son ventre, ses seins et sa chatte, disposés à merci.
Cecile se savait prise au piège, prisonnière à la merci du moindre caprice sexuel des hommes, elle ne pouvait rien voir, mais des images pornographiques venaient à son esprit. Certes, son mari avait évoqué la zoophilie comme fantasme persistant, mais oserait-il vraiment livrer sa femme aux sexes des deux chiens ? Elle ne le pensait pas. Elle préférait se dire que tout cela n’était qu’une mise en scène vicieuse pour la faire craquer et la rendre encore un peu plus perméable aux fantasmes toujours plus hard de son époux. Angoissée, mais toujours excitée par ce qui allait lui arrivait, elle attendait, car sinon, son esprit se rebeller contre l’idée d’être offerte à la concupiscence des deux chiens, son ventre lui réclamait toujours apitance sexuelle, elle voulait n’importe comment être prise, défoncée, baisée sauvagement. Mais irait-elle jusqu’à accepter les deux braquemarts des animaux, qui, elle se l’imaginait, étant toujours aveuglés, devaient être monstrueux.
L’angoisse le disputait à une curiosité morbide et vicieuse... qu’est-ce que ça faisait d’être baisée sauvagement par un chien ? Son mari lui avait déjà montré des vidéos de femmes très belles et désirables, hurler leur plaisir sous les coups de boutoir de chiens en rut, le sexe rouge au gland conique pénétrant leurs muqueuses si fragiles, comme des pistons de machines ! Alors ??

Quand elle se sentit être aspergée par un liquide froid et odorant, sur son ventre, ses seins, et surtout son sexe, elle se mit à hurler.
« C’est quoi ce truc, ne les laisse pas me faire prendre par ces chiens, je t’en supplie ! cria-t-elle à son mari, au bord de la folie ; elle entendit une voix chaude lui susurrer à l’oreille :
« Il t’a mis du viandox sur le corps. Si tu ne veux pas être une fille zoophile, tu n’as qu’un mot à dire et tout s’arrête ! Tu te souviens du mot de sécurité ? C’est « abnégation.» Prononce-le et tu seras détachée, tu pourras te rhabiller, et je te laisserai tranquille... tous nos jeux pervers s’arrêteront... sans rancune. Tu auras un bel appartement et de quoi subvenir à tes besoins... alors ? «
Cecile ne savait que trop bien ce que signifiait le ton doucereux de son mari, et la menace sans équivoque. Elle répondit :
— Redonne-moi un peu de cognac pour me donner du courage, et ils pourront me faire tout ce qu’ils voudront.
Le mari se releva, un grand sourire sur les lèvres, et redonna un verre de cognac à son épouse enchaînée au sol. Il avait gagné une fois de plus. Il se régalait déjà du spectacle dont il allait jouir !

Deux minutes plus tard, Cécile s’était assagie, gagnée par la douce euphorie, et curieuse de connaître une nouvelle expérience sexuelle peu commune. Son mari fit un signe aux hommes qui tenaient les chiens. Ils les laissèrent aller. Les deux animaux s’approchèrent doucement de la femme à disposition, entravée au sol, les jambes grandes ouvertes, et la flairèrent un peu partout... puis retentit un ordre de l’homme en noir :
— Lèche Zeus !
Le premier chien, un pitbull blanc à taches noires, très musclé, avec un braquemart énorme sous son ventre, qui était déjà en érection, se mit à lécher le viandox répandu sur les seins et le ventre de la femme entravée. Cecile, très excitée, et un peu hystérique, se mit à glousser et rire aux éclats. Les coups de langue râpeux de l’animal lui donnaient à la fois du plaisir et la chatouillaient. Elle adorait quand la langue râpeuse passait sur ses tétons dressés, qui durcissaient encore un peu plus.

Le second chien, un grand rottweiler noir à la musculature titanesque, lui, s’intéressait à l’entrejambe offert. Sa langue qui léchait le viandox à l’intérieur des cuisses, de même que les filets de cyprine, se rapprochait de plus en plus du centre névralgique de la jeune femme. Elle attendait fiévreusement que la langue vienne sur son pubis et son sexe ouvert. L’idée d’avoir la langue du chien sur sa chatte et le souffle chaud de l’animal sur ses lèvres et son bouton la rendait folle de plaisir, mais aussi d’effroi !
L’animal lécha goulûment le viandox répandu sur la toison blonde, puis arriva sur les nymphes. Au bord de l’hystérie, transportée à la fois par un élan d’effroi et de désir morbide, Cécile sentit la langue venir lécher ses grandes lèvres et son clitoris. Cela lui fit un bien fou. Les coups de langue étaient rapides et experts. Elle commença à gémir. Et quand elle sentit la langue venir fouiller son intimité, et aller de plus en plus profond dans son vagin, dont les parois se dilataient encore un peu plus, elle se mit à crier de plaisir. La sensation était simplement divine, jamais elle n’aurait cru que la langue d’un chien, enfoncée dans son sexe en fusion pourrait lui donner autant de plaisir ! Elle eut rapidement un premier orgasme. Son bassin se souleva à la rencontre de la langue inquisitrice, tandis que sa poitrine se soulevait de délice sous les léchouilles de l’autre chien sur ses seins. Elle ahanait de plus en plus, gémissait et se mit à crier des insanités :
— Oh mon Dieu c’est trop bon, oui lèche-moi la chatte ! Vas-y plus profond, ouiiiiiiii ! Arggggggg, je jouiiiiiiissssss ! Encore, encore !!!!
Les chiens, tous les deux à présent rivés sur son sexe, se disputaient presque pour lécher les délicieux filets de cyprine, qui leur abreuvaient la gueule. Cécile mouillait de plus en plus, sous le contact des langues râpeuses, rapides et inquisitrices, qui s’enfonçaient de plus en plus profondément en elle ; elle n’arrêtait pas de gémir. Elle suffoquait tellement c’était bon.

L’homme en noir lâcha un sourire vicieux au mari, et lui dit :
" Elle est prête. Si vous voulez toujours voir votre femme se faire défoncer la chatte par la pine d’un clébard, c’est le bon moment ! »
Le mari acquiesca silencieusement. Alors, sur un ordre du type en noir, un deuxième homme retira les entraves des chevilles et les jambes levées, Cécile comprit ce qu’on attendait d’elle ! Elle remonta ses cuisses vers son ventre, replia ses chevilles, offrant son sexe tout grand ouvert à la convoitise canine. Un troisième homme lui souleva le bassin, pour y placer un oreiller pour le relever, et la mettre ainsi dans une position optimale pour la pénétration animale. L’homme en noir présenta alors au mari sa femme offerte, et désireuse de se faire mettre par le chien et lui indiqua la marche à suivre.

Le chien bavant, et excité, attendait sagement, le sexe gonflé à quelques centimètres de la chatte béante, dégoulinante de mouille. Le mari saisit la tige rouge, et la rentra à l’orée du sexe baveux de son épouse ! Alors le chien sur un ordre, « Pénètre, Apollon », rentra son engin dans le sexe bouillonnant. Le mari vit avec ravissement le gland conique et rouge cramoisi, gorgé de sang, s’insinuer entre les muqueuses entrebâillées de sa femme. La vision était vulgaire, mais terriblement excitante ; le mari ne lâchait pas des yeux le gros sexe canin, qui gonflait encore de volume en s’engageant dans la vulve de son épouse. Cécile eut un grognement rauque et sauvage, quand le doberman eut rentré avec douceur toute sa bite dans la chatte assoiffée de Cécile ! Le mari se dit que sa femme avait au moins 22 centimètres de bite, engoncés dans sa chatte. Elle qui voulait être remplie par des queues longues, raides et grosses, elle était servie.
" Vas-y Apollon ! " Sur cet ordre, le molosse commença à pousser du bassin puis à sortir du sexe féminin offert, d’abord lentement puis de plus en plus vite. Alors Cécile se mit à crier dans un crescendo barbare. Le chien activait son bassin puissant de plus en plus vite, et Cécile criait de manière de plus en plus vulgaire. Elle prenait un pied d’enfer.
Criant, gémissant, ahanant tournant la tête de tous les côtés, cherchant l’air, suffoquant presque, elle extériorisait une jouissance démentielle. Et puis le chien s’arrêta et resta avec son sexe engoncé entre les muqueuses douces de la jeune femme. Elle était prise par le nœud qui se mit à gonfler. Cécile, d’abord un peu angoissée par ce sexe qui l’investissait, et gonflait en elle à lui faire exploser les parois du vagin, se remit à gémir sourdement tant elle se sentait comblée. Cela dura deux à trois minutes, puis le chien retira son sexe un peu dégonflé, libérant une quantité ahurissante de sperme qui s’écoula du vagin de Cécile. Celle-ci eut encore un ultime orgasme, encore plus dévastateur que tous les autres, et se laissa aller la tête au sol. Elle ne cessait de gémir doucement et dire « mon Dieu, mon Dieu ! «

Vicieusement, l’homme en noir dirigea le chien vers la tête de Cécile, et le fit coucher, le sexe à côté de sa bouche, puis il dirigea le pénis au gland conique vers les lèvres de la femme, alanguie au sol, qui reprenait ses esprits. Elle sentit le gland au bout conique contre sa lèvre, et sans hésitation ouvrit la bouche pour l’engloutir. L’homme en noir poussa alors le pénis canin dans la bouche de l’épouse zoophile, qui se fit un devoir de nettoyer le sexe de l’animal de ses sécrétions spermatiques. Le mari n’en revenait pas d’avoir vu sa femme sucer ainsi la bite d’un chien qui venait de se répandre dans son vagin.

La femme ayant récupéré, le mari lui glissa à l’oreille.
— Tu veux que l’autre t’encule à présent ? — Oh oui, répondit dans un souffle l’épouse zoophile ; je veux sa grosse bite dans mon cul ! Alors Cécile fut désentravée et placée à quatre pattes, cul en l’air. Puis, on lui refixa ses entraves aux chevilles et aux poignets. Le mari retira le plug anal, fit pénétrer deux doigts dans l’anus dilaté de sa femme, puis replaça l’engin à présent dans son sexe. La seule voie ouverte était celle du trou du cul de sa femme. Cécile dilatée par le plug, et ayant tellement joui, la sodomie par le second chien, le pitbull, ne semblait être qu’une formalité !

Le mari se régalait déjà de voir sa femme à quatre pattes, dans une position soumise et vulgaire, se faire défoncer le trou du cul par le sexe aux belles dimensions du second chien. L’homme en noir aspergea généreusement cuisses, fesses et trou du cul de la jeune femme, poussant le vice jusqu’à placer l’extrémité du flacon plastique à l’orée de son anus, pour en faire pénétrer une bonne quantité dans son rectum. Ici encore Cécile gloussa de bonheur. Sur un ordre du maître, le pit approcha sa tête du cul de la jeune femme, et commença à lécher les cuisses, puis les fesses et enfin insinua sa langue râpeuse dans le trou du cul offert. Cécile se remit à gémir et eut un nouvel orgasme. La langue s’insinuant de plus en plus profond dans le trou du cul de la jeune femme déclenchait des cris et des plaintes de plaisir déchirant de la jeune femme.
Cécile jouissait déjà, rien qu’avec la langue du chien dans son cul, puis tournant la tête vers la position estimée des hommes, elle les supplia de laisser le chien l’enculer.
Alors sur un nouvel ordre de l’homme en noir, le chien se repositionna, sexe en érection, et le mari ici encore, dirigea le gland conique dans l’anus dilaté de son épouse. Puis comme l’autre chien, il rentra doucement l’entièreté de son engin, qui disparut dans les entrailles béantes de la jeune femme qui poussa derechef un grognement rauque de plaisir !Cécile se faisait enculer bestialement, sauvagement par le pitbull, elle qui n’aurait jamais cru pouvoir prendre du plaisir dans une expérience zoophile. C’était trop bon... encore une fois livrée à l’animal, elle prenait un pied d’enfer, ayant orgasme sur orgasme !Le mari lui, n’était pas le dernier à jouir, en voyeur, de la dépravation de sa si jolie et distinguée épouse ! !
Dans la voiture qui les ramenait à leur domicile, Cécile repue de plaisir et épuisée, flottait dans un demi-sommeil... elle se remémorait comment elle était devenue la putain vicieuse et soumise de son mari ! Tout avait commencé par un courrier recommandé, laissé sur la table de la cuisine, alors qu’elle rentrait du travail... c’était un mois auparavant et il s’agissait d’une convocation préalable pour une procédure de divorce...
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